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1/3 : Vent d’Etat (pour diffusion générale) Territoire Marocain sur Sol...
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4 mars 2011 05:23
Cet article (1/3) a déjà été diffusé le mois d’Août 2010 (Vent d’Etat).
L’article (2/3) est maintenant disponible (Tempête d’Etat - Mars 2011).
L’article (3/3) est à venir.

Bonjour,

J’ai beau chercher dans les livres d’histoire. Même sur Youtube et Facebook. Je ne trouve pas une histoire semblable à celle que je vais vous raconter. Pas parce qu’elle n’est jamais arrivée. Mais parce qu’elle n’a jamais été racontée. Histoire en trois épisodes.

Mon histoire ou plutôt mon enquête m’a pris du temps et de l’énergie. Jugez vous même. Elle a impliqué des marocains et canadiens qui ont tous à cœur la justice, leurs pays le Maroc et le Canada, et leur avenir et celui de leurs enfants. Les uns souhaitent voir la corruption réduite au Maroc, en rêvant qu’elle soit radiée un jour. Les autres craignant que la corruption des pays outres atlantiques sud ne gagnent du terrain au Canada. Une corruption qui n’épargne aucun secteur, qu’il soit gouvernemental, public ou privé, hommes et femmes, pauvres et riches, de la justice à l’éducation maternelle. Pour vous simplifier la lecture, j’utiliserai dans ce texte la première personne du singulier au masculin, sachant que les crédits reviennent à tous les participants et toutes les participantes à cette enquête.

Ça se passe au Canada, plus exactement à Montréal, et plus précisément au Maroc. Je ne radote pas. Je parle du territoire marocain sur sol canadien. Le Consulat du Maroc à Montréal.

Lorsque le doute est semé, et que des indices le confirment, une enquête s’impose.

Depuis un certain temps, toutes les invitations, réunions, colloques, conférences, du Consulat du Maroc à Montréal, je veux dire de la consule du Maroc madame Otmani Souriya (en poste depuis septembre 2004), et les séjours de quelques personnalités marocaines en mission au Canada se passent au 1005 Rue Guy à Montréal. C’est un Hôtel. Naturel dirait Madame Monsieur tout le monde.

Je (nous) suis allé donc cherché si par hasard cet hôtel a un lien avec la consule, elle serait peut-être actionnaire, ou propriétaire, car les factures sans contrôle fiscal doivent couler à flots. Surtout que cet hôtel a changé de nom dernièrement de Days Hotel à Hotel Espresso Montreal, mais il n’a pas changé de porte, ou plutôt de numéro civique … [hotelespresso.ca] . Dans leur site web ça dit que le General Manager est monsieur Stefano DeVito. Rien de suspect, à part le fait que ça sonne sicilien ou italien si vous voulez.

Une simple recherche sur le net montre que ce directeur d’hôtel ou manager porte un autre nom : monsieur Steve De Vito.. Photo et informations ici : [ca.linkedin.com] . Le propriétaire de l’hôtel a donc aussi changé de nom …

Une recherche éclaire sur le net montre que monsieur DeVito est propriétaire d’un Hammam (marocain) Zinabelle à Montréal ! Les marocains ici au Canada l’associe à madame Halima Serrar, épouse de monsieur DeVito, et grande copine de madame Otmani la consule (une proche ?) : [www.made-in-china.com]

Pour celles et ceux qui l’ignorent, madame Otmani, la consule, a déjà fait venir au Canada une bonne (domestique – esclave) aux frais du Ministère des Affaires Etrangères Marocain en utilisant un passeport diplomatique par le biais et l’accord de son vice-consul monsieur Abdallah Ouhi (en poste depuis septembre 2004) afin de la placer comme masseuse, ou si vous voulez Kassala en dialecte marocain, au Hammam de sa copine madame Halima l’épouse de monsieur DeVito propriétaire de l’hôtel et du Hammam ! La bonne était supposée travailler à la résidence de monsieur Abdallah Ouhi.

La Maffia sicilienne commence à voir le jour, et le son des seaux d’un Hammam marocain commence à faire de l’écho. En dialecte marocain on parle de l’Qbab.

Ensuite, un autre site précise que monsieur DeVito est propriétaire d’une compagnie de communication au nom de ZinaVu media : [www.diytrade.com]

Quelles factures ou services pourrait arranger cette compagnie à madame Otmani ? Et comment cette compagnie peut être utile pour le citoyen marocain, je veux dire pour le Consulat ou plutôt madame Otmani la consule ?

Pas facile à dénicher une réponse à cette question. Mais lorsque des marocains traversent l’Atlantique, et que des canadiens sont fiers de leur pays qui fait partie des huit puissances économiques mondiales et pionnier des droits de la personne, ce n’est pas une petite enquête qui les stopperait.

J’ai donc téléphoné à ZinaVu media avec mon accent américain. Me faisant passer pour un investisseur installé à Edmonton et qui veut mettre en place un centre de gym ultra moderne à Montréal. ZinaVu me propose l’installation de plusieurs modules d’écrans diffusant des messages ou des chaînes TV. Un module comporte un écran et ordinateur avec formation, etc. Le tout coûterai environ 6.000 – 6.500$ par module (plus taxes…).

Et lorsque j’ai demandé des références, la personne au bout du fil me communique l’hôtel Days (de monsieur DeVito), et le Consulat du Maroc (« de madame Otmani »).

‘Oh le con !’ comme dirait Daniel Prévost, le contrôleur fiscal dans le film ‘Le Dîner de cons’.

Épargnez-moi les détails. Mais de long en large, jours et nuits, fins de semaine aussi. Enfin, la lumière au bout du tunnel :

ZinaVu a installé un écran LCD dans l’espace d’accueil du consulat afin de diffuser des messages à la communauté marocaine qui doivent attendre quatre heures pour un service dans un petit espace, privés de toilettes ! Si vous visitez le consulat, vous trouverez alors deux écrans LCD, je dirait 40 ou 42 pouces chaque dans un espace de 15 x 15 mètres carrés. Un qui diffuse les chaînes TV marocaines, et l’autre qui diffuse des messages qui des fois ne sont même pas à jour. Et qui se charge de la supervision du projet ? C’est madame Otmani elle même qui répond à cette question lorsqu’elle présente ce moyen de communication à des délégations marocaines ou « amis ». Le superviseur est monsieur Merouane Sadqi, ex chauffeur de l’Ambassade du Maroc en Suède. Que vient-il faire dans l’histoire ? Est-il employé au Consulat à Montréal. Non. C’est l’époux de madame Otmani. Elle était à une même époque que lui seconde de l’Ambassadeur du Maroc en Suède … Mais comme monsieur était chauffeur, alors il brasse les affaires de cette Maffia avec l’auto du consulat. Il aime ça conduire des autos. D’ailleurs, les gens ici à Montréal ne voient l’auto du consulat conduite que par lui, une Honda Accord noire immatriculée CC (Corps Consulaire). Le Consulat n’a pas de chauffeur ? Je me demande si cette auto a été achetée avec l’argent du contribuable marocain ou avec son propre argent. Corrigez-moi là dessus, faut-il dire ‘propre argent’ ou ‘argent propre’, ou plutôt ni l’un ni l’autre. Disons alors ‘des sous’. Quelle est la part de chacun dans cette Maffia ? Peu importe. Quelles sommes doivent être facturées au Consulat … je veux dire au contribuable marocain ? Que déclare ZinaVu aux impôts canadiens ?

Je me demande si le Consulat lance des appels d’offre. Et si c’est le cas, sont-ils diffusés uniquement dans les chambres d’hôtel de monsieur DeVito, et dans le Hammam de madame Halima. Les factures du Consulat doivent en bonne partie être au nom de monsieur S DeVito je suppose (Steve ou Stefano). Et étant donné qu’une mission diplomatique n’est pas obligée de soumettre ses factures au pays d’accueil, alors avec ou sans taxes, madame Otmani et monsieur DeVito doivent facturer n’importe quoi et n’importe quelle somme. Ce n’est pas à moi d’enquêter à ce niveau. Peut-être que d’autres compagnies fantômes existent au nom de monsieur DeVito au compte de madame Otmani la consule et compagnie.

Ouf ! Ça fatigue. … Pas tant que ça. Continuons…

Mais pensez-vous que ces quelques milliers de dollars (6.000 ou 12.000$) est le but final ? et pensez-vous qu’ils peuvent arrêter une personne gourmande. Non, du tout. Ce qui suit vous montrera comment agit cette consule madame Otmani pour atteindre ses fins et futurs projets.

Bien évidemment, plus il y aura de cérémonies, de réunions, d’invitations et de rassemblements, plus il y aura de factures. Pour cela, il faut écarter toute personne qui organise ces évènements. Le Consulat ( = madame Otmani) doit être le ou la seul(e) à organiser celà afin d’avoir la main sur les factures. Quitte à écarter même l’Ambassade du Maroc au Canada.

Retraçons alors pour madame Otmani son propre parcours. Oups, je rectifie :
Retraçons alors pour madame Otmani son parcours.

En 2004, elle écarte de son chemin, Madame Kawtar Sounni Hamdaoui, petite fille du Fqih Hamdaoui, un des signataires du Manifeste de l’Indépendance du Maroc. Madame Kawtar S.H. organisait à toutes les années le 18 novembre, une fête en l’honneur de Feu SM le Roi Mohammed V, et des personnages historiques marocains musulmans et juifs qui ont combattu cœurs et âmes pour que le Maroc voit son Indépendance. Le thème cette année avait pour titre ‘Mille et une nuits’. Croyant être, ou voulant passer pour une visionnaire, madame Otmani pense, ou voulait faire croire, qu’il y aura des femmes dévoilées ou mi-nues dans la cérémonie ! Ce qui met Madame Kawtar S.H. hors d’elle. Résumé : dispute entre Madame Kawtar S.H. et madame Otmani la consule. Aucune présence du corps diplomatique consulaire marocain dans la cérémonie qu’avait réussi tout de même Madame Kawtar S.H.

En 2005, la jeune association marocaine installée au Canada Espoir Maroc, invite à Montréal le Prince Marocain SAR Moulay Hicham Ben Abdellah pour une conférence sous le thème : ‘Crises et pistes de réformes dans le monde Arabe’. Résumé : Aucune présence du corps diplomatique consulaire marocain. Opélay ! Il n’y a plus d’espoir : L’association s’est évaporée ces dernières années. SAR le Prince lui même avait signalé lors de la conférence l’absence du consulat !

En 2006, le Docteur Abdellaziz Chrigui, Directeur de la Clinique de psychiatrie transculturelle de l'Hôpital Jean Talon de Montréal et correspondant de Parole sans frontière au Québec, claque sa porte face aux magouilles de la consule madame Otmani. Elle n’a cessé de lui mettre les battons dans les roues afin qu’il échoue dans la construction d’un Centre Culturel Marocain à Montréal. Et savez-vous de quels fonds le Dr. Abdellaziz Chrigui allait construire ce Centre ? C’était un Don Royal de SM le Roi Mohammed VI. Résumé : Dr. Abdellaziz Chrigui cède suite à la pression continue et sans relâche des journalistes monsieur Abdelghani Dadès et monsieur Rachid Najahi installés à Montréal et que madame Otmani la consule alimentait (par des fonds marocains) pour nuire aux démarches du Dr. Abdellaziz Chrigui. D’ailleurs, leur journal (Atlas média) menait des batailles mensuelles contre lui, et les photos du Docteur étaient toujours coupées. Ils sont même allés fouiller dans sa vie privée ! Conséquences : le Docteur lâche le tout, et retourne le Don à SM le Roi !!!! Ayoy ! Faut-il dire que par cette attitude elle a écarté uniquement le Docteur ?

J’ai mal à la tête là ! L’histoire de la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf effleure mon esprit en ce moment. Plutôt celle du corbeau voulant imiter l’aigle.

Continuons …

En 2007, madame Otmani la consule inaugure le nouveau siège du Consulat au 2192, Boulevard René-Lévesque ouest, Montréal. Elle ne cessait de dire qu’un nouveau siège permettra d’avoir un espace d’accueil plus grand pour mieux servir la communauté marocaine. Allez visiter vous même. L’espace d’accueil est aussi étroit qu’une tombe surtout vers midi. Le Consulat est sans toilettes publics. Un sous-sol glacial en hiver, où l’on installe tout employé qui dérange madame. Est-ce donc par amour du Maroc qu’elle a inauguré ce siège ? Non, pas du tout. C’est uniquement pour prouver qu’elle est capable de mener à terme l’inauguration d’un Centre Culturel contrairement au Dr. Abdellaziz Chrigui. Sésame, ouvre-toi ! La Maffia veut s’enrichir par des fonds publics marocains. Cette fois-ci, l’argent viendra du gouvernement marocain, et non pas sous forme de Don Royal. Voler est donc plus facile et moins risqué. Déjà, l’évaluation municipale de la Ville de Montréal du Centre récemment acheté en 2010 parle de 1.6 Millions de $, au moment où des sources du Ministère des Finances Marocain parlent de 3Millions et demi $ ! Et pour ce qui est des rénovations … on ne sera pas loin d’un total final de 12 ou 15 Millions de $.

Ce n’est pas le Maroc qui importe pour cette madame Otmani la consule. C’est plutôt la caverne d’Ali Baba. Et dans l’histoire, elle est loin de l’honnêteté d’Ali Baba. Lorsqu’on est tordu à la quarantaine, difficile de ce redresser par la suite.

Qu’ai-je oublié ? Qui a-t-elle écarté d’autres ?

En 2008, après quatre ans, et comme un crocodile, madame Otmani, pleurniche un peu partout pour qu’on lui prolonge sa mission en tant que consule à Montréal sous prétexte qu’elle est malade. Malade peut-être parce qu’elle n’a pas été nommée Ambassadeur comme ses prédécesseurs. Vrai ou faux, la question n’est pas là. Pauvre comme elle est, on la garde en poste jusqu’à nos jours (Août 2010 …) pour se soigner avec de l’argent du contribuable québécois et canadien. Ceci sous-entend que les médecins au Maroc sont nuls. Ou peut-être que les hôpitaux au Maroc manquent d’équipements. Bien évidemment, si les hôpitaux au Maroc s’équipent convenablement, que va-t-il rester dans la caverne d’Ali Baba ! Les marocains au Canada ont-il vraiment besoin d’une personne malade pour veiller sur les services publics dont ils ont besoin ?

En 2010, madame Otmani la consule installe dans l’espace d’accueil du Consulat à Montréal un écran LCD de ZinaVu (de DeVito son ami). En plus, à chaque fois qu’une délégation pointe le nez au Consulat, elle se vente en disant que c’est son conjoint le pauvre monsieur Merouane Sadqi qui maintient ce service avec beaucoup de sacrifices.

En installant cet écran, elle écarte ainsi de la vue l’autre écran LCD qui se trouvait déjà dans le même espace. Qui a installé ce dernier ? C’est l’ex représentant de la Banque Populaire du Maroc à Montréal Monsieur Jamal El Ouadie qui ne cessait de dire avec fierté qu’il l’avait acheté pour le Consulat pour diffuser en partie les publicités de la Banque. Pourquoi madame Otmani ne diffuse-t-elle plus d’annonces publicitaires de la Banque Populaire dessus ? Tout simplement parce que le nouveau représentant de la Banque Populaire Monsieur Jamal El Koutbia est commanditaire au journal Maghreb Observateur de Monsieur Abderrahim Khouibaba, le seul journaliste au Canada qui tient tête à madame Otmani la consule, et qui dénonce constamment ses déboires. La liste des personnes écartées augmente.

Par cette même occasion, madame Otmani la consule promeut ZinaVu (de messieurs Steve-Stefano DeVito et son conjoint monsieur Sadqi Merouane) et lui prépare des contrats bien salés pour le nouveau Centre Culturel Marocain de Montréal. Qui sait, peut-être que son conjoint aussi se promène sur le net avec un second nom.

Et pourquoi pas d’autres contrats à long terme pour sa copine madame Halima pour placer un Hammam, ou Spa ou salle de gym au sous-sol du Centre Culturel. Ça réchaufferait bien le Centre Culturel en hiver canadien.

De quoi terminer sa mission « diplomatique » avec une belle retraite, et de l’argent qui rentre à flot jusqu’à la dernière demeure, peu importe la source. Et pourquoi pas, comme à la mode, construire un Riyad à Essaouira, ville marocaine natale de madame la consule, pour brasser encore mieux les affaires, et écarter davantage de personnes sur sa route, ou plutôt sur leur route.

Bref, elle écarte tout sur son passage. Et la liste est longue. Je ne pourrai la citer au complet. Et je dois sûrement ignorer une partie d’elle.

Encore 2010, pour la première fois en six ans de « mission », madame Otmani la consule célèbre la fête du Trône avec les marocains. Ça se passe au Parc Jarry à Montréal. Comme si SM le Roi Mohammed VI venait d’être intronisé. Où était madame Otmani toutes ces six ans ? Et savez-vous avec quels fonds a-t-elle organisé et célébré ceci ? Des fonds des marocains établis au Canada. C’est du genre, regardez-moi, je suis capable de rassembler des marocains. Je suis donc apte à organiser le Centre Culturel. J’ignore si les commanditaires ont demandé la liste détaillée des dépenses. Une petite remarque : sur la liste des commanditaires de cette fête, je me demande pourquoi ZinaVu media n’y figurait pas. Le thème de la célébration n’était pas ‘Une fête de partage’ ? Partager quoi ? Partager la caisse marocaine et des marocains avec les amis intimes je suppose.

Ouffff ! J’ai chaud. Melon d’eau, ouvre-toi !

Bon, là qu’elle a tout écarté, madame Otmani la consule célèbre à droite et à gauche toutes les fêtes marocaines. Quel patriotisme ! Un patriotisme qui l’a poussé à commémorer la Révolution du Roi et du Peuple ce 20 Août 2010. Cachée derrière les associations, tout est organisé par elle, les factures aussi. D’ailleurs, elle se voit déjà ambassadeur de SM le Roi. Car sur les documents qu’elle diffuse ces derniers mois, elle ne se donne plus comme titre Madame Souriya Otmani Consule Générale du Royaume du Maroc à Montréal, mais plutôt Son Excellence Madame (SEM) Souriya Otmani Consule Générale du Royaume du Maroc à Montréal. Et pour faire contre poids à l’Ambassadrice de SM le Roi au Canada, Madame Nouzha Chekrouni, elle affiche cette dernière avec le titre de SEM l’Ambassadrice de SM le Roi à Ottawa (la ville) et non au Canada (le pays). Jugez vous même sur la revue culturelle du Consulat du mois d’Août 2010 disponible sur le net, et sur les invitations qu’on reçu quelques uns parmi nous. C’est peut-être un petit détail pour les uns, mais ça dit long pour d’autres.

Il ne faut pas oublier une dizaine d’associations écartées, et qui ne sont plus actives à cause de cette consule madame Otmani. Je cite par exemple l’AJPM ‘Association des Jeunes Professionnels Marocains’ présidée par Madame Yasmine Alloul. Cette dernière avait dénoncé, en vain, le fait que monsieur Abdelghani Dadès (le journaliste cité plus haut et l’un des pions promu de madame Otmani la consule) ait été placé représentant des Marocains au Canada sans élections ni prise d’avis. Et par son courage, Madame Yasmine Alloul avait dénoncé ceci devant le Ministre des Marocains Résidant à l’Etranger Monsieur Mohamed Ameur, devant madame Otmani la consule, et devant monsieur Abdelghani Dadès dans une conférence. Vous devinez bien sûre dans quel hôtel cette conférence a eu lieu ! Le réseau de madame Otmani la consule serait-il plus grand que nous pouvons l’imaginer ? Et serait-il au dessus des droits et des lois ?

Cette consule madame Otmani, place en avant des corbeaux, en tenant fermement le fromage.

Au journal La Presse de Montréal du 4 Août 2010, le journaliste Eric Clément, en citant madame Otmani la consule et en parlant du Centre Culturel, a écrit ce qui suit : ‘…L’intérieur sera un mélange de modernisme et de tradition avec une référence à l’héritage judéo-marocain,’. Ceux et celles qui ont assisté à des allocutions de madame Otmani la consule, nous diront qu’elle parle toujours de juifs. Effectivement, même dans l’article de journal, pourquoi n’évoque-elle ni la culture arabe ni musulmane ni berbère ? Savez-vous pourquoi ? C’est parce que lorsqu’on projette devenir Ambassadeur de SM le Roi, on s’approche le plus possible de ses Conseillers. Et étant donné que Monsieur André Azoulay marocain de nationalité et juif de religion est l’un des célèbres Conseillers de SM le Roi, alors on doit tenter sa chance avec les juifs. Ensuite pourquoi pas une fois l’objectif atteint, écarter Monsieur André Azoulay aussi !

D’ailleurs, en janvier 2010, madame Otmani la consule a exposé les tableaux d’une artiste peintre marocaine qui réside au Québec. Son nom est Madame Marrache Azoulay native d’Essaouira (Maroc). Drôle de coïncidence. Par ce geste, madame Otmani disait dans ses déclarations vouloir ‘…rendre hommage à l'artiste peintre, et a indiqué avoir voulu à travers cette exposition et d'autres programmées "humaniser" l'administration …’.

Ouais, on va dire qu’elle a rendu hommage à … Azoulay. Pour ce qui est d’autres expositions programmées, dans notre enquête nous avions contacté le Consulat pour nous joindre à leur soit disant programme. Il n’ y a ni programme ni autres expositions. Notre appel téléphonique se baladait d’un poste à l’autre, pour finalement nous envoyer balader. Et pour ce qui est de l’"humanisation" de l’administration, il n’ y a pas plus humain que de placer des toilettes publics au Consulat !

Ce que fait cette madame Otmani la consule, elle ne le fait ni pour les juifs, ni pour les musulmans, ni pour l’ensemble des marocains … ni pour l’humanité. Croyant être femme d’affaire, trouvant une caisse de l’Etat à sa portée. D’ailleurs, il faudrait se poser la question suivante : C’est quoi le rôle d’un Consul ? Quel formation doit-il avoir ? Comment est-il choisi ? A-t-il une formation diplomatique ? Comment lui attribut-on tel ou tel pays ? … Car j’ai bien l’impression, et ce n’en est pas une, c’est un fait, que cette consule dépasse les normes. Et je saurais vous le prouver davantage dans les deux prochains épisodes.

Et si vous l’avez déjà rencontré et que vous ne vous êtes jamais chicané ou disputé avec elle, c’est soit qu’elle vous trouve très influant au Maroc, soit non-Marocain, soit qu’elle vous prépare un coup au tournant, ou que votre voie ne croise pas la sienne. Reste un cas, les personnes corrompues n’auront pas de misère à s’entendre avec elle.

Où sont les enquêteurs marocains ? Savez-vous quoi, et j’espère me tromper si je vous dis qu’on enquêtera simplement sur qui sont derrière ce message, et non pas sur ce que fait la consule avec les biens publics du Maroc qu’on lui a confié.

Pire encore, durant l’enquête, quatre personnes rencontrées nous ont dévoilé que madame Otmani la consule leur a demandé de nuire au journaliste Monsieur Abderrahim Khouibaba cité plus haut, par des actes dont un d’entre eux pourrait être qualifié de criminel. Tout simplement parce que ce journaliste ne cesse de la dénoncer. Alors ne cherchez pas qui nous sommes, car nous avons d’autres enquêtes à mener sur cette consule. Et entre temps, madame Otmani risque d’engager quelqu’un pour nous tabasser clandestinement !

Au Maroc, elle aurait sûrement brisé les jambes du journaliste Monsieur Abderrahim Khouibaba par procuration, en utilisant les services de pauvres délinquants pour quelques dirhams. Ces délinquants qui hésitent entre traverser la Méditerranée clandestinement vers l’Europe, ou adhérer à un réseau terroriste à barbes, ou un réseau terroriste à kaftan et cravates. Qui paye mieux !

Le comble, c’est que sa manière de faire, cette madame Otmani la consule, est très dangereuse. Elle essaye de ne pas laisser de trace. Comment procède-t-elle ? Je vous conte une petite histoire : C’est un gars qui veut assassiner sa blonde, je veux dire sa femme. Il achète à son fils un faux pistolet qui ressemble à son vrai pistolet. Il poussait toujours son fils à aller jouer avec sa mère le gendarme et le voleur. Un jour, il remplaça le faux pistolet par le vrai, et il dit à son fils : ‘Va jouer avec ta mère’. Vous devinez la suite…

Comme qui dirait que cette consule madame Otmani se venge du Maroc et des marocains.
Pourquoi ? J’ai bien l’impression que sa vendetta a commencé bien longtemps. Comme qui dirait que :
- peut-être son père était un militaire qui a raté un coup d’Etat contre Feu SM le Roi Hassan II ? Et que donc sa fille se venge du Maroc !
- peut-être un ex-responsable municipal avait confisqué illégalement un terrain à sa famille lorsqu’elle était jeune, et qu’elle s’était donc retrouvée sans toit ! Elle se venge alors de l’administration marocaine.
- ou peut-être sa mère lui a raconté encore jeune que l’Empire Ottoman le protecteur des juifs et catholiques réapparaîtra à nouveau au vingt et unième siècle et régnera cette fois-ci au Maroc, et que la reine sera elle, madame Otmani. Et contrairement à la coutume, elle aura non pas un grand Harem, mais un grand Hammam Turque !

Bête et disciplinée comme elle est cette consule madame Otmani, dans une telle situation, icite au Québec nous dirons : Sti Tabarnac … oups, scusez Monseigneur Ouellet, mais c’est plus fort que moé, et je vous accorde tout de même que meilleur serait de dire ‘Oh ! Seigneur !’

Première épisode sur trois. Août 2010.

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4 mars 2011 05:21
Mars 2011.

Bonjour,

‘Tempête’ ou ‘ton pet’. Des timbres musicaux qui sonnent quasiment pareil. Disons le comme dans le film français ‘Le dîner de cons’ où Daniel Prévost, le contrôleur fiscal disait : ‘Ça sent la fraude fiscale’. Quoi de plus naturel au moment où les portes des toilettes du Consulat du Maroc à Montréal, sous la direction de madame Otmani Souriya la consule (en poste depuis septembre 2004), sont finalement ouvertes à tous les visiteurs. Plus personne ne se voit refusé d’aller … aux toilettes.

L’article que nous avons publié le mois d’Août 2010 sur le Consulat du Maroc à Montréal intitulé ‘Vent d’Etat’ (Vendetta), et que nous vous invitons à lire avant celui-ci pour mieux comprendre, a donné quelques fruits (cherchez sur Google : Vent d’état Consulat Maroc Montréal) ou visitez ce lien :
[www.emarrakech.info]

Les toilettes sont maintenant ouvertes(!) au public. Les conférences et réunions sont moins fréquentes à l’hôtel Espresso de monsieur S. DeVito (Stephano…) l’époux de madame Halima Serrar propriétaire du Hammam Zinabelle à Montréal, et qui a placé dans son Hammam une employée du Consulat (bonne) comme masseuse (Kassala). Cette madame Halima est une grande amie de la consule madame Otmani. Cette bonne était supposée travailler à la résidence de monsieur Abdallah Ouhi le vice-consul en poste aussi depuis septembre 2004. La vidéo publicitaire de la Banque Populaire a repris sa place à l’écran de la salle d’accueil du Consulat. Les documents officiels parlent de madame la consule et non plus de Son Excellence S.E madame la consule. Bref, 2 ou 3 fruits ont mûris, mais une bonne partie n’arrive pas à mûrir, et l’arbre s’enracine d’avantage dans le sable, créant ainsi avec ses racines un réseau souterrain terrible. Contrairement à toutes les règles et les normes, madame Otmani la consule a passé 7 ans au poste de Montréal plutôt que 4 comme ses antécédents, ou la majorité des consuls, y compris son bras « droit », son vice-consul monsieur Abdallah Ouhi, et quelle droiture!

Qui la protège(ent) ? Nous verrons ça plus loin dans cet article.

Voici enfin arrivée la deuxième partie de notre enquête sous le titre ‘Tempête d’Etat’ (ton pet), l’enquête tant attendue, qui va vous montrer avec preuves à l’appui comment vole et fraude la consule du Maroc à Montréal madame Otmani et son entourage. Quand je parle de vole, c’est de l’argent du contribuable marocain dont il est question.

Ne vous ennuyez pas en vous arrêtant au cinquième ou sixième paragraphe de cet article, car vous allez comprendre que c’est parce que, nous citoyens, nous nous ennuyons à lire les textes de loi, et que nous ignorons une bonne partie d’eux, et surtout comment ils s’appliquent sur le terrain, que d’autres en profitent comme la consul madame Otmani et son lobby pour nous voler et arnaquer. La difficulté rencontrée pour dénicher la preuve, est la raison qui a fait en sorte que notre enquête ait pris tant de mois. Je vous laisse donc juger vous-même, et découvrir la non évidence de notre recherche, et surtout des résultats.

Pour vous simplifier la lecture, nous utiliserons quand il le faudra dans ce texte la première personne du singulier au masculin, sachant que les crédits reviennent à tous les participants et toutes les participantes à cette enquête, marocains et canadiens ayant à cœur la justice (lire l’article précédent).

Je(Nous) commence par vous résumer et traduire un article apparu sur le net en arabe, daté de février 2008, et qui comporte des déclarations de madame Otmani la consule, et de son vice-consul monsieur Ouhi, article intitulé ‘Les consuls arabes parlent’ :

www.almustakbal.com/archive/14022008/pages1/milaf140208.html

Déclaration 1 : ‘Le Consulat adhère au principe de la transparence dans toutes ses tâches, contrairement à la tendance bureaucratique qui régnait auparavant’.
> Ma réponse : oui, clair comme le cristal. C’est ce qu’on verra plus bas.

Déclaration 2 : ‘Et dans le cadre de la transparence aussi, et pour éviter une mauvaise utilisation du pouvoir, le Maroc suit un chemin politique rigoureux qui consiste à une lutte contre toute forme de bureaucratie dans la direction générale à l’intérieur et l’extérieur du Maroc, et cette mesure englobe la totalité des Consulats qui doivent renouveler tous leurs fonctionnaires à toutes les quatre ans, y compris ceux du Consulat à Montréal’.
> Ma réponse : trop de transparence rend malade! La consule madame Otmani et monsieur Ouhi son vice-consul sont au Consulat de Montréal depuis septembre 2004. Et nous sommes en mars 2011… Quelle rigueur lorsque 4+4 font 11 ou peut-être 12…!

3- ‘Sur les 100.000 marocains résident au Canada … 70% ont des diplômes universitaires…’
> Ma réponse : oui, mais sur les 70% de 100.000, il y en a juste deux ou trois qui sont privilégiés et ‘protégés’ … Nous verrons ça tantôt.

Passons au plus sérieux. Nous nous sommes tous demandés un jour pourquoi paye-t-on 10$ à l’immatriculation consulaire, et d’autres fois 8$, pourquoi paye-t-on pour le passeport 100$ et des fois 75$. Moi non plus, comme la majorité d’entre nous, ignorais cela jusqu’à ce que cette enquête fût démarrée et lancée très loin, mais vraiment loin. Alors lisez bien ce qui suit, et vous allez comprendre le pourquoi de ces frais.

En consultant le site web du Consulat du Maroc à Montréal www.consulatdumaroc.ca, nous avançons tout naturellement que des textes de loi régissent et réglementent ces frais. En l’occurrence les décrets no 2-70-646 du 30 décembre 1972, le no 2-00-362 du 28 juin 2000, …, et le no 807-05 du 6 avril 2005. Ces mêmes lois régissent les timbres qui comportent des armoiries et le prix en dirham, collés ou apposés sur les attestations administratives remises par le Consulat preuves d’acquittement des frais. Je ne parle pas héraldique, mais je parle des timbres roses et jaunes apposés sur les attestations remises par le Consulat. Les timbres roses, comme indiqué dans ces lois, sont appelés ‘droits de chancellerie’, et les petits timbres jaunes apparus en 2005-2006 sont appelés ‘rémunération des services rendus et des actes et formalités accomplis par les agents diplomatiques et les consuls’ (loi 807-05).

Un site gouvernemental du Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération Marocain montre clairement les frais à payer pour chaque document administratif : www.consulat.ma.

Par exemple, pour l’immatriculation, les ‘frais de chancellerie’ (timbre rose) sont de 60dh et les ‘rémunérations…’ (petit timbre jaune) qu’ils appellent sur leur site web ‘SEGMA’ sont de 10dh. Nous devons donc payer un total de 60dh + 10dh = 70dh en monnaie locale. Dans le cas du Canada, nous devons payer en $ canadien. Le Consulat doit afficher, par mesure de transparence, le taux de change à la salle d’accueil, ou aux guichets, et dans les temps modernes sur leur site web. Si le taux est de 1$=7dh alors l’immatriculation sera de 10$ (70/7). Et si le taux est de 1$=9dh alors l’immatriculation sera de 7,78$ (70/9). Divisez simplement le prix des timbres en dh par l’équivalent d’1$.

Ne vous ennuyez pas, car l’ennui et la naïveté des uns fait le bonheur et facilite l’arnaque des autres. Bon, passons à la pratique, et faisons un petit détour. Nous allons faire un petit voyage à Orléans en France voir comment la Consule sur place, Madame Faouz El achchabi, applique ces textes de loi. Ensuite nous retournerons à nos … moutons, pour voir comment appliquent la consule madame Otmani de Montréal et ses vice-consuls ces décrets.

Sur la page web du Consulat du Maroc à Orléans : cg-maroc-orleans.pagesperso-orange.fr/Tarifs.htm, nous pouvons voir clairement les tarifs des prestations, et le taux de change qui est un nombre à 6 chiffres après la virgule : 1euro = 11.239591dh. Ensuite, chaque prestation indique respectivement pour le timbre rose (droits de chancellerie) et le timbre jaune (rémunérations…), leur valeur en dirham et leur équivalent en euro.

Remarquez que mathématiquement parlant, si le taux de change est à 6 chiffres, les prix à payer ne peuvent être généralement que des nombres à virgule, et non des prix ronds sans virgule : 6.23euro pour l’immatriculation, 58.72euro pour le passeport biométrique, 4.45euro pour une légalisation de signature, … Bon, félicitation Madame Faouz El achchabi la Consule…

Retournons maintenant à nos moutons, retournons au Consulat du Maroc à Montréal sous la direction de madame Otmani la « consule ». Prenez une grande respiration… et regardons celle qui à cor et à cri, parle dans ses discours de transparence de l’administration et de vents de changement…

Il y a une transparence au Consulat du Maroc à Montréal telle, que le taux est rendu transparent et invisible. Il n’est affiché ni à la salle d’accueil, ni aux guichets, ni sur le site web du Consulat www.consulatdumaroc.ca. Et pour raison…

Au Consulat du Maroc à Montréal, nous payons 10$ pour l’immatriculation, nous recevons alors une carte consulaire, et un numéro nous est affecté. La plus rudimentaire des règles des mathématiques est la règle de trois. Si 10$ correspond à 70dh, alors 1$ correspond à 7dh. Le taux de change est donc 1$ = 7dh, ou si vous voulez 7,000000dh (un nombre à 6 chiffres après la virgule!). Et ceci s’applique depuis le 4 novembre 2011 au Consulat (consultez le site web). Le problème est : où sont le timbre rose et le petit timbre jaune preuves de paiement ? Cet argent va où et avec quelles preuves ? Vous me direz qu’ils sont apposés à quelque part peut-être dans les dossiers que nous remettons ? Soit. Peut-être que oui, peut-être que non. Alors laissons le doute et les suppositions de côté, poussons la recherche plus loin, et n’oublions pas que le taux est de 7dh pour 1$.

Pour la légalisation de signature, la loi dicte qu’il faut apposer un timbre rose de 40dh + un petit timbre jaune de 10dh, ce qui donne un total de 50dh. Au Consulat à Montréal, nous payons 10$ encore une fois. La règle de trois donne un taux de 1$ = 5dh. Opélay! Le taux est finalement de 7dh ou 5dh ?

Pour le procès verbal de non réconciliation entre époux, la loi dicte qu’il faut apposer un timbre rose de 250dh et un timbre jaune de 30dh. Ce qui donne un total de 280dh. Au Consulat de Montréal le prix affiché est de 36,50$. Ce qui donne un taux de 1$=7,67dh.

Je vous laisse le soin de vérifier les autres frais…

Oufffff, le Consulat de Montréal a un taux fixe ou un taux par prestation? 1$ = 7,67dh ou 7dh ou 5dh ou … ?

Le comble, c’est que durant notre enquête, nous avons découvert chez des citoyens un bon nombre d’attestations de même nature qui sont contradictoires, des fois un timbre rose de 10h ou 20dh manquait, d’autres fois un petit timbre jaune de 10dh manquait…

J’ai en ma possession quelques unes de ces attestations. Je peux bien sûre les scanner et vous les montrer sur le web. Mais dans une enquête, on ne peut pas être à la fois juge et avocat, car je fais partie des citoyens. À la place de scanner ces documents pour vous montrer ces fraudes, je vous invite à vérifier vous-même les documents que vous avez en votre possession issus du Consulat de Montréal, et faites le calcul vous-même, et vérifiez les timbres, et ce que vous avez payé en $.

Maintenant, combien cette différence de taux, augmentée du nombre des timbres manquants peut valoir si nous effectuant un estimé des prestations rendues par le Consulat de Montréal? En d’autres termes, combien met la consule madame Otmani dans ses poches par mois avec cette manœuvre?

Vu rapidement, tout le monde va croire que la différence est de quelques sous et que ça ne vaut pas le pet d’un lapin. Détrompez vous. L’équipe de l’enquête a fréquenté le Consulat à plusieurs reprises, et grâce aux tickets présents à l’accueil, nous pouvons avancer qu’en moyenne 100 personnes fréquentent le Consulat par jour.

Si nous calculons la différence due au faux taux de change, le gain (vole) quotidien est un minimum de 100$. Ce qui donne un minimum de 2.000$ par mois. Mais ce chiffre est facilement doublé s’il faut compter les attestations avec timbres non apposés, et les cartes consulaires remises à 5$ en cas de perte. Ce minimum atteindra facilement 4.000$ par mois, car un timbre de 10dh manquant vaut au moins 1$. Quant à la moyenne ou le maximum du « gain », je n’en parle pas (ouffff).

Et s’il s’avère que les timbres ou quelques uns des timbres de l’immatriculation 10$ (=70dh) ne sont pas apposés à quelque part, ou pire encore ceux du passeport qui sont de 94$ (=660dh), alors je préfère ne pas calculer l’estimé de la quantité d’argent volée, car ceci effleurera la fiction. Pas moins de 15.000$ par mois (=120.000dh), et je conclurai que c’est bien payant être consul … du Maroc … à Montréal! Voyez à qui la construction d’un centre culturel marocain à Montréal a été confiée!

Qui va enquêter pour élucider toute cette affaire? Eh bien, j’ai l’impression qu’aucun inspecteur financier ne la déclenchera, tout en souhaitant que cette impression soit fausse. La raison vous pouvez la deviner, elle est claire comme de l’eau de roche ; personne n’est capable de jeter la première pierre.

J’ai suivi la progression des frais sur le site web du Consulat depuis longtemps, et je vous informe qu’en consultant le site web du Consulat ‘quotidiennement’, les deux dernières modifications des frais sous la direction de la consule madame Otmani ont eu lieu le 14 juin 2010 et l’autre le 4 novembre 2010. Et nous sommes maintenant au mois de mars 2011.

Pensez-vous qu’elle se trompe de calcul? Non, du tout … Car savez-vous c’est quoi la meilleure ? C’est qu’à quelques reprises, nous avons envoyé des personnes au Consulat pour sonner l’alarme, et en faisant l’ignorant, ils ont demandé la consule ou un responsable pour discuter le prix des attestations, pour ainsi voir comment réagiront les « responsables » du Consulat au sujet des frais.

La consule madame Otmani elle est toujours absente à leur dire (ou à son dire à elle). Je pense qu’à cause des millions de $ du centre culturel qu’on lui a confiés, et à cause des fausses factures et des contrats à long terme pour les amis et les intimes, elle est rentrée dans la caverne d’Ali Baba et elle a du oublié le mot clé ‘Sésame ouvre toi’.

Les plus « drôles » des rencontres sont celles-ci : une avec monsieur Ouhi son vice-consul, qui je vous rappelle a permis en accord avec la consule madame Otmani de placer une employée (bonne) envoyée et payée par le Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération, comme masseuse (Kassala) au Hammam de madame Halima l’amie de la consule madame Otmani. Après discussion avec monsieur Ouhi, les frais d’une prestation se sont fait baissés à plus que la moitié du prix!!! Comme quoi le Consulat de Montréal est comme un Souk populaire, où l’on peut négocier le prix d’un kilo de patates si on est fermier. L’autre rencontre était avec monsieur Mohammed Najjari un autre vice-consul, qui, bouche bée par notre demande d’un éclaircissement au sujet des timbres, n’a trouvé autre chose à dire que d’aller porter plainte et d’écrire. Nous le remercions pour le conseil, et justement, voilà, nous écrivons. S’il faut attendre une réponse aux plaintes, il faudra défiler toutes les litanies des saints. Je me demande si ce vice-consul monsieur Najjari n’a pas aussi, tout comme l’autre vice-consul, une bonne (servante) payée par le Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération, et placée dans une autre chambre du Hammam de madame Halima. Toute une mafia, tous placés en rang d’oignons.

La consule madame Otmani et son lobby, volent donc le contribuable marocain lors de la perception de l’argent du citoyen. L’argent qui est supposée être versée à la trésorerie de l’état est alors réduit. Si sur 50dh, 10dh manquent, alors le un cinquième de la recette est dans sa ou leurs poches. Ensuite, lorsqu’un budget atterrit au Consulat en provenance de la trésorerie, elle en vole une partie avec des factures non contrôlées et qui débordent.

À l’image d’une scie, c’est ce qu’on appelle du ‘Vole Allée-Retour’.

Et la question que je me pose toujours : Comment a-t-elle atterrit consule?! Où et quand a-t-elle appris et ses vice-consuls ces magouilles? Vérifie-t-on toujours si des hauts responsables ont des casiers judiciaires ou pas? J’ai bien l’impression que non, et j’ai à peine à croire que ces « responsables » n’en ont pas!

En plus de la patience, je crois qu’il faut être muni d’une calculatrice lorsqu’on se présente aux guichets du Consulat, demander le taux de change … sur papier officiel, et ensuite faire les calculs soi-même.

Un petit détail : Le Consulat n’a pas de machine électronique pour effectuer les paiements par carte débit ou crédit, il n’y a donc pas de trace de leurs transactions. Mais je vous rassure que sur le web, vous pouvez avec une simple recherche trouver des sites qui archivent toutes les pages web du monde, y compris celles du Consulat du Maroc à Montréal, et vous allez trouver que madame Otmani adopte des frais exorbitants hors la loi depuis longtemps. Tout calcul fait, et en visitant ces archives, l’arnaque a atteint son apogée début 2008. Et les attestations en notre possession qui datent de 2008 sont presque toutes sans le petit timbre jaune qui a vu le jour en 2005-2006. Pourquoi de l’arnaque début 2008? Je pense qu’à cause que ses 4 ans réglementaires étaient presque échus, et qu’elle comptait voler un maximum d’argent avant de retourner au Maroc, vu qu’on ne l’avait pas nommée ambassadrice …

Pourquoi donc voulez-vous qu’elle quitte le poste de Montréal alors qu’elle a à sa portée une fontaine d’eau inépuisable? Quel dicton puis-je utiliser dans cette situation alors qu’il n’y a ni œuf ni bœuf? Et en parlant de La Fontaine, ça me rappelle ‘La laitière et le Pot au lait’ :

‘Otmani dans sa tête ayant un taux aux timbres
Mal apposés, et payés par les humbles,
Prétendait répandre la transparence dans la ville.
Sournoise et du vole vêtue elle reculait à grands pas
Ayant mis ces temps-ci, pour être plus agile,
Vice-consuls, à ses souliers plats
« Notre » consule ainsi troussée
Comptait déjà dans sa pensée
…’

Épuisés ? Non ? Cela suffit ? Alors cette fois-ci dans ce qui suit, je ne vous demanderai pas de prendre une grande respiration, mais de vous équiper de bouteilles d’oxygène pour plongeurs …

Qui protège cette consule madame Otmani, ou comment procède-t-elle cette perfide pour rester sur place? Nous avons vu dans l’article précédent que sous prétexte d’être malade en 2008, le Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération l’a gardée à Montréal une autre année supplémentaire pour se soigner(!) … et rendre le monde et l’administration malade. Et là nous sommes en 2011! Mais qui décide au Ministère?

Deux postes clés sont au Ministère en question pour prendre une telle décision. Le Ministre, et le Secrétaire Général. Le Ministre est Monsieur Taieb Fassi Fihri, et le Secrétaire Général était un certain temps, mais plus maintenant, Monsieur Omar Hilale. Qu’on-t-ils en commun ces deux personnalités?

Répondre à ces questions est comme chercher une aiguille dans une botte de foin. La botte de foin est le Consulat de Montréal ou la consule, et l’aiguille est un proche de madame Otmani la consule « capable » de parler. De fil en aiguille, ce que je vais vous annoncer est plus que tempête. Tous les membres de l’équipe qui a mené cette enquête ont été estomaqués quand ils l’ont appris.

Nous avons réussi, et ce n’était pas facile, à trouver deux anciens employés du Consulat du Maroc à Montréal que nous avons « interrogés » sur quelques sujets (pas évident du tout). Ces deux ex. employés ignorent à date que nous menions une enquête. Et il est très important de signaler qu’ils ont été interrogés de manières indépendantes, et que ce que nous allons révéler ici est uniquement ce qui est en rapport avec le sujet, et uniquement ce qui a été déclaré de la même manière par ces deux personnes. Ne cherchez pas qui sont ces deux personnes, mais plutôt chercher ce qui se passe comme arnaque et vole de l’argent du contribuable. Car il faut comprendre qu’il y a une énorme différence entre secrets professionnels, et « secrets » de la magouille d’un réseau.

Le lien entre le Ministre Monsieur Taieb Fassi Fihri, et l’ex. Secrétaire Général Monsieur Omar Hilale est leur cordon ombilical que sert très fort madame Otmani la consule. Quoi que cordon ombilical porte un autre nom quand on parle de males. Le premier a un fils qui s’appelle Brahim Fassi Fihri, ex. étudiant à l’université Guy-Concordia à Montréal, et le second a un fils qui s’appelle Nawfel Hilale, ex. étudiant à l’Université de Montréal. Tout deux étudiants en Sciences Politiques.

Comment en prend soin la consule madame Otmani ?

Monsieur Nawfel Hilale lui se permet, par décisions de la consule madame Otmani, d’utiliser l’auto du Consulat, et le chauffeur du Consulat même hors des horaires de travail pour ses vas et viens à l’aéroport de Montréal. Une parenthèse : en parlant d’auto, durant les horaires de travail, et le reste des journées, c’est l’époux de la consul, monsieur Merouane Sadqi et leur fille adoptive qui s’en servent… si ce n’est leurs proches…

Quant à Monsieur Brahim Fassi Fihri, alors là c’est le comble : le chauffeur du Consulat, en utilisant l’auto du Consulat, doit aller ramasser le linge sale de monsieur Brahim F.F dans un sac, et le ramener à la résidence du Consulat où demeure la consule madame Otmani, pour que les domestiques sur place s’en chargent pour le laver et le repasser, pour qu’enfin le chauffeur les retourne à monsieur Brahim F.F !!!!!!...!!!!

C’est beau étudier la politique … à Montréal! Que voulez-vous que je rajoute d’autre ? Je dirai plutôt, qu’est ce qu’on ignore d’autre ?

Une marraine qui s’occupe bien des fils de ses protecteurs. Utilisant pour cela tous les moyens à sa portée, et surtout les biens publics, l’argent du contribuable, sans oublier les employés sur lesquels elle exerce une autorité militaire. Il y a de quoi la garder jusqu’à la fin de sa vie consule à Montréal.

Et du moment que les amis de mes amis sont mes amis, durant le printemps de l’année dernière, et durant plusieurs mois, un ami à monsieur Brahim Fassi Fihri, monsieur Amine Dabchy, a eu tous les honneurs de la consule madame Otmani qui a placé sur le mur à l’entrée du Consulat une grande affiche aussi grande que celle du portrait de S.M le Roi (pour ne pas dire plus grande) sur laquelle figurait la photo de monsieur Dabchy (vous avez du le remarqué printemps 2010) en signalant qu’il a eu son master en sciences politiques! C’est ridicule! Sur les 70% des 100.000 diplômés marocains au Canada, il n’y a que ces trois! Et pour souffler dans le cor, pourquoi pas l’afficher au Journal Atlas-Média de son élu monsieur Abdelghani Dadès celui qui ne représente que lui-même comme représentant des Marocains du Canada auprès des instances marocaines :
[www.atlasmedias.com]

Pourquoi n’a-t-elle pas collé, madame Otmani la consule, une autre affiche de monsieur Brahim Fassi Fihri ? A-t-il finalisé ses études? Ou qu’elle a bien su comment occuper ses soirées par des invitations « diplomatiques »?

À bien s’occuper de leurs enfants, les parents ne peuvent qu’être reconnaissants. Qui profite de qui ? Chacun profite de ses pouvoirs en utilisant l'argent du contribuable. Je doute fort que l’incident entre Madame Fatiha Tahiri l’épouse du Ministre Taieb Fassi Fihri en juin 2009 à Venise en Italie d’un côté, et Madame Kawtar S.H l’épouse de l’ex. Ambassadeur de S.M le Roi en Italie, S.E Monsieur Nabil Benabdallah de l’autre, ait été un fruit du hasard. Madame Kawtar S.H, étant considérée comme ennemie par madame la consule Otmani (depuis 2004 -voir article précédent-), doit ignorer que l’épouse du Ministre est la mère de monsieur Brahim Fassi Fihri dont la consule est marraine!

J’ai mal à la tête là! Pas vous ? Ou pas encore vous? … Marraine, Hammam, l’italien Stephano DeVito, Espresso l’hôtel, parents, parrains, l’Italie, du $, … on dirait un film de mafia sicilienne.

À part cela, S.E Monsieur Hassan Abouyoub, Ambassadeur de S.M le Roi, a bien présenté Brahim Fassi Fihri et son ami Amine Dabchy en parlant de ‘protégés’ dans une conférence sur le Sahara en mars 2007 (voir lien ci-après). Une conférence organisée par ces deux jeunes étudiants et amateurs dans ce domaine, où c’est un spécialiste du dossier qu’il fallait inviter, et non uniquement un économiste. S.E Monsieur Abouyoub déclare d’ailleurs durant la conférence qu’il discutera du dossier à titre personnel, puisque la qualité qu'on lui donne ne lui octroie pas le privilège de parler au nom du Maroc à titre officiel … :
[www.dailymotion.com]

À quoi bon alors une telle conférence? C’est pour faire plaisir au fils monsieur Brahim Fassi Fihri? Je crois que notre dossier national mérite mieux. Lorsqu’on cherche à ce que la population soit en bonne santé on crée des médecins, lorsqu’on veut avancer en technologie on crée des ingénieurs en télécommunication, lorsqu’on veut avoir des avions on forme des pilotes. Alors si on veut résoudre le problème de notre cause nationale, il faut créer des spécialistes pour. La diplomatie n’est pas suffisante sans savoir. Et s’il faut se fier à madame Otmani la consule comme « diplomate », alors nous ne sommes pas sortis du bois.

Jusqu’à quand cette consule madame Otmani la protégée et la protectrice régnera-t-elle encore sur ce Consulat et arnaquera l’argent du contribuable? C’est insensé et scandaleux! Une loi qui dépend d’une personne n’est pas une loi. Encore faut-il que cette consule applique les lois! Va-t-on lui demander des comptes sur ce qu’elle fait, ou plutôt ce qu’elle ne fait pas et devait faire? Est-ce que notre pays continuera à graver dans son histoire une longue liste de personnes impunies? Après les années de Plomb (Pb), nous sommes maintenant aux années de vole d’Argent (Ag). Pour quand notre cher pays verra des années d’Or? Faut-il défiler tous les métaux avant d’arriver à l’Or (Au)?

Un responsable du Ministère des Marocains Résident à l’Étranger a déclaré à une radio canadienne en août 2010, que la création des Centres Culturels Marocains ‘…a pour objectif de faire contrepoids aux mouvements religieux islamistes, de promouvoir la culture et le partage ainsi que de combler un certain vide culturel’ … J’espère que ce responsable(s) lira cet article, et qu’il comprendra qu’il faut plutôt faire contrepoids aux corrompus qu’ils soient musulmans, « islamistes » ou à pensée laïque. Le réseau des corrompus est destructeur, et il est beaucoup plus fort par ses lobbys, et par sa nature, il alimente, et donne une raison légitimée d’être de tout autre réseau destructeur. Quant à l’islam proprement dit, il dénonce aussi bien le corrupteur que le corrompu, qu’ils soient musulmans ou extra-terrestres. Lorsqu’au Maroc on répète que le monde ne sait pas remercier Dieu et se contenter du peu, ce n’est pas les pauvres qu’il faut pointer, mais bien les riches « responsables » avides d’argent. Les réseaux destructeurs il y en aura toujours, mais les garder après les avoir découverts est insensé. Et comme a dit Feu S.M le Roi Hassan II : ‘Il y a eu des ingrats, il y a des ingrats et il y aura toujours des ingrats’.

Quand l’impunité cessera-t-elle? (mon œil). À quand des responsables qui ne confondent pas services, bien personnels, et bien publics? (mon autre œil). Lorsqu’on possède une immunité diplomatique, c’est vis-à-vis du pays d’accueil qu’elle s’applique, et non de son propre pays. Du monde comme madame Otmani la consule, en parlant héraldique cette fois-ci, cherche à déshonorer le timbre de nos armoiries. En d’autres termes, elle déshonore notre pays, notre cœur … et en dialecte marocain je dirai : ‘WA BARAKA! WOU LLAH YNAAL LI MAY HCHEM’ qui veut dire ‘C’est assez! Et maudit soit celui qui n’a pas honte’.

Deuxième épisode sur trois. Mars 2011.

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