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Ukraine: L'USA et l'UE Vs Russie
M
4 mars 2014 11:53
Citation
Bengi a écrit:
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Mr deltoides a écrit:
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Bengi a écrit:
Citation
Mr deltoides a écrit:
Citation
Bengi a écrit:
Question simple pour des gens simples (Goldman et son clone omar)

Qui est cet homme?

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va te reposer toi au lieu de poster des messages débiles et hors de propos.
et n’oublies les pilules bleues.

Simplet; tu ne veux pas répondre.

Il s'agit de: Oleh Tyahnybok

Je répète pour le fourbe Goldman. Qui est Oleh Tyahnybok?


d'aprés ta photo, il semblerait que ce soit le dieu de la foudre. j'ai gagné quoi?

Tu viens de conforter, ta position de Champion (hors catégorie) de la FOURBERIE!


bon c'est pas ça............ perplexe
allez, c'est un oncle de dieudonné ......... grinning smiley
c'est ça, hein?
j'ai gagné quoi alors?
B
4 mars 2014 12:09
Les nouveaux amis de l'Union européenne : Svoboda d'Ukraine à Oradour


Svoboda, parti national-socialiste (nazi), qui encadre l'insurrection ukrainienne d'Euro-Maidan, a été soutenu par l'UE et par plusieurs politiciens américains. Ce parti vient d'entrer dans le gouvernement d'Arseni Iatseniouk, chef de l'opposition.

Svoboda est présidé par Oleh Tyahnybok, contempteur de la "mafia judéo-moscoutaire". Tyahnybok se dit à la foi anti-allemand et antisémite, mais surtout anti-russe. Ainsi, il n'est pas attiré par l'Union européenne mais par l'OTAN.
B
4 mars 2014 12:17
Le mot de la fin:


Le Front National a reçu à Nanterre le Parti Ukrainien Svoboda


Lundi 23 novembre 2009 à Nanterre, le Front National, représenté par son Président Jean-Marie LE PEN et son Vice-Président en charge des affaires internationales Bruno GOLLNISCH, recevait dans ses locaux le leader du Parti Ukrainien « Svoboda » : Oleh TYAHNYBOK ainsi que son chargé des relations internationales Taras OSAULENKO.
M
4 mars 2014 12:25
il y avait donc des fascistes dans les manifs en ukraine. quel scoop. Oups
mais tu débarques mon vieux.
oui, les fachos de svoboda étaient bien présents sur les barricades place maidan.
mais pas seulement. on peut pas réduire la revolte anti corruption et anti imperialiste russe à la seule extreme droite.
une majorité d'ukrainiens non russophone, surtout les jeunes diplomés, souhaitent que leur pays rejoignent l'europe avec tout ce que cela induit comme droits et modèle de société.
les fachos de svoboda etaient une des forces organisées sur les barricades.
on peut donc pas faire comme si'ls n'existaient pas.
mais ils n'ont rien à proposer au peuple sinon une sale propagande antisémite et antirusse.
comme les islamistes prodfitant du printemps arabe, ils dégageront et rejoindrons les egouts dont ils n'auraient pas du sortir;
quand à la relation avec les etats unis, c'est vieux en fait.
en europe de l'ouest, les nazis haissent les etats unis. mais à l'est, ils sont été aidés et financés du temps de la guerre froide car c'etaient les plus farouches anticommunistes.
il y a des restes de cette belle amitié.
B
4 mars 2014 12:52
Goldman, tu dois avoir le même tailleur que bhl.

Très habile pour retourner ta veste.

Tu prétendais ne pas savoir qui était sur la photo, et là, tu essaies de me servir ta soupe.

Allez trouve toi des potes, moins abrutis.
M
4 mars 2014 14:08
mais je ne le connais pas. et puis je m'en fous pas mal en fait;
tu crois que je connais le visage de tout les leaders fascistes européens?
je sais que je suis cultivé et au su de bien des choses. mais quand même......... Cool
et tu voulais dire quoi en fait? tu as une opinion? Oups
B
4 mars 2014 14:56
Mon opinion à un abruti?

Essaie ce numéro, ils pourront t'aider

Photo supprimée par le membre  Photo supprimée par le membre
M
4 mars 2014 15:05
du mépris pour les sdf maintenant............ de mieux en mieux.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/03/14 15:06 par Mr deltoides.
4 mars 2014 15:09
"Puisque les ennemis de mes ennemis sont mes amis, l'extrême droite ukrainienne demande l'aide des djihadistes du Caucase du Nord pour lutter contre leur ennemi commun : la Russie"

[www.courrierinternational.com]
M
4 mars 2014 15:20
Citation
un cousin a écrit:
"Puisque les ennemis de mes ennemis sont mes amis, l'extrême droite ukrainienne demande l'aide des djihadistes du Caucase du Nord pour lutter contre leur ennemi commun : la Russie"

[www.courrierinternational.com]



" Pravy Sektor a démenti avoir écrit l'appel à Oumarov, arguant que la page du mouvement sur le réseau social avait été forcée "

"le comité d'enquête de la Fédération de Russie a engagé une action en justice contre Dmitri Iaroch pour incitation publique à l'action terroriste"

il se peut tout à fait que cet appel soit le fait des services russes pour inculper ce leader fasciste ukrainien d'incitation à l'action terroriste.
mais il est aussi possible que le leader de ce groupscule soit assez dérangé pour s'allier aux islamistes tchetchenes. mais ça reste trés minoritaire alors. globalement, on peut pas dire que l'extreme droite à l'est de l'europe soit muslim friendly.
B
4 mars 2014 17:01
Citation
Mr deltoides a écrit:
Citation
un cousin a écrit:
"Puisque les ennemis de mes ennemis sont mes amis, l'extrême droite ukrainienne demande l'aide des djihadistes du Caucase du Nord pour lutter contre leur ennemi commun : la Russie"

[www.courrierinternational.com]



" Pravy Sektor a démenti avoir écrit l'appel à Oumarov, arguant que la page du mouvement sur le réseau social avait été forcée "

"le comité d'enquête de la Fédération de Russie a engagé une action en justice contre Dmitri Iaroch pour incitation publique à l'action terroriste"

il se peut tout à fait que cet appel soit le fait des services russes pour inculper ce leader fasciste ukrainien d'incitation à l'action terroriste.
mais il est aussi possible que le leader de ce groupscule soit assez dérangé pour s'allier aux islamistes tchetchenes. mais ça reste trés minoritaire alors. globalement, on peut pas dire que l'extreme droite à l'est de l'europe soit muslim friendly.

Tiens, tu ne connaissais pas l'extrême droite ukrainienne, il y a 2 minutes, et là, tu es "trop" bien renseigné.

Vraiment fourbe, Goldman!
6 mars 2014 16:15
Finalement, c'était la Russie qui a fomenté cette révolution.

Comme par hasard, la Crimée demande son rattachement à la Russie, trois jours à peine après la formation du nouveau gouvernement. Et on parle même déjà d'un référendum.

Tout cela est bien trop rapide pour que ce ne soit pas prévu de longue date.
M
6 mars 2014 19:25
Citation
fwine a écrit:
Finalement, c'était la Russie qui a fomenté cette révolution.

Comme par hasard, la Crimée demande son rattachement à la Russie, trois jours à peine après la formation du nouveau gouvernement. Et on parle même déjà d'un référendum.

Tout cela est bien trop rapide pour que ce ne soit pas prévu de longue date.



d'un autre coté, ça fait des mois que ça monte. à l'automne dernier, ils campaient déja place maidan.
les russes ont toujours plusieurs scénarios d'avance, notamment pour prévenir des mouvements de masse, viel héritage soviétique.
jusqu'aux uniformes sans écusson identitaire (ou des uniformes d'autres armées pour brouiller les pistes). ils faisaient déja ça en entrant dans Budapest avec des opposants torturés et retournés en guise de futurs dirigeants du pays mis au pas.
N
6 mars 2014 22:48
Mdr ! la Russie a eu la Crimée et elle a perdu le reste, en gros 90 % de l'Ukraine .. ou bien il est pas trop fute fute le Poutine ou bien vous essayez d'égarer les gens de la vérité ...
7 mars 2014 05:21
Citation
Nail2009 a écrit:
Mdr ! la Russie a eu la Crimée et elle a perdu le reste, en gros 90 % de l'Ukraine .. ou bien il est pas trop fute fute le Poutine ou bien vous essayez d'égarer les gens de la vérité ...

Il est bien évidemment que la Crimée est la première des provinces à voter son rattachement. Les provinces pro-Russes ne vont pas tarder à lui emboîter le pas. Résultat : l'Ukraine va se disloquer, les provinces riches iront aux Russes, et les pauvres se rapprocheront de l'Europe.
B
7 mars 2014 09:16
Citation
Nail2009 a écrit:
Mdr ! la Russie a eu la Crimée et elle a perdu le reste, en gros 90 % de l'Ukraine .. ou bien il est pas trop fute fute le Poutine ou bien vous essayez d'égarer les gens de la vérité ...

Poutine doit être stupide; il "tenait" déjà l'ukraine et même l'europe, avec son gaz.

Poutine doit très très stupide, pour enclencher une "révolution", avec des nazis anti russe.


Le deal gazier proposé par l’Amérique à la Russie pourrait être le suivant : «On livre à l’Europe, vous livrez à l’Asie.»

Le reste, pour les non fainéants: [www.yabiladi.com]
N
7 mars 2014 21:55
Salam,

@ Bengi : oui j'ai vu l'article et c'est intéressant .. ça confirme bien l'enjeu stratégique militaire et économique qu'aller subir la Russie en cas de basculement .. mais comme tu vois, t’arrive à rien faire passer .. les trolles deviennent trop gênant à un moment..le post il l'ont quasiment pourri 75% des commentaires sont inutiles et ils arrivent à entrainer les gens dans une spirales qui les faits oublier le sujet principales et je t'invite à lire le post "le troll" car ça fait parties des stratégies des trolls pour faire décrédibiliser un post .. avant je ne faisais que le mettre à jour et ça passait bien mais là il le spam et dérives la discussion d'une façon à la limite du HS .. ou ils partent en dérision ...

Salam
B
8 mars 2014 00:01
Citation
Nail2009 a écrit:
Salam,

@ Bengi : oui j'ai vu l'article et c'est intéressant .. ça confirme bien l'enjeu stratégique militaire et économique qu'aller subir la Russie en cas de basculement .. mais comme tu vois, t’arrive à rien faire passer .. les trolles deviennent trop gênant à un moment..le post il l'ont quasiment pourri 75% des commentaires sont inutiles et ils arrivent à entrainer les gens dans une spirales qui les faits oublier le sujet principales et je t'invite à lire le post "le troll" car ça fait parties des stratégies des trolls pour faire décrédibiliser un post .. avant je ne faisais que le mettre à jour et ça passait bien mais là il le spam et dérives la discussion d'une façon à la limite du HS .. ou ils partent en dérision ...

Salam

D'ailleurs, je pense que les yabis (ceux qui le souhaitent) jettent un coup d'oeil, sur ce manuel du troll, très informatif.

[www.yabiladi.com]
15 mars 2014 17:51
article a lire pour savoir comment on monte une revolution.
Ils essayent la meme chose avec le Venezuela et la Turquie.
Le scenario semble bien rodé.
Sionistan se joint a la melé
Pour les anglophones l'article en Anglais avec les détails


L’ambassadeur d’Israël en Ukraine a conclu un accord avec la milice néo-nazie Praviy Sektor, elle-même soupçonnée d’être responsable de la majorité des morts à Kiev le mois dernier, selon des informations diffusées au cours du week-end par l’Agence Télégraphique Juive (JTA) et l’agence Associated Press.


Le protocole conclu entre l’ambassadeur d’Israël à Kiev Reuven Den Il et le chef de la milice Dmitry Yarosh aurait une visée « défensive ».

Selon la version de la rencontre diffusée par le site web de l’ambassade, le chef de Praviy Sektor aurait pris l’engagement de ne pas s’en prendre à des cibles juives, étant sous-entendu qu’il aurait alors un blanc-seing pour toute autre forme de xénophobie, anti-russe par exemple.

Le renoncement à des activités anti-juives de la part des nervis de Praviy Sektor, honteusement qualifiés de « combattants de la liberté » par BHL, Hollande et Fabius, est lui-même des plus hypothétiques.

Praviy Sektor se réclame ainsi depuis sa création de Stepan Bandera, un nationaliste ukrainien allié de Hitler pendant la deuxième guerre mondiale, et dont les partisans de l’époque avaient clairement participé au génocide des juifs.

De même qu’il y a 70 ans, Hitler et ses alliés combattaient le « judéo-bolchévisme », les miliciens de Praviy Sektor et leurs partenaires (membres du nouveau gouvernement) de Svoboda prétendent lutter « contre la mafia russo-youpine ».



L’ambassadeur israélien sait tout cela.

Il y a quelques jours, la JTA avait publié un reportage stupéfiant, sur d’ex-soldats de l’armée israélienne ayant prêté main-forte aux miliciens de Praviy Sektor dans les émeutes ayant conduit au renversement de l’équipe (pro-Moscou) de Viktor Ianoukovitch.

La lecture de cet article laissait à penser qu’il s’agissait là d’initiatives individuelles de « têtes brûlées », sans implication de l’Etat d’Israël. Le pacte conclu par l’ambassadeur donne un éclairage nouveau à une telle collaboration.

Parallèlement, l’agence américaine Associated Press, a publié une enquête sous le titre « Qui étaient les snipers de Kiev ? Kiev et Moscou se rejettent la faute ».

Ses résultats tendent à conclure qu’au cours des journées sanglantes des 18, 19 et 20 février, où une centaine de personnes ont trouvé la mort et des centaines d’autres ont été blessées, toutes les victimes (policiers, manifestants, civils non manifestants) ont été la cible d’armes de même calibre, employées par une seule des deux forces en présence, et non les deux.

Mais qui ? Le gouvernement de Ianoukovitch et sa police (dont 13 membres ont quand même été abattus, et des dizaines d’autres blessés grièvement par balles), ou bien « l’opposition » ?

Le ministre de la santé du nouveau gouvernement (anti-russe, donc) Oleh Musiy, un médecin ayant prodigué des soins aux blessés pendant l’insurrection- a affirmé à Associated Press que la similitude des blessures par balles relevées, tant chez les opposants que dans les rangs policiers, est la preuve que les snipers avaient pour objectif d’exacerber les violences, pour parvenir au renversement de Ianoukovitch. Il en conclut cependant, qu’il faut y voir la main des forces spéciales … russes, désireuses d’un renvoi de Ianoukovitch, comme prétexte à une intervention militaire.

Côté russe, on dit naturellement le contraire, avec la révélation d’une information très compromettante pour l’Occident (OTAN, Union Européenne), non démentie à jour.

En l’occurrence, une conversation téléphonique, interceptée par les Russes, entre le ministre des Affaires étrangères de l’Estonie Urmas Paet et Lady Caherine Ashton, responsable de la politique étrangère pour l’Union européenne.

Au cours de cet appel téléphonique, en date du 26 février, Urmas Paet, qui vient d’effectuer un déplacement à Kiev, indique à son interlocutrice de l’Union européenne que des manifestants (anti-Ianoukouvitch) lui avaient affirmé que c’étaient bien les opposants à Ianoukouvitch qui étaient derrière les tirs mortels de snipers.

Paet ajoute, à l’attention de Catherine Ashton, qu’il a rencontré un médecin, la doctoresse Olha Bogomolets. Cette dernière, qui avait soigné des victimes sur le terrain, lui a affirmé que policiers et civils avaient été tués par des balles identiques. Le ministre estonien conclut : « on est donc de plus en plus convaincu que ce n’était pas Ianoukovitch qui commandait le tir, mais quelqu’un qui fait aujourd’hui partie de la nouvelle coalition gouvernementale ».

Mercredi 5 mars, Paet a confirmé publiquement l’authenticité de la conversation divulguée par les médias russes. Il a dit qu’il ne faisait que rapporter les propos du Dr Bogomolets, « une personne faisant incontestablement autorité ».

Depuis ces révélations fracassantes, la Dr Bogomolets s’est mise aux abonnés absents.

Voici maintenant (en anglais), les dépêches de la Jewish Telegraphic Agency, puis celle d’Associated Press.

Dépêche de la JTA Israeli envoy opens ’hotline’ with Ukrainian ultra-nationalist Agreement aims to ’prevent provocation’ and denounce the anti-Semitic tendencies of Ukraine’s nationalist camp. By JTA | Mar. 7, 2014

Israel’s ambassador in Kiev, Reuven Din El, opened a hotline with a Ukrainian ultra-nationalist movement to “prevent provocations,” according to an agreement reached last week. The agreement came at the end of a meeting between Din El and Dmitry Yarosh, the leader of the Right Sector paramilitary group, which participated in the overthrow of the government of President Viktor Yanukovych. In the meeting, “Dmitry Yarosh stressed that Right Sector will oppose all [racist] phenomena, especially anti-Semitism, with all legitimate means,” the embassy wrote on its website. “The parties agreed to establish a ‘hotline’ to prevent provocations and coordinate on issues as they arise,” it said. Yarosh’s troops had a decisive role in the revolution that forced Yanukovych to flee to Russia. Last month he told the Ukrainian Pravda newspaper that his outfit shares many beliefs with the xenophobic Svoboda party and cooperates with it, but rejects the xenophobia displayed by Svoboda members and leaders. “We have a lot of common positions on ideological issues, but there are big differences. For example, I do not understand racist elements and I do not adopt them,” he said. Yarosh said that “non-Ukrainians” should be treated according to principles set forth by Ukrainian nationalist leader Stepan Bandera. A one-time ally of Nazi Germany who later turned against the Nazis, Bandera said non-Ukrainian allies should be treated as brothers and neutral parties should be respected. The Simon Wiesenthal Center and other Jewish organizations have condemned the glorification in Ukraine of Bandera, whose troops are believed to have killed thousands of Jews when they were allies of the Nazis in 1941. Svoboda lawmakers have regularly used the pejorative “zhyd,” which is equivalent to “kike,” to describe Jews. In response to protests from Jewish leaders, Svoboda argued “zhyd” was a correct and neutral, albeit archaic term. Svoboda’s leader, Oleh Tyahnybok, has in the past referred to a “Moscow-Jewish mafia” which he said ruled Ukraine. Din El and Tyahnybok spoke in March 2013 in a meeting which the Israeli foreign ministry said was not coordinated with Jerusalem.

Dépêche d’Associated Press

On whose side were the Kiev snipers ? Russia and Ukraine trade blame Forensic evidence suggests that snipers were targeting both sides of the standoff at Maidan. By The Associated Press | Mar. 8, 2014

One of the biggest mysteries hanging over the protest mayhem that drove Ukraine’s president from power : Who was behind the snipers who sowed death and terror in Kiev ?

That riddle has become the latest flashpoint of feuding over Ukraine — with the nation’s fledgling government and the Kremlin giving starkly different interpretations of events that could either undermine or bolster the legitimacy of the new rulers.

Ukrainian authorities are investigating the February 18-20 bloodbath, and they have shifted their focus from ousted President Viktor Yanukovych’s government to Vladimir Putin’s Russia — pursuing the theory that the Kremlin was intent on sowing mayhem as a pretext for military incursion.

Russia suggests that the snipers were organized by opposition leaders trying to whip up local and international outrage against the government. The government’s new health minister — a doctor who helped oversee medical treatment for casualties during the protests — told The Associated Press that the similarity of bullet wounds suffered by opposition victims and police indicates the shooters were trying to stoke tensions on both sides and spark even greater violence, with the goal of toppling Yanukovych.

« I think it wasn’t just a part of the old regime that [plotted the provocation], but it was also the work of Russian special forces who served and maintained the ideology of the [old] regime, » Health Minister Oleh Musiy said.

Putin has pushed the idea that the sniper shootings were ordered by opposition leaders, while Kremlin officials have pointed to a recording of a leaked phone call between Estonia’s foreign minister and the European Union’s foreign policy chief as evidence to back up that version.

This much is known : Snipers firing powerful rifles from rooftops and windows shot scores of people in the heart of Kiev. Some victims were opposition protesters, but many were civilian bystanders clearly not involved in the clashes. Among the dead were medics, as well as police officers. A majority of the more than 100 people who died in the violence were shot by snipers ; hundreds were also injured by the gunfire and other street fighting.

On Tuesday, Interior Minister Arsen Avakov signaled that investigators may be turning their attention away from Ukrainian responsibility.

« I can say only one thing : the key factor in this uprising, that spilled blood in Kiev and that turned the country upside down and shocked it, was a third force, » Avakov was quoted as saying by Interfax. « And this force was not Ukrainian. »

The next day, Prosecutor General Oleh Makhntisky said officials have found sniper bullet casings on the National Bank building a few hundred yards up the hill from Maidan, the square that became the center and the symbol of the anti-government protests. He said investigators have confirmed snipers also fired from the Hotel Ukraine, directly on the square, and the House of Chimeras, an official residence next to the presidential administration building.

Deputy Interior Minister Mykola Velichkovych told AP that commanders of sniper units overseen by the Berkut police force and other Interior Ministry subdivisions have denied to investigators that they had given orders to shoot anyone.

Musiy, who spent more than two months organizing medical units on Maidan, said that on Feb. 20 roughly 40 civilians and protesters were brought with fatal bullet wounds to the makeshift hospital set up near the square. But he said medics also treated three police officers whose wounds were identical.

Forensic evidence, in particular the similarity of the bullet wounds, led him and others to conclude that snipers were targeting both sides of the standoff at Maidan — and that the shootings were intended to generate a wave of revulsion so strong that it would topple Yanukovych and also justify a Russian invasion.

Russia has used the uncertainty surrounding the bloodshed to discredit Ukraine’s current government. During a news conference Tuesday, Putin addressed the issue in response to a reporter’s question, suggesting that the snipers in fact « may have been provocateurs from opposition parties. »

That theory gained currency a day later when a recording of a February 26 private phone call between Estonian Foreign Minister Urmas Paet and European Union foreign policy chief Catherine Ashton was leaked and broadcast by the Russian government-controlled TV network, Russia Today. In the call, Paet said he had heard from protesters during a visit to Kiev that opponents of Yanukovych were behind the sniper attacks.

Paet said another physician who treated victims, Dr. Olha Bogomolets, told him that both police and protesters were killed by the same bullets — and « there is now stronger and stronger understanding that behind snipers it was not Yanukovych, but it was somebody from the new [government] coalition. »

On Wednesday Paet confirmed the recording was authentic, and told reporters in Tallinn that he was merely repeating what Bogomolets had told him. He said he had no way of verifying the claims, though he called Bogomolets « clearly a person with authority. »

Bogomolets couldn’t be immediately reached by the AP for comment. She did not answer repeated calls to her cellphone or respond to text messages.

In an interview earlier this week with a correspondent from British newspaper The Telegraph, Bogomolets said she didn’t know if police and protesters were killed by the same bullets, and called for a thorough investigation.

« No one who just sees the wounds when treating the victims can make a determination about the type of weapons, » she was quoted as saying. « I hope international experts and Ukrainian investigators will make a determination of what type of weapons, who was involved in the killings and how it was done. I have no data to prove anything. »

Musiy, the health minister, dismissed Bogomolets’ conclusions that opposition leaders were behind the sniper attacks, saying he considered her a capable doctor but « not competent to speak about this, and her comments do not correspond with reality. »

On Thursday, Russia’s UN envoy said he discussed the leaked phone call during a closed-door meeting of the UN Security Council.

If the call represents the truth, Ambassador Vitaly Churkin told reporters, « it is hard to imagine how such a parliament [...] can be regarded as a legitimate parliament that can pass legitimate decisions on the future of Ukraine. »

A former top security official with Ukraine’s main security agency, the SBU, waded into the confusion, in an interview published Thursday with the respected newspaper Dzerkalo Tizhnya. Hennady Moskal, who was deputy head of the agency, told the newspaper that snipers from the Interior Ministry and SBU were responsible for the shootings, not foreign agents. « In addition to this, snipers received orders to shoot not only protesters, but also police forces. This was all done in order to escalate the conflict, in order to justify the police operation to clear Maidan, » he was quoted as saying.

One of the victims of the snipers was Alexander Tonskikh, 57. He told AP that at around 10 A.M. on February 20, he and dozens of opposition fighters moved south out of the main battleground on Maidan.

Riot police withdrew suddenly, he said, and an instant later snipers began firing from at least two different directions, from what seemed to be the rooftops of government buildings, between 200 and 300 yards away.

He said dozens of people were « mown down like grass » as he and others crouched behind a waist-high stone wall, holding wooden clubs and metal riot shields.

At least 10 people, he said, were killed instantly, and many others wounded. The bodies piled up on top of each other like fallen tree branches.

Shooting then began from a third direction, he said. As he crouched with his back to a tree, he was hit by a bullet that entered his right arm, went through his right side, punctured his lung and lodged just below his heart. He then lost consciousness.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
X
15 mars 2014 18:03
Que de spécialistes sur ce forum...

Russie ou USA, ce sont deux empires criminels.

Par contre, le flou idéologique de certains est quand même inquiétant.
On n'est pas sortis de l'auberge.
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