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TariK Ramadan etait a Tours
i
22 mai 2006 17:51
Hier, Tarik Ramadan etait a Tours ou il a fait une conference sur le terrorisme, il a abordé la question D'eljihad et la defenition de celui ci chez les integristes musulmans.

est ce qu'il y avait un yabiladien(enne) ds la conference ?

merci
s
23 mai 2006 00:57
parle nous de cette conference.
Je sais qu'il a eu l'idée lumineuse d'un moratoire sur la lapidation.
ok
23 mai 2006 10:20
Allez va y.
i
23 mai 2006 15:31
Bonjour,

Je m'excuse de vous repondre assez tardive.

Oui effectivement, cetait une tres bonne conference, mais pour le comprendre il faut bien savoir dechifrer ce qui existe entre les lignes des ces phrases.

IL a commencé par une definition assez philosophique du mot Jihad " chaque personne est en jihad permanent dès que le bien de sa personne et confrontation avec le mal qui existe en lui et quand le bien triomphe c'est en sois meme cette action s'apelle jihad"
Apres il a reaffirmer sa position vis a vis des attentats qui ont ravagé le monde en souligant que le terrosrisme n'est pas restrinct a un pays voire que certain pays arabe et musulmans etaient le cible des terroristes. Puis il a parlé sur Iljihad, il a invoqué certain hadith qui demonte tte sorte de violence vis a vis les non musulmans, pour cela il a parlé un petit peu sur le comportement de prophite (sws) et sa maniere de traitement des prisonnier des guerres. Sur ce point il abordé l'indignation totale de prophite (sws) quand il entendé quue Khalid Ibnou Lwalid a executé des prisonniers.

Puis il a souligné le fait que chaque personne doit avoir un seul discour et que elle soit ferme sur ses sujets car l'islam est plus mesricordieux.

Puis il a parlé sur la manipulation des personnes et il a invoqué l'histoire de Hani ramadan qui a été victime d'espionnage de la part des services secrets suisses. L'agent suisse qui a été convertis artificielment a pu se convertir reellement ainsi il a ecrit une lettre a Hani en lui expliquant son intention et son vrai metier( que c'est un agent qui aurait du le salir en introduisant des noms suspects ds son ordinateur). Cet agent a evoqué quelques secrets ds cette lettre que la plupart disant de "moujahidine " a été manipulé par des services secrets.

et voila.

bonne lecture
n
24 mai 2006 18:30
il est dans son rôle de donner des explications. ces études doivent bien servir à qlqchoses. et nous aussi on est dans notre rôle quand on le critique.
mais il faut dire qu'il a du charisme malgré sa débâcle devant sarkozy.
s
24 mai 2006 20:06
Citation
nanti a écrit:
il est dans son rôle de donner des explications. ces études doivent bien servir à qlqchoses. et nous aussi on est dans notre rôle quand on le critique.
mais il faut dire qu'il a du charisme malgré sa débâcle devant sarkozy.

tu as raison et hani le frere est sympa et cool.

LE DIRECTEUR du Centre islamique de Genève, Hani Ramadan, a été suspendu d'enseignement par les autorités du canton de Genève, à la suite de la parution d'une tribune dans Le Monde dans laquelle il justifiait la lapidation contre les femmes adultères ( Le Monde du 10 septembre). Outre ses activités de militant musulman, M. Ramadan est en effet professeur de français dans l'enseignement secondaire public en Suisse. Le département de l'instruction publique (DIP) de Genève a estimé qu'il avait outrepassé son obligation de réserve et de neutralité en publiant ce point de vue.
[www.lemonde.fr]
s
24 mai 2006 21:16
n'ayant aucune relation ni avec le sympathique tarik ni avec le vachement cool hani .

Mais pour l'information:



Actualité
Suisse: Confession de l'agent secret qui a espionné le centre islamique de Genève


Christian Z, 35 ans, travaillait pour les Services secrets suisses. Engagé dans une opération baptisée Memphis, il avait la mission d'infiltrer le Centre islamique de Genève dirigé par Hani Ramadan. De son expérience en milieu musulman, Christian est devenu Sayyid en choisissant l'islam comme religion. Il met alors fin à sa mission et décide de s'ouvrir à Hani Ramadan puis s'adresse aux médias. Entretien avec un homme de l'ombre qui se bat pour faire la lumière sur une affaire que certains voudraient étouffer.




Yann Vogel: Le 23 février dernier, vous révéliez dans les colonnes de la Tribune de Genève les buts de l'opération des services secrets à l'encontre du centre islamique que dirige Hani Ramadan. Pouvez-vous nous rappeler ces faits ?

Sayyid: J'ai été recruté par le SAP (NDT : service d'analyse et de prévention, service secrets intérieurs suisses) à la fin de 2003. A l'époque, je travaillais pour la brigade des stupéfiants de la police du canton de Genève. Mon rôle consistait à infiltrer des réseaux de trafiquants et à réunir les conditions pour des arrestations en flagrant délit. D'une manière générale je n'ai jamais tellement eu d'affinités avec les policiers, mais, par le passé, ma conduite n'avait pas toujours été exemplaire. C'était en quelque sorte pour moi l'occasion de remettre les pendules à l'heure. Mes premiers rendez-vous avec le SAP se sont bien passés. Ils semblaient être motivés par une éventuelle menace sur le territoire Suisse. Pour ma part je ne connaissais rien à l'islam. Comme la majorité des gens, j'étais conditionné par tout ce que les médias servent chaque jours en matière d'amalgames entre islam et terrorisme. L'opération a été baptisée Memphis, mon nom de code était Menes. Bien sûr on ne m'a pas, au départ, informé des objectifs exacts de l'opération. Les services secrets avaient besoin de m'évaluer afin de savoir si je pouvais être fiable. La première étape consistait à m'intégrer dans la communauté musulmane, et plus particulièrement celle qui fréquente le centre islamique que dirige Hani Ramadan.

Qu'avez-vous trouvé sur Hani Ramadan ?

Sayyid: Absolument rien, mais le SAP le savait bien avant l'opération Memphis, d'où la nécessité de fabriquer des preuves, afin de l'accabler une fois pour toute. Cela aurait arrangé beaucoup de monde que Hani Ramadan soit définitivement compromis.

Comment devait fonctionner le « piège » ?

Sayyid: Mon officier avait reçu une note émanant des services secrets libanais, transmise au SAP par le DFAE (NDT : Département Fédéral des Affaires Etrangères). Elle informait que des musulmans résidant à Genève s'apprêtaient à rejoindre l'Irak, via Damas. L'idée était d'infiltrer ce groupe, de les accompagner sur place afin de vérifier la validité des leurs contacts, tout en les laissant faire. Le SAP n'a pas la légalité pour envoyer des agents à l'étranger, mais ils ont pris le risque pour un premier séjour. L'idée ensuite était d'y retourner, dans le cadre d'une mission conjointe avec le service de renseignements d'un pays étranger. L'objectif final était ensuite de fabriquer le lien entre ces musulmans partis de Genève et le centre islamique, et bien sûr, par extension, Hani Ramadan.
Par précaution, j'ai pris soin d'enregistrer mes trois derniers entretiens avec Patrick XXXXXX, mon officier traitant au SAP. Ces bandes confirment mes accusations, et j'ai pris l'initiative de les expédier à la commission parlementaire en charge du contrôle des activités du renseignement suisse.

Vous êtes vous rendu en Irak ?

Sayyid: Non.

Vous vous êtes converti à l'islam, était-ce une demande du SAP ou avez-vous fait du « zèle », comme l'a dit un journaliste Suisse.

Sayyid: Ma conversion était bien sûr programmée par le SAP. Comment infiltrer un milieu que l'on suppose islamiste sans être musulman ? Vous savez, travailler pour des services laisse peu de place aux initiatives personnelles. Vous recevez des ordres et vous les exécutez, c'est tout. Au départ j'étais assez emballé, bien sûr. On avait su me persuader de l'utilité de ma tâche.

Vous avez dit au Blick que votre conversion était ensuite devenue sincère. A partir de quand avez-vous trouvé la foi ?

Sayyid: Assez vite, et un peu malgré moi. Il faudrait être un homme vraiment insensible pour ne pas être touché au plus profond de soi-même par la prière en islam. Au fil du temps, ma vision du monde s'est transformée, dans le sens d'une plus grande lucidité. Toutefois, ma mission en Syrie a été décisive. A mon retour j'ai décidé de mettre un terme à mes activités avec le SAP. Mais évidemment on ne clôture pas une opération comme ça, en claquant la porte du jour au lendemain.

Est-il vrai que les services secrets vous ont menacé ?

Sayyid: Oui. Il était très facile pour eux de faire pression. J'étais devenu musulman, je m'étais déplacé en Syrie ou j'avais été en contact avec des groupes de résistants. Ils pouvaient me piéger très facilement en me faisant passer pour un recruteur. Mais j'ai surtout compris à ce moment que l'opération Memphis allait se poursuivre, avec ou sans ma participation. J'ai donc décidé de prévenir Hani Ramadan.

Dans l'article de la Tribune de Genève du 23 février relate brièvement les activités d'agents provocateurs de services étrangers au centre islamique. Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur leurs objectifs ?

Sayyid: Le rôle d'un agent provocateur est d'inciter à la haine et à la violence, dans le but de déstabiliser l'organisation ou le pays dans lequel il opère. J'ai effectivement pu approcher plusieurs individus en contact avec des groupes ayant un caractère terroriste et qui ont été identifiés par le SAP comme étant des agents provocateurs issus de services de renseignements étrangers.

De quels pays provenaient-ils ?

Sayyid: De XXXXX, de XXXXXXX et de XX XXXXXX (ndr, ces noms étaient camouflés dans la version originale)

Vous prétendez que des agences gouvernementales infiltrent des mosquées afin de recruter des musulmans dans le but d'organiser des attentats ?

Sayyid: Je ne sous-entends rien, j'analyse les faits. Ces trois dernières années, la plupart des attentats perpétrés au nom de l'islam démontrent une chose certaine : chaque détail du style de ces actions indique qu'elles ont été préparées par des professionnels, et non par des excités formés en trois semaines sur les dunes d'un camp improvisé dans le désert. Tout cela devient clairement compréhensible au regard des effets politiques prévisibles de ces actions: elles sont toujours exactement opposées à celles qu'elles prétendent rechercher. L'assassinat de Rafic Hariri en est malheureusement l'exemple le plus probant. Un groupe islamiste inconnu, et surtout inexistant, en a immédiatement revendiqué l'attentat. La vérité semble aujourd'hui différente. On pourrait trouver 15 autres exemples similaires.

Qu'allez-vous faire maintenant ?

Sayyid: Il reste encore beaucoup de choses à dire et j'attends impatiemment d'être convoqué par la commission d'enquête parlementaire. Elle ne semble pas très pressée, mais je ne doute pas un instant de pouvoir établir la vérité. Ce n'est plus qu'une question de temps.

Propos recueillis et traduits avec l'aimable collaboration de Yann Vogel


source: [www.saphirnews.com]

Mercredi 26 Avril 2006
s
24 mai 2006 21:41
je transcrit une interview de hani bien que je ne l'aime pas.
les diplomes , le savoir, la betise , les mathematiques, les integrales, les equations ,ça peut cohabiter tu l'a toujours dis.
m
24 mai 2006 21:45
peut et mais ils sont plutot sélectif à OXFORD,
perso je connais pas Hani je parle donc de Tarik
s
24 mai 2006 21:51
Citation
marocain_fier a écrit:
peut et mais ils sont plutot sélectif à OXFORD,
perso je connais pas Hani je parle donc de Tarik

marocain_fier

on a tous des diplomes tu sais.
doit-on les etaler: non, non et non.
Je ne veux pas discuter ce dossier, mais le niveau intelectuel de tarik est pauvre.

hani,son frere est (khou moul lbach)
m
24 mai 2006 22:03
souheil, je ne t'ai pas parlé de tes diplome que je respecte et ça ne me ragarde pas
je parlais seulement de OXFORD que je connais et je te disais que pour occuper une chaire là bas, il faut avoir des trucs dans la tête et Tarik Ramadan en a mais si tu ne le pense pas, j'accepte ton point de vu.
a
24 mai 2006 22:11
Il m'est arrivé de voir Tarek Ramadan dans des émissions françaises (avant son boycott) et il avait l'air d'être difficile à contrer par ses détracteurs.
s
24 mai 2006 22:14
Citation
marocain_fier a écrit:
souheil, je ne t'ai pas parlé de tes diplome que je respecte et ça ne me ragarde pas
je parlais seulement de OXFORD que je connais et je te disais que pour occuper une chaire là bas, il faut avoir des trucs dans la tête et Tarik Ramadan en a mais si tu ne le pense pas, j'accepte ton point de vu.

dis moi, marocain, est-ce que tu crois qu'il a cette chaire pour son intellect ou pour des raisons politiques.
Les docteurs honoris ....
Les consultants enseignants dans les universités......
diplomes et chaires , tu sais c'est (houwa hadak).
Partout dans le monde.
E
25 mai 2006 05:34
ca vu quelque fatwa de tarik ramadan sur le net et franchement je laime bien Mashalah alih!
n
26 mai 2006 09:11
aweddi, quel art d'attaquer une personne et ses vrais diplomes , quand on n'arrive pas à discuter ses idées. le charisme il l'a . les diplomes ,il les a. et il n y a pas besoin de recourir à son frère pour essayer de l'attaquer.

oui, on a tous des diplomes ( même si tous les diplomes ne se valent pas, selon le domaine où on veut intervenir) ; mais ça nous sert à quoi??

mais d'un autre côté , il ne faut pas en faire un super héros.la dernière fois devant les methodes policières de sarkozy, il n'a pas su polémiquer!!
f
26 mai 2006 18:27
Citation
issi a écrit:
Puis il a souligné le fait que chaque personne doit avoir un seul discour et que elle soit ferme sur ses sujets car l'islam est plus mesricordieux.

Que notre frère applique son conseil
n
26 mai 2006 18:39
quand on cottoie la politiques et ses vices, on ne peut pas garder un seul discours. il faut s'adapter à l'auditoire.
f
26 mai 2006 18:48
ce n est certes point évident mais l'hypocrisie est interdite dans notre religion.

Or j'ai lu des choses (livre, artilces, interviews) et écouté d'autres choses (k7) j'ai été déçue


mais c est mon frère lilah quand même qu allah nous guide je ne demande que de la sincérité
n
26 mai 2006 18:55
l'hypocrisie est un gros mot, parlons plutot de taqiyya.
s
26 mai 2006 23:47
taqiyya.

Je veux diserter sur cette problemaque avec fatima 35

moi , je veux .
 
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