En 25 années de suivi des actions publiques, de couverture et d'accompagnement médiatique des Marocains du monde à travers des radios, télévisions ou presse, jamais un discours royal n'a visé avec autant de précisions et de détermination les dysfonctionnements alarmants et les carences criantes d'un ministère. Perçues comme une franche «révolution du Roi et des Marocains du Monde», l'allocution de Sa
Le 31 octobre 2014 à Rabat, une soixantaine de diplomates avaient défilé devant le ministre des Affaires étrangères pour signer la «Charte des consuls». Le document était censé réconcilier les MRE avec les consulats. Neuf mois plus tard, le roi ordonne à son ministre de mettre fin aux dysfonctionnements et à sanctionner les consuls coupables d’abus envers les MRE.
Le 25 mai prochain se déroulera pour les Français du Maroc, l'éléction des conseillers consulaires. Yabiladi était présent à la conférence de presse de la Liste indépendante des Français de Casablanca, menée par Malika Barki. L'occasion pour nous d'expliquer les enjeux de ce scrutin très peu médiatisé.
Suite aux multiples plaintes souvent émises par les parents marocains, la Haute commission de l'état civil relevant du ministère de l'Intérieur tient à rappeler aux fonctionnaires que les parents sont libres de choisir un prénom arabe, amazigh, hassani ou hébraïque pour leurs enfants. L'instance insiste également sur certaines démarches à rectifier. Détails.
Avec la nomination d’Anis Birou au poste de ministre en charge des Marocains du monde, Yabiladi a voulu savoir quelles sont les attentes des MRE vis-à-vis du nouveau ministre, sachant qu’il aura également la charge de la politique migratoire au Maroc. De manière générale, ils veulent le changement, réclamant la réalisation des promesses qui leur ont longtemps été faites, mais certains ont perdu espoir. Explications.
Les MRE en voient de toutes les couleurs dans les consulats du Maroc en Belgique. Plus de 300 plaintes ont été enregistrées par l’AMDH Belgique concernant différentes formes d’abus, corruption et harcèlement. L’Ambassade feint de ne rien savoir, disant que ses agents font bien leur travail. Détails.
Bien que sa langue ait été consacrée par la Nouvelle Constitution, la culture Amazighe n’en demeure pas moins toujours considérée comme une sous-culture au Maroc. Pour preuve, les bureaux d’états civils marocains, qui prétextent l’existence d’une «liste des prénoms approuvée» établie par le ministère de l’Intérieur, refusent encore à ce jour d’enregistrer de
Conditions de travail médiocres, salaires quasi-minables, retraites à 250 euros par mois, les agents des consulats du Maroc dans toute la France se révoltent. Ils ont observé une grève lundi dernier et réclament une régularisation de leur situation.