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As-salaamou 3alaykoum wa rahmatoullahi wa barakaatou mes frères et soeurs que j'aime en Allah. Comme prévu je poursuis la fin de la sirah (biographie prophétique) avec les enseignements à en tirer pour nous. Pour ceux qui n'ont pas lu mon ancienne publication voir ici à propos de Taboûk:

[www.yabiladi.com]

Donc là ce sera la fin de la prophétie, il y a beaucoup de chose à savoir, à dire, à partager, une émotion grande! Je ne peux vous décrire la dureté d'écrire ce message tellement c'est émouvant, les doigts sur le clavier tremblant, les larmes dégoulinant! Préparez vos mouchoirs et bonne lecture!!


Toute âme goutera la mort . . .


Tu as sans doute du le constater, nous sommes malheureusement arrivés au terme de l’aventure. Mouhammad sallâllahou 3alayhi wa sallama qui avait soixante trois ans lorsqu’il accomplit son dernier pèlerinage d’adieu à la Mecque. Il partit en compagnie de cent mille hommes et lorsqu’il arriva sur le territoire sacré, il y accomplit l’ensemble des rites du pèlerinage. Puis au neuvième jour du mois de Dhû al-Hijja de l’an dix de l’hégire, il tint un discours à son peuple depuis « le mont de la miséricorde » (jabalou ar-rahmah). Jeune musulman(e), tends ton oreille et écoute attentivement ce célèbre discours du Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama. Il commença d’abord par dire :

« Ô gens ! Écoutez-moi. Je ne sais pas si je vous rencontrerai en ce lieu une nouvelle fois après cette année-ci »

Puis après avoir rappelé l’abolition des pratiques de l’époque d’Al Jâhiliyyah (de l’ignorance) et des méfaits qui caractérisaient celle-ci comme la vengeance, l’intérêt, il continua :

« Ô Gens ! Craignez Allah concernant les femmes, car vous les avez prises comme épouses et elles vous sont devenues licites grâce à la parole d’Allah »

Vois-tu, mon frère, ma sœur, l’une de ses dernières paroles concerne les femmes ! Il nous conjure de prendre soin d’elles et de ne point leur manquer de respect. Le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama n’a jamais élevé la voix ou levé sa main sur ses femmes, au contraire, il n’avait eu de cesse de les accompagner, de les aider, notamment dans leurs tâches ménagères et de leur témoigner son amour et sa tendresse. Le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama reprit ensuite :

« J’ai laissé parmi vous le Livre d’Allah, si vous y restez fermement attachés, jamais vous ne vous égarerez »

Puis au terme de son discours, il demanda :

« Et si l’on vous pose des questions sur moi, que diriez-vous ? »


Ils répondirent :

« Nous témoignerons que tu as transmis le Message, que tu t’es acquitté de ta mission et que tu as conseillé la communauté »

Levant son index vers le ciel et le pointant ensuite en direction de la foule il dit sallâllahou 3alayhi wa sallama à trois reprises :

« Ô mon Dieu ! Sois témoin »

Quelques heures plus tard, il reçut une révélation qui lui annonçait la fin de sa mission :

Aujourd'hui, J'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et J'agrée l'Islam comme religion pour vous- (Sourate 5 verset 3)


3oumarou Ibnoul Khattab radiyâllahou 3anhou sourit à l’annonce de cette révélation alors qu’Aboû Bakrine radiyâllahou 3anhou versa des larmes car il comprit que la révélation annonçait indirectement la mort du Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama. C’était son ami fidèle et il allait s’en aller . . .L’ange Djibrîl (Gabriel) 3alayhi as-salaamou avait coutume de venir chaque année réviser Al Qour’âne avec Mouhammad sallâllahou 3alayhi wa sallama pendant le mois sacré du Ramadan. Mais cette année-ci, il vint à deux reprises et le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama compris aussitôt qu’il sallâllahou 3alayhi wa sallama arrivait au terme de sa mission, de son aventure, de sa vie . . .

Quelques jours avant sa mort, le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama se rendit au cimetière où reposaient les martyrs d’Ouhoud pour se souvenir de leur sacrifice et leur dévouement pour l’Islam. Sue le chemin du retour, des Compagnons radiyâllahou 3anhoum l’aperçurent les yeux débordant de larmes et lui en demandèrent les raisons, à quoi il répondit :

« Mes frères me manquent »

As-Sahaba qu'Allah les agrées tous s’étonnèrent et lui ont dit :

« Ne sommes-nous pas tes frères ô Messager !!?? »

Et le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama de répondre :

« Vous, vous êtes mes Compagnons. Mes frères sont ceux qui viendront après moi et qui croiront en ma prophétie sans m’avoir vu »


Ô notre cher Prophète, on t’a manqué et tu as versé des larmes pour nous sans nous avoir connus ! Si tu savais comme nous sommes négligeant à l’égard de ta sounnah !!!! Chère sœur, cher frère, regarde la tendresse et l’affection du Messager sallâllahou 3alayhi wa sallama à notre égard, nous lui avons tellement manqué qu’il en versa des larmes !! Sallâllahou 3alayhi wa sallama !! J’espère que ton cœur sera sensible à cette affection de notre bien aimé et que tu seras désormais attentif à sa Sounnah !!!!

De retour à Médine, il se dirigea vers la mosquée et se tint sur le minbar du haut duquel il s’adressa aux fidèles en ces termes :

« Je vous devance (dans l’au-delà) et je serai témoin de vos actes. Par Allah ! Je vois en ce moment même mon Bassin. Les clés des trésors de la Terre m’ont été données. Par Allah ! Je ne crains pas que vous redeveniez polythéistes après moi mais que vous vous chamaillez au sujet des richesses de ce monde »

Le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama savait que ce n’est plus le polythéisme qui poserait problème dorénavant mais l’argent, le pouvoir et les jouissances éphémères de cette vie d’ici-bas. Ce sont en effet les richesses illusoires qui sont aujourd’hui encore la cause de la perte des musulmans. La foi est certes dans nos cœurs, nous adorons tous un Seul Dieu, mais nous sommes généralement tous amoureux de l’argent, des titres et du pouvoir : C’est un constat dramatique que nous ne pouvons pas nier ! C’est cet amour de la vie qui divise la communauté, car chacun d’entre nous serait prêt à détruire sa sœur ou son frère, pour de l’argent ou pour un titre ! C’est malheureux!!!

La nuit suivante, Mouhammad sallâllahou 3alayhi wa sallama se rendit au cimetière d’Al Baqî’, à Médine afin de rendre hommage à ceux qui l’avaient aimé et soutenu. Sur le chemin du retour, il ressentit une terrible douleur à la tête . . .Le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama était en train de vivre ses derniers instants. La maladie commençait à apparaitre sur son visage ! La fièvre devenait de plus en plus forte et plus intense et il continua avec peine à présider la prière pendant onze jours ! Sallâllahou 3alayhi wa sallam !! Le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama avait coutume de visiter ses épouses à tour de rôle, mais lorsque son état commença à s’aggraver, il les consulta :

« Chez laquelle d’entre vous irais-je demain ? »

Elles comprirent très vite qu’il désirait se rendre chez 3â’ichah radiyâllahou 3anhâ et lui permirent d’aller dans sa demeure. Cependant il n’avait plus la force de marcher, il se fit donc assister par Al Fadlou Ibnoul 3abbâs et 3aly Ibnou Aby Tâlibine radiyâllahou 3anhoumâ sur lesquels il prit appui. Il passera chez 3â’ichah (radiyâllahou 3anhâ) la dernière semaine de son séjour sur terre ! Un jour, il ressentit soudainement une intense douleur à la tête qui provoqua son évanouissement. Lorsqu’il reprit connaissance, il demanda qu’on lui verse sur le corps sept outres d’eau provenant de différents puits. Sa douleur s’apaisa et il décida de se rendre à la mosquée. Il se tint ensuite sur le minbar et s’adressa à ses Compagnons (radiyâllahou 3anhoum) rassemblés autour de lui en leur rappelant de ne pas transformer sa tombe en un lieu d’adoration et de vénération !

« Ne commettez pas d’actes d’idolâtrie sur ma tombe ! »

Puis voulant quitter cette vie sans dette, il ajouta :

« Si j’ai frappé quelqu’un d’entre vous qu’il vienne me frapper ; si j’ai offensé quelqu’un d’entre vous qu’il m’en fasse autant»

Un homme se leva et lui réclama une dette de trois dirhams qui fut très vite acquittée. Enfin il termina son sermon en ces termes :

« Allah le Sublime a offert à l’un de Ses serviteurs la possibilité de choisir entre les biens de ce monde et ce qui est auprès de Lui et il a choisi ce qui est auprès d’Allah »

En entendant ces paroles, Aboû Bakr, radiyâllahou 3anhou pleura et dit :

« Nous sacrifrons nos pères et mères pour toi ! »

Il a compris qu’il s’agissait de Mouhammad sallâllahou 3alayhi wa sallama, et qu’il n’allait plus tarder à retourner auprès de Son Seigneur. Cependant, les autres compagnons s’étaient étonnés de la réplique d’Aboû Bakr radiyâllahou 3anhou car il n’était pas coutume de couper la parole au Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama. Il se mirent alors en colère contre lui mais le Messager sallâllahou 3alayhi wa sallama leur dit :

« Le Compagnon qui me fut le plus bienfaisant de part sa compagnie et ses biens est Aboû Bakr ! Si je devais avoir un ami intime en dehors d’Allah, ce serait Aboû Bakr, mais les sentiments de fraternité et d’affection islamiques sont préalables. Qu’aucune porte donnant sur cette mosquée ne reste ouverte, excepté celle de la famille d’Aboû Bakr » ..Quelle privilège que tu as, ô Abou Bakr !! Qu’Allah t’agrée !


A la fin de son discours, le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama s’en retourna auprès de son épouse et fit encore à ses Compagnons (qu’Allah les agrées) quelques recommandations concernant la foi et le culte. Il désira de nouveau retourner à la mosquée mais sa douleur était telle que lorsqu’il tenta de se lever, il s’évanouit ! A son réveil, il demande si les gens pouvaient accomplir la prière mais 3â’ichah (qu’Allah l’agrée) lui répondit que ces derniers l’attendaient pour qu’il dirige leur prière. Il essaya à nouveau de se lever, mais encore une fois, il perdit conscience !

A son réveil, il reposa la même question et son épouse (qu’Allah l’agrée) l’informa que ses compagnons l’attendaient toujours. Il demanda alors que ceux-ci commencèrent la prière et qu’elle soit présidée par Aboû Bakr radiyâllahou 3anhou ! Indirectement Mouhammad était en train de désigner son successeur à la tête de la oummah (et ceci au passage est une réponse pour les chiites !!). Deux jours plus tard, le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama allait un peu mieux et décida d’accomplir la prière de midi à la mosquée. Lorsqu’Aboû Bakr l’aperçut, il voulu se retirer pour lui céder la place mais le Messager sallâllahou 3alayhi wa sallama lui fit signe de n’en rien faire et demanda à ce qu’on l’aide à s’asseoir à côté de son ami de tous les jours qu’Allah l’agrée !!

Le lendemain à l’heure de la prière de l’aube, le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama souleva le rideau qui séparait sa demeure de la mosquée et se mit à observer les musulmans, le sourire aux lèvres. Les Compagnons en furent surpris, pensant qu’il allait pouvoir les rejoindre. Mais le rideau s’abaissa et depuis le visage du Messager ne réapparut plus. Il distribua ensuite tous les biens qu’il possédait dont les sept dinars qui lui restaient ! Quelques instants plus tard, le Messager sallâllahou 3alayhi wa sallama appela sa fille, Fâtima (qu’Allah l’agrée) et lui chuchota à l’oreille des paroles qui la firent pleurer. Puis il lui murmura d’autres paroles qui la firent sourire. Plus tard 3â’ichah qu’Allah l’agrée, lui demanda pourquoi elle avait pleuré puis sourit et Fâtima lui répondit :

« Il m’informa tout d’abord qu’il s’apprêtait à retourner auprès d’Allah, ce qui me fit pleurer. Ensuite, il me révéla que j’allais être la première personne de sa famille à le rejoindre, ce qui me fit sourire ! »


Mouhammad sallâllahou 3alayhi wa sallama devenait de plus en plus faible au point de ne plus pouvoir s’exprimer. 3â’ichah qu’Allah l’agrée vint alors à ses côtés et le prit dans ses bras en posant sa tête contre sa poitrine. Au même moment 3abdou ar-Rahmân, le fils d’Aboû Bakr entra avec un siwâk à la main ; Le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama fixa le siwâk d’une manière telle que 3â’ichah radiyâllahou 3anhâ comprit très vite qu’il désirait l’utiliser pour nettoyer ses dents. Elle prit le siwâk qu’elle mouilla de sa salive et le tendit au Messager sallâllahou 3alayhi wa sallama.

Ensuite, il leva sa main au ciel et dit :

« Aux côtés de ceux comblés de Ta grâce, ainsi qu’avec les Prophètes, les véridiques, les martyrs et les bienfaisants ; Ô Allah, pardonne-moi, fais-moi miséricorde et fais-moi rejoindre la Compagnie Surpême !! ». Il répéta à trois reprises cette phrase. (Quel privilège yâ Rasoûloullahi d’être aux côtés du Très Haut et de Ses rapprochés !)


Soudain sa main tomba et 3â’ichah (qu’Allah l’agrée) sentit que sa tête se fit plus lourde. Ma sœur, mon frère, notre bien aimé, Prophète, Envoyé, Messager, Mouhammad sallâllahou 3alayhi wa sallama venait de rendre l’âme. Il s’en était allé. C’était fini ! Inna lillahi wa ilayhi râjiroûne (C’est à Allah que nous appartenons et c’est à Lui que nous retournerons !). Le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama mourut durant le mois de Rabî3oul Awwal, de la onzième année de l’hégire (soit en 632 ap. J.C de notre calendrier). Il retourna auprès de Son Créateur, Son Seigneur, Son Éducateur, Celui pour Lequel il avait lutté corps et âme, sa vie durant. Enfin, il allait trouver la paix. La Véritable Paix.

Toute âme goutera la mort-(Sourate 3 verset 185)


Nous dit en effet le Qour’âne ! La vie est courte et éphémère ! Prends donc soin de ta foi, cher frère, chère sœur, fais l’effort de purifier ton âme et ne cesse, pendant le temps qu’il te reste à vivre dans ce monde, d’aspirer à l’excellence en suivant les traces du Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama. Ainsi la mort sera pour toi un tremplin vers la Paix ! Elle est un pont qui te fait passer d’une vie hyper courte à une autre vie éternelle ô combien meilleure !!

Elle n’est pas une fin mais plutôt le début d’une existence ô combien plus délicieuse pour ceux et celles qui ont cru en Allah, l’Unique qui n’a nul associé avec Lui, Gloire à Lui, Le Puissant, Le Sage, Le Sublime, Le Roi, Le Miséricordieux, Le Grand Accueillant au repentir et qui ont suivi Son Messager sallâllahou 3alayhi wa sallama. Souviens-toi sans cesse de la mort, ainsi tu seras plus enclin à réalimenter la lumière de ta foi !!

Très vite l’annonce de la mort du Messager sallâllahou 3alayhi wa sallama se répandit à Médine. Le cousin du Prophète, 3aly radiyâllahou 3anhou en fut profondément chagriné, 3outhmâne radiyâllahou 3anhou, lui, s’effondra en larmes alors que 3oumar radiyâllahou 3anhou en perdit la raison et menaça les personnes qui prétendaient que le Messager sallâllahou 3alayhi wa sallama était mort en disant :

« Le Messager d’Allah est seulement parti rencontrer Son Seigneur et il reviendra comme était revenu Moûsâ 3alayhi as-salâm (Moïse) après quarante jours d’absence ! »


3oumar, radiyâllahou 3anhou n’arrivait pas à réaliser et surtout à accepter la mort du Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama. Quant à Aboû Bakr, radiyâllahou 3anhou, il se rendit aussitôt dans la demeure de 3â’ichah radiyâllahou 3anhâ, découvrit le visage du Messager sallâllahou 3alayhi wa sallama, l’embrassa et dit :

« Que mon père et ma mère soient sacrifiés pour toi. En vérité, Allah ne te fera pas mourir deux fois ! La mort qui t’était prescrite, t’a bien emporté ! »

Puis il se dirigea vers les autres Compagnons radiyâllahou 3anhoum et dit :

« Que ceux d’entre vous qui adoraient Mouhammad, sache que Mouhammad est mort, quant à ceux qui adoraient Allah, qu’ils sachent qu’Allah est le Vivant, Qui jamais ne mourra ! »

Puis il récita ensuite ce passage-ci du Qour’âne :

Mouhammad n'est qu'un messager - des messagers avant lui sont passés - S'il mourait, donc, ou s'il était tué, retourneriez-vous sur vos talons? Quiconque retourne sur ses talons ne nuira en rien à Allah; et Allah récompensera bientôt les reconnaissants.-(Sourate 3 verset144)

A cet instant précis, 3oumar, radiyâllahou 3anhou, réalisa l’ampleur de la situation et dit :


« Par Allah, dès que j’ai entendu Aboû Bakr (radiyâllahou 3anhou) réciter ce verset, je me suis écroulé. Mes jambes n’étaient plus en mesure de me porter et je me suis effondré en l’entendant lire le verset. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai compris que le Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama était bien mort ! »

Depuis un vide . . .Mouhammad sallâllahou 3alayhi wa sallama était parti. Il avait tout donné, il avait sacrifié son être et était parvenu au terme de sa vie à faire résonner l’Islam dans le cœur des gens Il avait offert son amour, son affection, son attention et sa proximité . Et après tant de luttes pour la Paix et la Justice, après vingt trois années d’engagement le jour et de prières la nuit, son Seigneur, satisfait, l’avait rappelé à Lui. Il s’en était allé. . . un vide !

Anâs Ibnou Mâlik radiyâllahou 3anhou, confia après la mort de Mouhammad sallâllahou 3alayhi wa sallama :

« Je n’ai jamais connu de jour meilleur ou plus radieux que le jour où le Messager d’Allah arriva parmi nous ; et je n’ai jamais connu de jour plus sombre que celui de sa mort »

Jeune musulman(e), à nous de refaire briller la lumière du Prophète sallâllahou 3alayhi wa sallama en revenant à sa Sounnah et en suivant son exemple.

Que la Paix et la Bénédiction d’Allah soient sur toi, ô Messager d’Allah ! (

Salam aleikoum,

« Vous, vous êtes mes Compagnons. Mes frères sont ceux qui viendront après moi et qui croiront en ma prophétie sans m’avoir vu »

Que demandons-nous de plus ? (

Ya ALLAH ne nous prive pas de voir notre Prophète alayhi salate wa salam dans l'au-delà car nous n'avons pas eu cet honneur dans cette vie mais, nous croyons en son message §

Citation
INOF a écrit:
Salam aleikoum,

« Vous, vous êtes mes Compagnons. Mes frères sont ceux qui viendront après moi et qui croiront en ma prophétie sans m’avoir vu »

Que demandons-nous de plus ? (

Ya ALLAH ne nous prive pas de voir notre Prophète alayhi salate wa salam dans l'au-delà car nous n'avons pas eu cet honneur dans cette vie mais, nous croyons en son message §

Aaaamiine