Le «Washington Times» dénonce le polisario 18.08.2005 | 11h36
Le «Washington Times» consacre un grand article de son édition du 17 août au calvaire des prisonniers de guerre marocains à Tindouf. Le journaliste du «Times» agrémente son écrit de larges extraits de l’horrible expérience du capitaine Ali Najab. Le « Washington Times » revient de nouveau au calvaire des 404 prisonniers de guerre marocains toujours détenus par les mercenaires en flagrante violation du droit et des traités internationaux. Dans un article signé par le journaliste Jason Motlagh qui était de passage à Rabat, le «Times» revient sur la douloureuse expérience du capitaine Ali Najab, le pilote marocain à la retraite qui se dit toujours hanté par le désert et le souvenir de ses compagnons de détention encore entre les mains des bourreaux de Lahmada.
Ali Najab, dont l’avion a été abattu lors d’une mission de reconnaissance le 10 septembre 1978, sait de quoi il parle. Il a à son actif 25 ans de détention qui lui ont valu d’être séparé de sa fille, encore bébé, et de revenir au Maroc pour se retrouver grand-père. Najab déclare au « Washington Times » que le conflit autour du Sahara marocain est l’une des conséquences de la guerre froide avec l’ex-URSS qui voulait consolider sa position dans la région en essayant de diviser le territoire marocain. Sinon, ajoute l’ex-pilote, à quoi rime-t-il que les principaux chefs du Polisario, dont Mohamed Abdelaziz, ne soient pas originaires de ce Sahara dont ils revendiquent l’indépendance ?
Pour le journal américain, le fait de détenir encore des centaines de prisonniers de guerre après quatorze ans de cessez-le-feu décrédibilise les thèses du Polisario qui viole ainsi, et de manière intolérable, l’article 3 de la Convention de Genève sur les prisonniers de guerre et qui stipule que ces derniers doivent être libérés une fois conclu un armistice entre les belligérants. Le journal reprend de larges extraits du témoignage de Ali Najab qui avait vécu les affres de la détention pendant un quart de siècle. A 62 ans, l’ex-capitaine des Forces royales Air marocaines garde encore le triste souvenir de traitements inhumains subis par les prisonniers de guerre à Tindouf.
« Nous avons tout construit à Tindouf, comme des esclaves », affirme-t-il au journaliste du «Times ». Il se rappelle encore les dons de sang, forcés, pour les mercenaires ou encore l’obligation de fournir les « bonnes réponses» aux journalistes et aux délégations étrangères en visite dans les camps quand il ne s’agit pas tout simplement de relayer, sur les ondes, la propagande du Polisario. Le capitaine Najab se souvient encore, écrit le journal américain, de ce pilote marocain dont la tentative d’évasion lui avait valu de mourir et pas n’importe comment. Amené pour être jugé, il sera suspendu tout nu, frappé avec tout ce qui tombait entre les mains des mercenaires et finalement jeté dans un recoin presque mort. Ce sont des Algériens, ajoute Najab, qui le découvriront, huit mois après, dans un étant de décomposition avancée dans un containter. Ce sera la même horreur pour un autre prisonnier brûlé vif après un vol de nourriture.
Interrogé par son bourreau pour livrer le nom du « coupable », il sera aspergé d’essence et brûlé. Le journal américain rappelle tous les appels d’organismes internationaux pour libérer les prisonniers de guerre marocains et la dernière promesse, non tenue, du Polisario. Le « Washington Times », dans son édition du 12 août, avait appelé, dans un éditorial, les Etats-Unis et la communauté internationale à faire pression sur l’Algérie qui détient la clé de la libération des prisonniers marocains.
Alors que nous avons abnadonnés 404 prisonniers marocain depuis une trentaine d’années au polisario.
Aujourd’hui 18 août le polisario libère les prisonniers marocains et coup l’herbe sous le pied à tous les pronationaliste antimaghreb et partisant du sahara marocain
Le polsario réclame la libération des 170 prisonniers politqiues et 500 sarahouis portées disparus
Le polisario réclame le droit à l’autodétermination soutenu par le congrés Américain le 17 aout 2005
Les pronationaliste antimghareb marocain n’on plus d’arguments pour s’opposer à l’autodétermination des saharaouis et à la création de l’UMA.
Alors que nous avons été manipulés durant une trentaine d’année il semblerait que notre gouvernement face volte face pour raison économique. Les dernières déclarations du ministre des affaires étrangères vont dans ce sens puisqu’il souhaite accélérer la création de l’UMA.
Par ailleurs notre gouvernement marocain se tournerait vers le nouveau émissaire des nations unis pour l’organisation d’un réferendum sur l’autodétermination du sahara
Mr Laâbi Grand Intellectuel marocain avait vu juste !!!
nordinne a écrit: ------------------------------------------------------- > > > Vador toi c la quinzième fois que tu me fatqigue > avec ton discours nationaliste !!! > > > Tu es manipulé par la presse pronationaliste > antimaghreb > > > Quand il disent rouge tu dis rouge quand ils > disent noir tu dis noirs > > > Tu es manipulé
eh ben on dirait que tu me connais mieux que ma propre mére
Il me fait rire celui qui se croit plus malin que tout le monde, lui il a compris la manipulation!
Que pense de la vrai grosse manipulation de la part du régime militaire algérien qui tire les ficelles du polisario, comme il a tiré les ficelles d'une certaine gauche marocaine dans les années 60/70, une gauche braquée vers l'est (URSS)?
Pourquoi l'Algérie (le régime) s'investit autant dans ce conflit ? Est ce par engagement pour la justice comme le prétendent certains nationalistes algériens? ou par volonté d'affaiblir le voisin et s'assurer le leadership régional (volonté de boumédienne) et au passage "venger" la guerre des sables?
Si la justice était la motivation principale du régime militaire, ce même régime n'aurait pas massacrer et laisser massacrer ses propores population (souvenez vous de Ben Talha, notre honte maghrébine...)
En réalité le seul régime qui n'a aucun interet dans la construction de l'UMA c'est le régime militaire qui s'approprié les richesses du peuple algérien. Une UMA va les obliger à lâcher le pouvoir et retourner dans les casernes, et qui va profiter des millards du pétroles alors?
Le conflit du sahara donne toute sa place à l'armée algérienne, qui fait main basse sur l'Algérie.
Il est vrai que les responsables marocains portent une énorme responsabilité dans cette affaire, voulant garder le pouvoir, face à une gauche nihiliste de l'époque, il a donné une véritable opportunité aux séparatistes. Le référendum est une supercherie, à une époque même les casaouis auraient voté pour le non, vu le contexte économique, social et politique de l'époque (répression d'oufkir...)
Modifié 2 fois. Dernière modification le 18/08/05 15:14 par salim.
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avec tes messages à la con , c'est la 3éme fois que tu poste le meme message 
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