Promise depuis la sortie du rapport de la mission parlementaire d’information sur les prix des carburants au Maroc au lendemain de l’entrée en vigueur de la décompensation, la formule du cabinet El Othmani pour un plafonnement des prix de ces produits attend toujours sa signature.
Afin d’éviter que le peuple et les médias locaux s’inquiètent de la baisse des recettes pétrolières et du stock en devises, l’Etat algérien a inventé un nouvel ennemi : le trafic des carburants subventionnés, accentuant sa traque. Une campagne qui mobilise, police douane, armée, presse. Même les pauvres imams des mosquées ont prêté main forte menaçant les contrebandiers