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C’est moi a écrit:
Vous accrochez-vous à quelque chose que vous devriez laisser partir ?
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antispéciste a écrit:
Salam,
J'ai eu beaucoup de mal à me détacher d'une personne avec qui je vivais une relation très mauvaise .
J avais cette façon de penser qui était que même dans les moments les plus difficiles il ne fallait jamais lâcher, ce qui en théorie paraît logique puisque lorsqu on aime une personne on se doit d'être là dans les mauvais moments aussi .
Sauf que cela a conduit à ce que graduellement et sans presque m'en rendre compte, j'accepte insultes , coups , crachats dans la figure ...
J'ai du changé mon état d esprit , c'est très difficile.
C'est presque derrière moi mais pas complètement.
J espère que je vais réussir totalement a me sortir de ça.
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LastFirstTime a écrit:
Oui car on peut ne pas lâcher prise facilement , que se soit à une personne ou un objet
On sais que on est de passage pourtant ça n empêche pas de s attacher à des choses ou des personnes qui traversent ta vie comme une étoile filante
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C’est moi a écrit:
Vous accrochez-vous à quelque chose que vous devriez laisser partir ?
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DB & PP a écrit:
Si je trouve une légitimité à une souffrance possible lorsqu'on est marié (pour avoir sa famille, des enfants, le prendre comme une épreuve etc), je ne trouve aucune pour ce qui est dehors du mariage.
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antispéciste a écrit:
Salam,
C'est très dur d échapper à son propre conditionnement .
Ça demande un gros gros effort .
C'est comme si t'étais enterrée sans te rendre compte que tu es sous terre .
Tu ne vois plus la lumière depuis longtemps mais pour toi c'est normal , tu fais même pas gaffe .
Et puis un jour, y a un morceau de terre qui te tombe dessus. Tu regardes au plafond et tu vois un trou minuscule .
Tu grattes , tu vois un peu de lumière et tu passes un doigt .
Ah, ça fait du bien le soleil même sur un doigt.
Mais tu prends peur et t as vite fait de le retirer pour creuser plus bas ce que tu as soigneusement commencé depuis des années.
Tu creuses, tu creuses .
Chaque fois plus profond.
Et le plafond de plus en plus en haut.
Parfois tu remontes jusqu'au petit trou ou tu avais passé ton doigt et tu te contentes de ça de temps en temps, lorsque tu n en peux plus d'étouffer, mais sans t imaginer que tu pourrais y sortir la main si t arrivais à gratter un peu plus, et que même tu pourrais carrément hisser tout ton corps du gouffre dans lequel tu te trouves .
Tu fais les 100 pas dans ta fosse , tu te retournes mille fois sur toi même, tu manges la terre jusqu'à devenir terre toi même, presque morte.
Jusqu' au jour où tu te dis que ce serait peut etre une possibilité à envisager d aller creuser dans l'autre sens, pour voir .
Tu montes, tout doucement.
Et tu redescends, ainsi de suite .
Tu commences à prendre l habitude de faire des aller retours entre ta fosse et la lumiere qui se présente maintenant sous forme de puits.
Tu rentres tu sors, jusqu'au jour où tu te rends compte passer plus de temps au soleil que dans les entrailles.
Et que tu te sens mieux. T'as encore un peu le goût de poussière dans ta bouche mais ça va.
Et puis c'est quand même bien le soleil, il prend soin de toi, il est doux , il te protège .
Mais...
Le précipice est d'une profondeur abyssale telle, quil te donne le vertige, et tu replonges.
Sans cesse
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El-Chino a écrit:
Hola guapa
Soy el primero a decirte que tienes razón, aveces nos enganchamos a ciertas personas sin verdaderamente conocerlas, sin nunca verse concretamente,