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ZEP
B
7 juillet 2006 07:42
Zone d’Education Prioritaire pour les uns ou Zone d’éducation Poubelle pour les autres. Comme a dit Jamel Debbouzze, je cite : « je n’étais pas fait pour la ZEP et d’ailleurs personne n’est fait pour la ZEP ». Nous en avons jamais discuté de façon approfondie sur ce forum. Un copier/coller pour mieux connaître le sujet.


A quelques mois des élections présidentielles, ceux qui veulent faire changer les choses revendiquent sortent dans la rue et signent des pétitions. Devrons nous pas faire de même pour une élimination pure et simple de ces ZEP, renvendiquer une seule école pour tous, celle de la république. Que ce soit dans la vie active et beaucoup d'autres choses, être issu d'une ZEP est un handicap moteur. Un handicap qui empechent d'avancer (alors courrir n'en parlons pas). Certes, beaucoup (mais pas assez) réussissent malgrè cet handicap.


Bon pour développer davantages j'attends vos réactions. A lire comme c'est écrit ci dessous, c'est prèsque beau. Peut être que certains ont peut être des témoignages positifs sur le sujet (ce n'est pas mon cas).

Bon !!! voilà il arrive ce copier/coller


Repères chronologiques

1981: 01/07/81: circulaire (n° 81-236) fondatrice des zones prioritaires.
28/12/81: circulaire (n° 81-536) définissant la politique des zones prioritaires.
1982: lancement des premières ZEP.
1984: première mise en sommeil.
1989: loi d'orientation du 10/07/89.
1990: première "relance" des ZEP (circulaires du 01/02/90, puis des 15/12 et 22/12).
1992: évaluation par la DEP (Direction de l'évaluation et de la prospective) et consolidation de la politique éducative (circulaire du 07/12/92).
1993: deuxième mise en sommeil.
1997: deuxième "relance" des ZEP. Évaluation détaillée des ZEP (rapport "Moisan"winking smiley. Circulaire (n° 97-233) du 13/11/97.
1999 : Institution des REP (Réseaux d'éducation prioritaire) 20/01/99 (B.O. n° 4): circulaire explicitant la relance (" relance de l'éducation prioritaire : Élaboration, pilotage et accompagnement des contrats de réussite des réseaux d'éducation prioritaire "winking smiley.


Mesures concrètes


1981: premières mesures.
L'environnement socio-économique et les résultats scolaires sont fortement corrélés, aussi des zones prioritaires sont-elles créées, sous deux types de critères :
· critères internes : pourcentage d'élèves non francophones (critère fort heureusement abandonné par la suite), nombre de parts de bourses, pourcentage d'élèves en retard de deux ans en sixième.
· critères externes: structuration socio-économique du quartier.
L'idée force qui ressort de cette période est qu'un projet spécifique de la zone d'éducation prioritaire structure la politique éducative.


1989: loi d'orientation.
Au-delà du célèbre slogan de la loi d'orientation ("mettre l'élève au centre du système éducatif"winking smiley, un volet spécifique aux ZEP apparaît:
· scolarisation des enfants de 2 ans facilitée ;
· pratique de la lecture favorisée ;
· actions auprès des familles décidées ;
· coordonnateur nommé ;
· moyens supplémentaires attribués ;
· formation des enseignants annoncée ;
· stabilité des équipes éducatives encouragée.


1990 : première relance.
Création d'équipes de direction dans chaque zone :
· responsable de zone (I.E.N. la plupart du temps) ;
· coordonnateur de zone (enseignant du premier degré presque toujours) ;
· conseil de zone (directeurs d'école, chefs d'établissements et partenaires) ;
· liens avec la politique de la ville (D.S.U. en particulier).
1997 : deuxième relance.
Le rapport dit "Moisan-Simon" du nom des deux inspecteurs généraux qui ont dirigé l'enquête dresse le bilan des ZEP et définit des critères de réussite. Une notion nouvelle fait son entrée : la valeur ajoutée.


1999 : les "REP" (réseau d'éducation prioritaire) deviennent les unités de base. Ils proposent des bassins scolaires cohérents, de petite taille, permettant un pilotage de proximité, avec si possible à la tête un collège.


État des lieux


À la rentrée 1999-2000, 6494 établissements sont en ZEP (5537 écoles, 823 collèges, 30 lycées, 104 LP) et 1685 sont en REP (1438 écoles, 207 collèges, 9 lycées et 31 LP). 1 400 000 élèves sont donc en éducation prioritaire, soit 11,5 % des effectifs (20 % des collèges).
Comment ça marche ?
Les REP sont définies par le collège de secteur. Cette place centrale de l'établissement secondaire était peu visible jusqu'à la rentrée 1998, puisque l'équipe de pilotage était presque toujours constituée exclusivement d'enseignants du primaire. Cette équipe comprend :
· le responsable de réseau : la plupart du temps il s'agit d'un I.E.N., néanmoins, à partir de la rentrée 1999 des Principaux sont nommés pour "secondariser" les ZEP et les rendre plus lisibles ;
· le coordonnateur de réseau : jusqu'à aujourd'hui c'est très souvent un enseignant du premier degré en détachement, quelquefois un professeur de collège ;
· le ou les animateurs de réseau, détachés des écoles élémentaires, secondent le coordonnateur.
C'est cette équipe qui sélectionne les projets d'actions éducatives élaborés par les enseignants, et leur attribue un financement.

Un conseil de réseau se réunit 2 à 3 fois par an pour définir le projet de réseau, suivre les actions en cours et décider d'avenants au projet.

Le réseau est fédéré par un contrat de réussite, qui est un engagement entre le recteur et le réseau d'éducation prioritaire. Ce contrat part d'une évaluation diagnostique des réussites et des difficultés, puis arrête des priorités. Les parents et les autres partenaires sont associés à ce contrat.
Les ZEP sont-elles une bonne idée ?

La direction de l'évaluation et de la prospective (DEP) avait alerté dès 1992 : les élèves des ZEP, à profil social équivalent, obtiennent des scores aux évaluations CE2-6ème tendanciellement inférieurs à ceux des élèves non scolarisés en ZEP. Ce constat, même en prenant en compte la dégradation régulière des conditions socio-économiques des quartiers défavorisés, était décevant. Le rapport établi par deux inspecteurs généraux en 1997 (Moisan-Simon) a permis d'affiner les connaissances.
Analyse quantitative :
· Les catégories socio-professionnelles : 64 % de PCS défavorisées (ouvrier ou inactif) dans les collèges de ZEP (42 % hors ZEP). Le rôle des PCS dans les résultats scolaires est confirmé : plus, la concentration en PCS défavorisées augmente, plus le score aux évaluations est faible.
· La taille des ZEP : Plus les ZEP sont importantes en effectifs et établissements, plus le score aux évaluations 6e est faible. Les ZEP avec 3, 4 voire 5 collèges ont des résultats moins bons.
· La valeur ajoutée : Les quinze ZEP avec plus de 60 % de public défavorisé ont des scores qui vont de 94,9 à 129, ce qui tendrait à montrer que certaines "réussissent" et d'autres "échouent". On définit ainsi une valeur ajoutée qui correspond à l'écart entre les scores obtenus et les scores attendus relatifs à la composition sociale, culturelle et économique de la zone.
Ainsi deux ZEP géographiquement proches peuvent-elle obtenir des résultats opposés :
— Strasbourg-Neuhof = - 20 de valeur ajoutée (la ZEP fait échouer les élèves)
— Colmar-Molière = + 30 de valeur ajoutée (la ZEP fait réussir les élèves)
Les ZEP de Marseille, qui sont les plus défavorisées de France, ont également le triste privilège d'obtenir la valeur ajoutée négative la plus forte.
Analyse qualitative : Les déterminants de la réussite scolaire :


· Des déterminants qui dépendent des autorités académiques et/ou départementales:
o le découpage de la ZEP, sa taille ;
o le pilotage académique et départemental (suivi, accompagnement, valorisation);
o les moyens attribués ;
o la gestion des personnels ;
o la scolarisation des deux ans.


. Des déterminants qui dépendent des équipes au niveau local (équipes de pilotage et enseignants):
o le projet, son élaboration, ses priorités ;
o le pilotage de la ZEP ;
o les choix de structures des écoles et collèges ;
o l'existence d'équipes et la cohérence des pratiques ;
o les attitudes et les représentations (fatalisme/volontarisme ; ambition/résignation) ;
o le calme et le respect de la loi dans les établissements ;
o les initiatives en direction des familles ;
o l'histoire de la ZEP ;
o l'équilibre en matière de stabilité des enseignants ;
o l'accueil des nouveaux enseignants et la formation ;
o l'image des établissements ("fuites" pour éviter le collège).



La zone ? Que faire et comment faire ?

Les discours populistes ou leurs versants misérabilistes portés sur les élèves de ZEP, ont fini par dégager un lieu commun : "à élèves différents programme différent". Ce slogan méprisant heurte de front la dimension éthique première du métier d'enseignant, qui suppose l'éducabilité de l'apprenant, quelles que soient ses origines sociales, culturelles, ethniques ou géographiques.


Par contre, avec les mêmes programmes, on peut faire différemment, on doit faire différemment, car le rapport aux savoirs n'est pas le même selon qu'on est puissant ou misérable. Trois directions prioritaires sont à observer, reprises dans le rapport Moisan-Simon.


Premièrement, choisir des pratiques pédagogiques efficaces, bénéficiant de l'appui de la recherche :
· le sens des activités conduites doit être clair ; celles-ci doivent s'adapter aux capacités des enfants mais être exigeantes ;
· l'univers des possibles, le niveau de langue et les centres d'intérêt doivent être étendus ;
· une stratégie des "détours", à l'issue d'une évaluation formative, est souvent nécessaire mais ne perd pas de vue les objectifs initiaux ;
· le travail en équipe pour organiser la progression des compétences à l'école, et la complémentarité des disciplines au collège, est indispensable.
Deuxièmement, prendre des initiatives en direction des familles, pour que l'enfant ne soit pas dans un univers schizophrène école / maison :
· favoriser la participation de l'école et du collège aux actions d'alphabétisation des mères ;
· concentrer les efforts en maternelle, où les rapports avec les parents mobilisent moins d'écrans;
· ne pas "tolérer" les parents mais définir les rôles respectifs ; faciliter le travail des délégués de parents d'élèves, en veillant à ce que ces délégués représentent effectivement la diversité des familles ;
· imaginer des modes de communication variés.
Enfin, l'école est un lieu où l'on travaille dans la sérénité : " pas d'enseignement au rabais pour acheter la paix ". Un climat délétère peut s'installer dès la fin du cycle 3 et rendre impossible au collège le moindre apprentissage. L'équité devient un concept vaporeux quand la loi est absente, aussi un certain nombre de mesures sont-elles indispensables :
· règlement intérieur précis, progressif dans ses sanctions, rigoureusement
· appliqué et expliqué aux familles ;
· dépôt de plainte systématique en cas d'atteintes aux biens ou aux personnes ;
· protection matérielles de l'établissement ;
· équipe de direction dynamique, volontariste et "voyante" ;
· agents associés, reconnus et concernés par la vie scolaire ;
· équipe " vie scolaire " motivée et en nombre suffisant ;
· équipe d'enseignants s'investissant dans la vie de l'établissement ;
· aucune tolérance envers des propos ou des attitudes à caractère raciste ;
· délégués d'élèves élus démocratiquement, formés et soutenus ;
· éducation à la citoyenneté en interdisciplinarité ;
· des locaux agréables.
À retenir

La ZEP ne peut pas être définie par une mythique manne d'argent supplémentaire. Tous ceux et celles qui ont enseigné à la fois dans des ZEP et dans des écoles socialement favorisées savent bien que ces dernières, notamment par les réseaux aisément activables, disposent de ressources financières incomparablement plus grandes.


La ZEP est l'affirmation que les enfants de milieux populaires peuvent réussir à l'école, à condition qu'on évite deux écueils : l'idéologie du don et le "handicap socio-culturel". Les missions de l'école ici comme ailleurs doivent porter sur les apprentissages, à travers des projets ciblés (abandon des actions périphériques sans claire finalité éducative), avec des évaluations régulières et opératoires.


Les ZEP ne sont pas l'enfer de la pédagogie ; elles ne sont ni terre de mission, ni terre de désenchantement, mais terreau de la praxis pédagogique, de l'expérience professionnelle. L'enseignant de ZEP doit se rappeler que des critères de réussite existent, il n'a pas à se couler dans le moule des représentations et attitudes négatives qu'il risque de trouver sur place. Travailler dans une ZEP dynamique, à valeur ajoutée positive, représente une expérience enrichissante et très gratifiante, qu'on ne retrouve nulle part ailleurs.
Ben quoi 0-°
c
7 juillet 2006 10:50
un resumé stp ? lol

c trop long ...dsl jsuis feneante !

les zep, ils nous grillé la priorité(tm)
f
7 juillet 2006 11:01
Zep Zup ....et après on nous parle d'égalité des chances ?!

Rien que le fait de différiencier, de distinguer des zones plus prioritaires que d'autres est signe d'inégalité. Il n'ya pas d'égalité des chances ! Ce ne sont que des discours ! Certains ont réussi certes et on les félicite mais les faits sont là.


Qu'on casse ce communautarisme dans nos cités ! Et qu'on mette tous les élèves, blanc noirs ou jaunes sur un pied d'estal et après on parlera d'égalités des chances !
c
7 juillet 2006 11:03
Citation
fatima35 a écrit:
Zep Zup ....et après on nous parle d'égalité des chances ?!

Rien que le fait de différiencier, de distinguer des zones plus prioritaires que d'autres est signe d'inégalité. Il n'ya pas d'égalité des chances ! Ce ne sont que des discours ! Certains ont réussi certes et on les félicite mais les faits sont là.


Qu'on casse ce communautarisme dans nos cités ! Et qu'on mette tous les élèves, blanc noirs ou jaunes sur un pied d'estal et après on parlera d'égalités des chances !


ben de toute façon, regrouper par quartier ça sert à rien, et pi les profs veulent pas trop enseigner dedans ! ya pas "plus" de moyens qu'ailleurs, malgre ce qu'ils en disent...

c pr ça que le privé ça attire de plus en plus !
l'ascenseur est en panne !!!!!!
f
7 juillet 2006 11:07
Très en panne et ce depuis des années !


Ils vont encore nous casser la tête pdt la campagne électorale ....Si seulement ils pouvaient économiser leur salive un peu !
f
7 juillet 2006 11:08
Ségolène par exemple [www.education.gouv.fr] sleepingsleepingsleepingsleeping
k
7 juillet 2006 12:19
Strasbourg-Neuhof = - 20 de valeur ajoutée (la ZEP fait échouer les élèves)

entre - 50 et - 60 de valeur ajoutée oéé

si vous avez des gosses virer les au privé le plutot possible!
y
7 juillet 2006 13:23
Salam,

Voilà un sujet sérieux winking smiley

On peut certes crtiquer ou non l'idée des ZEP... Mais deux questions se posent :

1. Si les ZEP n'avaient pas existé, dans quel état serait nos écoles dans les lieux dits "défavorisés" ??
Bien sûr que c'est la politique-fiction mais la question est légitime !

2. Les ZEP existent depuis 20 ans. On sait tous que les inégalités sociales se sont accentuées depuis, et pourtant cette dégradation (echec scolaire) ne s'est pas manifestée (fort heuresement) avec la même ampleur dans ZEP !!


Il est évident que l'image des ZEP reste négative dans l'opinion publique. Il est aussi évident que la droite de Sarko saute sur l'occasion (sortie d'un rapport STATISTIQUE du CREST-INSEE en 2003) pour verser dans le discours populiste et dire que les ZEP n'ont eu aucun effet significatif sur l’échec scolaire et que donc on peut supprimer le dispositif. Ce discours trouvera certainement des echos mais ne résoudra rien au problème !!

La solution est de mettre plus de moyens et surtout de bien les utiliser !! Il est temps de decreter qu'une classe de plus de 20 gamins ne doit plus exister !! Il est temps de décider, à l'instar des barres HLM, que les collèges/lycès doivent rester de taille humaine !! Il est temps de mettre plus d'adultes formés dans les écoles et lycès !!

Mais bon, il ne faut pas se faire d'illusion : tant que Said et Mamadou sont les seuls béneficiaires de ces ZEP et tant que les grands frères de Said et de Mamadou ne votent pas, rien ne changera ... sauf en pire ça va de soi !!
L
7 juillet 2006 15:16
J'ai fait cette année un mémoire de master 1 sur les ZEP. J'ai rencontré des professeurs de ZEP, une inspectrice de l'éducation nationale, une coordonnatrice de ZEP, j'ai lu les ouvrages de sociologues qui ont travailler sur les ZEP. Et personne ne demande la suppression des ZEP. Pourquoi? Car les professionnels de ZEP disent très bien que s'ils n'avaient pas à leur disposition les moyens supplémentaires que leur accorde le classement en éducation prioritaire, la situation dans les établissements serait bien plus difficile.
Les ZEP ont été crée en 1981 car il y avait des inégalités sociales qui se traduisaient par des inégalités scolaires : la culture valorisée à l'école était celle de la bourgeoisie et cela se ressentait au niveau de l'orientation des élèves selon leur origine sociale.
La politique ZEP a permis de mettre en oeuvre des moyens pour alléger les effectifs dans les classes, les établissements ont des dotations horaires supplémentaires pour faire du soutien scolaire, pour dédoubler certaines classes.
Mais le problème des ZEP c'est qu'elles ont été rapidement stigmatisées comme étant les écoles des "pauvres" et des "enfants d'immigrés". les parents qui le peuvent inscrivent leurs enfants ailleurs, les professeurs en ZEP sont jeunes donc inexpérimentés, ils ont pas choisi d'enseigner en ZEP et demander leur mutation dès qu'ils le peuvent. Et comme les enseignants sont débutants, leurs salaires sont moins élevés (ce qui compense en partie les moyens supplémentaires ZEP).
Mais tous les établissements ZEP ne sont pas stigmatisés, certains réussissent à se maitenir à la moyenne nationale aux évaluations CE2/6ème. Et en général la politique ZEP a mieux réussi dans les écoles maternelles et primaires que dans les collèges.
Le verbe AIMER est difficile à conjuguer : son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif, et son futur est toujours conditionnel. Jean COCTEAU
j
7 juillet 2006 15:37
ce qu il faudrais faire c est comme les juifs:creer des ecoles pour arabes exclusivement avec des professeurs arabes

tant que nous continurons a envoyer nos enfants apprendre le savoir chez nos ennemis porcins qui se sont accaparer notre passe et nous l ont fais oublier nous n avancerons jamais

dailleurs quasiment toutes les ecoles de zep porte des noms de raciste colonialiste comme victor hugo voltaire jules feryy ect..et ca n est certainement pas un hazard
f
7 juillet 2006 15:50
C'est le point fort des juifs ...EUX SONT SOUDES !!!!!!!!!!
f
7 juillet 2006 15:50
LA HONTE
e
7 juillet 2006 16:21
bon je voulais intervenir, mais en fin de compte, je vous laisse entre vous

bon courage
J'ai demandé à ce qu'on me banisse, et on l'a fait , et je remerci celui qui l'a fait. si vous voulez me contacter cherchez ( elma3ti ) sur bladi.net
f
7 juillet 2006 16:30
Il n y a que la vérité qui blesse ...
B
7 juillet 2006 19:56
Ma chère CaracteriELLE

A vrai dire ça fait plusieurs semaines que je lis tout ce qui se rapporte aux ZEP. Ce texte est plus complet et le moins long. Tu peux suivre les interventions c'est une sorte de résumé. sinon pour toi je vais faire simple. les ZEP c'est comme le cobay des apprentis sorciers. Tous les apprentis sorciers lui ont fait boire n'importe quelle potion sans réussir à en faire sortir quoi que ce soit. 20 ans que sa torture dure. Il serai peut temps de le tuer une bonne fois pour toute
Ben quoi 0-°
B
7 juillet 2006 19:58
Fatima35

Les ZEP c'est au dela des discours c'est des lois et surtout une réalité sur le terrain.
Ben quoi 0-°
B
7 juillet 2006 20:09
Citation
biggie a écrit:
Strasbourg-Neuhof = - 20 de valeur ajoutée (la ZEP fait échouer les élèves)

entre - 50 et - 60 de valeur ajoutée oéé

si vous avez des gosses virer les au privé le plutot possible!

Biggie

Strasbourg neuhof -20. Il serait intéressant d'avoir la valeur ajoutée de Mantes la Jolie, les mureaux, trappes Montfermeille, bobiny...

Je vais essayer de trouver si un classement a été fait et si il est disponible sur net.

Sur quoi se base le calcul de cette fameuse "valeur ajoutée". J'ai peut être ma petite idée. Les élèves issus de ces ZEP arrive en 6ème sans avoir les bases solides de lecture, grammaire orthographe et calcul mental.
Ben quoi 0-°
B
7 juillet 2006 20:41
Yassy winking smiley
Je vais essayer de donner une réponse à cette question légitime. Je pense que la situation serait moins pire. Pourquoi moody smiley En me référant aux dates, je peux dire que j’ai eu la chance dans les débuts de ma scolarité de ne pas avoir connu les ZEP. Comme je l’ai dit dans un témoignage qui doit être très loin dans les archives.

Je disais !!! Quand j’étais en primaires nous étions français, arabes, noirs, portugais, slaves… dans une même classe avec un même programme. Il m’arrivait même d’être dans les premiers de la classe grinning smiley si !!! si !!!. Nous avions la chance d’avoir des maîtres d’écoles comme on n’en fait plus. Ces maîtres ne faisaient pas différence entres les élèves français et les autres. Le travail devait fait par tous les élèves français arabes black. Tu comprenais pas, hé ben tu refais. J’ai terminé ma CM2 avec un niveau de 6ème c'est-à-dire maîtrise de la langues française écrites et parlées, des maths géométrie et Histoire-Géo. C’est en 6ème que les changements ont été visible pour les esprits critique : une rangée de français pure souche une rangée avec arabes, black, portugais. Il y avait la mise en place des ces fameuses 6ème option T (pour technologie). Dans ces classes, pour ces élèves quelques heures de cuisine, mécanique… replaçaient des heures de français, math anglais.Oh

Pour répondre à ta question, je regarde dans quel environnement scolaire évoluent mes neveux. Programme actuel des 6ème est celui que j’avais en CE2 CM1. Je vous épargnerai en évitant de parler du cadre matériel. Comme je dis à mes frères et sœur quand ils me parlent de mariage et d’enfants. C’est criminel de faire des enfants dans ces conditions. evil (tu comprendras qu’il n’apprécie pas ;

Après moi ce que je propose grinning smiley Non je ne suis pas la Royal ( à choisir je préférai être MAM Michèle Alliot Marie)
Bon ce qu’il faudrait faire. C’est qu’on élimine les ZEP et qu’il y ait qu’une seule école, celle de la république avec les même moyens et programmes pour tous. Certes, il y a des enfants en difficultés. Pour ces derniers, les académies et les responsable d’établissement devront mettre en place des classes spécifiques avec des programmes adaptés à ces enfants.
Ben quoi 0-°
B
7 juillet 2006 21:03
Lovie smiling smiley

Le problème des ZEP c'est que ça n'aurait du jamais exister.


Pour ton mémoir, as tu rencontré des parents d'élèves, des élèves pour avoir un autres avis que celui des professeurs. La fois ou Hollande est passé chez la chabot grinning smiley (non c'est pas son amant. quoique on s'en fout et s'est pas le sujet). Alors la fois ou Holland est passé ches la chabot, une maitresse d'école était présente et a apporté son témoignage. elle n'a pas dit de belles choses sur les ZEP dans lequelles, elle a travaillé.

Pour ce qui est des effectifs en classe, foutaise. Même dans les ZEP, il y a des classes de 25 30 voire plus d'élèves. Une question, comment expliquer que ma génération avec des parents limite francophone avons mieux réussi notre scolarité que la génération actuelle moody smiley

Avant même d'avoir lu cet article. On m'avait dit que les enfants de Trappes, les Mureaux, mantes la jolie avaient 2 à 3 ans de retard que les enfants de Beyne, Basemont, Villennes issus d'une même classe.
Ben quoi 0-°
B
7 juillet 2006 21:08
Jacky chan et fatima35

dite que nous devons copier les juifs. mais s'il vous plait pas d'intervention raciste sur ce poste. Il est vrai qu'ils ont été malins et tant mieux pour eux. Nous à part nous plaindre, on fait rien.

Alors vous votez pour Belle et les ZEP n'en parlons pas
Ben quoi 0-°
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