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UNICEF Maroc : La société marocaine doit arrêter d’employer des « petites...
c
31 mars 2013 21:55
UNICEF Maroc : La société marocaine doit arrêter d’employer des « petites bonnes »
Par Julie Chaudier

« Petites bonnes » au Maroc : L’UNICEF lance un appel à toute la société marocaineUNICEF Maroc : La société marocaine doit arrêter d’employer des « petites bonnes »Le Fonds des Nations Unies pour l'Enfance (UNICEF) appelle toute la société marocaine à cesser d’employer des « petites bonnes », ces adolescentes pauvres corvéables à merci, suite la mort, dimanche dernier de l’une d’entre elles.
Le Fonds des Nations Unies pour l'Enfance (UNICEF) appelle toute la société marocaine à cesser d’employer des « petites bonnes », ces adolescentes pauvres corvéables à merci, suite à la mort, dimanche dernier de l’une d’entre elles.

« La société marocaine est aussi appelée à se départir de la pratique d’employer de jeunes filles en tant que domestiques » affirme l’UNICEF dans un communiqué publié, hier, jeudi 8 mars. L’organisation des Nations Unies réagit à l’annonce de la mort d’une enfant de 14 ans, employée comme « petite bonne » à Agadir et probablement morte sous les coups de ses employeurs, dimanche 24 mars.
La jeune fille, a été admise la veille au service des urgences de l’hôpital Hassan II avant de succomber à de graves brûlures au thorax, au visage et aux mains. Le site d’information agadir24.info rapporte que ce sont les médecins qui ont alerté la police à la suite du premier diagnostic de l'enfant qui travaillait chez un gendarme marié à une institutrice. Ses brûlures n’étaient pas récentes. Apparemment, le couple aurait essayé de soigner la mineure dans leur maison en vain. Ce n’est qu'après qu’ils auraient décidé de l’emmener à l’hôpital.
Tentative de suicide
« Ce drame vient s’ajouter à une série d’événements malheureux similaires qui ont marqué l’actualité de manière régulière durant les derniers mois », explique le communiqué de l’UNICEF. Le mercredi 9 janvier, une très jeune femme, employée de maison à Casablanca, tentait pour la deuxième fois de sa vie de se suicider après avoir travaillé depuis ses 14 ans dans différentes familles. Son histoire avait ému le Maroc car un film la montrant en train de sauter du 5 étage d’un immeuble avait largement circulé sur le web.
« L’UNICEF interpelle l’ensemble des acteurs, gouvernement, parlement, administrations, société civile, médias, … à considérer que l’abolition effective du travail des enfants et particulièrement les pires formes de travail et de la violence contre les enfants est une nécessité morale qui doit être respectée, promue et réalisée », exige le communiqué.
Projet de loi dans les placards
Au Maroc, les associations et organisation préoccupées par le sort de ces adolescentes sont nombreuses. L’Insaaf, la Fondation Orient occident et l’UNICEF, pour ne citer qu’elles, aident ces enfants mais restent largement démunies devant l’ampleur du phénomène et le silence général. « Nous considérons que le travail domestique des petites filles représente une des pires formes d’exploitation des enfants. Le phénomène est toujours d’actualité, mais reste très peu identifié, vu son caractère invisible et le manque de chiffres et données actualisées sur son ampleur », souligne Aloys Kamuragiye, représentant de l’UNICEF au Maroc.
Le précédent gouvernement d'Abbas Al Fassi, par le biais de son ministère de l’Emploi et de la formation professionnelle, avait pris l’initiative d’élaborer un projet de loi (n° 06-34) régissant le travail des domestiques et surtout interdisant l’emploi de jeunes filles de moins de 15 ans, explique Le Matin. Le projet avait été adopté par le Conseil des ministres le 9 octobre 2011 et il ne lui restait plus que l’étape de l’adoption au Parlement, or le nouveau gouvernement a retiré la loi du Parlement pour la réétudier. Depuis, plus de nouvelles. Aloys Kamuragiye estime que le projet de loi sur le travail domestique pourrait offrir un début de cadre légal protecteur pour bannir le travail des enfants en tant que domestiques et encourage le gouvernement et le parlement à accélérer son adoption.
a
1 avril 2013 02:31
Salam,

Des pédophiles tortionnaires et avares ! Esclavagistes qui osent encore dire qu'ils ont un "grand coeur". - ça joue les châtelains... avec leur misérable monnaie de singe.
c
1 avril 2013 13:31
salam,

si l'école était obligatoire ça laisserai moins de temps aux enfants pour être considéré comme des esclaves. ce qui est un crime contre l'humanité.
K
1 avril 2013 14:50
Salam Lee Mouna,

Je me permets de copier/coller un texte datant de 2012.

Ces mineures exploitées comme domestiques

Bien qu'au Maroc, il y'a une loi interdisant le travail des enfants, ce pays compte encore plus de 60.000 filles mineures travaillant comme domestiques. Il s'agit de petites bonnes de moins de 15 ans. La plupart sont mal-payées et subissent une violence physique et un traitement inhumain de la part de leurs employeurs.

Dans un rapport publié jeudi, Human Rights Watch, organisation basée aux Etats-Unis, s'alarme de la situation de ces enfants connues sous le nom de "petites bonnes", "âgées de huit ans à peine", qui "endurent des sévices physiques et travaillent comme domestiques de longues heures par jour pour des salaires extrêmement bas".

"La majorité des filles interrogées ont indiqué avoir été maltraitées à la fois physiquement et verbalement par leurs employeurs (...). Certaines filles ont déclaré que leurs employeurs les avaient frappées avec leurs mains, des ceintures, bâtons, chaussures ou encore des tuyaux en plastique", a déclaré à la presse Jo Becker, directrice au sein de la division "Droits des enfants" à HRW, lors de la présentation du rapport.

"Nous appelons le gouvernement marocain à mettre fin à ce problème en favorisant notamment la scolarisation des jeunes filles", a-t-elle insisté. 49 % des filles domestiques avaient abandonné l'école pour travailler et 30 % n'étaient jamais allées à l'école, révèle une étude réalisée en 2010 par un collectif d'associations marocaines.

Le travail de domestiques de moins de 15 ans continue à faire partie de la mosaïque de la société marocaine en dépit de nombreuses pressions, nationales et internationales. Cet anachronisme est dû essentiellement à la pauvreté, l'analphabétisme et au manque d'infrastructures dans les zones rurales, principal fournisseur de cette catégorie d'employées.

Un projet de loi interdisant cette pratique devenue très courante au Maroc a été élaboré par le gouvernement précédent mais il n'a toujours pas été adopté au parlement. Ce projet de loi prévoit des peines de prison ferme et de lourdes amendes contre toute personne employant des enfants de moins de 15 ans comme domestiques.

Ce projet de loi est une bonne initiative, mais il reste insuffisant pour sauver ces filles de la misère, le mépris et l'humiliation dans lesquels elles vivent. L'Etat ne doit pas se limiter à la pénalisation de tout travail dans les maisons aux filles de moins de 15 ans pour éradiquer l'exploitation domestique des petites bonnes, mais doit chercher des solutions aux causes qui poussent des familles à faire travailler leurs enfants.

Si on ne trouve pas une solution à la pauvreté de ces familles, ces petites filles si elles ne travaillent pas, elle vont finir dans la rue, mendier ou se prostituer. Pour éviter subséquemment qu'elles soient livrées à la rue, l'Etat doit compenser ces familles qui vivent des revenus générés du travail de ces petites filles et leur offrir des aides financières pour assurer la scolarisation de leurs enfants.

Ce que l'Etat prodigue sur le luxe de la famille royale et les hauts fonctionnaires d'Etat, ces 787.000 € offert pour la construction d'une mosquée à Blois, ces 15.000.000 € offert au musée du Louvre pour l'ouverture d'un pavillon des arts islamiques, etc., doit s'arrêter. Ces fonds doivent revenir au peuple sous forme d'aides financières et construction d'écoles, hôpitaux, routes, etc.

Ce sont ces fuites budgétaires qui appauvrissent le peuple et promeuvent l'analphabétisme. Et c'est seulement en mettant fin à cette répartition injuste et irrationnelle des richesses nationales, cette sale exploitation du Maroc et des marocains par la famille royale, qu'on va sauver les enfants des pauvres de la sale exploitation des riches.
c
1 avril 2013 15:11
certains envois leur fille mendier, se prostituer, faire la boniche........il y a des comportements qui doivent être interdit, l'être humain n'étant pas capable de se conduire dignement sans menace de santions sévères.
c
2 avril 2013 14:07
. Il se dégage ainsi, de manière générale, que les enfants
travailleurs sont :
- des deux sexes;
- de tous les âges de 7 à 14 ans et même avant 7 ans;
- non scolarisés ou de faibles niveaux scolaires;
- issus de milieux pauvres;
- habitant des logements réduits et précaires;
- de parents sans niveaux scolaires;
- de familles nombreuses;
- des apprentis non rémunérés ou perçoivent de faibles salaires;
- chargés de tâches jugées non formatrices d'un métier;
- mis au travail durant plus de 40 heures par semaine et presque tous les jours de la
semaine ;
- dans des conditions de travail difficiles voire pénibles;
- sont mis dans des conditions d'hygiène et de sécurité nuisibles pour leur développement
et leur santé;
P
3 avril 2013 14:58
Salam

Triste sort pour ces petites, la jeune qui a fait le "buzz", il y a un homme qui est mort pour avoir tenté de la rattraper Ill . L'affaire avait été relayée par yabiladi, il y a tout un dossier concernant cette fille.

KimouZ merci pour ton article, intéressant, ces dons "nos" pays devraient les distribuer au peuple qui en a besoin.
K
8 avril 2013 15:38
Citation
Pika11 a écrit:
Salam

Triste sort pour ces petites, la jeune qui a fait le "buzz", il y a un homme qui est mort pour avoir tenté de la rattraper Ill . L'affaire avait été relayée par yabiladi, il y a tout un dossier concernant cette fille.

KimouZ merci pour ton article, intéressant, ces dons "nos" pays devraient les distribuer au peuple qui en a besoin.
Wa aliki salam wa rahmatoullah wa barakatouh, Pika11,

On a un problème de répartition des richesses. La gestion budgétaire se fait d'une mauvaise manière. Beaucoup de gaspillage, sans parler du pillage, ce qui laisse une bonne partie du peuple dans le besoin.

Quand je vois ce qu'on dépense sur le luxe des alaouites, je me crois dans une puissance industrielle tel que les Etats-Unis voire un pays pétrolier tel que les pays du Golf. Par contre, quand je vois l'état du peuple, je réalise que je suis dans un des pays les plus pauvres au monde.
Citation
Lee Mouna a écrit:
certains envois leur fille mendier, se prostituer, faire la boniche........il y a des comportements qui doivent être interdit, l'être humain n'étant pas capable de se conduire dignement sans menace de santions sévères.
Des sanctions sévères punissant ces familles qui permettent à ces enfants de se nourrir, se vêtir et venir à l'aide de leurs familles en contrepartie du travail domestique, ce n'est pas la bonne solution, Lee Mouna. Réfléchissons un peu ! Méditons sur les causes qui animent le travail de ces enfants, on trouvera qu'en sanctionnant ces familles, on n'aide pas ces enfants mais on aggrave leurs cas.

Ces enfants, il faut prendre en considération qu'ils sont issus de familles qui souffrent de la pauvreté extrême. Leurs familles passent régulièrement par des périodes noires dans lesquelles elles ne trouvent rien à manger. Croire qu'en fermant les portes au travail des enfants, ces familles vont envoyer leurs enfants à l'école, est complètement faux ! Ce ne sont pas ces familles qui ne trouvent rien à manger qui vont envoyer leurs enfants aux écoles voire aux universités !

Ces familles aimeraient bien envoyer leurs enfants, étudier, avoir les meilleures notes pour occuper les meilleures fonctions. Elles aimeraient bien s'investir dans la formation de leurs enfants afin de se hisser dans la société et améliorer leurs conditions de vie… Mais Allah Ghaleb ! Leurs conditions socioéconomiques ne leur permettent pas d'assurer la scolarisation de leurs enfants. Tout ce que ces familles vont pouvoir faire, c'est pousser ces enfants vers le marché du travail.

Ce travail des enfants est une injustice certes. Mais la société est injuste. Son injustice fait des victimes qui se trouvent dans la contrainte de faire travailler leurs enfants pour qu'ils ne meurent pas de faim. Le travail des enfants est la solution que des familles pauvres ont trouvé pour sauver la vie de leurs enfants. Au moins en travaillant, ils vont avoir de la nourriture et des vêtements. Par contre, en restant chez leurs familles, ils risquent de mourir de faim voire de ce climat froid qui fait des ravages dans nos régions montagnardes.

Entre deux maux, il faut choisir le moindre douloureux. Et le moins douloureux entre les deux maux, est -malheureusement- faire travailler ces enfants. Fermer les portes à leur travail, c'est créer plus de problèmes à leurs familles et condamner ces enfants à mourir. Ce projet de loi que vous soutenez, -malheureusement- ne construit rien de rien mais détruit le peu que des familles souffrant de la pauvreté extrême cherchent à construire. Il est un coup dur à ces familles et ces enfants que vous voulez sauver.

Pour que ce projet de loi soit constructif, il faut qu'il s'accompagne de solutions s'attaquant aux causes qui poussent des familles à faire travailler leurs enfants. En absence d'aides à ces familles, avec ce projet de loi, la situation de ces familles et celles de leurs enfants ne va que s'aggraver. Les fonds qui vont permettre de venir à l'aide de ces familles sont là. Ce qui manque, c'est une volonté réelle de venir à l'aide des citoyens qui sont dans le besoin et améliorer leurs conditions de vie.

Ce que l'Etat prodigue sur le luxe de la famille royale et les hauts fonctionnaires de la monarchie, ces 787.000 € offert pour la construction d'une mosquée à Blois, ces 15.000.000 € offert au musée du Louvre pour l'ouverture d'un pavillon des arts islamiques, etc., doivent s'arrêter. Ces fuites budgétaires appauvrissent le peuple, promeuvent l'analphabétisme et alimentent le marché du travail des enfants. En stoppant cette hémorragie, en rendant à César ce qui est à César, on n'aura plus de familles qui envoient leurs enfants travailler.

En venant à l'aide des familles qui sont dans le besoin, là on pourra parler de sanctionner les parents qui envoient leurs enfants travailler et ces personnes qui emploient ces enfants. En absence de ces aides, si on veut parler de sanctions, parlons de sanctions visant ces dirigeants -symboles de l'injustice et la corruption- responsables de cette misère contraignant des familles marocaines à pousser leurs enfants vers le marché du travail, sans parler de la mendicité, la prostitution, le trafique des drogues, l'émigration clandestine et le reste des maux de notre société.

Ces dirigeants, responsables de la misère de presque tout un peuple, j'aimerais bien que les sanctions pénales de la Charia soient appliquées sur eux. Ils méritent des sanctions sévères. Par contre les familles de ces enfants, elles sont déjà victimes du sale système qui nous règne… pas la peine de les ajouter une injustice de plus.
c
9 avril 2013 11:45
salam,

le mieux serait de mettre les enfants en internat pour être "sûr" qu'ils mangent et soit à l'école à l'école et profite de soin gratuit si nécessaire.
ils resteras le week end pour que les parents et le système "profitent" .



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/04/13 20:36 par Lee Mouna.
P
9 avril 2013 16:26
Citation
KimouZ a écrit:
Wa aliki salam wa rahmatoullah wa barakatouh, Pika11,

Alaykoum Salam KimouZ
J'ai coupé ton message afin de ne pas alourdir.

La gestion budgétaire se fait au détriment du peuple " d'en bas" surtout, ils privilégient bien souvent les relations diplomatiques.

Tu parles de "causes", la première c'est la "misère" voilà tout, les familles pauvres qui laissent leurs enfants partir, devenir des bonnes entre autres, pensant ainsi qu'un avenir sera plus ou moins assuré etc..La naïveté de ces personnes-là : confier leur enfant à une famille "prestige" (façon de parler), donc éduquée, avec un savoir-vivre etc..mais l'effet kiss-cool est réel : l'enfant bien souvent est maltraité par ces familles "prestiges" (sans généraliser).
La pauvreté fait que..On n'envoie pas son enfant pour qu'il soit maltraité, violenté, violé ou tué.
Ces familles "prestiges" en fait profitent du "malheur" de ces familles pauvres.

Ces enfants ont le droit d'être protégés, où est-il noté qu'un enfant doit subvenir aux besoins de la famille ? Ok aider mais dans de meilleures conditions, ce n'est pas le cas avec toutes ces bonnes qui font parler d'elles, imagine celles qui sont dans une situation de détresse et ne disent rien en subissant en silence, celles-là tu peux sûr et certain qu'un jour où l'autre elles passeront à l'acte (se donner la mort, se mutiler etc..un appel au secours !!) .

Le travail des enfants est une injustice comme tu le dis, oui, la société est injuste : oui, mais elle ne fait rien pour au moins assurer un minimum à ces enfants. On dirait des objets, qu'on promène à droite à gauche. Tu te rends compte de leur état psychologique ? Comment pourraient-ils croire en un avenir ?
Je conçois ce que tu dis, oui ne pas travailler = ne pas manger etc..mais il y a trop d'abus, tu parles de moindre mal, mais n'oublie pas d'inclure les tentatives de suicide, et les suicides.

Cette somme pour le Louvre, sincèrement elle aurait été plus efficace et bienvenue pour ces familles-là. La mosquée à la rigueur votre Roi pense à vous, ses sujets, mais le Louvre franchement c'est bizarre !

Tu crois que les parents envoient leurs enfants pour qu'ils leurs soient rendus dans un cercueil ? Triste sort quand même. Ils sont bien loin d'imaginer une fin similaire lorsqu'ils "confient" leur enfant.
Bonne, déjà rien que ce qualificatif est péjoratif.
b
9 avril 2013 20:27
Il faudrait surtout interdire à certaines personnes de procréer!!
Wa salam
T
9 avril 2013 20:54
Citation
Lee Mouna a écrit:
certains envois leur fille mendier, se prostituer, faire la boniche........il y a des comportements qui doivent être interdit, l'être humain n'étant pas capable de se conduire dignement sans menace de santions sévères.

Sauf que la misere laisse peut de place a la dignitée......

C'est facile de donner des tors a ses gens, quand on vit bien tranquillement en France,mais la pauvretée pousse a faire des choses invraisemblables

Ce ne sont pas les parents les véritables responsables,mais cette classe Bourgeoise qui vit dans le luxe le plus excessif et qui malgres sa extorque les plus pauvres.
Ces memes Bourgeois "Oxydentalisé" qui te parle des bien faits de la Démocratie,des Droits de l'Homme et pour qui leurs Femmes sont toutes des Militantes Féministes mais qui a coté n'hesite pas a exploité des petites Bonnichas de moins de quinze ans a qui elles font vivre des calvaires.....



A ne pas oublier,que au Maroc,il y'a plus de 60% de la population qui vit avec moins de 1E par jour....
Nech zie Al hoceima.........Tamassint*
c
9 avril 2013 21:03
Citation
Tamassint' a écrit:
Citation
Lee Mouna a écrit:
certains envois leur fille mendier, se prostituer, faire la boniche........il y a des comportements qui doivent être interdit, l'être humain n'étant pas capable de se conduire dignement sans menace de santions sévères.

Sauf que la misere laisse peut de place a la dignitée......

C'est facile de donner des tors a ses gens, quand on vit bien tranquillement en France,mais la pauvretée pousse a faire des choses invraisemblables

Ce ne sont pas les parents les véritables responsables,mais cette classe Bourgeoise qui vit dans le luxe le plus excessif et qui malgres sa extorque les plus pauvres.
Ces memes Bourgeois "Oxydentalisé" qui te parle des bien faits de la Démocratie,des Droits de l'Homme et pour qui leurs Femmes sont toutes des Militantes Féministes mais qui a coté n'hesite pas a exploité des petites Bonnichas de moins de quinze ans a qui elles font vivre des calvaires.....



A ne pas oublier,que au Maroc,il y'a plus de 60% de la population qui vit avec moins de 1E par jour....

T’inquiètes je suis pas "tranquille" car beaucoup ramènent en France un "enfant objet" dans leur coffre de voiture et voilà un enfant perdue sans papier sans rien à la merci d'une famille d' ordures.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/04/13 21:17 par Lee Mouna.
T
9 avril 2013 21:07
Pas compris....

Si tu pouvais développer.
Nech zie Al hoceima.........Tamassint*
c
9 avril 2013 21:30
Rania est une petite Marocaine arrivée en France à 8 ans et qui a été l'esclave de Aïcha la fille d’un des plus vieux amis de son père.

Outre le cas de l'immunité diplomatique, il n'existe pas de cadre juridique permettant d'appréhender ce phénomène : le crime contre l'humanité ne peut s'appliquer au cas d'esclavage individuel, les traités internationaux n'ont pas d'applicabilité directe. Ces jeunes filles étant en situation irrégulières (donc en infraction), la reconnaissance de leur statut de victime n'est pas facilitée.

En 2011 sur les 42 dossiers de personnes en situation d'esclavage arrivées mineures en France, seuls 2 ont, pour l'instant, débouché sur des condamnations (avec peines d'emprisonnement).

Octobre 2012, la France a été condamnée à verser 30 000 euros à une orpheline devenue esclave de sa tante, pour avoir failli dans sa lutte contre le travail forcé, selon un arrêt rendu jeudi par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). L'État français n'a pas mis en place "un cadre législatif et administratif permettant de lutter efficacement contre la servitude et le travail forcé", a estimé la Cour de Strasbourg, constatant une violation de l'article 4 de la Convention européenne des droits de l'homme interdisant l'esclavage.
 
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