Dans une tribune publiée par le Journal du dimanche, Manuels Valls poursuit son offensive contre le terrorisme et appelle les musulmans de France à graviter autour d’un seul et même objectif : exclure le communautarisme et privilégier un modèle pour la «République et ses valeurs».
Après les attentats de Paris on se serait attendu que le jugement des Français sur la religion musulmane se soit détourée. Mais selon un nouveau sondage, un plus grand nombre de Français jugent l’islam compatible avec les valeurs de la République. Détails.
Dorénavant, une école primaire en France peut changer comme bon lui semble son règlement intérieur pour interdire à une mère voilée d’accompagner son enfant lors d’une sortie scolaire. C’est ce qui est arrivée à Sylvie Osman, une maman musulmane vivant en Seine-Saint-Denis. Elle vient de perdre un procès dans lequel elle demandait au tribunal administratif de Montreuil d’annuler ce règlement
La part de plus en plus croissante occupée par l’islam en France, et plus précisément dans les banlieues, pousse à s’interroger en France. Alors que certains ont essayé d’expliquer les raisons d’une telle situation, d’autres se sont alarmés face à une «menace» grandissante.
Pour Jean Louis Debré, proche de l’ancien président français Jacques Chirac et actuel président du Conseil constitutionnel, «il faut accepter l’immigration légale». Contrairement au ministre de l'Intérieur, Claude Guéant qui aspire à réduire l’immigration légale, Debré, quant à lui, considère que la France a besoin de l’immigration.
D’après les déclarations faites à la presse par la ministre malawite des Affaires étrangères, Mme Joyce Banda, la République du Malawi aurait décidé hier, 16 Septembre 2008 de retirer sa reconnaissance à l'auto-proclamée république Sahraoui (RASD : République arabe sahraouie démocratique), ainsi que de rompre toute relation avec cette dernière.
Le droit de mener une vie familiale « normale » a été reconnu comme un droit fondamental. Depuis 1978, le Conseil d’Etat a reconnu « la faculté à chaque étranger de faire venir auprès de lui son conjoint et ses enfants mineurs » et, par la même occasion a élevé le droit de vivre en famille au rang de « principe général de droit ». De son côté le Conseil Constitutionnel a rappelé en 1993 et en 1997 que « les étrangers dont la résidence en France est stable et