Yabiladi s'est penché sur le commerce juteux des produits de beauté en ligne qui, derrière des labels et slogans bios et de qualités, proposent aux consommatrices des produits dont l'origine est souvent impossible à établir, très souvent sans respect des obligations légales et fiscales.
Bien qu’il améliore son score d’un point, le Maroc recule de deux places dans le classement de Freedom House pour la liberté sur le net. Dans celui-ci, l’ONG pointe le «recours à des outils de surveillance sophistiqués» par le Maroc pour surveiller des militants et des journalistes.