A l'occasion d'un entretien accordé au Monde, en avril, elle insistait sur la place des femmes dans ce mouvement. "Au tout début des mobilisations, nous étions trois ou quatre femmes, maintenant nous sommes des milliers. Sans les femmes cette révolution n'aurait pas de sens, elles sont devenues un réel partenaire pour libérer ce pays de l'injustice. Le régime a consacré l'image d'une femme figée dans la tradition, nous dépoussiérons tout cela."
la meilleure façon d'honnorer le printemps arabe par le comité Nobel, aurait été d'attribuer le Nobel de littérature a un romancier ou poète arabe, et il y en a qui le méritait comme Adonis!