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Votre enfance
.
19 décembre 2018 20:53
Salam les yabis

J'ai envie de vous connaître un peu plus ce soir.

Comment était votre enfance?
Heureuse? Ou autres?
Dites moi qlqs petites anecdotes.

Moi j'ai bcp aimé mon enfance.
J'ai grandit dans une grande famille en HLM ds un tout petit quartier, on aurait dit une residence. Cetait mon petit endroit à moi et frchment j'ai eu une enfance très joyeuse, enjouée...j'avais qu'une seule meilleure amie. Et avec elle on refaisait le monde, explorait les alentours.
J'aimais pas l'école, l'établissement car un peu exclue (seule maghrébine) mais j'aimais faire des exercices travailler d'ailleurs je mavançais dans tout...je finissais leur bouquin dexos. C'était un jeu pr moi.
Avec ma meilleure amie on avait des tonnes d'idées en tête, on ne s'ennuyait jamais.

Je crois que pr avoir une enfance heureuse il faut au moins un meilleur ami...Et une famille aimante. Et puis bien-sûr ne pas être le souffre douleur de toute une fflopée de bambins.

J'ai été plus ou mmoins exclue, mise à l'écart a l'école et prtant j'ai un très bon souvenir de mon enfance.
A
19 décembre 2018 20:55
ah l'insouciance ...crying(
P
19 décembre 2018 20:59
Pas vraiment heureuse, pas malheureuse non plus... je crois que j'avais juste envie que ça se passe.
J'avais une vie intérieure très riche, heureusement, parce que beaucoup d'amies. Mes parents m'ont changé d'écoles 3X en maternelle et primaire, ça n'aide pas évidemment.
Vie de famille pas terrible, mes parents se disputaient tout le temps...
Mais j'ai quand même de très bon souvenirs, de longues promenades à la campagne, des jeux d'aventures dans les arbres et dans les champs avec ma soeur et des copines du quartier, les vacances avec ma mère et mes frères et soeurs, la magie de noël, ma grand-mère In love
F
19 décembre 2018 21:00
Enfance solitaire, très peu d'amis, asocial, je passais mes journées à lire dans ma chambre quand y avait pas école.

Par contre famille au top, c'est pour ça que je passe le plus clair de mon temps avec ma famille.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/12/18 22:28 par FamousMan.
19 décembre 2018 21:04
Merveilleuse enfance avec mes frères et soeurs, ça ne reviendra jamais malheureusement.
C
19 décembre 2018 21:05
Ce n'est pas facile pour les enfants de se sociabiliser et souvent ils sont durs entre eux.
Pour ma part une famille aimante, quelques amies mais j'ai aussi éprouvé souvent le rejet d'autre enfant et la difficulté à m'intégrer au groupe.
Etant un peu prétentieuse j'en conclue que c'est la marque des grand esprits :lol:
R
19 décembre 2018 21:11
Aaleykoum Salam,

Enfance assez malheureuse . Pas mal d'épreuves elhmdlh.
Père qui aimait nous frapper . Pour rien la plupart du temps. Salaire envoyé au bled . On se contentait du strict minimum .
Avec mes soeurs, on se faisait tourner nos vêtements.

Une mère soumise à son mari , elle en avait peur.

J'étais une fille timide maladive . Toujours seule . Dans mon coin. Pas de sorties excepté pour aller à la mosquée ou à l'école. Je kiffais l'école et appréhendais les vacances scolaires. C'était à chaque fois une mini fin du monde pour moi ..

Bonnes notes à l'école excepté à l'oral . Je ne supportais pas de devoir parler devant toute la classe .

Une adolescence plutôt difficile . . Garçon manqué. .
Sans vouloir paraître prétentieuse , j'étais plutôt jolie et les hommes en pinçaient pour moi .
J'étais , malgré ma distance et ma grande timidité , appréciée des garçons et détestée des filles .
On s'en prenait souvent à moi alors que je ne leur faisais rien .

Heureusement que ce passé est très loin derrière smiling smiley
Je ne parle pas aux hommes . Pas de messages privés. Merci.
N
19 décembre 2018 21:31
Jetais tres heureuse mes parent etais a cote de moi hmd des haut et des bas avec mes parents comme tout les couple et maintenant rien ne va jai perdu mon pere quelque oncle de la famillle ......mais bon hmd
S
19 décembre 2018 21:35
sad smiley je le savais déjà mais ça me fait toujours de la peine..


Al hamdoullilah ça t'a rendu forte yawning smiley

Et pour les filles qui te détestait, c des rageuses... dès que tu les déclasses elles sont pas bien Ill


Citation
Rappe-Elle a écrit:
Aaleykoum Salam,

Enfance assez malheureuse . Pas mal d'épreuves elhmdlh.
Père qui aimait nous frapper . Pour rien la plupart du temps. Salaire envoyé au bled . On se contentait du strict minimum .
Avec mes soeurs, on se faisait tourner nos vêtements.

Une mère soumise à son mari , elle en avait peur.

J'étais une fille timide maladive . Toujours seule . Dans mon coin. Pas de sorties excepté pour aller à la mosquée ou à l'école. Je kiffais l'école et appréhendais les vacances scolaires. C'était à chaque fois une mini fin du monde pour moi ..

Bonnes notes à l'école excepté à l'oral . Je ne supportais pas de devoir parler devant toute la classe .

Une adolescence plutôt difficile . . Garçon manqué. .
Sans vouloir paraître prétentieuse , j'étais plutôt jolie et les hommes en pinçaient pour moi .
J'étais , malgré ma distance et ma grande timidité , appréciée des garçons et détestée des filles .
On s'en prenait souvent à moi alors que je ne leur faisais rien .

Heureusement que ce passé est très loin derrière smiling smiley
.
19 décembre 2018 21:35
Merci...C'est qd mm trop triste tt ca (
Mais ca permet peut être de savoir ce qu'il faut ou srtt pas pr nos enfants inchaAllah
P
19 décembre 2018 21:36
Aleikoum salam,

J'ai eu une enfance heureuse, entourée de ma famille.
On allait souvent chez mes grands parents maternels (proximité géographique), j'en ai de très bons souvenirs. Ma grand mère a été une femme inspirante pour moi.

Quand j'étais petite (avant 6 ans) ma mère ne travaillait pas, elle passait beaucoup de temps avec moi.

Je jouais le plus souvent seule, avec mes jouets, dans le jardin, avec les petites bêtes (j'adorais les chercher et les observer).
J'ai eu deux chats dont j'étais particulièrement proches, c'était mes "meilleurs amis" lol.

A l'école j'étais en tête de classe sans fournir vraiment d'effort, j'aimais l'école, j'avais une bonne copine avec qui je m'amusais particulièrement, c'était une petite école et les enfants d'une même classe étaient assez soudés, on faisait des jeux qui intégraient tous les enfants.

Pour les vacances on partait à la montagne dans le Pays Basque avec ma famille, les randonnées en montagne, les sources, les gorges, les têtards, libellules et autres bestioles, les animaux de la ferme, le fromage de brebis, le calme et l'air pur, c'était le kiffe.

Mes parents et ma soeur étaient très gentils avec moi, je me sentais bien et aimée au sein de ma famille.
S
19 décembre 2018 21:37
Une enfance heureuse...

Une maman formidable qu'Allah me la préserve et un papa absent physiquement mais présent financièrement..
Du coup j'étais collée à un de mes frères...
C lui qui m'a appris à faire du vélo, du scooter et à conduire à 14 ans eye rolling smiley


On habitait un petit village dans le sud où tout le monde se connaissait... On était les seuls maghrébins...
J'y ai vécu les meilleurs années de ma vie...


Je regrette que mes parents aient décidé de construire leur maison ailleurs... Trop de maghrébins ici...il a fallut que je m'adapte à leur cevi... smiling smiley
R
19 décembre 2018 21:41
Merci ma belle yawning smiley

In love
Citation
Siham.Krti a écrit:
sad smiley je le savais déjà mais ça me fait toujours de la peine..


Al hamdoullilah ça t'a rendu forte yawning smiley

Et pour les filles qui te détestait, c des rageuses... dès que tu les déclasses elles sont pas bien Ill
Je ne parle pas aux hommes . Pas de messages privés. Merci.
.
19 décembre 2018 21:48
Merci les filles, ca transporte vrmt vos enfances. Je vs imagine machaAllah.
L
19 décembre 2018 21:56
Joli post thumbs up
19 décembre 2018 22:08
Je m'excuse par avance de ma contribution pas très gaie

Enfance très malheureuse (avec du recul. A l'époque je ne me rendais pas compte, c'était juste ma vie, la seule que je connaissais)

Mère malade mentale (bourreau), père qui fuyait

Mère qui me mettait volontairement en difficulté, dont le but dans la vie était de me détruire psychologiquement (jamais adressé la parole de mes 0 à 8 ans, puis à partir de 8 ans faisait des choses du genre cacher mes affaires du type trousse, cartable, chaque matin pour m'anéantir)

Personne au courant de ma situation ; je ne me rendais pas compte que ma mère était d'une perversion extrême (clairement malade mentale), mais j'avais très honte d'être traitée ainsi du coup je m'inventais des parents aimants auprès des autres car je me disais que si les autres savaient que ma propre mère me traitait ainsi, ils sauraient que je n'ai personne pour me protéger et me défendre et donc ça les autoriserait à me victimiser.

Aucun moment je bonheur
Pas le droit de parler à qui que ce soit, pas même à l'école (ma mère surveillait car on voyait la cour depuis le trottoir)
Aucune occupation, jamais eu de livres ou de jouet ; ma vie intérieure imaginaire comme seul compagnon

Terrassée par la peur, chaque seconde de ma vie, mon esprit n'a jamais eu le moindre seconde de répit ou d'apaisement
Surtout la peur de me retrouver sous un pont, et ça même quand j'avais moins de 8 ans. En même temps quand tous les soirs en rentrant de l'école on retrouve ses vêtements dans des sacs poubelles dans la cage d'escalier de l'immeuble, c'est normal d'être terrassé par la peur de se retrouver dehors... C'était ce qu'elle cherchait.

Dans mon malheur j'ai eu la chance d'avoir toujours cherché l'affection et l'admiration de mes profs pour compenser, ce qui m'a permis de réussir scolairement pour devenir indépendante
Je ne vivais que pour recevoir des compliments de mes profs

---
Et sinon matériellement c'était ce que l'on peut appeler la misère (chambre de bonne de 8m2 à 5 personnes etc) mais ça je n'en ai absolument jamais souffert
Je pense que la seule et unique chose qui peut faire souffrir un enfant et impacter sa psyché, c'est le manque de bienveillance. La misère matérielle n'a absolument aucun impact franchement.



Modifié 4 fois. Dernière modification le 19/12/18 22:28 par Sézane.
*
19 décembre 2018 22:14
Salem/Bonsoir,

Une enfance plutôt belle...
Nous habitions une maison, mon père nous avait inscrit dans un centre de loisir et ça nous avait permis de se faire amis avec pleins d’autres gamins.

Les mercredis et week-end nous avions des activités créatives et durant les vacances c’était des sorties. Donc grâce à ces dernières j’ai découvert les « joies » du camping, patin à glace, balade en forêt en mode scout, parc d’attractions, plage/piscine etc...

En clair nous n’étions vraiment pas à plaindre et ça c’est uniquement grâce à mon père qui préférait nous mettre dans un centre de loisir plutôt que de nous laisser traîner et risquer de mal tourner. Wa lhamdoulilah.
P
19 décembre 2018 22:27
Sobhan Allah, ton histoire est bien triste.

Je n'ai pas de mot, seulement de la compassion pour la petite fille que tu as été et la femme que tu es devenue.

Que Dieu t'accorde joie et sérénité dans ta vie présente et future.

Une pensée à Rappe-Elle qui n'a pas eu non plus une enfance rose.
Citation
Sézane a écrit:
Je m'excuse par avance de ma contribution pas très gaie

Enfance très malheureuse (avec du recul. A l'époque je ne me rendais pas compte, c'était juste ma vie, la seule que je connaissais)

Mère malade mentale (bourreau), père qui fuyait

Mère qui me mettait volontairement en difficulté, dont le but dans la vie était de me détruire psychologiquement (jamais adressé la parole de mes 0 à 8 ans, puis à partir de 8 ans faisait des choses du genre cacher mes affaires du type trousse, cartable, chaque matin pour m'anéantir)

Personne au courant de ma situation ; je ne me rendais pas compte que ma mère était d'une perversion extrême (clairement malade mentale), mais j'avais très honte d'être traitée ainsi du coup je m'inventais des parents aimants auprès des autres car je me disais que si les autres savaient que ma propre mère me traitait ainsi, ils sauraient que je n'ai personne pour me protéger et me défendre et donc ça les autoriserait à me victimiser.

Aucun moment je bonheur

Terrassée par la peur, chaque seconde de ma vie, mon esprit n'a jamais eu le moindre seconde de répit ou d'apaisement
Surtout la peur de me retrouver sous un pont, et ça même quand j'avais moins de 8 ans. En même temps quand tous les soirs en rentrant de l'école on retrouve ses vêtements dans des sacs poubelles dans la cage d'escalier de l'immeuble, c'est normal d'être terrassé par la peur de se retrouver dehors... C'était ce qu'elle cherchait.

Dans mon malheur j'ai eu la chance d'avoir toujours cherché l'affection et l'admiration de mes profs pour compenser, ce qui m'a permis de réussir scolairement pour devenir indépendante
Je ne vivais que pour recevoir des compliments de mes profs

---
Et sinon matériellement c'était ce que l'on peut appeler la misère (chambre de bonne de 8m2 à 5 personnes etc) mais ça je n'en ai absolument jamais souffert
Je pense que la seule et unique chose qui peut faire souffrir un enfant et impacter sa psyché, c'est le manque de bienveillance. La misère matérielle n'a absolument aucun impact franchement.
S
19 décembre 2018 22:30
Toi aussi...sad smiley


Citation
Sézane a écrit:
Je m'excuse par avance de ma contribution pas très gaie

Enfance très malheureuse (avec du recul. A l'époque je ne me rendais pas compte, c'était juste ma vie, la seule que je connaissais)

Mère malade mentale (bourreau), père qui fuyait

Mère qui me mettait volontairement en difficulté, dont le but dans la vie était de me détruire psychologiquement (jamais adressé la parole de mes 0 à 8 ans, puis à partir de 8 ans faisait des choses du genre cacher mes affaires du type trousse, cartable, chaque matin pour m'anéantir)

Personne au courant de ma situation ; je ne me rendais pas compte que ma mère était d'une perversion extrême (clairement malade mentale), mais j'avais très honte d'être traitée ainsi du coup je m'inventais des parents aimants auprès des autres car je me disais que si les autres savaient que ma propre mère me traitait ainsi, ils sauraient que je n'ai personne pour me protéger et me défendre et donc ça les autoriserait à me victimiser.

Aucun moment je bonheur
Pas le droit de parler à qui que ce soit, pas même à l'école (ma mère surveillait car on voyait la cour depuis le trottoir)
Aucune occupation, jamais eu de livres ou de jouet ; ma vie intérieure imaginaire comme seul compagnon

Terrassée par la peur, chaque seconde de ma vie, mon esprit n'a jamais eu le moindre seconde de répit ou d'apaisement
Surtout la peur de me retrouver sous un pont, et ça même quand j'avais moins de 8 ans. En même temps quand tous les soirs en rentrant de l'école on retrouve ses vêtements dans des sacs poubelles dans la cage d'escalier de l'immeuble, c'est normal d'être terrassé par la peur de se retrouver dehors... C'était ce qu'elle cherchait.

Dans mon malheur j'ai eu la chance d'avoir toujours cherché l'affection et l'admiration de mes profs pour compenser, ce qui m'a permis de réussir scolairement pour devenir indépendante
Je ne vivais que pour recevoir des compliments de mes profs

---
Et sinon matériellement c'était ce que l'on peut appeler la misère (chambre de bonne de 8m2 à 5 personnes etc) mais ça je n'en ai absolument jamais souffert
Je pense que la seule et unique chose qui peut faire souffrir un enfant et impacter sa psyché, c'est le manque de bienveillance. La misère matérielle n'a absolument aucun impact franchement.
L
19 décembre 2018 22:35
j'ai certes vécu dans la misère la plus intenable de l'humanité, mais pas dans la souffrance psychologique c'est comme si on avait d'un côté la glace avec une température à - 200 degrés et de l'autre côté le feu ... qu'est ce qui est pire ?

perso je n'ai connu le bonheur qu'une fois en france, vers l'âge de 10 ans, et ce qui m'a le plus marqué, c'est qu'à l'école on m'a assis à côté d'une fille, je tremblais de partout, car je la trouvais très belle, c'était la première fois de ma vie que je voyais une fille de près, au bled, dans les classes, il y avait d'un côté les garçons, et de l'autre les filles, jamais mélangés. de plus on nous apprenait à baisser du regard chaque fois qu'une fille traversait la route devant nous, c'est les villages perdus du bled c'est comme ça.
Citation
Sézane a écrit:
Je m'excuse par avance de ma contribution pas très gaie

Enfance très malheureuse (avec du recul. A l'époque je ne me rendais pas compte, c'était juste ma vie, la seule que je connaissais)

Mère malade mentale (bourreau), père qui fuyait

Mère qui me mettait volontairement en difficulté, dont le but dans la vie était de me détruire psychologiquement (jamais adressé la parole de mes 0 à 8 ans, puis à partir de 8 ans faisait des choses du genre cacher mes affaires du type trousse, cartable, chaque matin pour m'anéantir)

Personne au courant de ma situation ; je ne me rendais pas compte que ma mère était d'une perversion extrême (clairement malade mentale), mais j'avais très honte d'être traitée ainsi du coup je m'inventais des parents aimants auprès des autres car je me disais que si les autres savaient que ma propre mère me traitait ainsi, ils sauraient que je n'ai personne pour me protéger et me défendre et donc ça les autoriserait à me victimiser.

Aucun moment je bonheur

Terrassée par la peur, chaque seconde de ma vie, mon esprit n'a jamais eu le moindre seconde de répit ou d'apaisement
Surtout la peur de me retrouver sous un pont, et ça même quand j'avais moins de 8 ans. En même temps quand tous les soirs en rentrant de l'école on retrouve ses vêtements dans des sacs poubelles dans la cage d'escalier de l'immeuble, c'est normal d'être terrassé par la peur de se retrouver dehors... C'était ce qu'elle cherchait.

Dans mon malheur j'ai eu la chance d'avoir toujours cherché l'affection et l'admiration de mes profs pour compenser, ce qui m'a permis de réussir scolairement pour devenir indépendante
Je ne vivais que pour recevoir des compliments de mes profs

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Et sinon matériellement c'était ce que l'on peut appeler la misère (chambre de bonne de 8m2 à 5 personnes etc) mais ça je n'en ai absolument jamais souffert
Je pense que la seule et unique chose qui peut faire souffrir un enfant et impacter sa psyché, c'est le manque de bienveillance. La misère matérielle n'a absolument aucun impact franchement.
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