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Les tribulations d'un jeune marocain au Maroc
L
11 décembre 2008 12:27
Bonjour,

Un extrait d'un livre à paraître prochainement et qui raconte le récit du voyage d'un jeune marocain de France, avec une note humouristique et une réfléxion intéressante.



(...)

J’avais donc décidé, une fois de plus, que je passerai mes vacances au Maroc. Par choix inconscient sans doute, et par habitude : quand arrive l’été, le marocain va au Maroc, c’est dans la nature des choses. Quant à moi, cela fait plus de 20 ans que chaque été, à de rares exceptions près, je retourne au « pays » et cela fait 20 ans qu’à chaque retour du Maroc, je me dis « c’est la dernière fois ». Mais 12 mois paraît être un laps de temps assez long pour faire oublier à l’homme ce qu’il à vécu et lui donner envie de retourner au Maroc. Le temps efface les souvenirs comme la vague efface les motifs tracés sur le sable d’une plage marocaine.

En fait de souvenirs, c’est les sentiments que le temps efface. Les souvenirs, c’est ce motif déformé et presque illisible que laisse la vague derrière elle lorsqu’elle se retire. Il faut plusieurs vagues pour l’effacer complètement si tant est que cela soit possible. On appelle cela une « réminiscence ». Les sentiment s’efface plus vite que le souvenir : on se remet d’un échec sentimental plus vite que l’on oublie la personne aimée. Le cerveau est donc plus propice à l’écriture des souvenirs que le cœur. Et ceci fait partie des grâces d’Allah Tout Puissant. Imaginez qu’à chaque fois que vous vous souvenez d’une chose, vous ressentiez exactement ce que vous avez ressenti le jour ou vous avez vécu cette chose. Un pincement au cœur à chaque fois que vous vous rappelez un amour perdu, une envie de se cacher sous terre à chaque fois que vous vous remémorez une situation humiliante, pire ! Une douleur atroce lorsque vous repensez à une rage de dents. La nature de l’homme est bien faite, n’est-ce pas ?
Quoi que dans certains cas, ce ne serait pas plus mal. Seul l’oubli de la douleur que peut procurer une rage de dents nous pousse à parfois négliger de nous brosser les dents.

Je disais-donc – pardonnez-moi cette digression- que j’avais décidé une fois de plus, après avoir très peu longuement réfléchit, que j’irai cette année encore au « Maroc ». C’est un pays que je connais bien et je ne risque par d’avoir de mauvaise surprise. Je dois avouer aussi que j’y était un peu contraint, toute ma famille s’apprêtant à y aller. Je ne voulais pas passer auprès de ma famille restée la-bas pour celui qui a renié son pays, s’est enraciné en France, est devenu un « françaoui ». Et puis, maintenir un lien avec sa terre natale est dans la nature de l’homme. L’homme a été crée de terre, ses pieds doivent fouler de temps à autre la terre qui l’a vu naître. Chaque exilé est un maillon de la chaîne qui unit les siens à leur pays d’origine. Il faut veiller à maintenir cette chaîne et à ne pas la briser. Si je retourne au Maroc chaque année, c’est parce que mes parents, durant mon enfance, m’y ont emmené chaque année. L’amour de son pays d’origine fait partie de l’éducation. Chaque marocain à donc le devoir d’éduquer sa descendance à l’amour de sa terre, à l’amour de ses origines.

Cette année, j’étais le dernier à partir. J’avais décidé de partir en avion car mes vacances étaient assez courtes pour me faire passer l’envie de perdre 5 jours sur la route bien que le voyage en avion ait parfois du bon : il évite le choc lié au décalage. Et je ne vise pas le décalage horaire mais l’autre décalage. En voiture au moins, on à le temps de s’adapter au contraste : plus on descend vers le sud, plus le climat est chaud, la terre est brûlée et les paysages désertiques. Comme si le Maroc était un soleil, l’Espagne Mercure et la France Vénus.

J’avais réservé mon billet d’avion sur le site Internet de la Ram (Royal Air Maroc), la compagnie nationale marocaine. Un billet aller simple, le retour étant prévu en voiture. 250 euros. Désormais, il me fallait attendre car mon vol était prévu pour dans 15 jours. J’ai ressenti l’impatience et l’excitation que vivent tous ceux qui s’apprêtent à partir loin mais je dois avouer que cette excitation est de moins en mois intense. Je me souvient que pendant mon enfance, j’attendais ce moment avec impatience et une frénésie certaine. Peut-être est-ce dû au fait qu’aujourd’hui, on peut décider de partir au Maroc, réserver son billet, faire sa valise, prendre l’avion et se retrouver au Maroc, le tout, en moins de 5 heures. Au fond, les gens vont désormais au Maroc comme il vont d’une ville française à l’autre. Le Maroc est à la foi si loin et si près.

J’ai déjà voyagé avec la RAM et je n’en garde pas de souvenir particulier, si ce n’est qu’à l’époque, l’avion était petit, peu spacieux et très austère. En même temps, à ce prix-là, il ne fallait pas s’attendre à quelques chose de royal. Comme on dit, l’avare paye deux fois.
l
11 décembre 2008 13:34
Lol Merci pour cette extrait fort sympathique smiling smiley
[b]Une philosophie de Succès"gardez vos croyances positives" car Ce que vous croyez devient vos pensées Vos pensées deviennent vos paroles Vos paroles deviennent vos actions Vos actions deviennent vos habitudes Vos habitudes deviennent vos valeurs Vos valeurs deviennent votre destinée[/b]
11 décembre 2008 14:05
salam merci pour l'exrait, c'est bizarre j'ai ressenti un peu la même chose que lui sur certains passage

le titre du livre please ?
[b][color=#FF0000][center]Se tromper une fois est une erreur Se tromper deux fois est un choix[/center][/color][/b]
l
11 décembre 2008 14:13
la même soltana47, je me suis reconnu la dedans lol
j aime bien se passage
"L’amour de son pays d’origine fait partie de l’éducation. Chaque marocain à donc le devoir d’éduquer sa descendance à l’amour de sa terre, à l’amour de ses origines."
[b]Une philosophie de Succès"gardez vos croyances positives" car Ce que vous croyez devient vos pensées Vos pensées deviennent vos paroles Vos paroles deviennent vos actions Vos actions deviennent vos habitudes Vos habitudes deviennent vos valeurs Vos valeurs deviennent votre destinée[/b]
p
11 décembre 2008 14:18
salam aleikoum

oui, un récit dans lequel on se retrouve ..
au plaisir de le lire en librairie winking smiley

ce sera publié chez quel éditeur ? quand? l'auteur? bref, donne nous qq infos à l'occaz...
!!*!! le seul chat autorisé sur ce forum
u
11 décembre 2008 22:29
Personnellement je ne me retrouves pas tellement que ça dans son réçit....

A chaque visite au pays la premiere chose que je fais c'est aller visiter la famille a la campagne,les racines pour moi c'est vital,notamment ma soeur qui habite encore a Tammassint Dchar ino (mon village),et miskina elle m'acceuille toujours avec les bras ouverts et les larmes de joies...mais bon avant d'arriver a la maison ce qui frappe c'est des qu'une fois avoir franchi le barrage gendarme a l'entrée d'Issaguen a Ktema t'as l'impression de changer de pays,tout autour de toi c'est des kilometres et des kilometres de montagnes et de villages, plus personne ne parle arabe et tu constates d'abord que rien a changé,ou alors si, en plus vieux et délabré....


Apres avoir évité des troupeaux de vaches indifférentes et négocié des lacets en épingle sur les routes toute cabossé du Rif,tu gares difficilement ta voiture aux pieds de la montagne et c'est la que tu t'aperçois que l'impesanteur ne joue pas forcément en ta faveur,et qu'il est plus facile de descendre que de monter,mais bon, un telle effort vaut le coup parce qu'une fois arrivé t'as la satisfaction d'embrasser toute ta famille,les oncles, les tantes, les cousins, les cousins des cousins, les voisins, les cousins des voisins et les voisins des cousins aux voisins qui sont quelque part également tes cousins......Les Rifains consanguains..Mdrr

Ensuite tu peux profiter d'une douche réparatrice une fois que le makhzen aura rétabli l'eau,c'est a dire le lendemain....

Le matin t'es révéillé par ceux que t'as pas vue la veille

Iwa 3la slama,mlih, chek mlih, merhba zayek dhanita ayuma!!.........les exclamations de la cinquantaine d’enfants (je sais pas comment ils font pour en faire autant) qui jouent en face de chez toi, les chiens qui aboient pour faire taire les anes qui braient.L'air pure, le calme ancestrale,les jours de mariages,les problemes familiaux (ils se vexent pour un rien),les histoires qu'on regle a coup de hachette,les soirées mouvementées sur les terrasses exclusivements masculine en plein aire,ou plus loin dans le noire en plein montagne a discuter de l'europe,du chomage de tout et n'importe quoi ..etc.

Et apres quelques jours de ce tourbillon de plaisirs et d’agréments sans cesse renouvelés,tu decides d'aller a Al hoceima ensuite Tetouan pour profiter des vacances autrements, la plage, le soleil et farniente, avec biensur dh'ayaw ino (mon neveu) qui a pratiquement le meme age que moi et qui deviendra durant tous ce mois,mon ombre,il me suivra partout ou j'irais,portera mes vetements, et ne mangera que ce que je lui paierais...lol,sacré neveu,mais c'est mon neveu je le considères comme mon ptit frere.
Azul mara imazighen,imazighen mani ma djan.........Nech zi Al hoceima.Azdjid n'Arrif.
L
11 décembre 2008 22:50
L'auteur est un jeune marocain. Il recherche un éditeur sérieux et est en discussion avec quelques petites maisons d'édition.

C'est un livre dans lequel il raconte son voyage au Maroc durant l'été 2008. Il livre ses impressions sur le Maroc contemporain à travers son expérience.
ok
12 décembre 2008 10:45
J'aurai préféré qu'il soit anarchiste est qu'il foute le feu à l'avion.
L
12 décembre 2008 18:33
Citation
udjedjid a écrit:
Personnellement je ne me retrouves pas tellement que ça dans son réçit....

A chaque visite au pays la premiere chose que je fais c'est aller visiter la famille a la campagne,les racines pour moi c'est vital,notamment ma soeur qui habite encore a Tammassint Dchar ino (mon village),et miskina elle m'acceuille toujours avec les bras ouverts et les larmes de joies...mais bon avant d'arriver a la maison ce qui frappe c'est des qu'une fois avoir franchi le barrage gendarme a l'entrée d'Issaguen a Ktema t'as l'impression de changer de pays,tout autour de toi c'est des kilometres et des kilometres de montagnes et de villages, plus personne ne parle arabe et tu constates d'abord que rien a changé,ou alors si, en plus vieux et délabré....


Apres avoir évité des troupeaux de vaches indifférentes et négocié des lacets en épingle sur les routes toute cabossé du Rif,tu gares difficilement ta voiture aux pieds de la montagne et c'est la que tu t'aperçois que l'impesanteur ne joue pas forcément en ta faveur,et qu'il est plus facile de descendre que de monter,mais bon, un telle effort vaut le coup parce qu'une fois arrivé t'as la satisfaction d'embrasser toute ta famille,les oncles, les tantes, les cousins, les cousins des cousins, les voisins, les cousins des voisins et les voisins des cousins aux voisins qui sont quelque part également tes cousins......Les Rifains consanguains..Mdrr

Ensuite tu peux profiter d'une douche réparatrice une fois que le makhzen aura rétabli l'eau,c'est a dire le lendemain....

Le matin t'es révéillé par ceux que t'as pas vue la veille

Iwa 3la slama,mlih, chek mlih, merhba zayek dhanita ayuma!!.........les exclamations de la cinquantaine d’enfants (je sais pas comment ils font pour en faire autant) qui jouent en face de chez toi, les chiens qui aboient pour faire taire les anes qui braient.L'air pure, le calme ancestrale,les jours de mariages,les problemes familiaux (ils se vexent pour un rien),les histoires qu'on regle a coup de hachette,les soirées mouvementées sur les terrasses exclusivements masculine en plein aire,ou plus loin dans le noire en plein montagne a discuter de l'europe,du chomage de tout et n'importe quoi ..etc.

Et apres quelques jours de ce tourbillon de plaisirs et d’agréments sans cesse renouvelés,tu decides d'aller a Al hoceima ensuite Tetouan pour profiter des vacances autrements, la plage, le soleil et farniente, avec biensur dh'ayaw ino (mon neveu) qui a pratiquement le meme age que moi et qui deviendra durant tous ce mois,mon ombre,il me suivra partout ou j'irais,portera mes vetements, et ne mangera que ce que je lui paierais...lol,sacré neveu,mais c'est mon neveu je le considères comme mon ptit frere.

Ce n'est qu'un extrait, rien d'étonnant à ce que tu ne te reconnaise pas dans ce qui est écrit.
Je vois que tu es d'al-Hoceima, l'auteur du livre est aussi du nord, d'une famille berbère. Il en parle plus loin. Si j'ai le temps, je mettrais d'autres extraits.
t
12 décembre 2008 20:19
bonne initiative continue dans cette lancée grinning smiley


sinon, pour un premier jet, c'est pas mal ; si tu permets un retour il manque une touche d'originalité, de particularité qui fera de ton récit un récit original non banal et non commun à tous - cette touche qui sortira ton texte de l'ordinaire - winking smileygrinning smiley


ps. : relis aussi ton texte, pour quelques fautes d'orthographe , je dirai d'inattention winking smiley


BON COURAGE grinning smiley
Il s'agit de sourire à la vie, elle fera de même... De la layette en vue ? :D ;)
L
16 décembre 2008 10:52
Bonjour,

Tranchederepos et les autres,

Merci de vos encouragements.

udjedjid ,

Ce n'est qu'un extrait! Je pense que nos séjours au Maroc se ressemblent plus tous au moins. A moins que les rifains, sur ce point aussi, soient bien difféerents des autres!!
L
18 décembre 2008 16:16
Quelques minutes après le décollage, l’hôtesse de l’air se livre à son numéro favori : expliquer aux passagers ce qu’ils doivent faire en cas de « problème ». Pendant que sa collègue parle au micro en détaillant les gestes à observer en cas de complication, l’hôtesse de l’air se met au bout du couloir et commence sa prestation de mime. Un geste vaut souvent mieux qu’une longue explication. D’autant qu’il est compréhensible de tous, quelle que soit sa langue. Je n’ai pas prêté d’attention particulière au numéro de contorsion auquel se livrait cette jeune femme. En cas de complication, mieux vaut faire appel à ses instincts de survie et faire comme les autres. J’ai ressenti une certaine gêne en voyant cette hôtesse mimer ces gestes. Combien de fois à t-elle dû les répéter, devant ce public silencieux et hébété, devant ces centaines d’yeux la dévisageant, la scrutant, la reluquant pour certains, la déshabillant du regard pour d’autres ? Devant toutes ces femmes plus intéressées par l’épaisse couche de maquillage qui masque son visage que par ses explications ?A quoi pensait-elle à ce moment précis ? Elle devait sans doute se dire qu’elle aurait été mieux ailleurs. J’ai retenu tout de même qu’en cas de dépressurisation, il fallait « envisager » (action de mettre sur le visage) les masques à oxygène et qu’en cas de « crash » au dessus de la mer, il fallait enfiler son gilet de sauvetage, qui se trouvait sous le siège (d’après ce qu’elle disait, je n’ai pas pris la peine de vérifier par moi-même). Biensûr, il y a des mots que l’on évite de prononcer dans un avion qui se trouve à 8 000 mètres d’altitude, comme le mot crash. Entre nous, je doute de l’utilité du gilet de sauvetage que j’ai toujours considéré comme seulement destiné à rassurer les passagers. D’abord parce que la probabilité de se crasher en mer lorsque l’on va au Maroc est faible et ensuite parce que si l’avion venait à s’écraser en mer, je ne vois pas en quoi un gilet de sauvetage pourrait nous sauver. A la limite, un parachute serait nettement plus utile en cas de complication au dessus de la terre ferme.

La vie est une attente perpétuelle. Après avoir attendu le décollage avec impatience, il faut attendre l’atterrissage avec plus d’impatience encore. Attendre, attaché à un siège et privé de ses mouvements, avec comme seule distraction l’animation GPS qui vous indique en temps et en heure la position de l’avion la température extérieure (pour qui aurait envie de prendre l’air) et l’altitude. Une carte GPS des plus grossières, qui met Toulouse au même niveau que Bordeaux et Strasbourg à quelques pas Lyon.

Dans l’avion, chacun s’occupe comme il peut. Certains finissent leur nuit si tant est qu’ils l’aient déjà entamée, d’autres lisent et d’autres encore discutent. Une femme devant moi, la quarantaine et demi, feuillette un magazine people qui exhibe des filles en maillot de bain, pour les plus habillées. Les temps ont bien changé. Un homme, du même age, fait son numéro de dragueur marocain à sa voisine qui semble gêné par l’insistance du personnage. Deux autres femmes, dont l’une est algérienne, discutent du prix des denrées alimentaires, un des sujet de discussion favori des marocains (pour les hommes, c’est le taux de change). Biensûr, les gens sont généreux, ils gratifient tous les passagers de leur avis sur le prix des abricots en France et sur la cherté de la vie. Quant à moi, j’avais apporté avec moi quelques livres. Je commençais à en feuilleter un, avant de le refermer rapidement : le « petit déjeuner » était servi. Le personnel de bord ne s’est pas privé de nous rappeler qu’il était gracieusement offert par la compagnie, affirmation qu’il conviendrait de vérifier puisqu’il est probable qu’en réalité, le prix du petit déjeuner soit compris dans le prix du billet. Toujours est-il que j’en fus heureux, tout comme le fut mon ventre qui depuis quelques heures commençait à pousser des gémissements que même le bruit des réacteurs ne parvenait plus à couvrir. Une hôtesse passa donc accompagnée d’un chariot et traînant un steward, ou l’inverse, je ne sais plus. Le petit déjeuner, car il convient d’appeler les choses par leur nom, était composé d’un verre de café ou de thé, d’un mini croissant, d’un morceau de pain, d’un portion de fromage et d’une omelette contenue dans une barquette d’aluminium. J’ouvrais la barquette pour découvrir une substance d’un jaune improbable, tiède et à priori peu ragoûtante. Ma voisine, (l’autochtone française) en fit de même et j’attendis qu’elle y goûta avant de faire le grand saut. Elle fit une moue d’enfant - comme celle que font les mômes lorsqu’on les force à manger quelque chose qu’ils n’aiment pas - ce qui ne me laissa que peu de doutes sur l’appréciation qu’elle faisait de cette omelette.
K
19 décembre 2008 11:38
et ?????

finalement l'avion il s'ecrase ou pas ??

j'ai hate de voir la fin... -)
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k
21 décembre 2008 17:45
L'EXILE, je te souhaite bonne chance pour la publication de ton livre. N'oublie pas de mettre des copyright a la fin de tes textes pour les proteger si tu comptes les publier.


Udjedid, je souriais en lisant ton recit. Il est tres drole; il y a des coins du Maroc qui sont restes figes dans le temps.

k.
 
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