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Videl a écrit:
On pourrait en parler de cette malédiction dedans ?.
Je te laisse planter le décor, juste une petite requête j'aimerai que ça se passe en pleine nature.
Ensuite on peut partit sur un délire "comédie musicale" c'c'est à dire qd un Yabi se pointe il nous pond un poème par exemple.
Purée ça y est, je commence à partir dans tous les sens ???.
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أزهر a écrit:
Wa aleykoum salam.
J’ai imaginé le yabi café la porte d’entrée en verre qui a chaque ouverture ferait le bruit cling !!
Cet endroit est chaleureux il y a même une cheminée et de confortable fauteuils anglais, les tables sont en bois foncés et les murs recouvert de papier peint aux couleurs chaudes. Aucune personne ne remarquerait mon entrée, comme une petite souris je me glisserai à l’une de ces tables, tiens, celle qui a une chaise de vide et j’ecouterai Les histoires en pensant tjr la réponse mais en la gardant pour moi par peur de casser la conversation.
au plaisir de te relire Citation
ineslilas a écrit:
Ces différents espaces ne sont pas des zones délimitées par des frontières. Les yabis peuvent y circuler librement. D’ailleurs, quelques yabis sont de véritables caméléons. Ils peuvent discuter de n’importe quel sujet sans trahir qui ils sont vraiment. Certains brillent par leur sagesse, leur pertinence et leur humilité tandis que d’autres rayonnent par leur sarcasme piquant qui pousse à la réflexion. Ils apportent un petit truc en plus indiscutable.
…
Du haut de mon tabouret, une odeur alléchante recentre mon attention. Mon chocolat chaud est prêt !
Impatiente, je porte à mes lèvres la grande tasse encore fumante de boisson chocolatée.
Étrange... Aujourd’hui, au Yabi café, mon chocolat chaud est terriblement fade.
Je n’ai jamais su faire abstraction du bruit et il est devenu bien moins supportable.
Était-ce donc la qualité des échanges qui sublimait jusqu’alors les arômes du Yabi café ?
2/2
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DsiBelles a écrit:
Tandis que nous poursuivions le chemin ensemble, nous en profitâmes pour faire plus amples connaissances. Je lui racontais ma vie ainsi que la raison qui m'a poussé à venir jusqu'à cette forêt appelée "forêt de l'oubli". De son côté, elle me raconta sa vie dans cet univers mystérieux. Elle m'évoqua également le nombre de personnes qui avaient frappé à sa porte en vue de trouver le chemin qui menait vers cette forêt et qui avaient réussi à atteindre la plénitude... Nous arrivions enfin vers la lisière de la forêt. Deux immenses arbres nous accueillirent en nous faisant une révérence. Puis aussitôt ils reprirent une apparence humaine. Il s'agissait de deux hommes vêtus d'une tenue médiévale. Sur leur plastron était indiqué "confrérie d'Arabic". Puis les arbres de la forêt se sont éloignés comme pour nous créer une allée vers laquelle nous devions cheminer... À peine entré dans la forêt, je ressentis une drôle de sensation. C'était quelque chose d'assez agréable qui était néanmoins mêlée à quelque chose que je n'avais jamais ressenti jusque-là.... comme un mélange entre légèreté, bien être mais étrange à la fois. Bien que la nuit commençât à tomber, la forêt ne semblait pas obscure et effrayante comme on pourrait se l'imaginer. Une lumière éclairait la forêt, comme si le soleil de la mi-journée était encore présent. Nous continuons notre chemin lorsque je m'aperçus que finalement nous avions cessé de parler. La dame au sourire masqué m'observerait comme si elle s'attendait à un changement d'attitude de ma part ou un commentaire concernant les effets observés sur moi. Je réalisais alors qu'une certaine magie avait opéré. Mais soudain, il me vint l'idée de l'interroger sur la raison qui l'avait poussée à m'accompagner. Alors d'un ton énigmatique elle me répondit : "avançons jeune homme... avançons ". Je n'insistais donc pas. Nous marchions encore quelques kilomètres dans cette forêt que l'obscurité de la nuit n'atteignait pas.
J'interrogeais alors la dame au sourire masqué concernant l'ensoleillement de la forêt alors que la nuit était tombée. Elle me répondit une nouvelle fois : avançons jeune homme... avançons ". Nous arrivions alors près d'un chalet en rondins de bois. Elle appartenait à un certain barbu. La dame au sourire masqué me fit signe d'entrer. Un homme assez mystique nous accueillit et nous proposa un café. Il préparait le café comme on écrit une partition de musique. Chaque note était présente. Je n'en avais jamais goûté d'aussi bon. Tandis que je le remerciais de son hospitalité, il me dit d'un ton directif :
-avant de quitter les lieux, vous avez une énigme à résoudre.
C'est alors qu'il me soumit l'énigme à résoudre afin que je puisse avancer dans ma quête. Dans le cas où j'échouerais, je serai invité à quitter les lieux et à ne plus y remettre les pieds sous aucun prétexte. La pression était à son comble. En effet, si proche du but je ne me voyais pas rentrer chez moi sans avoir résolu mon problème. Mais ce barbu m'impressionnait. Autant il avait été accueillant, autant il été devenu froid :
-Sans sa lumière, vous n'auriez jamais pu vous frayer un chemin dans cette forêt. Elle vous éclaire même dans la pénombre. Elle vous accompagne dans votre quête. Elle est l'amie fidèle qui n'est jamais loin de vous et qui veille sur vous.
- (.... ) La dame au sourire masqué ?
Le barbu esquissa alors un sourire. Il me remit alors une clé sur laquelle était indiqué "Barbu". Je devais la porter autour du cou. J'en déduis alors que j'avais réussi. . . C'était donc elle qui faisait en sorte que la forêt soit si lumineuse, comme ensoleillée par un soleil d'été ! D’autres énigmes devaient sûrement suivre....
, 
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Videl a écrit:
Hoo j'aime beaucoup ❤️?.
La confrérie d'Arabic, la dame au sourire masqué et le vieux sage barbu, qui sont ces gens ?
Ça m'intrigues... ??.
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DsiBelles a écrit:
salam,
merci beaucoup pour ton appréciation
le mystère d'une histoire n'est pas de connaître la fin
à très bientôt chère lectrice
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DsiBelles a écrit:
Tandis que nous poursuivions le chemin ensemble, nous en profitâmes pour faire plus amples connaissances. Je lui racontais ma vie ainsi que la raison qui m'a poussé à venir jusqu'à cette forêt appelée "forêt de l'oubli". De son côté, elle me raconta sa vie dans cet univers mystérieux. Elle m'évoqua également le nombre de personnes qui avaient frappé à sa porte en vue de trouver le chemin qui menait vers cette forêt et qui avaient réussi à atteindre la plénitude... Nous arrivions enfin vers la lisière de la forêt. Deux immenses arbres nous accueillirent en nous faisant une révérence. Puis aussitôt ils reprirent une apparence humaine. Il s'agissait de deux hommes vêtus d'une tenue médiévale. Sur leur plastron était indiqué "confrérie d'Arabic". Puis les arbres de la forêt se sont éloignés comme pour nous créer une allée vers laquelle nous devions cheminer... À peine entré dans la forêt, je ressentis une drôle de sensation. C'était quelque chose d'assez agréable qui était néanmoins mêlée à quelque chose que je n'avais jamais ressenti jusque-là.... comme un mélange entre légèreté, bien être mais étrange à la fois. Bien que la nuit commençât à tomber, la forêt ne semblait pas obscure et effrayante comme on pourrait se l'imaginer. Une lumière éclairait la forêt, comme si le soleil de la mi-journée était encore présent. Nous continuons notre chemin lorsque je m'aperçus que finalement nous avions cessé de parler. La dame au sourire masqué m'observerait comme si elle s'attendait à un changement d'attitude de ma part ou un commentaire concernant les effets observés sur moi. Je réalisais alors qu'une certaine magie avait opéré. Mais soudain, il me vint l'idée de l'interroger sur la raison qui l'avait poussée à m'accompagner. Alors d'un ton énigmatique elle me répondit : "avançons jeune homme... avançons ". Je n'insistais donc pas. Nous marchions encore quelques kilomètres dans cette forêt que l'obscurité de la nuit n'atteignait pas.
J'interrogeais alors la dame au sourire masqué concernant l'ensoleillement de la forêt alors que la nuit était tombée. Elle me répondit une nouvelle fois : avançons jeune homme... avançons ". Nous arrivions alors près d'un chalet en rondins de bois. Elle appartenait à un certain barbu. La dame au sourire masqué me fit signe d'entrer. Un homme assez mystique nous accueillit et nous proposa un café. Il préparait le café comme on écrit une partition de musique. Chaque note était présente. Je n'en avais jamais goûté d'aussi bon. Tandis que je le remerciais de son hospitalité, il me dit d'un ton directif :
-avant de quitter les lieux, vous avez une énigme à résoudre.
C'est alors qu'il me soumit l'énigme à résoudre afin que je puisse avancer dans ma quête. Dans le cas où j'échouerais, je serai invité à quitter les lieux et à ne plus y remettre les pieds sous aucun prétexte. La pression était à son comble. En effet, si proche du but je ne me voyais pas rentrer chez moi sans avoir résolu mon problème. Mais ce barbu m'impressionnait. Autant il avait été accueillant, autant il été devenu froid :
-Sans sa lumière, vous n'auriez jamais pu vous frayer un chemin dans cette forêt. Elle vous éclaire même dans la pénombre. Elle vous accompagne dans votre quête. Elle est l'amie fidèle qui n'est jamais loin de vous et qui veille sur vous.
- (.... ) La dame au sourire masqué ?
Le barbu esquissa alors un sourire. Il me remit alors une clé sur laquelle était indiqué "Barbu". Je devais la porter autour du cou. J'en déduis alors que j'avais réussi. . . C'était donc elle qui faisait en sorte que la forêt soit si lumineuse, comme ensoleillée par un soleil d'été ! D’autres énigmes devaient sûrement suivre....
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ArabicStyle a écrit:
Mais elle est GENIALE ton histoire, très honnêtement
Très mystique, bien écrite, assez drôle
Mais qui es tu mystérieux inconnu (ou mystérieuse inconnue) pas si inconnu que ça finalement ?
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DsiBelles a écrit:
En sortant de chez Barbu, j'étais tellement content d'avoir pu résoudre l'énigme que j'en étais tout excité. La dame au sourire masqué me proposa de faire une halte. Nous nous assîmes alors, contre un arbre. Nous étions captivés par les bruits de la forêt (la brise légère qui emportait les feuilles, le hérisson tapis sous les fougères, la chouette qui hululait, l'abeille qui bourdonnait...). J'étais tellement épuisé que je me suis assoupi sous l'œil attentif de la dame au sourire masqué. Dès mon réveil, elle me proposa des baies sauvages, des noisettes et du miel, qu'elle avait dû aller récolter pendant que je dormais. C'était une mystérieuse aventure, dans un lieu inconnu. Pourtant toutes ces personnes me semblaient familières et bienveillantes... Nous poursuivîmes notre chemin. Des pleurs furent légèrement perceptibles. Puis au fur et à mesure que nous avancions, ils furent de plus en plus audibles. Nous nous arrêtâmes près d'une mare qui était couverte de magnifiques nénuphars. En me rafraîchissant, je fis tomber la clé gagnée après avoir résolu l'énigme chez Barbu. Une libellule qui se nommait Rosie, aux ailes irisées et d'un camaïeu à couper le souffle, la saisi et me dit :
-veux-tu ta clé ?
-oui, j'en ai absolument besoin. Sans elle je devrai abandonner ma quête.
-tu l'auras si tu m'aides.
-je veux bien mais que puis-je faire pour t'aider ?
-Un caméléon surnommé King voulait me dévorer mais m'a laissé la vie sauve. En échange, à minuit il viendra me chercher pour m'épouser. Il me dit vivre dans une grotte pleine de pierres précieuses. Mais je n'en ai que faire. Comme une de mes ailes est blessée, je ne peux donc m'envoler avant son arrivée. Peux-tu me mettre à l'abri dans une de tes poches ?
-je veux bien mais j'ai peur de te blesser davantage !
-aucune libellule ne peut voler sans ouvrir ses ailes, tout comme personne ne peut aimer sans ouvrir son cœur.
Je cueillis délicatement Rosie la libellule du nénuphar sur lequel elle se trouvait afin de l'installer dans une de mes poches et ainsi lui permettre de fuir son prédateur. C'est alors qu'elle me raconta dans le moindre détail sa mésaventure ainsi que la façon dont king le caméléon dénigrait sa vie dans la nature. Il se moqua également du soin qu'elle apportait à chaque fleur ainsi qu'à chaque oiseau mal en point car elle prenait soin d'eux tout au long de l'année (elle déposait une goutte d'eau sur chaque fleur ou dans chaque bec, elle remplissait les nids de mousse pour l'hiver, elle soignait les oiseaux blessés...). King le caméléon lui proposa un royaume de rubis, de diamants, d'améthystes, de quartz, de labradorites.... Mais Rosie la libellule refusa cette proposition, préférant son royaume féerique dont le parfum des fleurs et le chant des oiseaux étaient sans pareils. Quant aux brillantes pierres de King le caméléon, elles ne pourraient selon elle, jamais rivaliser avec son univers. Les pierres de King éblouissent les yeux mais ne charment pas les cœurs.
-King veut donc absolument me forcer à le rejoindre et à m'enfermer dans une prison noire de son royaume jusqu'à ce que je devienne raisonnable. La seule raison pour laquelle, il me laissa jusqu'à minuit, c'est parce que j'ai insisté auprès de lui pour profiter des derniers instants dans mon royaume.... Et surtout parce qu’une de mes ailes est blessée et ne me permet donc pas de le fuir.
C'est alors qu'elle me posa la question :
-comprenez-vous à présent ce que je ressens ?
-oui parfaitement.
-alors pourquoi ne parvenez-vous pas à oublier cette femme qui ne vous aime pas et qui vous fait tant de peine ? Vous ne pouvez pas la forcer à vous aimer pas plus que King ne me forcera à l'aimer aussi ! Puis, elle me remit comme convenu la clé gagnée chez Barbu et s’endormit au fond de ma poche. ... C'était une vraie pipelette, mais ce qu'elle venait de me dire me fit réfléchir…
La dame au sourire masqué, m'observa puis m'interrogea du regard... Je lui répondis alors :
-ce que je viens d'affirmer à Rosie la libellule, n'est-ce donc pas valable pour moi ?
-vous devez laisser aller ce qui était, accepter ce qui est, et surtout faire confiance en ce qui sera
-mais il est compliqué pour moi d'accepter ce qui est, car il ne s'agit pas de mon propre choix
-effectivement, de même pour Rosie..., alors pratiquez vos conseils ou n'en donnez pas, très cher !
...1/2
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King D'Air Chleuhy a écrit:
Rosie est ma protégée pas ma proie wesh ?
Va falloir remédier à ce petit problème tisouite.
J'exige un torrent de louanges dans ta nouvelle histoire. Un truc qui commence par exemple comme ça :
"Il était plusieurs fois,une bombe atomique de ouf appelée King D'Air Des Lys. Il était tellement beau koumème que Nevergiveup give up tout ce qu'elle aimait le plus au monde pour l'épouser .
Ils assassinèrent et découpèrent en petits morceaux Yabiladi Dy, Videl, Zineb et Cawit pour en faire du lhrirra.. "
Je te laisse terminer en ajoutant Dulcinée en personnage central. Je kiffe mon amie Dudu ❤️
...
Citation
Nour.alg a écrit:
Aslm, j'aurais plus imaginer un style oriental avec des grandes portes, des mosaïques des miroirs des grandes tables conviviales avec des sedaris des lanternes une lumière tamisée.. un endroit avec des couleurs chaudes
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Nour.alg a écrit:
Aslm, j'aurais plus imaginer un style oriental avec des grandes portes, des mosaïques des miroirs des grandes tables conviviales avec des sedaris des lanternes une lumière tamisée.. un endroit avec des couleurs chaudes
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DsiBelles a écrit:
salam l'ami,
je suis vraiment désolé pour ton royaume, mais la porte spatio-temporelle m'a mené dans un autre monde complètement différent, une sorte de monde parallèle ...
Citation
DsiBelles a écrit:
salam l'ami,
je suis vraiment désolé pour ton royaume, mais la porte spatio-temporelle m'a mené dans un autre monde complètement différent, une sorte de monde parallèle ...
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DsiBelles a écrit:
Vous n'aimez pas mon histoire ?
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