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Tunisie : Après Kadhafi et Bachar, des miliciens du Polisario pour protéger...
13 juin 2025 18:07
Vas comprendre !!! Quel est ce politicien qui sort de la neutralité au moment où son nouveau allié est en chute libre. Un futur réfugié à Alger.
13 juin 2025 18:19
Le "printemps tunisien" a été volé par Kais Bobris ! Ce qui était censé être une révolution pour la liberté et la démocratie s'est transformé en un cauchemar économique sous sa présidence. Les Tunisiens font maintenant la queue pour de la nourriture, exactement comme en Algérie, un pays où les gens souffrent depuis des décennies. Saied a pris le pouvoir, écrasé la démocratie, et aujourd'hui, tout le monde est coincé dans une crise où l'espoir d'une vie meilleure est enterré sous la misère économique. Un véritable fiasco, comme si l'histoire se répétait, mais avec des pires résultats. Finek ya bouguiba finek!
13 juin 2025 19:08
Ce que j'aime dans les articles de Mohammed Jaabouk, c'est sa manière de les finir pour pousser le lecteur à penser et dire ce que lui pense et n'ose pas dire.

Sinon, je ne vois pas pourquoi Kaïs Saïed cherche à se maintenir au pouvoir, alors qu'il sait très bien, comme disent Chevallier et Laspalès, "il y en a qui ont essayé, ils ont eu des problèmes", surtout dans un pays comme la Tunisie qui a connu la Révolution du Jasmin. En plus, tous les régimes, qui comptaient sur la junte militaire algérienne et ses mercenaires polisariens, ont fini par disparaître.

Donc, Kaïs Saïed doit se ressaisir pour ne pas subir le même sort.
e
13 juin 2025 19:37
Le Polisario et l algerie portent malheur a leur amis Syrie Hezbollah Hamas houti Iran et bientôt la Tunisie
13 juin 2025 19:48
"Ces renforts n'ont toutefois pas empêché la chute de ces régimes."

KS devrait méditer les leçons de l'histoire, le Polisario, pas plus que l'Algérie, n'ont jamais sauvés un régime de sa chute! Je dirais même que le soutient de l'Algérie est comparable au soutient de la corde au pendu!
R
13 juin 2025 21:25
La Tunisie doit être considérée comme un pays ennemi a cause de leur president.On doit sécuriser le Maroc des Tunisiens qui vont au Maroc.Il faut faire comme avec la Syrie de l'époque de Bachar.
13 juin 2025 22:41
Écoute, il a tout de même bien réussi. Il a suivi son modèle et est arrivé au même niveau. Ce n’est pas à la portée de tout le monde,
Citation
Benoona a écrit:
Le "printemps tunisien" a été volé par Kais Bobris ! Ce qui était censé être une révolution pour la liberté et la démocratie s'est transformé en un cauchemar économique sous sa présidence. Les Tunisiens font maintenant la queue pour de la nourriture, exactement comme en Algérie, un pays où les gens souffrent depuis des décennies. Saied a pris le pouvoir, écrasé la démocratie, et aujourd'hui, tout le monde est coincé dans une crise où l'espoir d'une vie meilleure est enterré sous la misère économique. Un véritable fiasco, comme si l'histoire se répétait, mais avec des pires résultats. Finek ya bouguiba finek!
S
14 juin 2025 09:00
L’implantation présumée de miliciens du Polisario en Tunisie pour soutenir un régime vacillant est une nouvelle preuve flagrante de la nature véritable de ce groupe : une milice paramilitaire instrumentalisée depuis des décennies par un État voyou, l’Algérie, pour faire avancer ses agendas géostratégiques déstabilisateurs. Alors que la communauté internationale s’interroge sur les activités transfrontalières du Front Polisario — allant du banditisme armé à la collaboration avec des réseaux terroristes dans le Sahel — le régime algérien continue, avec une irresponsabilité criante, à lui fournir passeports, logistique et protection diplomatique.
Cette tentative d'ingérence en Tunisie rappelle les précédents tragiques de la Libye et de la Syrie, où l’implication du Polisario n’a fait qu’accélérer l’effondrement des régimes qu’il était censé soutenir. Le peuple tunisien, digne et souverain, mérite mieux que l’importation de mercenaires formés à Tindouf. Quant à l’Algérie, elle démontre encore une fois qu’elle préfère semer le chaos chez ses voisins plutôt que de s’attaquer à ses propres crises internes. Il est temps que la communauté internationale qualifie clairement le Polisario pour ce qu’il est : une milice terroriste, outil de déstabilisation au service d’un régime algérien à la dérive.
14 juin 2025 11:39
Quand "un balai" trouve "sa manche" ,(tabboun et kais ) il faut s'attendre au pire ,la dernière en date les déportations massives d'algeropolisariens de leur fief à celui en Tunisie de kais,puis ,le fiasco prénommé ( caravane de la resistence ) concoctée par les mercantiles voyous caporaux pour destabiliser les autres nations à savoir l'Egypte et Libye ,sinon à quoi cela va-t-il servir les gazaouis enfermés par tsahal ,que cette soi disant "caravane" de la honte n'est munie d'aucun document officiel (visa) accord de principe ,ni denrées alimentaires pour les affamés encerclés ni médicaments ni logistic sanitaire ni rien du tout sauf des drapeaux tunisiens,algeriens et draperies fantoches des mercenaires parasites terroristes algeropolisariens rien que cela hahah !! vous rigolez ,de la gueule des égyptiens ,manière de les classer et clacher comme quoi ils sont des "làches" et ce sont eux qui contribuaient à affamer et enfermer les gazaouis ??? mais Sissi a vite réagit et derrière lui son peuple pour vous interdire l'accés méme sur le territoire égyptien ,quelle humuliation de tabboun et son sosie kais ,risée du monde honte à vous dans la vie mondaine et l'enfer dans l'au-delà ,gallak sad smiley inna almouminine ikhwa ) yak a almounafikine ,ikhwa là-bas ,et ennemis au voisinage !! laanato allah alaykom ajmaine gaddach sabbate o shate !!
L
14 juin 2025 21:00
Le Sahara Occidental est considéré par l’ONU comme un territoire non autonome, dont le peuple a droit à l’autodétermination, sans reconnaissance de souveraineté marocaine. La Cour internationale de justice (CIJ) a confirmé en 1975 que le Maroc ne détient aucun droit de souveraineté sur ce territoire. La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) distingue explicitement le Sahara Occidental du Maroc dans ses arrêts, interdisant l’exploitation de ses ressources sans le consentement du peuple sahraoui. Enfin, l’Union africaine (UA) reconnaît la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD) comme État membre, marquant ainsi un soutien politique fort au Front Polisario.
14 juin 2025 21:15
Mon petit Ramsès,
Le Sahara Occidental.....La CIJ....non automne....CJUE....UA.... T'en n'a pas marre de te répéter mille fois sans aucun argument réaliste. Tu as remarqué que quasiment toute l'Europe + les USA + un grand nombre de pays africains reconnaissance notre souveraineté. Tu as remarqué que chaque matin un pays retire sa reconnaissance à ton état fantôme: la Kenya, Ghana, Syrie + de gros pays d'Amérique Latine. Bientôt ce sera l'Ethiopie, la Mauritanie...j'arrête sino j'y suis demain matin.
Aujourd'hui le Maroc est au Sahara et le drapeau rouge y flotte fièrement. Une route de Tiznit à Dakhla, chez toi elle fait tout le pays de haut en bas ou de droite à gauche. Bientôt le port de Dakhla probablement le plus grand de l'Atlantique africain.
Tu vois tout ça ou il faut des lunette pour myope profond.
Citation
Lino Aydan a écrit:
Le Sahara Occidental est considéré par l’ONU comme un territoire non autonome, dont le peuple a droit à l’autodétermination, sans reconnaissance de souveraineté marocaine. La Cour internationale de justice (CIJ) a confirmé en 1975 que le Maroc ne détient aucun droit de souveraineté sur ce territoire. La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) distingue explicitement le Sahara Occidental du Maroc dans ses arrêts, interdisant l’exploitation de ses ressources sans le consentement du peuple sahraoui. Enfin, l’Union africaine (UA) reconnaît la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD) comme État membre, marquant ainsi un soutien politique fort au Front Polisario.
S
15 juin 2025 07:39
Ton argumentaire repose sur des contre-vérités juridiques et une lecture biaisée des faits. La Cour internationale de justice (CIJ), en 1975, n’a jamais affirmé que le Maroc n’avait aucun droit sur le Sahara. Au contraire, elle a reconnu des liens juridiques d’allégeance entre les tribus sahraouies et le Sultan du Maroc, invalidant ainsi la thèse du “terra nullius”. Quant à l’ONU, elle soutient une solution politique mutuellement acceptable, et non un référendum devenu inapplicable depuis l’échec du recensement. La CJUE, de son côté, n’est pas une instance politique et ses décisions portent sur des accords commerciaux, sans remettre en cause la souveraineté marocaine. Enfin, l’adhésion de la pseudo-RASD à l’Union africaine n’a aucune valeur juridique et résulte d’un contexte purement idéologique. Le seul avenir viable reste le plan marocain d’autonomie, soutenu par de nombreuses puissances, garant de stabilité, développement et dignité pour les populations sahraouies.
L
15 juin 2025 09:01
Vous affirmez avec emphase que « le drapeau rouge flotte fièrement » sur le Sahara Occidental et que de nombreuses reconnaissances de la RASD sont retirées. Mais permettez-moi de vous rappeler que la souveraineté ne s’établit ni par l’invective ni par les kilomètres d’asphalte posés, aussi modernes soient-ils.
Le Sahara Occidental reste inscrit à l’ONU comme territoire non autonome (fait juridique incontestable). La CIJ a explicitement affirmé en 1975 que les liens historiques entre le Maroc et ce territoire n’impliquaient aucun droit de souveraineté. La CJUE, dans plusieurs arrêts, distingue clairement le Sahara Occidental du Royaume du Maroc, interdisant l’exploitation de ses ressources sans le consentement du peuple sahraoui. Enfin, l’Union africaine reconnaît la RASD comme membre à part entière, ce qui, sauf erreur, n’est pas un détail diplomatique.

Vous évoquez des évolutions géopolitiques en faveur de votre position. Soit. Mais elles ne modifient ni le droit international, ni le principe fondamental du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Quant aux reconnaissances retirées, elles sont parfois le fruit de pressions ou de calculs bilatéraux, rarement d’un changement de conviction fondée sur le droit.

Le développement d’infrastructures au Sahara Occidental est un fait. Leur instrumentalisation comme argument de souveraineté est une erreur de logique. La colonisation a toujours construit pour mieux asseoir ses prétentions. Mais construire ne signifie pas appartenir.

Je vous invite donc, en toute cordialité, à distinguer entre la force d’un fait accompli et la légitimité d’un droit fondamental, celui des Sahraouis à choisir librement leur destin. Car c’est bien cela que rappelle inlassablement le droit international — non par myopie, mais par cohérence.

Avec mes salutations respectueuses.
Citation
AL MASSIRA a écrit:
Mon petit Ramsès,
Le Sahara Occidental.....La CIJ....non automne....CJUE....UA.... T'en n'a pas marre de te répéter mille fois sans aucun argument réaliste. Tu as remarqué que quasiment toute l'Europe + les USA + un grand nombre de pays africains reconnaissance notre souveraineté. Tu as remarqué que chaque matin un pays retire sa reconnaissance à ton état fantôme: la Kenya, Ghana, Syrie + de gros pays d'Amérique Latine. Bientôt ce sera l'Ethiopie, la Mauritanie...j'arrête sino j'y suis demain matin.
Aujourd'hui le Maroc est au Sahara et le drapeau rouge y flotte fièrement. Une route de Tiznit à Dakhla, chez toi elle fait tout le pays de haut en bas ou de droite à gauche. Bientôt le port de Dakhla probablement le plus grand de l'Atlantique africain.
Tu vois tout ça ou il faut des lunette pour myope profond.
L
15 juin 2025 09:04
Ta position repose essentiellement sur une lecture sélective des textes, des faits accomplis sur le terrain et sur un soutien diplomatique fluctuants, mais elle ne résiste pas à l’examen juridique rigoureux et aux principes du droit international.

Le Sahara Occidental n’appartient pas au Maroc, pas plus que des infrastructures ou des consulats étrangers ne confèrent une souveraineté juridique.

Je vous invite, si vous êtes sincèrement attaché à la paix et à la stabilité, à reconnaître que le droit du peuple sahraoui à choisir son destin n’est ni négociable ni périmé. Il est simplement suspendu, et tant que la solution politique ne l’intègre pas clairement, le conflit restera non résolu, malgré les apparences.
Citation
SaharaHeritage a écrit:
Ton argumentaire repose sur des contre-vérités juridiques et une lecture biaisée des faits. La Cour internationale de justice (CIJ), en 1975, n’a jamais affirmé que le Maroc n’avait aucun droit sur le Sahara. Au contraire, elle a reconnu des liens juridiques d’allégeance entre les tribus sahraouies et le Sultan du Maroc, invalidant ainsi la thèse du “terra nullius”. Quant à l’ONU, elle soutient une solution politique mutuellement acceptable, et non un référendum devenu inapplicable depuis l’échec du recensement. La CJUE, de son côté, n’est pas une instance politique et ses décisions portent sur des accords commerciaux, sans remettre en cause la souveraineté marocaine. Enfin, l’adhésion de la pseudo-RASD à l’Union africaine n’a aucune valeur juridique et résulte d’un contexte purement idéologique. Le seul avenir viable reste le plan marocain d’autonomie, soutenu par de nombreuses puissances, garant de stabilité, développement et dignité pour les populations sahraouies.
15 juin 2025 12:34
Lino Aydan ,

( le fanatisme est aveugle,il rend sourd et aveugle.Le fanatique (ton cas ) ne se pose pas de questions,il ne connait pas le doute:il sait , (ton cas ) il pense qu'il sait ( ton cas )

Lève-toi "t'gaade" , Chenguit fit un territoire marocain ,il ne fut reconnu qu'en 1961 et ce ,comme "offrande" par feu H2 ,le pourquoi et le comment sont documentés dans l'histoire ,cherche tu trouves !! ne fais pas semblant d'un short-d'esprit ,on te connait tres bien virtuellement,ce territoire est bel et bien marocain d'ancetre à ancétre ,tout comme Bachar,Tindouf,Kenadsa,Sawra,Timimoune,Adrar,Wargla,Gourara,Tidikkelt,Mechriya,Sidi bel abbas,Temouchent,Tlemcen-Zenata d'où est ton origine ,et celui de Bouteflika Nadroma ,Gourara,Touate ... les archives des anciens colons français et Iberiques en temoigneront de la veracité de cette histoire indélébile ,mon cher Lotfizakaria ,chakrouni fmly de Benchekroune ,
originaire du Maroc .. tu as peur de te reconnaitre comme tel ,le DRS va te punir !! hein
15 juin 2025 16:05
Juste un rappel à ton argumentaire, celui de la junte, la Nouvelle Calédonie ou Gibraltar sont des territoires non autonomies. La souveraineté de la France ou du RU seraient non établies ?
En attendant le drapeau rouge est là pour longtemps, et tu peux répéter ta chanson aussi longtemps que ça te plait.
Citation
Lino Aydan a écrit:
Vous affirmez avec emphase que « le drapeau rouge flotte fièrement » sur le Sahara Occidental et que de nombreuses reconnaissances de la RASD sont retirées. Mais permettez-moi de vous rappeler que la souveraineté ne s’établit ni par l’invective ni par les kilomètres d’asphalte posés, aussi modernes soient-ils.
Le Sahara Occidental reste inscrit à l’ONU comme territoire non autonome (fait juridique incontestable). La CIJ a explicitement affirmé en 1975 que les liens historiques entre le Maroc et ce territoire n’impliquaient aucun droit de souveraineté. La CJUE, dans plusieurs arrêts, distingue clairement le Sahara Occidental du Royaume du Maroc, interdisant l’exploitation de ses ressources sans le consentement du peuple sahraoui. Enfin, l’Union africaine reconnaît la RASD comme membre à part entière, ce qui, sauf erreur, n’est pas un détail diplomatique.

Vous évoquez des évolutions géopolitiques en faveur de votre position. Soit. Mais elles ne modifient ni le droit international, ni le principe fondamental du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Quant aux reconnaissances retirées, elles sont parfois le fruit de pressions ou de calculs bilatéraux, rarement d’un changement de conviction fondée sur le droit.

Le développement d’infrastructures au Sahara Occidental est un fait. Leur instrumentalisation comme argument de souveraineté est une erreur de logique. La colonisation a toujours construit pour mieux asseoir ses prétentions. Mais construire ne signifie pas appartenir.

Je vous invite donc, en toute cordialité, à distinguer entre la force d’un fait accompli et la légitimité d’un droit fondamental, celui des Sahraouis à choisir librement leur destin. Car c’est bien cela que rappelle inlassablement le droit international — non par myopie, mais par cohérence.

Avec mes salutations respectueuses.
S
15 juin 2025 16:20
Ta réponse est typique d’un discours figé, déconnecté des réalités juridiques, historiques et géopolitiques actuelles. Commençons par rappeler que le plan d’autonomie sous souveraineté marocaine est pleinement conforme au droit international : il s’inscrit dans le cadre de l’article 1.2 de la Charte de l’ONU sur l’autodétermination, et plusieurs résolutions du Conseil de sécurité l’envisagent comme une base sérieuse et crédible pour une solution politique durable.
Par ailleurs, de quel “peuple sahraoui” parles-tu ? Celui dispersé entre Laâyoune, Dakhla et… les camps de la honte à Tindouf, où aucun recensement n’est autorisé par l’Algérie ? Pourquoi ce refus obstiné si ce n’est par peur de voir s’effondrer la fiction du Polisario ? Aucun processus d’autodétermination n’est possible sans connaître qui est habilité à voter.
La reconnaissance internationale en faveur de l’autonomie (États-Unis, Espagne, France, Allemagne, Émirats, etc.) est un signal clair : le projet marocain gagne en légitimité car il propose une paix réaliste, là où l’utopie séparatiste alimente l’instabilité régionale.
Enfin, l’Algérie devrait accepter la réalité : elle n’aura jamais d’accès à l’Atlantique. Son rêve expansionniste est mort-né.
Citation
Lino Aydan a écrit:
Ta position repose essentiellement sur une lecture sélective des textes, des faits accomplis sur le terrain et sur un soutien diplomatique fluctuants, mais elle ne résiste pas à l’examen juridique rigoureux et aux principes du droit international.

Le Sahara Occidental n’appartient pas au Maroc, pas plus que des infrastructures ou des consulats étrangers ne confèrent une souveraineté juridique.

Je vous invite, si vous êtes sincèrement attaché à la paix et à la stabilité, à reconnaître que le droit du peuple sahraoui à choisir son destin n’est ni négociable ni périmé. Il est simplement suspendu, et tant que la solution politique ne l’intègre pas clairement, le conflit restera non résolu, malgré les apparences.
 
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