Le début procès en appel du Marocain condamné à trente mois de prison après avoir embrassé la foi chrétienne a réservé à la famille du prévenu une bonne surprise. La Cour lui a octroyé la liberté provisoire.
Les membres de la famille du jeune marocain, condamné à 30 mois de prison, pour avoir embrassé le christianisme, vit isolée dans le village d’Ain Aicha. Les habitants les évitent. Un drame qui s’ajoute à l’incarcération de leur fils. Une détention qui se déroule dans de mauvaises conditions. Il a été tabassé par les autres détenus à cause de sa religion. Craignant pour sa vie, la
Un projet d’école publique d’ingénieurs destinée aux étudiants des deux rives de la Méditerranée devrait voir le jour en 2014, suite à une collaboration franco-marocaine, apprend-t-on de l’AFP. L’annonce a été faite après une réunion interministérielle du groupe 5+5 à Rabat. Selon la ministre française de l’Enseignement supérieur et de la Recherche,
L’affaire de M.B. qui s’est converti au christianisme est sur le point d’entamer une nouvelle phase, devant la cour d’appel de Fès. Cette fois, le jeune de Taounate est sûr d’avoir à ses côtés des avocats. Mieux encore, l'ONG Amnesty International n'écarte pas la possibilité de lancer une campagne internationale en faveur du marchand ambulant.
La condamnation, mardi par le tribunal de première instance de Taounate, d’un jeune pour avoir embrassé la foi chrétienne a remis en selle le débat sur la liberté de conscience, éclipsé de l’actualité voilà plus de deux ans. Si les laïcs nationaux ne se sont pas mobilisés pour défendre l’habitant de Aïn Aïcha, les chiites marocains ont saisi cette occasion pour plaider le respect
Le lundi nous avions consacré un article à l’arrestation d’un jeune marocain, accusé de diffuser la foi chrétienne. Il vient d'écoper, hier, de trente mois de prison. Devant la cour, le prévenu a avoué sa conversion au christianisme. Deux Américains figurent parmi ses contacts.
L’ouverture religieuse du Maroc a des limites. Le libre exercice du culte pour les autres confessions n’est, souvent, garanti que pour les hommes et femmes nés de parents non-musulmans. En revanche, pour les Marocains souhaitant embrasser le christianisme ou une autre religion, ils risquent l’emprisonnement : entre six mois et trois ans.
Un autre accident s’est produit sur les routes marocaines. Trois personnes ont péri et cinq autres ont été grièvement blessées dans un accident de la route survenu hier vendredi entre Fès et Taounate, informe les autorités locales. Selon les mêmes sources, l’accident est survenu lorsque deux véhicules légers sont entrés en collison sur un pont de Oued Sebou.
La société pétrolière basée en Grande Bretagne San Leon Energy, a obtenu la licence d’exploration du bloc de schiste argileux pétrolier de Timahdit. Elle étudiera la viabilité commerciale d’une production locale d’huile de schiste. Détails.
Human Rights Watch (HRW) appelle à la libération d'un marocain emprisonné depuis 2011 pour «insulte au roi» dans une vidéo diffusée sur internet. L'ONG demande également la fin des peines privatives de liberté pour l'expression d'une opinion de manière non violente.