rebonjour, le depart de benali de la scene politique en Tunisie aura certainement un impact sur l' economie du maroc .Les 2 pays sont economiquement similaires et ils ont reussi a attirer beaucoup des IDE et des delocalisations :Textilles ,Callcenters,,nouvelles technologies etc,,,,,.Les 2 pays sont meme des conccurents .Mais vue la crise et le chaos dans lequel la Tunisie vit aujourd'hui aura des consequences sur ces delocalisations etrangeres et surtout francaises.Deja des textilliens commencent a quitter la tunisie et meme AIRBUS qui a choisi d' etre delocalise vers la Tunisie commence a se douter.........................................est ce que le malheur des uns font le bohneur des autres?????????????????????? Mais parcontre beaucoup de societes marocaines et surtout des banques marocaines ont beaucoup investi en Tunisie.....!!!! """""""""''Le tissu entrepreneurial marocain aurait subi quelques dommages, bien qu’il reste difficile de dresser un premier bilan des pertes accusées. La Tunisie vient de tourner une page et d’entamer une autre dans son histoire politique et economique. Le depart precipite de Ben Ali aurait fausse tous les calculs, Оconomiquement s’entend. Cette nouvelle redistribution des cartes aurait certainement des repercussions, « bien que moindres », sur notre economie, du moins dans le court terme. Ce postulat ressort des quelques declarations en off recueillies auprПs de certains operateurs qui ont opte pour l’anonymat. A noter que les deux ministПres des Affaires etrangeres et de la cooperation et celui du commerce exterieur ont brille par leur mutisme. Jusqu’a present, l’attentisme et l’inquietude restent les mots d’ordre. En attendant de voir ce que reservent les prehains jours. « Le tissu entrepreneurial marocain aurait subi quelques dommages, bien qu’il soit difficile, voire trПs difficile de dresser un premier bilan des pertes causes », nous confie Younes Zrikem, president de la commission commerce exterieur de la CGEM et de l’Association marocaine des Exportateurs (ASMEX). Nouveau tournant Contactee par Le Soir Echos, Rajaa Bensaoud, directrice de la communication a la RAM, declare que le trafic aerien s’effectue dans des conditions normales. D’ailleurs la RAM dessert deux vols quotidiens entre Casablanca et la capitale Tunis. Zrikem espere que les prochains jours seront meilleurs et que la machine economique tunisienne retrouvera son rythme de croisiere. Meme son de cloche aupres de l’economiste Driss Khrouz, estimant que l’impact de ce nouveau tournant sur l’economie nationale demeure quasiment faible sur le court terme, vu la faiblesse des echanges commerciaux bilateraux. Selon lui, la question qui merite d’etre posee est celle de connaitre les strategies des investisseurs marocains proches du cercle de Ben Ali «Ont-ils des capacites de redeploiement et d’adaptation aux nouvelles regles du jeu », voila le veritable enjeu, se demande khrouz. « Et ce n’est qu’en l’espace d’une annee que l’on peut parler vОritablement d’impact effectif sur l’economie »,ajoute-t-il. Cette instabilite politico-Оconomique aurait egalement des retombees positives. Ironie du sort! « Elle pourrait profiter И nombre de secteurs cles de notre economie tels le tourisme, le textile… », explique Khrouz, directeur de la Bibliotheque nationale. Et ce, du fait du taux eleve de similarite entre les structures des produits et le ciblage des marches, puisque le marche europeen s’adjuge a lui seul plus de 70% de de l’offre exportable des deux pays (cf www.lesoir-echos.com). Par ailleurs, il est utile de rappeler que le volume des echanges commerciaux bilateraux demeure insignifiant. Ce dernier s’est eleve a pres de 2,5 milliards de dirhams en 2009, soit une progression de 25% par rapport a 2006. En effet, le Maroc arrive a peine a exporter vers la Tunisie l’equivalent de 50 millions d’euros, alors qu’il en importe 148 millions d’euros. Cela veut dire tout que le solde commercial est largement favorable aux Tunisiens, vu que la force exportatrice de ce pays est trois fois plus superieure que la notre. Par ailleurs, les echanges intra-sectoriels entre les deux partenaires ne representent que moins de 1%, de ceux effectues avec le monde. Idem pour les investissements directs bilateraux, avec moins de 1% des flux des IDE""""""""""
Modifié 2 fois. Dernière modification le 18/01/11 19:45 par latif jarir.
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