Citation
Kalima Tayyiba a écrit:
Salam aleykoum wa rahmatuLlah wa barakatuh
« Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants, qui disent, quand un malheur les atteint: "Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons. »
(Sourate Al Baqara -verset 155/156)
Les epreuves sont inevitables que nous soyons musulman ou non musulman, car cette vie d'ici bas est capricieuse.
Les epreuves raffermissent notre foi, nous font grandir et nous pousse vers la patience et l'endurance.
Cependant, des personnes peuvent, malgre leur croyance en Allah, souffrir de leur passé et elles peuvent etre emprisonnées dans leurs souffrance du passé et ainsi avoir l'impression de ne point avancer.
Parfois, il suffit de peu pour destabiliser une personne qui souffre en son fort interieur. Et une petite chose peut l'amener à se plonger dans ses pensees les plus monstrueuses.
Alors mes questions sont les suivantes :
◇ Comment se debarasser de ses mauvaises pensees ?!
◆ Comment oublier le passé et surtout peut-on oublier notre passé ? Nos epreuves ? Les injustices subies en tant qu'enfant (par exemple : humiliation, violence verbale et physique, harcelement...) ?! Etc etc ...
Avez-vous des methodes, des techniques de relaxation ou autre ?!
Baraka Allah ou fikoum
Citation
Kalima Tayyiba a écrit:
Salam aleykoum wa rahmatuLlah wa barakatuh
« Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants, qui disent, quand un malheur les atteint: "Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons. »
(Sourate Al Baqara -verset 155/156)
Les epreuves sont inevitables que nous soyons musulman ou non musulman, car cette vie d'ici bas est capricieuse.
Les epreuves raffermissent notre foi, nous font grandir et nous pousse vers la patience et l'endurance.
Cependant, des personnes peuvent, malgre leur croyance en Allah, souffrir de leur passé et elles peuvent etre emprisonnées dans leurs souffrance du passé et ainsi avoir l'impression de ne point avancer.
Parfois, il suffit de peu pour destabiliser une personne qui souffre en son fort interieur. Et une petite chose peut l'amener à se plonger dans ses pensees les plus monstrueuses.
Alors mes questions sont les suivantes :
◇ Comment se debarasser de ses mauvaises pensees ?!
◆ Comment oublier le passé et surtout peut-on oublier notre passé ? Nos epreuves ? Les injustices subies en tant qu'enfant (par exemple : humiliation, violence verbale et physique, harcelement...) ?! Etc etc ...
Avez-vous des methodes, des techniques de relaxation ou autre ?!
Baraka Allah ou fikoum
Citation
C.C. a écrit:
Salut Kalima Tayyiba,
L'idée n'est pas d'oublier les malheurs passés, ceci est impossible et ça serait contre-productif.
Il ne faut pas oublier mais accepter et pardonner.
Il faut que chaque épreuve te serve à devenir plus forte, car comme tu le dis, les malheurs nous rendent plus endurants, nous servent de leçons, nous apprennent à préférer le bien, à mieux nous prémunir contre le mal futur, à prendre de meilleures décisions.
Un peu comme le vaccin qui apprend au corps à combattre.
Un homme n'en pouvait plus de son âne. Alors il décida de le jeter dans le puits asséché de son jardin.
L'âne, au fond du puits, commença à brailler, brailler si fort qu'il empêchait l'homme de dormir.
Celui-ci se leva, et commença à lui jeter des grosses pierres pour l'achever.
Mais l'animal, même si il sentait la douleur des coups, se débattait et en se débattant, marchait sur les pierres que lui lançait son maître et ainsi, petit à petit, il remonta le puits.
Sans le vouloir, l'homme sauva son âne grâce aux pierres qui étaient censées le tuer.
Il faut se servir des épreuves du passés pour construire un futur meilleur.
Mais le plus important est de vivre l'instant présent, le véritable cadeau de Dieu.
J'étais au collège une enfant harcelée. A l'époque, il n'y avait pas encore les campagnes contre le harcèlement et personne, ni les profs ni mes parents, ne comprenaient mon mal-être. Personne ne m'a jamais ni défendu, ni appris à me défendre. J'étais élevée dans la non-violence, je n'avais pas le droit de me battre. Je n'avais aucun ami, aucun copain, j'étais seule contre tous. Ma seule arme, l'indifférence, n'était pas très efficace dans le monde de l'adolescence.
J'ai passé 4 années à imaginer plusieurs fois par heure comment me suicider. J'ai retrouvé il n'y a pas longtemps un carnet que je tenais où j'ai recensé plus de 80 façons de disparaître, sans jamais passer à l'acte bien heureusement.
En fait, je ne savais pas comment faire pour qu'on ne retrouve pas mon corps.
Je ne voulais pas faire de la peine à mes parents qui m'aimaient et que j'aimais aussi.
Je savais que même si je mourrais à l'autre bout du monde, quelqu'un me retrouverait et mes parents seraient obligés de m'identifier.
Je voulais seulement disparaître, qu'on m'oublie, en fait, je voulais ne jamais avoir existé.
Ce que je voulais, c'était que ceux qui me harcelaient me tuent une bonne fois pour toutes.
La seule chose qui m'aidait à tenir bon, c'était de jouer du piano et de chanter, de retrouver à l'oreille les airs de Queen, d'Elton John ou de Chopin. Pendant que je jouais, j'étais dans l'instant présent. Ca allait.
Un jour, j'ai quand même voulu prendre le train, n'importe lequel pour aller loin et ne pas retourner au collège l'après-midi, car j'avais taché mon pull à la cantine, je savais que j'allais en prendre plein la gueule. Je pleurais je pleurais, et une "grande" qui devait avoir entre 18 et 20 ans, est venue me consoler. Elle m'a dit tout simplement de garder espoir, qu'un jour, je deviendrai belle et forte, que tous ces petits connards qui me faisaient chier resteraient dans leurs gamineries, auraient des boulots de merde, n'auraient que des histoires d'amour pourries, des enfants mal élevés, et que moi, je réussirais ma vie car tout cela allait me rendre plus forte.
La bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe.
J'ai pu descendre pas trop tard et prendre le train retour, cachée dans les toilettes car je n'avais pris que le billet aller.
Je suis retournée au collège le lendemain. Au premier tirage de cheveux, j'ai mis une beigne et toutes les réparties que je n'arrivais pas à dire au bon moment sont sorties de ma bouche.
J'ai été punie bien sûr, mais tant pis. C'était le début de ma résurrection.
Puis, je suis entrée au lycée et tous mes ennemis avaient quitté la filière générale, j'étais pénard. La prophétie de la fille s'est avérée juste. Je suis devenue "belle" (dans le sens épanouie, mais c'est vrai que je m'étais affinée) et forte, j'adore ma vie et je ne changerais rien de mon passé car ces malheurs ont contribué à ce que je suis aujourd'hui, ont guidé mes rencontres et ont fait que je ne supporte plus le moindre gramme d'irrespect.
Pour mes harceleurs, je ne sais pas ce qu'ils sont devenus, et à vrai dire je m'en fous, je leur ai pardonné.
C'est un peu grâce à eux que j'ai cette vie merveilleuse, car si ils ne m'avaient pas châtié comme ils l'ont fait, je me serais construite autrement, je n'aurais pas fait les mêmes rencontres, ma vie aurait été différente.
Donc en conclusion, n'oublie jamais le mal qu'on t'a fait, mais pardonne et vas de l'avant.
Sois résiliente.
Citation
Kalima Tayyiba a écrit:
Salam aleykoum wa rahmatuLlah wa barakatuh
« Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants, qui disent, quand un malheur les atteint: "Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons. »
(Sourate Al Baqara -verset 155/156)
Les epreuves sont inevitables que nous soyons musulman ou non musulman, car cette vie d'ici bas est capricieuse.
Les epreuves raffermissent notre foi, nous font grandir et nous pousse vers la patience et l'endurance.
Cependant, des personnes peuvent, malgre leur croyance en Allah, souffrir de leur passé et elles peuvent etre emprisonnées dans leurs souffrance du passé et ainsi avoir l'impression de ne point avancer.
Parfois, il suffit de peu pour destabiliser une personne qui souffre en son fort interieur. Et une petite chose peut l'amener à se plonger dans ses pensees les plus monstrueuses.
Alors mes questions sont les suivantes :
◇ Comment se debarasser de ses mauvaises pensees ?!
◆ Comment oublier le passé et surtout peut-on oublier notre passé ? Nos epreuves ? Les injustices subies en tant qu'enfant (par exemple : humiliation, violence verbale et physique, harcelement...) ?! Etc etc ...
Avez-vous des methodes, des techniques de relaxation ou autre ?!
Baraka Allah ou fikoum
Citation
Le Lion d'Allah a écrit:
Salam alaykoum;
Wallah wallah wallah, par celui qui détient mon âme que la solution est bien de développer la crainte Allah dans ton cœur, que tu deviennes folle amoureuse d'Allah, une fois Allah est le plus aimé à ton cœur, de ce fait tu deviendra une vrai vertueuse, une fois t'es à ce stade, voilà ce que qui suit
« Sois patient. La fin heureuse sera aux pieux. » Sourate 11 -
Verset 49
« Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants, * qui disent, quand un malheur les atteint: "Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons. » (Sourate Al Baqara -verset 155/156)
«...les endurants auront leur pleine récompense sans compter. » (Sourate Az-Zoumar -verset 10)
« Quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne œuvre tout en étant croyant, Nous lui ferons vivre une bonne vie. Et Nous les récompenserons certes, en fonction des meilleures de leurs actions.» (Sourate An-Nahl -verset 97)
Le prophète (sallallahou 3alaihi wa salam) a dit :
« aucun homme n'a reçu de meilleur et de plus large don que la patience »
[Rapporté par Al Boukhari]
et il (sallallahou 3alaihi wa salam) a dit aussi :
« Que le sort du musulman est étonnant ! Son sort est toujours bien. S'il vit la facilité et il remercie, il sera récompensé. S'il vit la difficulté avec patience et persévérance, il le sera également »
[Rapporté par Al Boukhari].
Allah soubhanahou dit
« La bonté pieuse ne consiste pas à tourner vos visages vers le Levant ou le Couchant. Mais la bonté pieuse est de croire en Allah, au Jour dernier, aux Anges, au Livre et aux prophètes,... » Ensuite de dire soubhanahou :«...ceux qui sont endurants dans la misère, la maladie et quand les combats font rage, les voilà les véridiques et les voilà les vrais pieux ! » (Sourate Al Baqara -verset 177)
«...Mais si vous êtes endurants et pieux, leur manigance ne vous causera aucun mal. Allah connaît parfaitement tout ce qu'ils font.» (Sourate Ali 'Imran -verset 120)
Saches qu'Allah est avec toi, il faut aller vers lui, il sera pour toi
"Allah prend la défense de ceux qui croient. Allah n'aime aucun traître ingrat".
[ Sourate 22 - verset 38 ]
qu'Allah nous pardonne tous c'est à cause de nos péchés des fois qu'on se sent mal à l'aise.
qu'Allah te vient en aide ma sœur.
Amine ya Allah
et salam alaykoum
Citation
Milka Oreo a écrit:
Aleykoum Salam wa rahmatuLlah wa barakatuh
Selon moi, tu peux pas oublier le passer mais tu peut pensées positivement par rapport à ton passer. Ce dire que maintenant Al Hamdulillah ça va, que c'est ceux passer la qui a fait ce que tu es aujourd'hui. Les injustice c'est une leçon d'humilité, parce que tu a subis c'est injustice et tu sais ce qu'elle sont c'est effet tu les reproduira pas sur autrui. Fin ce genre de choses quoi..
Pour ce débarrasser de c'est mauvaise pensées, l'auto dérision et une solution. Mais elle sont la, elle font partie de toi. Tu peut les oublier 1h ou un 1 jours ou même 1 ans elle reviendrons toujours.
Citation
C.C. a écrit:
Salut Kalima Tayyiba,
L'idée n'est pas d'oublier les malheurs passés, ceci est impossible et ça serait contre-productif.
Il ne faut pas oublier mais accepter et pardonner.
Il faut que chaque épreuve te serve à devenir plus forte, car comme tu le dis, les malheurs nous rendent plus endurants, nous servent de leçons, nous apprennent à préférer le bien, à mieux nous prémunir contre le mal futur, à prendre de meilleures décisions.
Un peu comme le vaccin qui apprend au corps à combattre.
Un homme n'en pouvait plus de son âne. Alors il décida de le jeter dans le puits asséché de son jardin.
L'âne, au fond du puits, commença à brailler, brailler si fort qu'il empêchait l'homme de dormir.
Celui-ci se leva, et commença à lui jeter des grosses pierres pour l'achever.
Mais l'animal, même si il sentait la douleur des coups, se débattait et en se débattant, marchait sur les pierres que lui lançait son maître et ainsi, petit à petit, il remonta le puits.
Sans le vouloir, l'homme sauva son âne grâce aux pierres qui étaient censées le tuer.
Il faut se servir des épreuves du passés pour construire un futur meilleur.
Mais le plus important est de vivre l'instant présent, le véritable cadeau de Dieu.
J'étais au collège une enfant harcelée. A l'époque, il n'y avait pas encore les campagnes contre le harcèlement et personne, ni les profs ni mes parents, ne comprenaient mon mal-être. Personne ne m'a jamais ni défendu, ni appris à me défendre. J'étais élevée dans la non-violence, je n'avais pas le droit de me battre. Je n'avais aucun ami, aucun copain, j'étais seule contre tous. Ma seule arme, l'indifférence, n'était pas très efficace dans le monde de l'adolescence.
J'ai passé 4 années à imaginer plusieurs fois par heure comment me suicider. J'ai retrouvé il n'y a pas longtemps un carnet que je tenais où j'ai recensé plus de 80 façons de disparaître, sans jamais passer à l'acte bien heureusement.
En fait, je ne savais pas comment faire pour qu'on ne retrouve pas mon corps.
Je ne voulais pas faire de la peine à mes parents qui m'aimaient et que j'aimais aussi.
Je savais que même si je mourrais à l'autre bout du monde, quelqu'un me retrouverait et mes parents seraient obligés de m'identifier.
Je voulais seulement disparaître, qu'on m'oublie, en fait, je voulais ne jamais avoir existé.
Ce que je voulais, c'était que ceux qui me harcelaient me tuent une bonne fois pour toutes.
La seule chose qui m'aidait à tenir bon, c'était de jouer du piano et de chanter, de retrouver à l'oreille les airs de Queen, d'Elton John ou de Chopin. Pendant que je jouais, j'étais dans l'instant présent. Ca allait.
Un jour, j'ai quand même voulu prendre le train, n'importe lequel pour aller loin et ne pas retourner au collège l'après-midi, car j'avais taché mon pull à la cantine, je savais que j'allais en prendre plein la gueule. Je pleurais je pleurais, et une "grande" qui devait avoir entre 18 et 20 ans, est venue me consoler. Elle m'a dit tout simplement de garder espoir, qu'un jour, je deviendrai belle et forte, que tous ces petits connards qui me faisaient chier resteraient dans leurs gamineries, auraient des boulots de merde, n'auraient que des histoires d'amour pourries, des enfants mal élevés, et que moi, je réussirais ma vie car tout cela allait me rendre plus forte.
La bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe.
J'ai pu descendre pas trop tard et prendre le train retour, cachée dans les toilettes car je n'avais pris que le billet aller.
Je suis retournée au collège le lendemain. Au premier tirage de cheveux, j'ai mis une beigne et toutes les réparties que je n'arrivais pas à dire au bon moment sont sorties de ma bouche.
J'ai été punie bien sûr, mais tant pis. C'était le début de ma résurrection.
Puis, je suis entrée au lycée et tous mes ennemis avaient quitté la filière générale, j'étais pénard. La prophétie de la fille s'est avérée juste. Je suis devenue "belle" (dans le sens épanouie, mais c'est vrai que je m'étais affinée) et forte, j'adore ma vie et je ne changerais rien de mon passé car ces malheurs ont contribué à ce que je suis aujourd'hui, ont guidé mes rencontres et ont fait que je ne supporte plus le moindre gramme d'irrespect.
Pour mes harceleurs, je ne sais pas ce qu'ils sont devenus, et à vrai dire je m'en fous, je leur ai pardonné.
C'est un peu grâce à eux que j'ai cette vie merveilleuse, car si ils ne m'avaient pas châtié comme ils l'ont fait, je me serais construite autrement, je n'aurais pas fait les mêmes rencontres, ma vie aurait été différente.
Donc en conclusion, n'oublie jamais le mal qu'on t'a fait, mais pardonne et vas de l'avant.
Sois résiliente.
Citation
Kim Patachian a écrit:
Salam alaykom KT,
Le passé me hante malgré moi. J'ai essayé de le combattre mais comme dit tonton Marcus c'est perdu d'avance il faut l'accepter.
Comme dit le Lion c'est en acceptant pleinement epreuves et décrets d'Allah qu'on passe au dessus. Je fais ce que je peux mais je n'ai pas encore une assez grande foi pour que ce soit constant, pour oublier les waswas.
Le pire c'est que le passé me hante constamment dans mes rêves. Quasiment chaque nuit je ressasse en revant mes traumatismes, mes fautes, mes phobies etc Je me lève parfois en sueurs. Je me sens bloquee malgré moi dans du neant, du passé qui n'existe plus que dans ma tete et je neglige mon present, je m'en veux beaucoup. Al hamdoulillah Allah m'a fait connaître l'islam il y a quelques années, ça me fait tenir.
Qu'Allah nous appaise
Allah m3aki KT
Citation
nella4415 a écrit:
Salam hleykoum
La seule est unique chose à faire est d'affronter ton passé. Quelques soit ce passé ne l'oublies pas. Si tu es la aujourd'hui c'est que tu as de bonnes oeuvres à accomplir pour toi et les autres. Acceptes la volonté d'Allah tout simplement. Nous ne sommes que de passage ici bas et le meilleur est à venir Incha'Allah alors profites de ce passage pour faire le bien autour de toi à commencer à toi même , et soit heureuse khty ou khoya et ceci s'applique à toute ses créatures.
.
Citation
Kalima Tayyiba a écrit:
Salut
Merci pour ton intervention et ton temoignage. Ça m'a fait plaisir de te lire.
Contente de relire cette histoire sur l'âne, histoire magnifique et moralisatrice.
Il est vrai qu'on parle soivent de l'harcelement à l'ecole, chose qu'on abordait pas avant. Harcelement à l'ecole subit par les camarades de classe et autres eleves. Mais la particularite de mon histoire est que ces agressions physiques et morales, les menaces de mort, les humiliations etc n'ont ete subis par un eleve mais par une enseignante et c'est cela le plus dramatique.
J'etais pourtant tres bonne eleve, et je le dis en toute modestie, appreciait par tout le corps enseignant, mais du jour au lendemain et sans raison apparente une de mes profs a changé de comportement envers moi.
Je pense que si aujourd'hui je n'arrive pas à avancer c'est selon moi dû au fait que je fais face à une incomprehension totale. Ce calvaire a duré 6 mois et j'avais 13 ans.
Malgre tout, je n'ai jamais eu de gestes deplaces car je ne suis pas du genre à attaquer ou repondre par la violence, quel que soit la personne qui est en face de moi.
Je me souviens encore du sentiment que je ressentais au fond de moi : la Confiance en Allah et j'attendais Sa Liberation, chose que j'ai eu au bout de 6 mois.
Je pense que c'est de là où ma patience est née.
Tout comme toi, je n'ai jamais rien dit à mon entourage, car je ne voulais pas faire de la peine à ma famille.