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La société productrice des "Chevaux de Dieu" porte plainte conte le Festival du film maghrébin d’Alger

La société marocaine, «Ali n’ Productions», qui a produit le film à succès de Nabil Ayouch, «Les chevaux de Dieu», va déposer une plainte auprès du ministère de la culture algérien pour non respect des engagements du Festival du film maghrébin d’Alger. Cela fait presque un an qu’elle réclame la totalité de sa récompense au Festival en vain. 

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A force de réclamer avec insistance ce qui lui revient de droit, elle a fini par se lasser. Elle compte cependant utiliser les gros moyens pour arriver à ses fins. Elle, c’est Ali n’ Productions, la société marocaine qui a produit le film aux nombreux succès de Nabil Ayouch, «Les chevaux de Dieu», primé lors du premier festival du film maghrébin d’Alger organisé du 3 au 8 novembre 2013. En effet, depuis presque une année, Ali n’ Productions insiste pour recevoir toute la récompense qui lui est due comme indiqué dans le règlement du festival.

Le film a reçu l’Amayas d’Or en 2013, un prix accompagné par une récompense en numéraire, explique Ali n’Productions dans un communiqué parvenu à Yabiladi. Seulement, cet argent n’a été réglé que partiellement, et ce après plusieurs mois de relance. Ayant déjà tout tenté depuis près d’une année, la société productrice veut aujourd’hui obtenir gain de cause. Le festival s’est contenté de faire de nombreuses promesses sans jamais vouloir honorer ses engagements, «…plus aucun contact n’émane de l’organisation», explique la note.

«Nous ne comprenons par l’attitude du festival»

Cela a fini par agacer les producteurs. La société ignore si ce comportement s’explique par une quelconque raison diplomatique ou politique. «Nous ne comprenons pas cette attitude du Festival du film Maghrébin d’Alger envers le long métrage marocain ’’Les chevaux de Dieu’’», ajoute la note. «Est-ce pour une raison politique ou diplomatique que l’organisation du festival ne respecte délibérément pas ses engagements initiaux et fait preuve d’un tel mépris vis-à-vis des artistes ?», s’interroge la société productrice. En tout cas, l’attitude du festival laisse perplexe.

Pour rappel, l’événement qui était à sa première édition avait été une bonne tribune pour le cinéma marocain qui avait raflé une bonne partie des prix. Ainsi, dans la catégorie documentaire le grand prix Amayas d’or a été décerné à Mohamed El-Aboudi pour «Femmes hors la loi». L’Amayas d’or est allé à Yassine Marco Maroccu pour «Entropya» et le prix de la meilleure interprétation féminine a été attribué à Dalila Tlemci pour «Androman de sang et de charbon» de Az Larab Alaoui. Noureddine Lakhmari avait été récompensé pour le prix du meilleur scénario.

l'antimarocanisme dans toute sa splendeur.
Auteur : safranlxyxy
Date : le 11 juillet 2014 à 19h49
il n'y a rien d'étonnant venant du côté d'alger.les malhonnêtes, resteront toujours des malhonnêtes.
faut aller jusqu'au tribunal pour avoir son due ?
et dire qu'ils prétendent être civilisés et ont ""menkher""
les harkis
Auteur : elbekay
Date : le 11 juillet 2014 à 01h43
Ils ont l'habitude de détrousser les Mrarka comme ils disent c'est le prolongement de la politique de Boumediene qui spolié les biens des résidents marocains en Algérie et procèder par la suite à leur expulsion ah jalousie quand tu nous tient ils sont tous atteint de la "marocanite aiguë " à l'instar de leur caporaux
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