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Le taux de chômage au Maroc en 2005: 10.9%
m
30 janvier 2006 15:04
C'est la blague de l'année mrd.........

Et un taux de chômage de 10,9 %
Le taux de chômage au niveau national s’est accru de 0,5 point en 2005, passant de 10,4% a 10,9%. Faisant état de cette évolution, le HCP précise que le marché de l’emploi national a pâti du ralentissement de l’économie rurale et n’a enregistré qu’une création nette annuelle de 36.000 emplois, au troisième trimestre 2005.

Source:[www.lopinion.ma]
m
30 janvier 2006 15:08
Citation
massouach a écrit:
C'est la blague de l'année mrd.........

Et un taux de chômage de 10,9 %
Le taux de chômage au niveau national s’est accru de 0,5 point en 2005, passant de 10,4% a 10,9%. Faisant état de cette évolution, le HCP précise que le marché de l’emploi national a pâti du ralentissement de l’économie rurale et n’a enregistré qu’une création nette annuelle de 36.000 emplois, au troisième trimestre 2005.

Source:[www.lopinion.ma]


la blague du jour

c'est le taux d'emploi effectif en vérité c'est à dire 89.1% de chômage en réalité
s
30 janvier 2006 15:14
Citation
massouach a écrit:
C'est la blague de l'année mrd.........

Et un taux de chômage de 10,9 %
Le taux de chômage au niveau national s’est accru de 0,5 point en 2005, passant de 10,4% a 10,9%. Faisant état de cette évolution, le HCP précise que le marché de l’emploi national a pâti du ralentissement de l’économie rurale et n’a enregistré qu’une création nette annuelle de 36.000 emplois, au troisième trimestre 2005.

Source:[www.lopinion.ma]

C'est une blague ou quoi?
Quand je vais à Oujda, j'ai pas l'impression qu'il y a que 10.9% de chomeurs.
m
30 janvier 2006 15:24
ils doivent confondre avec celui de la France je pense
[b]"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas."[/b] [i]Géronimo[/i]
z
30 janvier 2006 15:30
Le taux de chomage global est la moyenne entre le chomage rural et le chomage urbain, ce dont vous parlez est le chomage urbain qui peut facilement atteindre les 20 ou 25%. quand on rajoute le chomage rural et on fait la moyenne, on retombe dans les 12%. Cela ne nous empechera tjs pas de voir dans les villes les 25% de chomeurs. Mathematiquement parlant et vu qu'il y a plus de marocains dans les campagnes que dans les villes, je vous laisse a vos calculatrices... smiling smiley
s
30 janvier 2006 15:40
je comprends mieux
j
30 janvier 2006 15:47
Baz...............
m
30 janvier 2006 15:56
Citation
zaki7 a écrit:
Le taux de chomage global est la moyenne entre le chomage rural et le chomage urbain, ce dont vous parlez est le chomage urbain qui peut facilement atteindre les 20 ou 25%. quand on rajoute le chomage rural et on fait la moyenne, on retombe dans les 12%. Cela ne nous empechera tjs pas de voir dans les villes les 25% de chomeurs. Mathematiquement parlant et vu qu'il y a plus de marocains dans les campagnes que dans les villes, je vous laisse a vos calculatrices... smiling smiley

Ah bon, vous semblez être un expert.
Pouvez vous nous dire comment sont comptabilisés les demandeurs d'emplois en milieu urbain et rurale?
Comment faites vous pour avancer un taux de 20 à 25% pour les villes et moins dans les campagne?
Et comment expliquer vous que le Haut Commissiriat au Plan, le même qui a rédigé le rapport "50 ans de développement humain et perspectives 2025" nous dit que la pauvreté est 3 fois plus élevé dans le monde rurale que dans le monde citadin?


"Quatre millions de Marocains vivent en dessous du seuil de pauvreté

28.01.2006 | 16h27


Selon les résultats du recensement 2004, la pauvreté a reculé de manière significative au Maroc. La pauvreté de masse qui a prévalu, entre 1960 et 1970, s'est réduite pour devenir une pauvreté relative s'établissant à 14,2% en 2004 contre 16,5% en 1994 et ce, grâce à l'évolution générale des conditions de vie de la population.

Cette baisse du taux de pauvreté a été plus marquée en milieu urbain qu'en milieu rural puisque ce taux, malgré son niveau relativement bas en milieu urbain, a perdu 2,5 points contre un point seulement en milieu rural. D'après le rapport général des «50 ans de développement humain et perspectives 2025», quatre millions de Marocains vivent en dessous du seuil de pauvreté relative (dépense annuelle inférieure à 3.235 DH en milieu urbain et à 2.989 DH en milieu rural), dont 3 millions dans les campagnes et 1 million dans les villes, et 25% des marocains sont économiquement vulnérables (consommation annuelle inférieure à 4.500DH).

Comme le prouvent les enquêtes et la première cartographie de la pauvreté récemment élaborée par le HCP (Haut Commissariat au Plan) et la Banque mondiale, la pauvreté reste un phénomène foncièrement rural : 50% des communes rurales ont un taux de pauvreté supérieur à 20%, et ce taux dans les campagnes est presque 3 fois supérieure à celui des agglomérations urbaines (alors que ce rapport était de 1,4 en 1960 et de 2 en 1985). En outre, la pauvreté touche spécialement les femmes, les enfants, les jeunes et les populations aux besoins spécifiques.

Elle reste dans une large mesure un phénomène rural. Presque un Marocain sur quatre est pauvre dans les zones rurales par rapport à un sur dix dans les zones urbaines. Bien que la population rurale représente 46% de la population totale, 66% des pauvres vivent dans les zones rurales. Mais cela n'empêche pas que la pauvreté dans les régions urbaines est en croissance. La part des pauvres urbains est passée de 27% à 34% du nombre total des pauvres au cours des années 90, presque quatre fois plus vite que l'exode rural-urbain de la population.

Dans les zones rurales et urbaines, les pauvres ne sont généralement pas éduqués et ont des grandes familles, avec beaucoup d'enfants et peu de membres actifs. L'incidence de la pauvreté parmi les enfants est beaucoup plus élevée que pour les adultes ; 44% des enfants de moins de 15 ans sont pauvres contre 16% pour les adultes.

64% des pauvres sont illettrés (par rapport à 53% pour les non-pauvres) et la plupart des ménages pauvres ont un homme à leur tête. La pauvreté est très concentrée dans les régions du Centre et du Nord-ouest.

Elle est inégalement répartie, passant par exemple de 2,8% à Oued Ed Dahab-Lagouira (niveau le plus faible) à 20,5% dans le Gharb-Chrarda Bni-Hssen (niveau le plus élevé), 19,5% à Meknès-Tafilalt, 19,2% à Marrakech-Tensif-Al Haouz, 18,9% au Souss-Massa Draa et 17,9% à l'Oriental. Ce sont là les cinq régions où le niveau de pauvreté est le plus accentué.

En revanche, les régions du Grand Casablanca (3,5%) et de Rabat-Salé-Zemmour- Zaer (8%) restent relativement épargnées par le phénomène de pauvreté. Ces deux régions se situent dans l'axe industriel Kénitra-El Jadida où les opportunités d'offres d'emploi, et donc de revenus, sont importantes.
Au niveau national, la répartition des pauvres par secteur d'activité du chef du ménage montre que la plupart d'entre eux travaillent dans le secteur agricole (57%) suivi par les services (26%) et la construction (13%).

Dans les zones urbaines, 58% des pauvres travaillent dans le secteur des services alors que dans les zones rurales l'agriculture est la source de revenu prédominante pour 75% des pauvres.

En raison de la dynamique d'urbanisation au Maroc, les causes structurelles de la pauvreté urbaine et rurale sont intimement liées. Les ménages ruraux pauvres engagés dans des activités productives ont généralement l'accès à la terre agricole mais leurs terres sont petites, rarement irriguées et leur productivité est souvent faible, notamment dans les régions non irriguées.

En raison de la dynamique d'urbanisation au Maroc, les causes structurelles de la pauvreté urbaine et rurale sont intimement liées. Les ménages ruraux pauvres engagés dans des activités productives ont généralement l'accès à la terre agricole mais leurs terres sont petites, rarement irriguées et leur productivité et souvent faible, notamment dans les régions non irriguées.

En raison de l'absence de titres fonciers et d'enregistrement, ils ne peuvent pas obtenir de crédit bancaire et investir dans leurs propriétés. Ils essaient fréquemment de trouver d'autres sources de revenu, à l'aide de petits travaux, se déplaçant tout au long de l'année entre zones rurales et urbaines. Les populations pauvres urbaines font face à des privations multiples, tel que le manque d'emploi, l'accès inadéquat à la terre, au logement et aux services de base.

Outre les 19% de la population considérés «pauvres» (c'est-à-dire dont la consommation est inférieure au seuil de pauvreté), 25% de la population sont considérés «économiquement vulnérables» (ceux qui se situent au seuil de pauvreté ou à moins de 50% au-dessus du seuil de pauvreté). Ce groupe est extrêmement important à surveiller et à atteindre du fait qu'ils ne sont pas préparés à absorber des chocs, tels qu'une maladie familiale prolongée, la sécheresse ou la perte de travail et peuvent ainsi tomber dans la pauvreté.

De plus, c'est souvent ce groupe qui constitue la plus grande menace pour la stabilité sociale puisqu'ils luttent pour s'en sortir et sont souvent frustrés par l'inégalité – alors que les très pauvres se concentrent sur la difficulté journalière de satisfaire leurs besoins de base. Si l'on rassemble les «populations pauvres» et les «économiquement vulnérables», c'est environ la moitié de la population à qui il faut donner plus de possibilités pour participer à la croissance et avoir accès aux services de base."

source:[www.lematin.ma]
c
30 janvier 2006 16:28
Au niveau des statistiques, le maroc est incapable d'offrir un bon chiffre, le 10% il faut pas s'y fier
s
30 janvier 2006 16:42
Et le taux d'analphabète c'est combien selon les stats marocaines?
H
30 janvier 2006 17:21
HAHAHAHAHA c'est la meilleure blague de la journée. Zaki tu viens de battre les officiels du Makhzen.
Heureusement que le ridicule ne tue pas.

Premierement la population urbaine depasse la population rurale en nombre depuis plusieurs années. Tu ne le savais pas ? Je te donne les chiffres et je t'epargne l'effort d'aller faire une petite recherche google. La population urbaine au Maroc en 2004 etait de 58%. Donc si selon toi le chomage urbain est de 25 % on est deja rendu a 14.5% de chomage pour toute la population marocaine. Donc 14.5% de moyenne sans meme y avoir ajouté le chomage rurale c'est a dire en assumant que tout le monde travaille dans nos campagnes smiling smiley (une autre blague).

1 marocain sur 4 ne travaille pas (25%) c'est assez optimiste comme taux si tu poses la questions à des jeunes de Oujda, Figuig, Bou3arfa, Layoune, Lekhmissate, Khénifra, Safi, Youssoufia, Beja3d, Sefrou Chefchaouen et autres villes marocaines ou les jeunes ne foutent pas grand choses. Même Casa a un taux de chomage faramineux. Va faire un tour dans les bidonvilles et tu comprendras. Vas dire à ces jeunes que 9 marocains sur 10 ont un boulot et ils diront que tu es fou ou tu te foue de leurs gueules.

Que la MAP ou la directions des statitisques nous sortent ces chiffres ridicules je peux comprendre mais des gens qui se disent instruit les applaudissent c'est minable.
C
30 janvier 2006 17:36
Salam,

Ben oui je pense aussi que le chiffre des 10 % est tout a fait plausible, en considerant bien entendu _detail_ comme un emploi fixe eye rolling smiley

Maintenant si on enleve comme on dit le Rachid system grinning smiley, jimagine meme pas les chiffres eye popping smiley
a
30 janvier 2006 18:45
Citation
massouach a écrit:
Citation
zaki7 a écrit:
Le taux de chomage global est la moyenne entre le chomage rural et le chomage urbain, ce dont vous parlez est le chomage urbain qui peut facilement atteindre les 20 ou 25%. quand on rajoute le chomage rural et on fait la moyenne, on retombe dans les 12%. Cela ne nous empechera tjs pas de voir dans les villes les 25% de chomeurs. Mathematiquement parlant et vu qu'il y a plus de marocains dans les campagnes que dans les villes, je vous laisse a vos calculatrices... smiling smiley

Ah bon, vous semblez être un expert.
Pouvez vous nous dire comment sont comptabilisés les demandeurs d'emplois en milieu urbain et rurale?
Comment faites vous pour avancer un taux de 20 à 25% pour les villes et moins dans les campagne?
Et comment expliquer vous que le Haut Commissiriat au Plan, le même qui a rédigé le rapport "50 ans de développement humain et perspectives 2025" nous dit que la pauvreté est 3 fois plus élevé dans le monde rurale que dans le monde citadin?


C'est pas le HCP qui a fait le rapport dont tu parles. Arrêtes d'induire les gens en erreur alors qu'il suffit d'aller sur le site www.rdh50.ma pour s'en appercevoir.



"Quatre millions de Marocains vivent en dessous du seuil de pauvreté

28.01.2006 | 16h27


Selon les résultats du recensement 2004, la pauvreté a reculé de manière significative au Maroc. La pauvreté de masse qui a prévalu, entre 1960 et 1970, s'est réduite pour devenir une pauvreté relative s'établissant à 14,2% en 2004 contre 16,5% en 1994 et ce, grâce à l'évolution générale des conditions de vie de la population.

Cette baisse du taux de pauvreté a été plus marquée en milieu urbain qu'en milieu rural puisque ce taux, malgré son niveau relativement bas en milieu urbain, a perdu 2,5 points contre un point seulement en milieu rural. D'après le rapport général des «50 ans de développement humain et perspectives 2025», quatre millions de Marocains vivent en dessous du seuil de pauvreté relative (dépense annuelle inférieure à 3.235 DH en milieu urbain et à 2.989 DH en milieu rural), dont 3 millions dans les campagnes et 1 million dans les villes, et 25% des marocains sont économiquement vulnérables (consommation annuelle inférieure à 4.500DH).

Comme le prouvent les enquêtes et la première cartographie de la pauvreté récemment élaborée par le HCP (Haut Commissariat au Plan) et la Banque mondiale, la pauvreté reste un phénomène foncièrement rural : 50% des communes rurales ont un taux de pauvreté supérieur à 20%, et ce taux dans les campagnes est presque 3 fois supérieure à celui des agglomérations urbaines (alors que ce rapport était de 1,4 en 1960 et de 2 en 1985). En outre, la pauvreté touche spécialement les femmes, les enfants, les jeunes et les populations aux besoins spécifiques.

Elle reste dans une large mesure un phénomène rural. Presque un Marocain sur quatre est pauvre dans les zones rurales par rapport à un sur dix dans les zones urbaines. Bien que la population rurale représente 46% de la population totale, 66% des pauvres vivent dans les zones rurales. Mais cela n'empêche pas que la pauvreté dans les régions urbaines est en croissance. La part des pauvres urbains est passée de 27% à 34% du nombre total des pauvres au cours des années 90, presque quatre fois plus vite que l'exode rural-urbain de la population.

Dans les zones rurales et urbaines, les pauvres ne sont généralement pas éduqués et ont des grandes familles, avec beaucoup d'enfants et peu de membres actifs. L'incidence de la pauvreté parmi les enfants est beaucoup plus élevée que pour les adultes ; 44% des enfants de moins de 15 ans sont pauvres contre 16% pour les adultes.

64% des pauvres sont illettrés (par rapport à 53% pour les non-pauvres) et la plupart des ménages pauvres ont un homme à leur tête. La pauvreté est très concentrée dans les régions du Centre et du Nord-ouest.

Elle est inégalement répartie, passant par exemple de 2,8% à Oued Ed Dahab-Lagouira (niveau le plus faible) à 20,5% dans le Gharb-Chrarda Bni-Hssen (niveau le plus élevé), 19,5% à Meknès-Tafilalt, 19,2% à Marrakech-Tensif-Al Haouz, 18,9% au Souss-Massa Draa et 17,9% à l'Oriental. Ce sont là les cinq régions où le niveau de pauvreté est le plus accentué.

En revanche, les régions du Grand Casablanca (3,5%) et de Rabat-Salé-Zemmour- Zaer (8%) restent relativement épargnées par le phénomène de pauvreté. Ces deux régions se situent dans l'axe industriel Kénitra-El Jadida où les opportunités d'offres d'emploi, et donc de revenus, sont importantes.
Au niveau national, la répartition des pauvres par secteur d'activité du chef du ménage montre que la plupart d'entre eux travaillent dans le secteur agricole (57%) suivi par les services (26%) et la construction (13%).

Dans les zones urbaines, 58% des pauvres travaillent dans le secteur des services alors que dans les zones rurales l'agriculture est la source de revenu prédominante pour 75% des pauvres.

En raison de la dynamique d'urbanisation au Maroc, les causes structurelles de la pauvreté urbaine et rurale sont intimement liées. Les ménages ruraux pauvres engagés dans des activités productives ont généralement l'accès à la terre agricole mais leurs terres sont petites, rarement irriguées et leur productivité est souvent faible, notamment dans les régions non irriguées.

En raison de la dynamique d'urbanisation au Maroc, les causes structurelles de la pauvreté urbaine et rurale sont intimement liées. Les ménages ruraux pauvres engagés dans des activités productives ont généralement l'accès à la terre agricole mais leurs terres sont petites, rarement irriguées et leur productivité et souvent faible, notamment dans les régions non irriguées.

En raison de l'absence de titres fonciers et d'enregistrement, ils ne peuvent pas obtenir de crédit bancaire et investir dans leurs propriétés. Ils essaient fréquemment de trouver d'autres sources de revenu, à l'aide de petits travaux, se déplaçant tout au long de l'année entre zones rurales et urbaines. Les populations pauvres urbaines font face à des privations multiples, tel que le manque d'emploi, l'accès inadéquat à la terre, au logement et aux services de base.

Outre les 19% de la population considérés «pauvres» (c'est-à-dire dont la consommation est inférieure au seuil de pauvreté), 25% de la population sont considérés «économiquement vulnérables» (ceux qui se situent au seuil de pauvreté ou à moins de 50% au-dessus du seuil de pauvreté). Ce groupe est extrêmement important à surveiller et à atteindre du fait qu'ils ne sont pas préparés à absorber des chocs, tels qu'une maladie familiale prolongée, la sécheresse ou la perte de travail et peuvent ainsi tomber dans la pauvreté.

De plus, c'est souvent ce groupe qui constitue la plus grande menace pour la stabilité sociale puisqu'ils luttent pour s'en sortir et sont souvent frustrés par l'inégalité – alors que les très pauvres se concentrent sur la difficulté journalière de satisfaire leurs besoins de base. Si l'on rassemble les «populations pauvres» et les «économiquement vulnérables», c'est environ la moitié de la population à qui il faut donner plus de possibilités pour participer à la croissance et avoir accès aux services de base."

source:[www.lematin.ma]
z
30 janvier 2006 19:01
Hichamo,

tu peux rajouter un "HA" a tes HAHAHA mais juste pour t'éviter de te ridiculiser dans un débat autre que ce forum où tu avancerais des énormités parce que tu "penses" des chiffres au lieu de prendre la peine de lire les statistiques du HCP auxquelles tu te réfères quand ça te sied meme sans les avoir lu.

Page 18, note conjoncturelle : [www.hcp.ma] , regardes le chomage urbain et le chomage rural, reprends la meme calculatrice et fais le calcul. Ça, pour le HCP.

Pour la petite équation, tu dis : « La population urbaine au Maroc en 2004 etait de 58%. Donc si selon toi le chomage urbain est de 25 % on est deja rendu a 14.5% de chomage pour toute la population marocaine. Donc 14.5% de moyenne sans meme y avoir ajouté le chomage rurale. »

Je ne sais pas ou tu as étudié les maths mais 25% de chomage urbain ne fait pas 14,5% de chomage urbain apres 2 operations arithmétiques mais bien 25%. tu n'as d'ailluers besoin ni de rajouter ni de retrancher...

Tu penses que 25% de chomage urbain comme j'ai dit c'est peu? c'est énorme 25%, c'est catastrophique. Je n'applaudis ni la MAP (qui est un organe de presse et ne fait pas de statistiques mais les reporte uniquement) ni moulay zekri qui se met au coin de la rue et fait le décompte des gens qu'il connait sans emploi puis extrapole avec la règle de trois sur 30 millions de personnes.

Si tu veux des stats encore plus détaillés, je te conseille ce lien: [www.hcp.ma]



Modifié 2 fois. Dernière modification le 30/01/06 19:09 par zaki7.
H
30 janvier 2006 19:11
Tu me fais vraiment rire...
Un chomage urbain de 25% et un chomage rurale de 0% donnerait combien en moyenne selon toi ? Pour les proportions que je t'ai données ?

Réponds à ça et je t'expliquerai la suite...
z
30 janvier 2006 19:13
Emploi (2003) Urbain Rural Ensemble
Taux de chômage 19,3 3,4 11,9 ãÚÏá ÇáÈØÜÇáÉ
Hommes 17,4 4,2 11,5 ÐßæÑ
Femmes 25,8 1,6 13,0 ÅäÇË

La population urbaine représente 53% de la population globale. 100-53% = 47% qui vivent en campagne. 47% x 30 millions = 14,1 millions. C'est ça ce que tu appelles dérisoire?
H
30 janvier 2006 19:19
3.4% de chomage rurale. Est-ce que tu es serieux ou tu rigoles ?
z
30 janvier 2006 19:21
Tu m'expliques rien, je t'explique rien smiling smiley, les 25% c'est un chiffre que j'ai donné pour dire que peut etre les stats officielles sont sous estimées (elles parlent de 19% pour le taux de chomage urbain) et que le taux de chomage pourrait tourner reellement autour de 25.

Keske tu fais? tu me reproches de donner un chiffre (25%) qui est + grand que ce que la MAP annonce, il est ou le bon sens dis moi smiling smiley

Si tu as un problème de calcul, appelles les gens du HCP et dis leur qu'ils ont utilisé Casio au lieu de HP en faisant la moyenne gloale entre le taux de chomage urbain et celui du rural.
z
30 janvier 2006 19:23
hichamo,

je ne suis ni sérieux ni je rigole. Je te dis les chiffres dispos. 3,4% de chomage en campagne est possible a mon avis. Pourquoi? parce qu'un chomeur en campagne ne reste pas en campagne.. Il va ou? ----> En ville!!

Donc s'il trouve pas de boulot en ville, il est pas comptabilisé en chomeur urbain. D'autre part, dans un pays ou l'agriculture est l'activité principale, oui je peux croire qu'il ya bcp de gens qui travaillent dans ce domaine.


L'économiste pour ne pas parler MAP: [www.leconomiste.com]


L'autre élément que tu oublies c'est le nombre énorme d'enfants et dejeunes moins de 18 ans que l'on ne comptabilise pas tout court ainsi que les retraités ou les personnes agées...



Modifié 3 fois. Dernière modification le 30/01/06 19:30 par zaki7.
H
30 janvier 2006 19:30
Ce que je te dis (Lis mot par mot si tu veux comprendre) c'est que le 25% que tu estimes (qui me semble quand même optimiste mais considerons le quand meme) nous donne un taux de chomage moyen de 14.5% ce qui est beaucoup plus que le 10.9% que tu essayais d'expliquer.

Donc en bon applaudisseur des chiffres offciels tu dis que : On a trouvé 10.9% parce que le taux de chomage rurale est plus que le chomeage urbain. Moi je te réponds qu'il faudrait un chomage rurale négatif si on veut une moyenne de 10.9% avec notre supposition du départ qui veut que le chomage urbain est de 25%.

Donc tu t'es trompé dans ça et lorsque tu as dis que la population rurale depasse la population urbaine. Le 58% que je t'ai donné est un chiffre de l'ONU et qui date de 2004. On peut estimer qu'aujourd'hui on doit etre proche du 60/40.


Passons.

Comment tu peux justifier ce 10.9% alors que le taux de chomage en Allemagne est de 11.20% (decembre 2005%) ???
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