Le ministre américain de la défense, M. Donald Rumsfeld, a dit que les valeurs et les objectifs communs qui unissaient les pays membres de l'OTAN constituaient l'armature de la lutte mondiale contre l'extrémisme et le terrorisme.
« Notre unité n'a pas besoin d'être une uniformité de tactiques ou d'opinions, mais plutôt une union d'objectifs (...) Ceux qui chérissent les systèmes politiques libres et bénéficient de systèmes économiques libres (...) partagent les mêmes objectifs. Si nous travaillons de concert, ces espoirs pourront se réaliser pour un nombre encore plus grand de peuples qui veulent se libérer », a dit M. Rumsfeld.
« Les liens durables qui unissent les nations de l'OTAN ont souvent été mis à l'épreuve (...) S'il y a eu des divergences d'opinion à propos de l'Irak, ce genre de problèmes entre amis de longue date n'a rien d'exceptionnel », a-t-il souligné, ajoutant que des solutions avaient été trouvées aux questions les plus difficiles « car tant de choses nous unissent : des valeurs communes, une histoire partagée et une foi inébranlable en la démocratie ».
Il a fait remarquer que depuis la dernière conférence de Munich, en 2004, des événements historiques s'étaient produits, entre autres l'addition de sept nouveaux membres à l'OTAN, des élections libres en Afghanistan, en Irak et en Ukraine, et l'avènement d'un président élu démocratiquement pour l'Autorité palestinienne. Ces événements, a-t-il dit, « ne se seraient peut-être pas produits sans les contributions faites par certaines des personnalités présentes à la conférence ».
Dans son allocution devant les participants à la conférence, le 13 février, le secrétaire général de l'ONU, M. Kofi Annan, a déclaré que la clé du succès, en Irak, reposait sur la participation la plus large possible. Il a précisé que l'ONU se tenait prête à apporter son aide pour l'élaboration d'une nouvelle constitution, l'organisation du référendum prévu pour le mois d'octobre pour approuver la nouvelle constitution, et l'organisation par la suite d'élections parlementaires.
M. Annan a aussi exhorté les participants à la conférence à renforcer leurs défenses collectives « pour nous donner les meilleures chances d'empêcher des menaces latentes de devenir imminentes et des menaces imminentes de se réaliser ».
Le régime actuel concernant la non-prolifération nucléaire devrait lui aussi, de l'avis de M. Annan, être renforcé. Le secrétaire général de l'ONU a prôné un durcissement des règles relatives aux inspections, l'offre d'incitations pour encourager les pays à abandonner leur programme d'enrichissement de l'uranium et la négociation d'un traité visant à proscrire définitivement la production de matériaux fissiles destinés à des programmes d'armement nucléaire. article retransmis par : moulay abdellah bouskraoui.
je pense vraiment pas, puisque la france cherche à savoir les principales raisons du terrorisme, plusieurs chercheur français ont entamé des enquêtes pour en arriver à bien comprendre les causes, il serait donc façile de faire façe au terrorisme...je peux te dire qu'ils cherchent à traiter le phénomène intelligament alors que les USA ne veulent rien savoir et s'accrochent aux solutions militaires...du coup tout les pays proches de la france partagent le même concept et ceux proches des USA font pareil vis a vis des ces derniers donc en gros ils ont pas les mêmes objectifs
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