A l'approche des élections en Espagne du 28 mai, la «fraude électorale» n’est plus circonscrite uniquement à Melilla. De présumés cas sont identifiés en Andalousie, Iles Canaries, Valence et Galicie. Les deux grandes formations politiques en Espagne (Parti populaire et PSOE) se rejettent la responsabilité.
En Espagne, le projet de la «rébellion des socialistes» contre le soutien de Pedro Sanchez au plan marocain d'autonomie au Sahara occidental, peine à rallier les militants du PSOE. Dix jours après son lancement, les adhésions sont très rares, à peine 300 sur un total de 163 847 adhérents au parti.