Assalâmou 'alaykoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouh...
Bârakallâhou fîki, ma soeur !
« N' est- ce point par l' évocation d' Allah que se tranquillisent les cœurs?»
(Coran, 13 : 28).
«Nous faisons descendre du Coran, ce qui est une guérison et une miséricorde pour les croyants. Cependant, cela ne fait qu' accroître la perdition des injustes. »
(Coran, 17 : 82).
«Dis: "Pour ceux qui croient, il (le Qour-âne) est une guidée et une guérison". Et quant à ceux qui ne croient pas, il y a une surdité dans leurs oreilles et ils sont frappés d' aveuglement en ce qui le concerne (...)"
(Coran, 41 : 44)
«Et quand une Sourate est révélée, il en est parmi eux qui dit: "Quel est celui d' entre vous dont elle fait croître la foi?" Quant aux croyants, elle fait certes croître leur foi, et ils s' en réjouissent. - Mais quant à ceux dont les cœurs sont malades, elle ajoute une souillure à leur souillure, et ils meurent dans la mécréance. »
(Coran, 9 : 124-125)
Allâh Le Très-Haut a dit vrai !
Selon Abou Musa Al Ash'ari (radiyallâhou 'anhou), le Messager d'Allâh (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit:
«L'image du Croyant qui lit le Coran est celle de l'orange: son odeur est suave et sa saveur est suave. L'image du Croyant qui ne lit pas le Coran est celle de la datte: elle n'a pas d'odeur et elle est sucrée. L'image de l'hypocrite qui lit le Coran est celle de la plante aromatique: son odeur est bonne et son goût est amer. L'image de l'hypocrite qui ne lit pas le Coran est celle de la coloquinte: elle n'a pas d'odeur et son goût est amer».
(hadîth unanimement reconnu authentique)
Selon 'Omar Ibn Al Khattàb (radiyallâhou 'anhou), le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit:
«Allâh fera élever par ce Livre (le Coran) certaines gens et en rabaissera d'autres».
(Rapporté par Moslem)
Al Barà Ibn 'Âzeb (radiyallâhou 'anhou) rapporte:
«Un homme lisait le chapitre «La caverne» et avait à côté de lui un cheval attaché à deux cordes. Or voici qu'un nuage passa au-dessus de lui et se mit à se rapprocher, ce qui faisait trépider le cheval. Quand ce fut le lendemain matin, il alla raconter la chose au Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) qui lui dit:
«Ce nuage était une sérénité descendue sur toi parce que tu récitais le Coran».
(hadîth unanimement reconnu authentique)
Ibn Mas'ûd (radiyallâhou 'anhou) rapporte que le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) lui a dit:
«Lis pour moi le Coran!».
Ibn Mas'ûd lui dit:
«O Messager de Dieu! Est-ce que je lis pour toi le Coran quand c'est sur toi qu'il est descendu?»
Il dit:
«J'aime l'entendre de la bouche d'un autre».
Ibn Mas'ûd dit:
«Je lui lus le chapitre «Les femmes». Quand j'arrivai à ce verset: «Qu'en serait-il lorsque Nous ferons venir un témoin de chaque nation et que Nous te ferons venir comme témoin contre ceux-là ?», il dit:
«Arrête-toi là».
Ibn Mas'ûd dit:
«Je me suis retourné vers lui et je vis ses yeux déborder de larmes».
(Hadîth unanimement reconnu authentique).
Dhoun Noûn disait dans le sens de ses vers:
"Les promesses et les menaces du Qour-âne ont empêché les yeux de ceux qui le lisent de se fermer. Ils ont si bien compris la Parole d'Allâh qu'ils baissent la tête, humbles et soumis."
Oh Allâh ! fais du Qour-âne Majestueux le printemps de nos coeurs et la dissipation de nos chagrins ! Amîne.
Wassalâmou 'alaykoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouh...