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lilia6 a écrit:
Peut être que cette crise est bénéfique pour nous
عسى ان تكره شيء و هو خيرا لكم
Sa va booster les Algeriens "" feniants" à se retrousser les manches
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derbsultan a écrit:
Bonjour,
tres sage conclusion.malheureusement apres 53 ans de regime socialiste et d'endoctrinement au narcisme ce n'est pas facile a effacer il faut du temps et le temps manque justement a l'Algerie.Une chose est certaine ce n'est de l'interret du Maroc d'avoir une Algerie faible autant u'une Algerie puissante et propagandiste pour le bien de la region toute entiere.J'ajoutes ue c'est le devoir du Maroc peut etre de l'Egypte d'aider l'Algerie dans sa converssion vers l'economie de marche.
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critias a écrit:
“Les vrais ennemis de l’Algérie sont… les Algériens” Par Abdou Semmar
[www.algerie-focus.com]
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piducas a écrit:
J'ai eu à géré de nombreux employés dans des bases vie au sud algérien, notamment avec la société américaine Halliburton. Le problème avec les travailleurs algériens c'est qu'ils connaissent tous leurs droits, réels et même fictifs, et sont très revendicatif. Mais dès qu'il s'agit d'assurer leur dut envers l'employeur, là ils sont bien moins pointilleux ...
De sort que les américains, pour les emplois subalterne, préféraient ramener de dociles Philippins, malgré les frais de voyage que cela engendre, plutôt que de turbulents locaux.
Et ce n'étaient même pas des emplois demandant une haute qualification : soudeur ; électriciens ; conducteur d'engins ; etc.
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piducas a écrit:
En effet, concernant l'exemple des gendarmes, j'ai moi-même eu maille partir avec eux ...
Un barrage de gendarmerie. Je suis avec des collègues de travaille dans un véhicule de service. On nous fait signe de se garer. L'un des gendarmes me fixe avec insistance. Puis :
— "Je me souviens de toi ; tu m'a regardé de travers quand je suis venu à la base-vie".
C'était fort possible, bien que je ne me souvienne pas de ce gendarme-là en particulier, lui ne m'avait pas oublié. En effet ils avaient pour habitude de se comporter comme on se comporte en pays conquis : nous imposant leurs proches à l’embauche et se servant aux cuisines au passage.
Il inspecta document et véhicule puis nous laissa partir en nous laissant bien comprendre qu'il pourrait le faire avec plus de minutie ... wa el faham yafham ...
Dès qu'on nous parachutait un "protégé" je savais que la qualité du travail s'en ferait sentir, et j'avais alors pour habitude de le surcharger de travail : soit il plie (et le reste suivait) soit il démissionne. Dans les deux cas j'étais gagnant. Mais généralement ils démissionnaient. Bon débarra.
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lilia6 a écrit:
Salam,
Mon mari vient de prendre sa retraite anticipée , il travaillait à In Amenas , .
Je voulais intervenir juste pour confirmer tes dires , surtout pour les ""parachutés "" .
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piducas a écrit:
En effet, concernant l'exemple des gendarmes, j'ai moi-même eu maille partir avec eux ...
Un barrage de gendarmerie. Je suis avec des collègues de travaille dans un véhicule de service. On nous fait signe de se garer. L'un des gendarmes me fixe avec insistance. Puis :
— "Je me souviens de toi ; tu m'a regardé de travers quand je suis venu à la base-vie".
C'était fort possible, bien que je ne me souvienne pas de ce gendarme-là en particulier, lui ne m'avait pas oublié. En effet ils avaient pour habitude de se comporter comme on se comporte en pays conquis : nous imposant leurs proches à l’embauche et se servant aux cuisines au passage.
Il inspecta document et véhicule puis nous laissa partir en nous laissant bien comprendre qu'il pourrait le faire avec plus de minutie ... wa el faham yafham ...
Dès qu'on nous parachutait un "protégé" je savais que la qualité du travail s'en ferait sentir, et j'avais alors pour habitude de le surcharger de travail : soit il plie (et le reste suivait) soit il démissionne. Dans les deux cas j'étais gagnant. Mais généralement ils démissionnaient. Bon débarra.
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heywa a écrit:
des droits imaginaires ca ne m'étonnes même pas lol !
Est-ce véritablement un pblm que les travailleurs connaissent leurs droits, meme au plus bas de l'échelle ?
Il parait (g entendu dire ca...) que dans une démocratie c bon signe que les travailleurs usent de leurs droits ....(g bien dis usent et non abusent).
Les algeriens prennent -ils exemple sur les employés d'air France ?
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piducas a écrit:
Le problème n'est pas que les travailleurs connaissent leur droits, c'est quand l'employeur à toutes les peines du monde à avoir son dut que le problème se pose.
L'algérien à encore à l'esprit la fameuse formule qui avait cours dans les entreprises nationales pour résumer sa journée : "er regda wa t'mangi, wa tessena fel congi" (on dort et mange, et on attend le congé) mentalité héritée de la période Boumediene où le socialisme gommait tout effort.
Mais je ne pense pas que l'algérien soit plus fainéant qu'un autre, c'est le système qui l'a rendu ainsi. Pour preuve, lorsqu’il s'établit à son compte il ne compte plus ses heures et se passe de congés.
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heywa a écrit:
Je suis daccord.
Mais je souligne un point tout de meme, généralement un employeur a les employés qu'il mérite...
C un vrai metier de manager des equipes or beaucoup n'en sont pas capables qd bien meme ils sont bons dans leur domaine de technicité.
On reconnait de bons employés à la méthode de management du dirigeant.
Je suis de celle qui pense que la responsabilité de l'efficacité des troupes pèse sur le manager.
Dans une equipe ya tjrs quelques bras cassés mais tout le groupe ne peut pas etre mauvais donc si ca ne fonctionne pas c que le pblm vient d'en haut.
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imtiyaz a écrit:
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Si tu étais parmi les diplômés qui attendent en Algérie tu ne tiendrais pas ce langage.
La fougasse française explose les neurones
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