Je vous propose de voir la democratie grandeur nature en Irak et les droits des individus qui s'expriment librement. C'est un document passé hier où une equipe de france2, avait suivi des marine's et leurs crime de guerres, ici comment ils traitent avec les civils. Je ne sais si vous l'avez vu.
Un reportage sans complaisance montre le quotidien de soldats américains en Irak.
La Section « White », Bagdad 2004.
France 2. 22 h 55.
« Je sais détruire un pays, pas le reconstruire. Je ne suis pas formé pour ça. » Ils sont venus en Irak la fleur au fusil, considérant la guerre comme un jeu, venus chercher de l’« action ». Et ils le disent. En 2004, Yuri Maldavsky et Timothy Gruzca ont passé plusieurs mois aux cotés de la section White de la 17e division de cavalerie de l’armée américaine, dépêchée en Irak. Et plus particulièrement aux côtés des quatre soldats de la section Anderson, de leurs premiers pas en Irak à leur retour au Texas. Leur mission : « Reconstruire le pays » et « instaurer la démocratie ». Leur frustration est explicite. Ils auraient préféré se battre. Ont l’impression de s’être entraînés pour un match qui n’aura pas lieu. Sont venus tantôt pour la fierté d’écrire l’histoire, tantôt sur un coup de tête, tantôt par goût du jeu. Leur conception de leur rôle et du pays évoluent, à mesure de leur présence en Irak et surtout à mesure que leurs proches sont piégés dans des attentats suicide. La légèreté enthousiaste de leurs débuts laisse place à un cynisme et une arrogance effrayants, que l’on a souvent l’occasion de deviner de la part des soldats américains en Irak, mais que l’on a rarement l’occasion de voir aussi franchement. Un seul d’entre eux semble remettre un tant soit peu en cause la légitimité de la présence américaine. Tous souhaitent une chose, rentrer. Et vivent dans la crainte que leur mission soit prolongée. Ils livrent aux journalistes leurs états d’âme avec une facilité désarmante. Ceux-ci montrent sans complaisance les faits et méfaits de l’armée américaine, et leur comportement à l’égard des populations.
Anne Roy
Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/01/06 17:39 par Donatello.
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[b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
[color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color]
[color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
Je l'ai vu hier sur la 2, ce ne sont plus des soldats mais des zombis aprés un an passé en Irak.
Une chose est sûre , la plupart d'entre eux ont bien compris qu'ils n'etaient que des pions, et que la rélaité des choses n'a rien à voir avec le lavage de cerveau qu'on leur fait au State.
Que dire d'autre,
Un soldat qui dit : " je me sens comme un prisonnier de guerre ici, je veux rentrer chez moi"
Un gradé qui dit: "je suis content que l'ennemi ne sache pas qu'il est à 2 doigts de démotiver ma troupe"
Un autre grade dégouté aprés avoir arrêté des miliciens de SADR avec des armes mais on lui demadne de les relacher car ils ont l'accord du général américian pour garder une mosquée, il s'ecrie: la semaine dernière je les rechercher car ils étaient nos ennemis et cette semaine vous me dites que ce sont nos amis et je dois leur rendre leurs armes!!!!
Bref, c'etait la rélité toute crue de ce qui se passe sur le terrain et le sursaut de certains soldats sur la réalité de leur présence et aprés leur retour chez eux, plus rien n'est pareil...
En tous ca s c'etait vraiment sans complaisance et c'est rare. J'aimerais bien le revoir.
"Le sage a honte de ses défauts, mais n'a pas honte de s'en corriger" (Confucius)
moi l'image qui m'a choqué et qui reflete le quotidien des irakienn c'est celle qu'il y a dans le zapping ou ce quinquagenaire vient demander ce qui se passe a ces terroristes et le plaque par terre pour rien, et lui casse le bras. Comment voulez vous qu'ils soit apprecié ces connards.? Faudra pas venir s'etonner que ce meme gars se vengera sur eux soit en leur balancant du tnt sur leurs face soit en enlevant des occidentaux.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/01/06 18:41 par Donatello.
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[b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
[color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color]
[color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
A deux reprise j'ai failli éteindre ma télévision ! Mais ce qui m'a poussé à visionner ce doc jusqu'au bout c'est quand ces soldats ont déclaré qu'ils n'avaient rien dans le crâne ! Là ils ont été sincère !
Ces types sont détruit à vie ! Et je ne vais pas les plaindre ! Surtout pas !
Paix à leurs victimes !
Vivre sous occupation, c'est l'humiliation à chaque instant de sa vie ...
Résister à l'occupation, c'est vivre libre !Aujourd'hui Gaza, demain Al-Qods !
oué c'est clair qu'ils sont fichu dans leur vie au plus profond d'eux meme, ils sont sous tension, mais quand ils rentrent au pays, il y a touojurs des sequelles psycho, et puis un jour il prend son m16 comme tout americain a dans son placard tue toute sa famille et se suicide.
Je me rappelle d'une marines qui de retour d'Irak est aller dans une station service il a tiré sur tout ce qui bouge puis a été abattu par la police.
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[b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
[color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color]
[color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
on va pas lesplaindre non plus!!! "Collateral damage" comme ils aiment dire. L'image est choquante certes, mais ne reflete que la dure réalité des irakiens. On voit le GI cherchant le pretexte pour se servire de son arme- l'essayer sur un être humain, plusprecisement- et l'hummiliation du peuple colonisé. Me dire que la presence americaine à pour objectif d'établir une democratie revient à insulter mon intellect. Nous sommes d'accord sur toute la ligne... nul besoin de contunier... Que justice soit faite.
la liberté n'est pas faire ce qu'on veut mais vouloir ce qu'on fait.
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