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Une flûte de pan a écrit:
La question n'est pas là. Je parle de façon générale.
Par exemple : une personne qui a commencé à prendre un traitement à un moment où elle avait des insomnies. Le jour où elle essaie d'arrêter de le prendre, les insomnies recommencent car elle a développé une dépendance.
Comment s'en est-elle sortie ?
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Cawit ^_^ a écrit:
Ben si justement la question est là, tout dépend de la substance.
La dépendance est physico-chimique, il faut du temps pour que le corps s'habitue à recevoir une dose plus petite et qu'il supprime les récepteurs qu'il avait créé lors de la dépendance.
La dose doit absolument être diminuée progressivement.
Et en effet les symptomes du sevrage seront le contraire de ce que le médicament procurait. C'est normal il faut patienter.
Dans le cas de somnifères on peut diminuer les doses progressivement et donner aussi en même temps des plantes sédatives comme la valerianne et anxiolytiques comme la passiflore. Ça permettra de mieux vivre le sevrage.
Mais il faut dans tous les cas une bonne volonté.
La durée dépendra de la personne ainsi que de la dose à laquelle elle est arrivée ( j'ai connu des personnes qui prennaient 20 comprimés de somnifères par jour).
Que Dieu guérisse tous les malades.
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Taki rumba (Da écrit:
Moi j'ai arrêté le Levothyrox il y a quelques années.
On me l'a prescrit pour un nodule non cancerigen (ponctions effectuées rien trouvé). Analyses sang parfaites. On m'a donné quand même du Levothyrox 50. Pas de baisse du nodule. On m'a dit au début c'est juste pour 6 mois. Comme ma TSH augmentait le médecin a voulu passer à 0,75. La mascarade avait duré quand même presque 3 an. Honoraires 70 Eur à chaque fois non remboursés etc
J'ai arrêté tout seule. Car le médecin ne voulait pas. Je l'ai fait sur paliers.
Très dur le premier mois quand tout arrêté. J'ai cru mourir. J'étais au lit quasiment toute la journée, aucune force. Je ne travaillais pas donc pu faire ça.
Je ne suis relevée peu à peu.
Le seul truc positif de la prise du Levothirox c'est que j'ai senti pour la première fois le bonheur et l'insouciance. Ce qui ne m'as plus quitté. A part la phase de sevrage.
J'ai arrêté depuis 5 ans environ.
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Une flûte de pan a écrit:
Cru mourir carrément !
Mais quand tu diminuait les doses tout allait bien ?
Je pense que pour les gens qui travaillent c'est bien de prendre des vacances à partit du moment où on arrête complètement le traitement. Trop risqué d'aller au travail et de faire des crises ou de voir ses performances chuter.
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