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cacahuette a écrit:
il y wassim il cherche une "meuf"
vas le voir en MP
je sais pas vas le voire pikaCitation
Pika11 a écrit:
Punaise
Il a quel âge ? Ca serait intéressant effectivement ~~~
C'est bon là ! je n'en peux plus
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cacahuette a écrit:
il y wassim il cherche une "meuf"
vas le voir en MP
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Anemone1 a écrit:
mon histoire est simple,je me suis retrouvée dans une relation spécifique avec mon directeur de compte belge.
Agé de 39 ans,on s'est retrouvé moi et lui entre des mails professionnels, du chat et des appels téléphoniques ou le lui faisait part de mes problémes du bloulot et qui l'interessaient aussi puisque c'etais son business aussi jusqu au jour ou il est venu officiellement au Maroc pour une visite du site
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Moh Tsu a écrit:Citation
Anemone1 a écrit:
mon histoire est simple,je me suis retrouvée dans une relation spécifique avec mon directeur de compte belge.
Agé de 39 ans,on s'est retrouvé moi et lui entre des mails professionnels, du chat et des appels téléphoniques ou le lui faisait part de mes problémes du bloulot et qui l'interessaient aussi puisque c'etais son business aussi jusqu au jour ou il est venu officiellement au Maroc pour une visite du site
Salamalikoum
Ton histoire est un classique que tous les potiers de Safi connaissent sur le bout des doigts. L'amour est beau. L'amour est boue. L'esprit lui donne forme et s'émerveille devant sa création. Quelques mots apprivoisés par le beau parleur et voilà que la demoiselle tourne sur elle-même en forme de toupie. Forcement, ça fait tourner la tête, au point de perdre ses repères, prête à tout pour se stabiliser, quitte à faire des concessions relevant du manque de sens moral (convictions personnelles et religieuses).
Cela avant de venir ici toute perdue comme bien d'autres "étourdies" après avoir quitté le manège enchanté sous le regard de Zébulon qui maitrise le "Tournicoti, tournicota". De là à entendre des "meuh ! c'est pas juste", on n'est jamais loin. Enfin, quand c'est trop tard. Là, c'est pas le cas. On est dans le raisonnable, le pied levé. Cela aurait pu être pire comme dénouement.
Cela nous montre aussi que beaucoup de filles sont de grandes rêveuses dont l'esprit transpire une naïveté de plus déconcertante pour quelqu'un qui se pencherait sur leurs aventures amoureuses.
Là, on est dans un cas courant. Il se résume à "je suis/me sens seule et il faut que je trouve vite quelqu'un !" C'est clair que parler aux murs (qui ont des oreilles) et au miroir qui rassure sur l'âge et en conséquence la beauté, ça devient triste et ennuyeux à force. Là, la posteuse semble seule, dans un monde de brut, surveillée de toute part, stressée par la vie trépidante du bureau carré, un espace où la vie ne peut qu'être compressée, raccourcie. L'idée de cellule n'est pas loin. L'évasion est permise, voulue, souhaitée. Il faut libérer la parole. Pourquoi de plus simple que de s'en remettre à un inconnu, loin, très loin, au bout du fil, portant avec élégance un costume formulant son autorité, une image presque paternelle, voire protectionniste. Erreur suprême de notre posteuse qui a dépassé la ligne blanche entre l'intimité et la relation pro. Surtout qu'elle se met d'entrée en situation de faiblesse qui témoigne d'un besoin social de considération de ses pairs (sphère pro, amicale et familial). Chose facilement résumée par "I need love !" J'ai besoin d'amour, d'attention. Plus court : je cherche un homme. Une aventure ? C'est en ce sens que notre vieux loup de directeur l'a compris. Et le voilà à l'affut dans la brousse des affaires (de cœur ?) à guetter le moment idéal pour se jeter sur sa futur victime, dont le cœur (chair fraiche) a été attendrie par ses doux mots pleins d'affection et attention particulières.
Il invente des histoires de séparation, d'embrouilles des cités dortoires, où des éléphantwomen dorment debout avec des histoires à dormir... des bouts. Un mec, ça "trompe" (où avec un "e" pour les âmes non sensibles) énormément. Enfin, nous avons des circonstances atténuantes dans ce dossier, en citant comme témoin oculaire l'amour : "oui, je rends aveugle " Voilà qui est dit et nous rappelle cette quête inlassable des jeunes filles/femmes d'aujourd'hui : trouver l'amour/l'homme de leur vie. Un potier qui met en valeur leurs formes maternelles. "La thière non dans le n3n3ah aime avoir des verres" pour gouter aux joies du sucré. Là, il s'agissait d'un amateur, un acheteur qui aime (se) dépenser pour mieux compter (ses victimes). Le pouvoir donnant souvent des idées (mauvaises ?) pour arriver à des fins ("ils se marièrent et eurent..." avec peu de moyens... La victime "facile" dans son rapport à l'amour, au monde, aidant beaucoup...
Moralité de cette affaire, un corps/esprit doit se régir comme une république dont le fonctionnement tient de la séparation des pouvoirs... Le monde pro et personnel, le cœur et l'esprit... La parole trouvant écho ailleurs... Inch'Allah
Bon courage et continuation
Amicalement,
Môh Tsu
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nagate a écrit:
Salam Moh tsu
tu manies très bien la plume je suis admirative
maintenant comme tu le sais l'amour nous fait faire des erreur je ne pense pas que l'age, la solitude...fassent quelque chose, c'est une histoire de rencontre et d'alchimie.
je ne pense pas que cela soit dévolu au uniquement aux femmes
Il est vrai que selon les personnalités nous avons tendance à croire à ce que l'autre nous raconte, et heureusement je dirai que nous avons encore cette crédulité!!!
Vois tu Moh tsu, j'ai vécu une relation pénible ou au final je pense m'être fait avoir du début à la fin, j'ai voulu y croire j'y ai cru mais malgré la douleur, les moments de doutes et j'en passe je suis restée moi même entière, honnête dans les rapports humains et lorsque je compare ma situation à celle de l'individu qui m'a lamentablement jetée je me dis Hamdoullah car la vie me sourit faut juste rester en accord avec soi même et respecter les gens.
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foutou a écrit:
salut a toutes, je suis perdu, j'ai besoin qu'on m'aide...
elle pense me quitter et je l'aime trop