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Taounate
l
5 février 2008 21:57
Je veux bien avoir un appercu sur le tissu associatif actif à taounate et proince


Merci
N
5 février 2008 23:54
Citation
slam1 a écrit:
Salam Alaikoum,

Si quelqu'un pouvait me donner des informations sur Slass, c'est vers Ourtzagh ? Je suis preneur.

Shoukrane.


Slès ou Slass est une tribu qui a élu domicile à Tounate jusqu'à nos jours. Elle entourée par les tribus suivantes: Beni-Zeroual, El Jaya, Beni Ouriaguel, Fichtala et les Hyaynas ne sont pas Loin.
On dit que ses habitants sont originaires de Salé après l'avoir habité en quittant l'Andalousie. Pour rappel aussi, la tribu d'El Jaia est habité par beaucoup de familles originaires d'andalousie et qui sont venus y habiter après la défaite des Almohades en Andalousie.
A Slèss, on trouve des arbres fruitiers, de l'eau, des vergers, des marichers.... la rivière de Slèss donnant dans la grande rivière d'Ourgha où on attrapait avant l'alose (chabel) et mulet (Bouri), Kelb el B7ar ou Elma, Anguilles, .... Actuellement ce genre de poisson a dispau à cause du barrage Al wa7da aux alentours.
Les Habitants de Slèss faisaient du comerce des feuilles de myrte et d'arbousier qu'ils vendaient à Fès et à Tafilat pour la teinture de peaux, cuirs, chaussures et porte-monnaie. Leurs habitudes, habits, ...ressemblent à ceux de Fichtala...Les femmes des 4 tribus : Slès, Fichtala, Beni-Ouriaguel et El Jaia se voilent à la façon Tlemceniennes (On sait qu'à Telemcen il y a beaucoup d'habitants originaires d'Andalousie et qui parlent comme Jbala avec Alif au lieu de Qaf)...

Quelque village de Slèss:

-Sidi Hassoun et c'est là où il y a le deuxième tombeau de Sidi Hassoun. Je dois attirer votre attention sur une chose: Au Maroc, il y a pas mal de cas de saints qui ont un double tombeau. En effet, quand un saint meurt dans une région qui n'est pas la sienne, les gens qui avaient vu ses prodiges reconnaissent sa sainteté lui élévent un mosaulé qui souvent devient célèbre et visité par les habitants qui font des donations et offrandes générant ainsi une activité commerciale lucrative pour le village et les personne qui s'en occupent.
Quand la famille du Wali (entérré ailleurs) s'en rendent compte et voyent que cette activité est rentable et exploité par des gens qui sont étrangers au WAli, ils demandent souvent la dépouille de leur Wali pour la rétablier chez eux afin de bénéifcier eux même des retombées socio-économiques. A Cause du refus (souvent) de la premiè-re tribu, la tribu d'origine ou famille du Wali construisent aussi un mousaulé avec le nom de leur Wali (se trouvant souvent ailleurs) en faisant croire que sa dépouille a été ramenée. Donc, quand il y a 2 tombeaux pour un saint, il y en a un qui est forcément vide. Je ne sais pas si ce cas s'applique à Sidi Abdalah Ben HAssoun, mais peut-être que sa dépouille se trouve à Slès et que le tombeau de Salé est vide. Il faut creuser pour être sûr. Mais, personne n'osera le faire pour ne pas être déçu...
- Sidi Essonni: enterré à Souk El Joumou3a de Slès. Il est d'origine lybienne (Tripolitaine). Chaque Aid Mouloud, les gens de Slès rélisait une Ouaâda et on fait la fête avec la lutte, fantasia,... 7 boeufs étaient égorgés à l'occasion.
- El Beyyadh
- Oumlil (le blanc en berbère)
- Oulad Sala7
- Etc....
- El Joumou3a

Il faut savoir que le nom Hassouni est courant à Taounate. Il a pour origines deux Wali: Sidi HAssoun de Slèss et la Wali Hadj Abou Ali Hassoun du Rif et leurs descendances habitent Taounate.

- Pour les Hassouni du Rif: ils descendent du Wali Hadj Abou Ali Hassoun qui vivait pas loin de la ville de BAdis des Bakkuya ou Baqquya (Al Hoceima). On dit qu'il descend d'Abou Bakr Essediq (RAA) Son MAître était Abou daoud Moza7im de Battuya (Al Hoceima). Il est enterré avec son fils à Adouz à 12 Km à l'Est de Badis dans une zaouiya dominant la mer.Le pélerin Abou Ali HAssoun était appelé le Wali des Walis du Rif. Il est connu pour ces prodiges comme la défaite et la mort du Sultan mérinide dit le Sultan Lak7Al (noir) le fils de Moulay YA39oub Ben MAnsour. Ce dernier est venu chatier les 9Al3ya pour avoir agresser son père. Ensuite, il était venu avec son armée à Boqquya (exactement à Tagragra près de Tagidit) défier le Hadj Abou Ali HAssoun. Ce dernier l'invita à quitter les lieux, alors le Sultan Lak7Al refusa. Ensuite en voyant les prodiges du Wali, le sultan lak7al demande des excuses et laisse le territoire entre baqquya en ouringa comme Horm pour la zaouya d'Abou Ali HAssoun. On trouve sa descendance à Taounate (Dchiar et Hjar Mta7en), Beni Zeroual (Aghroud et Beni Sala7), Ketama (Swa7Al) et Zerqat (Iffeli7An).

- Pour les Hassouni de De Sless: Ils descendent du Wali Sidi Abdallah Ben Hassoun qui est enterré à Salé d'après l'historien Ennaçiri. Il dit que Abou Mohamed Abdallah Ben Ahmed Ben El HAssan El Khalidi Es-Slassi sunomé Ben Hassoun fût obligé de s'expatrier pour fuire l'épouvantable anarchie qui metait son pays à feu et à sang. Il alla s'installer à Salé où il mourrut en odeur de Sainteté en 1013 H (1604 AJC).


S'il y a d'autres informations sur Slès, publiez-les ...
N
9 février 2008 15:07
Récoltes catastrophique d'olives à Taounate en 2007: 64000 tonnes contre 163 000 tonnes en 2006




Dans un article paru au journal Assabah le 8/02/2008 page 6, Mr Labiad Hamid décrit le secteur oléocole et la récolte d'olive à Taounate en 2007 et qui a atteint 64 000 Tonne, tandis que la récolte de 2006 avait atteint 163 000 tonnes. Soit une perte de 61% environ sur une année. La majorité d'olives est commercialisée ou envoyée vers d'autres ville du Maroc comme Fès et Meknès ou exportée. La production marocaine de cette année est de 750 000 tonnes soit une contribution de Taounate de 8,4%.
Le prix d'olives varie en moyenne entre 3 et 9 dh/kg pour les olives destinées à la conserve et entre 2,5 et 7 dh/kg pour celles destinées à la trituration. le "Saqqat" est payé 100 Dh la journéee et les femmes qui rammasent ou qui ceuilent les olives sont payées à 50 Dh la journée. L’huile est vendue de 30 à 40 dhs et La marge de bénéfice par litre est de l’ordre de 10 dhs.

A Taounate, le prix d'olives ou d'huiles dépend en plus du sol d'implantation des oliviers. Ainsi les olives récoltés d'oliviers implantés dans le Schiste (Al Farrich) coûte plus cher que les autres olives car l'huile issue d'olives provenant de sols schsiteux est très bon qualité.
La production et traitement d'olives sont concentré dans les régions de production d’olives, à savoir Taza, Taounate, Fès, Meknès, Chefchaouen, Béni Mellal, Kelaâ Sraghna, Marrakech, Essaouira, Agadir et Oujda.


Taounate est dotée de 6 unités (M3assra ou r7A ou Ta7ouna) de technologie moderne traitant 14 000 tonnes d'olives, 29 unités semi-modernes traitant 37 000 tonnes et environ 3000 unités traditionnelles.
L’extraction de l’huile d’olive passe par trois opérations, la trituration, le pressage et la décantation. Les machines semi-modernes sont constituées de deux cylindres broyeurs qui écrasent et malaxent les olives. Les olives sont réduites en pâte d’olives qui sera étendue sur des plateaux ronds et plats. Cette pâte passera dans des pressoirs métalliques à vis et à colonne de « scourtins ». La qualité de l’huile dépend du degré de maturation et de la date de récolte.

Pendant 2007, les services agricoles et la Caisse de développement Agricole ont distribué 350 000 plants d'olives sur les agriculteurs de la province de Taounate en plus de 20 000 plants d'olivs subventionnés à 80% par la-dite caisse auquels il faut ajouter 15 000 plants d'olivier offert dans le cadre du programme MEDA II financé par la Commission Européenne.

Il faut savoir qu'il y a plus de 33. O00. O00 oliviers implantés au Maroc ce qui représente 50 % du patrimoine arboricole national marocain.

Sur le site Aujourd’hui le Maroc - Ali Kharroubi, il y a d'autres précisions:

L’huile d’olive nourrit, assouplit les tissus et aide à conserver la peau jeune tout en calmant ou cicatrisant d’autres maux. Ses bienfaits curatifs couvrent une gamme de douleurs allant des simples irritations de l’épiderme ou des soins des ongles cassants aux maladies les plus graves. Elle est administrée pour apaiser la toux grâce à un massage de la poitrine. Une goûtte tiède est utilisée pour apaiser la douleur des oreilles. Comme elle peut servir à masser les zones douloureuses contre les rhumatismes.

Elle est aussi utilisée en cosmétique comme ingrédient de beauté. Riche en vitamines A, D, et K, elle occupe une place de choix dans la préparation et la cuisson de plats.

« Par opposition aux huiles végétales ou laitières qui contiennent des graisses saturées, l’huile d’olive est riche en graisses mono insaturées avec une teneur de 80% d’acide oléique », note le docteur Kerfati, spécialiste en nutrition. La consommation de l’huile d’olive augmente le cholestérol HDL et réduit le cholestérol LDL qui réduit les risques cardio-vasculaires.

De leurs côtés les phénols, qui sont des vitamines hydrosolubles assurent le rôle d’inhibiteur sur un enzyme responsable du cancer ; ils sont également anti-inflammatoires, alors que le squalène qui est un isoprénoïde de carbone, protège contre le développement de certaines tumeurs. Le squalène sert aussi comme constituant de certains adjuvants que l’on rajoute aux vaccins pour renforcer la réponse immunitaire.

L’olivier marocain occupe une superficie qui avoisine les 60.000 hectares, dont 27.370 irrigués et génèrent une production moyenne annuelle de l’ordre de 100.000 tonnes d’olives de table et 50 mille tonnes d’huile d’olive. Il assure une activité agricole intense permettant de générer plusieurs milliers de journées de travail par an. Il participe de 20% du revenu brut de la production végétale. Les rendements sont variables et peuvent atteindre jusqu’à 12 tonnes par hectare alors qu’un olivier peut produire jusqu ’à 100 kilos.

Vive le MAroc et Vive Taounate.....(tm)(tm)(tm)Clap
m
9 février 2008 15:13
Citation
lnaouen a écrit:
Je veux bien avoir un appercu sur le tissu associatif actif à taounate et proince


Merci
Salamo 3alaykom
Vraiment vous etes une Encyclopédie.
pour avoir cette gamme d'informations sur Taounate c'est vraiment BRAVOOOOOOOOOOO
Salam
m
9 février 2008 15:46
Slès ou Slass est une tribu qui a élu domicile à Tounate jusqu'à nos jours. Elle entourée par les tribus suivantes: Beni-Zeroual, El Jaya, Beni Ouriaguel, Fichtala et les Hyaynas ne sont pas Loin.
On dit que ses habitants sont originaires de Salé après l'avoir habité en quittant l'Andalousie. Pour rappel aussi, la tribu d'El Jaia est habité par beaucoup de familles originaires d'andalousie et qui sont venus y habiter après la défaite des Almohades en Andalousie.
A Slèss, on trouve des arbres fruitiers, de l'eau, des vergers, des marichers.... la rivière de Slèss donnant dans la grande rivière d'Ourgha où on attrapait avant l'alose (chabel) et mulet (Bouri), Kelb el B7ar ou Elma, Anguilles, .... Actuellement ce genre de poisson a dispau à cause du barrage Al wa7da aux alentours.
Les Habitants de Slèss faisaient du comerce des feuilles de myrte et d'arbousier qu'ils vendaient à Fès et à Tafilat pour la teinture de peaux, cuirs, chaussures et porte-monnaie. Leurs habitudes, habits, ...ressemblent à ceux de Fichtala...Les femmes des 4 tribus : Slès, Fichtala, Beni-Ouriaguel et El Jaia se voilent à la façon Tlemceniennes (On sait qu'à Telemcen il y a beaucoup d'habitants originaires d'Andalousie et qui parlent comme Jbala avec Alif au lieu de Qaf)...

Quelque village de Slèss:

-Sidi Hassoun et c'est là où il y a le deuxième tombeau de Sidi Hassoun. Je dois attirer votre attention sur une chose: Au Maroc, il y a pas mal de cas de saints qui ont un double tombeau. En effet, quand un saint meurt dans une région qui n'est pas la sienne, les gens qui avaient vu ses prodiges reconnaissent sa sainteté lui élévent un mosaulé qui souvent devient célèbre et visité par les habitants qui font des donations et offrandes générant ainsi une activité commerciale lucrative pour le village et les personne qui s'en occupent.
Quand la famille du Wali (entérré ailleurs) s'en rendent compte et voyent que cette activité est rentable et exploité par des gens qui sont étrangers au WAli, ils demandent souvent la dépouille de leur Wali pour la rétablier chez eux afin de bénéifcier eux même des retombées socio-économiques. A Cause du refus (souvent) de la premiè-re tribu, la tribu d'origine ou famille du Wali construisent aussi un mousaulé avec le nom de leur Wali (se trouvant souvent ailleurs) en faisant croire que sa dépouille a été ramenée. Donc, quand il y a 2 tombeaux pour un saint, il y en a un qui est forcément vide. Je ne sais pas si ce cas s'applique à Sidi Abdalah Ben HAssoun, mais peut-être que sa dépouille se trouve à Slès et que le tombeau de Salé est vide. Il faut creuser pour être sûr. Mais, personne n'osera le faire pour ne pas être déçu...
- Sidi Essonni: enterré à Souk El Joumou3a de Slès. Il est d'origine lybienne (Tripolitaine). Chaque Aid Mouloud, les gens de Slès rélisait une Ouaâda et on fait la fête avec la lutte, fantasia,... 7 boeufs étaient égorgés à l'occasion.
- El Beyyadh
- Oumlil (le blanc en berbère)
- Oulad Sala7
- Etc....
- El Joumou3a

Il faut savoir que le nom Hassouni est courant à Taounate. Il a pour origines deux Wali: Sidi HAssoun de Slèss et la Wali Hadj Abou Ali Hassoun du Rif et leurs descendances habitent Taounate.

- Pour les Hassouni du Rif: ils descendent du Wali Hadj Abou Ali Hassoun qui vivait pas loin de la ville de BAdis des Bakkuya ou Baqquya (Al Hoceima). On dit qu'il descend d'Abou Bakr Essediq (RAA) Son MAître était Abou daoud Moza7im de Battuya (Al Hoceima). Il est enterré avec son fils à Adouz à 12 Km à l'Est de Badis dans une zaouiya dominant la mer.Le pélerin Abou Ali HAssoun était appelé le Wali des Walis du Rif. Il est connu pour ces prodiges comme la défaite et la mort du Sultan mérinide dit le Sultan Lak7Al (noir) le fils de Moulay YA39oub Ben MAnsour. Ce dernier est venu chatier les 9Al3ya pour avoir agresser son père. Ensuite, il était venu avec son armée à Boqquya (exactement à Tagragra près de Tagidit) défier le Hadj Abou Ali HAssoun. Ce dernier l'invita à quitter les lieux, alors le Sultan Lak7Al refusa. Ensuite en voyant les prodiges du Wali, le sultan lak7al demande des excuses et laisse le territoire entre baqquya en ouringa comme Horm pour la zaouya d'Abou Ali HAssoun. On trouve sa descendance à Taounate (Dchiar et Hjar Mta7en), Beni Zeroual (Aghroud et Beni Sala7), Ketama (Swa7Al) et Zerqat (Iffeli7An).

- Pour les Hassouni de De Sless: Ils descendent du Wali Sidi Abdallah Ben Hassoun qui est enterré à Salé d'après l'historien Ennaçiri. Il dit que Abou Mohamed Abdallah Ben Ahmed Ben El HAssan El Khalidi Es-Slassi sunomé Ben Hassoun fût obligé de s'expatrier pour fuire l'épouvantable anarchie qui metait son pays à feu et à sang. Il alla s'installer à Salé où il mourrut en odeur de Sainteté en 1013 H (1604 AJC).


S'il y a d'autres informations sur Slès, publiez-les ...[/quote]
Sala
Salam
N
9 février 2008 23:29
Toutes les régions du Maroc s'intéressent au caroubier (Kharroub)


Après Tadla et Tiznit, le journal Assabah du 9/02/2008 (page 6) cite le cas des agriculteurs d'El Jadida qui viennent de recevoir en donnation 600 plants de caroubiers grâce à l'association Al Hanae afin d'améliorer la vie des agriculteurs dans le douar de Sidi Abdallah Tbari, Commune Oulad Hsine de la province d'El Jadida. Les caroubiers sont connus pour leur résistance à la secheresse et aux conditions extrêmes en plus de leur rentabilité agricole et financière. En fait on peut planter 15 000 caroubiers sur 15 HA et la rentabilité financière d'un caroubier adulte est de l'ordre de 10 000 DH.
Comme Taounate est leader dans ce domaine du Caroube, il faut que les associations oeuvrent dans ce domaine en encouageant encore plus l'implantation de cet arbre en quantité afin d'améliorer la vie des habitants de la région. Il faut prendre le bel exemple de Tiznit cité au site: [www.souss.com] car en 2005, une ONG, la Fondation du Sud, a initié, dans la province de Tiznit, un projet de plantation d’un million de caroubiers sur une période de cinq ans (cf. www.leconomiste.com).


En fait d'après Oubbad Zouhair, ingénieur des Eaux et Forêts :[www.souss.com]
15 Ha peut permettre la plantation de 15.000 arbres caroubiers et qui donnent, au-delà d’une certaine durée, une moyenne de 600 kg de fruits, soit l’équivalent de 27 millions de DH

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Le mot Caroubier vient du mot marocain Kharroub qui indiue l'arbre et aussi le fruit qui est une gousse appelée la caroube. De plus, on sait qu'au nord du maroc , cet arbre se nomme chez Jbala comme chez riafa Slighwa ou srighwa. En latin, cet arbre est appelé Nom latin : Ceratonia siliqua. Ce qui laisse penser à la similitude entre Sliqua (latin) et slighwa du nord du Maroc. Son origine : Arabie Saoudite, Somalie, Asie mineure et aujourd’hui répandu dans tout le bassin méditerranéen. Il est cultivé principalement en Sicile et en Espagne.

Les caroubes sont des gousses indéhiscentes, de 10 à 30 cm de longueur sur 1,5 à 3 cm de largeur, pendantes ; d’abord vertes, elles deviennent brun foncé à maturité, en juillet de l’année suivante. Chaque caroube pèse une quinzaine de grammes et contient :
de la pulpe charnue constituée de 40 % de sucres, 35 % d’amidon, 7 % de protéines, et, dans des proportions plus faibles, des graisses, du tanin et des sels minéraux.
10 à 15 graines : Les graines du caroubier, dures, sont assez régulières pour avoir longtemps servi comme unité de poids. Le mot Carat tire son étymologie de "querat", nom que les Arabes donnaient à la graine de caroube. Un carat, unité de mesure de masse utilisée dans le commerce des diamants et des pierres précieuses, correspondait donc au poids d’une graine de caroube (entre 185 et 205 mg, 1 carat = 200mg). De même, siliqua, nom latin de la caroube, fut chez les Romains le nom d’une unité valant 1/6 de scrupule.

Il possède aussi d'autres noms comme:

Carouge, Pain de saint Jean-Baptiste, figuier d’Égypte, fève de Pythagore.

Pour les noms anglais :

Carob, Saint John’s bread, locust tree Arbre dioïque (mâle ou femelle) ou arbuste à feuilles persistantes.

Le nom botanique du genre, Ceratonia, dérive du mot grec keration, « petite corne, cornet », qui servait à désigner la caroube, le fruit à la forme particulière de cet arbre ; le nom d’espèce, siliqua, désigne en latin une silique, ou gousse. Famille : Légumineuses (sous-famille des Césalpiniacées, Arbre de Judée, Caroubier, Cassia, Chicot, Févier, Tamarinier)


Taille : De croissance lente, il peut mesurer de 8 à 15 m (vers 50 ans) et vivre 500 ans.

Écorce : brune, rugueuse. Son bois dur et rougeâtre est très apprécié en ébénisterie.

Feuilles : persistantes, grandes de 12 à 30 cm, paripennées, à 2-6 folioles ovales, larges, coriaces, vert sombre.

Fleurs : Inflorescence cylindrique (mâle, femelle ou hermaphrodite) de 3 à 15 cm composée de 20 à 60 fleurs brunâtres assez peu décoratives apparaissant de juillet à novembre.

Exposition : C’est une essence thermophile qu’on trouve sur des pentes arides. Il résiste bien aux fortes sécheresses estivales et à des pluies irrégulières mais ne résiste pas au froid (0° C minimum) et craint le manque d’eau en dehors de la période estivale même si la sécheresse climatique peut jusqu’à un certain point être compensée par les réserves en eau du sol. Il permet de lutter contre l’érosion des sols.

Les caroubes sont utilisés dans plusieurs domaines comme la pharmacie, l'agroalimentaire, l'industrie textile, l'élevage de bétail, ....

Certaines de ces informations sont extraites du site: [www.tanmia.ma]
N
10 février 2008 01:28
Tissa: une petite ville de la province de Taounate



La province de Taounate est divisée adminitrativement en :

- 2 pachaliks qui sont Taounate-ville et Tahar-Souk
- 4 cercles dont le cercle de Taounate, Ghafsai, Karia et Tissa.
Ces entités administratives se subdivisent en 15 caidats.

Voici pour chaque cercle (Caid Momtaz ou super-Caid), les communes qui en dépendent:

- Pour le Cercle de Taounate, les communes qui en dépendent sont:

Mezraoua, Rghiwa, Ain Médiouna, Beni-Oulid, Bouadel, Bouhouda, Zrizer, Khlalfa, Tameddit, Beni Ounjel-TAfraout, Fennassa-BAb El HAit

- Pour le Cercle de Rhafsai, les communes qui en dépendant sont:

Rhafsia, Outka (Oudka), El Bibane, S.Y Beni Zeroual, Ratba, S.H M'hamed, Sidi Mokhfi, Timezgana,Ourtzagh, Galaz, Tafrant, Kissane, Tabouda,

- Pour le Cercle de Karia, les commune qui en dépendent sont:

Karia, Moulay Abdelkrim, Beni Snouss, Moulay Bouchta El Khammar, Bouchabel, Jbabra, El Oulja, Sidi El Abed, M'Kanssa, Rhouazi ou Ghouazi,

- Pour le cercle de Tissa, les communes qui en dépendent sont:

Tissa, Bssabssa, Oulad Jamaâ, Ras El Oued, Sidi M'hamed Ben Lahcen, Ain Gdah, Oulad Ayyad, Messassa, Outa Bouabanne, Ain Aicha, Ain Maâtouf, Bouârouss, Oulad Daoud.

Le Cercle de Tissa est surtout habité par des Hyaynas appartenant à trois tribus frères qui sont les Oulad Omrane, Oulad 3liane et Oulad Riab. Ces 3 tribus appartiennent à la grande tribu arabe Oulad Dlim. Ils ont été ramené de Mauritanie par les saâdiens entre 1540 et 1610 et installé sur des terres appartenant à Senhaja(berbères) entre Fès et Taounate. Les saâdiens avient ramené d'autres tribus arabes comme Rhamna et les ont installés vers Marrakech. On peut remarquer que les saâdiens avaient un souci sécuritaire pour les grandes villes d'où ils règnaient sur le Maroc. C'est pourquoi ils entouraient ces grandes villes par des tribus d'origine arabe et en qui ils avaient confiance. Ces tribus faisaient ainsi écran entre ces grandes villes et les tribus berbères qui étaient souvent en Bled Siba et qui pourraient attaquer ou rasier ces villes à n'importe quel moment. Malgré cela, Fès, qui était censée être protégée par ces Hyayna, a été plsuieurs fois attaquée par ces derniers lors des famines ou des troubles qu'a connu le Maroc.

Le Chef-lieu de la tribu Hyayna est la ville de Tissa qui est habitée par Hyayna, Jbala et Riafa. Jusqu'à la fin des années 80, la ville de Tissa étaient construite en pizé et chaumes. Actuellement, elle est toute en béton.

Les Hyaynas sont connus par l'agriculture, le festival du cheval et de la fantasia avec les meilleres races Barbe et Arabe, le patrimoine folklorique qui est le Hait (Poésie improvisée et danse), le gisement de sel de Tissa, la plus longue grotte saline d'Afrique (422m). Il sont connus aussi avec la 7archa ou Ftéra qui est la meilleure du Maroc, un plat appelé 7alja ou Halja pour fêter la sortie de l'hiver (40 jours de Liali où il fait très froid) et la rentrée du printemps. Pour cette fête, ils cuissent à la vapeur les coeurs (3asslouj) de plusieurs plantes ou herbes comme Slilli, Tawra, ....qu'ils mélangent à un couscous ou à Dchicha ou à La3ssida et le partager ensuite avec toute la famille ou les voisins, etc

Au temps colonial, il y avait beaucoup de français à Tissa et l'armée avait un camp près de la ville de Tissa. Ils ont laissé beacoup de vestiges. Il y a le cimetière français et l'église de Tissa. La résistance était difficile à organiser chez les Hyayna à cause du relief valonné ou plat et qui est facile à atteindre par l'armée française. Le manque de montagnes a facilité la soumission des Hyaynas qui ne trouvait pas de lieux pour organiser et cacher les résistants.

Chez les Hyayna, il y avait un grand colon appelé Blanc (qui connait son prénom ou plus de détails sur son histoire d'enlèvement?) . Il a été kidnapé par un commando de résistants Taounati venu de Senhaja Chems (Mosbah) et leur chef qui était originaire de Taounate D'El Qchour. Ce commando s'est déguisé en femmes et ils sont rentré cachées sous l'herbe dans des charettes remenant de l'herbe pour le bétail et ceuilli par des femmes. Ce commando a pu kidnapper Mr Blanc, sa femme, son fils et sa femme, ainsi que sa bonne et ceci grâce à l'aide d'un Hayyani d'origine rifaine qui était le gardien personnel de Blanc et à la bonne qui avait ouvert la porte pour donner le signal au commando pour attaquer. Ensuite, un des membres du commando s'est mariée avec cette bonne pour lui sauver la vie. Après quelques jours de détention, il y avait entente entre le commando et Blanc pour qu'il quitte la région. Ainsi, ce dernier a été relâché avec sa famille sains et saufs et il a quitté comme prévu la région et sa famille après un mois environ.

Voici plus de détails sur Tissa : [fr.wikipedia.org]

Vive le Maroc et vive Hyayna (tm) (tm)(tm) Clap
N
10 février 2008 16:57
Un journaliste Taounati écrit sur le bonheur des êtres humains




* Mohamed El Kadi est journaliste reporter au journal SADA TAOUNATE et l'Hebdomadaire ALBIDAOUI.
Président fondateur de l'ONG internationale: l'Organisation Méditerranée pour le Développement et l'Action Humanitaire ( OMDAH )


Voici son article sur ce lien: [www.acep.asso.fr]
N
10 février 2008 17:15
Pour développer Taounate, il faut réaliser un partenariat entre les acteurs de Tounate et les laboratoires de recherches de grandes écoles ou d'universités



Un des axes à ne pas négliger pour le développement d'une région est le partenariat entre cette région et les laboratoires de recherche dans les grandes écoles et universités que ce soit dans les sceinces humaines ou exactes.
En fait, en soumettant un problème à ces laboratoires, vous savez que vous aurez une réponse scientifique adéquate qui vous permettera de prendre les bonnes décisions ou de résoudre un problème.
Ainsi, il est vivement conseillé aux acteurs de la société civile et des pouvoirs publics de traiter avec des laboratoires de recherches comme celles de l'Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès qui est la plus proche de Fès. Il y a aussi d'autres écoles comme l'IAV de Rabat ou université comme celle d'El Jadida qui a traité le problème des margines à Ain Médiouna à contacter pour faire avancer Taounate.

Voici des exemples de problèmes ou projets traités par l'Université Sidi Mohamed Ben Abdellah de Fès:


Faculté des Sciences Dhar El Mehrez


Faculté des Sciences Dhar El Mehrez
Université Sidi Mohamed Ben Abdellah,
BP 1796, Dhar El-Mehraz-Atlas-Fès, Maroc
Titre original : Physico-chemical parameter variations of water from Wadi Aggai waters : geo-environmental significance and consequences for travertines precipitation [Middle Atlas, Morocco
Source : Journal of African Earth Sciences, February 2000, vol. 30, no. 2, pp. 283-293(11)
Lien vers le résumé de l'article
Auteur correspondant : Lahcen Gourari, E-mail


Titre original : Composition biochimique du zooplancton crustacé et broutage du phytoplancton et des protistes ciliés dans un réservoir récemment mis en eau (Sahela, Maroc) : Biochemical composition of crustacean zooplankton and grazing impact on phytoplankton and ciliates in a newly flooded reservoir (Sahela, Maroc)
Source : Comptes Rendus Biologies, Volume 326, Issue 8, August 2003, Pages 761-770
Lien vers le résumé de l'article


Département de Biologie
Université Sidi Mohamed Ben Abdellah.
Dhar El Mehrez,. B.P. 1796 Atlas Fès, Maroc
Titre original : Évolution nycthémérale des composantes biochimiques du phytoplancton de la retenue du barrage Idriss premier (Fès, Maroc)
Source : J. Chim. Phys. Vol. 96, N°3 p. 339-351 1999
Lien vers le résumé de l'article


Titre original : Processus d'eutrophisation : activité de la phosphatase alcaline du microplancton d'un réservoir mésotrophe marocain (Allal El Fassi)
Source : Rev. Sci. Eau 15 (1) : 51-62 (2001).
Lien vers le résumé de l'article


Titre original : Activité de la phosphatase alcaline bactérienne à l'interface eau-sédiment au sein du réservoir Sahela (Maroc).
Source : Rev. Sci. Eau 16 (3) : 305-316 (2003).
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Titre original : Qualité des eaux et macrofaune benthique d'un milieu estuarien du Maroc : cas de l'estuaire de Sebou.
Source : Bulletin de l'Institut Scientifique Section Sciences de la Vie Numéro 25 (2003) p. 67-75
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Département de Biologie
Laboratoire d'hydrobiologie et écologie générale
Faculté des Sciences Dhar el Mehraz,
BP 1796. Atlas, Fès, MAROC
Titre original : Fungal and Bacterial Colonisation of Salix pedicellataLeaves Decaying in Permanent and Intermittent Streams in Eastern Morocco
Source : International Review of Hydrobiology Volume 86, Issue 3, Date : June 2001, Pages : 337-348
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Titre original : Dynamique des populations microphytobenthiques couplée à leur composition biochimique au sein du réservoir Allal El Fassi (Maroc).
Source : Rev. Sci. Eau 15 (1) : 101-109 (2001).
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Titre original : Étude du régime alimentaire de deux souches de truite arc-en-ciel marocaine et bulgare dans deux plans d'eau du Moyen-Atlas Amghass I et Amghass II.
Source : Rev. Sci. Eau 15 (1) : 165-176 (2001).
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Département Géologie
Faculté des Sciences Dhar Mhraz
Université Sidi Mohammed Ben Abdallah
BP 1796 Atlas Fès Maroc
Titre original : Rôle du contrôle structural dans la morphogenèse et la mise en place du réseau hydrographique. L'exemple du réseau de Sebou et d'Innaouènè entre Fès et oued Amlil (Maroc).
Source : Bulletin de l'Institut Scientifique Section Sciences de la Terre N°23 (2001) p. 67-77
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Titre original : Utilisation d'un SIG pour l'évaluation et la cartographie des risques d'érosion par l'Equation universelle des pertes en sol dans le Rif oriental, Maroc ; cas du bassin versant de l'oued Boussouab,
Source : Bulletin de l'Institut Scientifique Section Sciences de la Terre N°26 (2004) p. 69-79
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10 février 2008 17:18
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Laboratory of Animal Physiology
Faculty of Sciences, Dhar El Mehraz,
USMBA, BP 1976, Atlas fez, Morocco
Titre original : Ethnobotanical studies and economic evaluation of medicinal plants in Taounate province (Northern Morocco)
Source : Journal of Ethnopharmacology, Volume 86, Issues 2-3, June 2003, Pages 149-158
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Laboratoire de Physiologie Végétale
Faculté des Sciences, Dhar El Mehraze,
Fes, Maroc
Titre original : Effet de la salinité de l'eau d'irrigation sur la colonisation des racines des porte-greffes d'agrumes par Phytophthora parasitica
Source : Fruits 59 02 (2004) 101-108
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Laboratory of Phytopathology,
University Dhar EL Mehraz,
Fes, Morocco
Titre original : First report of Colletotrichum gloeosporioides causing withertip on twigs and tear stain on fruit of citrus in Morocco
Source : Plant Pathology, Volume 52, Number 6, December 2003, pp. 798-798(1)
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Faculté des Sciences et Techniques Fès Saiss


Faculté des Sciences et Techniques Fes-Saiss,
Fes, Morocco
Titre original : La prospection géothermique de surface au Maroc : hydrodynamisme, anomalies thermiques et indices de surface : Geothermal prospecting in Morocco : hydrodynamics, thermal anomalies and surface indices
Source : Journal of African Earth Sciences, Volume 32, Issue 4, May 2001, Pages 851-867
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Titre original : A structural transect through the High and Middle Atlas of Morocco
Source : Journal of African Earth Sciences, Volume 39, Issues 3-5, June-August 2004, Pages 319-327
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Département de Biologie,
Faculté des sciences et techniques de Fès-Saiss,
Université Sidi Mohammed Ben Abdellah
Route d'Imouzer BP 2202, MAROC
Titre original : Potentialités phagotrophes des phytoflagellés dans la retenue de barrage Allal El Fassi (Maroc)
Source : Rev. Sci. Eau 15 (1) : 87-99 (2001).
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Titre original : Le site Al-Azaghar (Moyen-Atlas, Maroc) : un foyer grégarigène du criquet marocain Dociostaurus maroccanus (Thunb., 1815).
Source : Bulletin de l'Institut Scientifique Section Sciences de la Vie Numéro 25 (2003) p. 83-88
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Département de Géologie,
Fès-Saïs, B.P. 2202, Morocco
Titre original : Application of chemical geothermometers to thermal springs of the Maghreb, North Africa
Source : Geothermics, Volume 27, Issue 2, April 1998, Pages 211-233
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Titre original : Anomalies géothermiques de surface et hydrodynamisme dans le bassin d'Agadir (Maroc)
Source : Journal of African Earth Sciences, Volume 27, Issue 1, July 1998, Pages 71-85
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Titre original : Contribution de l'imagerie satellitaire à la détection des zones saturées et au zonage de l'évapotranspiration dans la basse vallée de la Medjerda (Tunisie)
Source : Sécheresse. Numéro 10, volume 2, 117, Juin 1999
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Titre original : Assessment of water quality and toxicity of polluted Rivers Fez and Sebou in the region of Fez (Morocco)
Source : Environmental Pollution, Volume 131, Issue 1, September 2004, Pages 163-172
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Laboratoire de Biotechnologie et Amélioration de la Production Végétale,
Faculté des Sciences et Techniques,
Fès-Saïss, BP 2202,
Titre original : Problèmes de dégradation de l'environnement par la désertification et la déforestation : impact du phénomène au Maroc
Source : Sécheresse. Volume 15, Numéro 4, 307-20, OCTOBRE-NOVEMBRE-DÉCEMBRE 2004
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Laboratoire de Géosciences et Environnement
Faculté des Sciences et Techniques de Fès,
BP 2202, route d'Imouzzer, Fès-Saiss, Maroc.
Titre original : Délimitation des zones de protection autour de la retenue du barrage Hachef (Maroc) par télédétection et SIG.
Source : Rev. Sci. Eau 19 (1) : 4-10 2006
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Laboratoire des Ressources Naturelles et Environnement,
Faculté des Sciences et Techniques,
BP 2202, Route d'Imouzzer, Fès, Maroc,
Titre original : Approche géomatique pour la délimitation de périmètres de protection des ressources en eau souterraines (champ captant)
Source : Sécheresse. Volume 16, Numéro 1, 76-8, Mars 2005, Sécheresse en ligne, 2E
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Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Fès-Saïss

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10 février 2008 17:19
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Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Fès-Saïss


Département Géographie
Faculté de Lettres Saïss
Université Sidi Mohammed Ben Abdallah
BP 59 Fès Maroc
Titre original : Utilisation d'un SIG pour l'évaluation et la cartographie des risques d'érosion par l'Equation universelle des pertes en sol dans le Rif oriental, Maroc ; cas du bassin versant de l'oued Boussouab,
Source : Bulletin de l'Institut Scientifique Section Sciences de la Terre N°26 (2004) p. 69-79
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Laboratoire de Géomorphologie
Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Fès-Saïss
BP 59, Route d'Imouzzer, Fès, Maroc.
Titre original : Problèmes de dégradation de l'environnement par la désertification et la déforestation : impact du phénomène au Maroc
Source : Sécheresse. Volume 15, Numéro 4, 307-20, OCTOBRE-NOVEMBRE-DÉCEMBRE 2004
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Extrait du site: [www.secheresse.info]
N
10 février 2008 23:25
Monographie de la région Al Hoceima-Taza Taounate




Voici un document détaillé sur la région Al Hoceima-Taza-Taounate. Il donne des détails pour chaque province. Il y a des données à mettre à jour car ils ont changé depuis l'édition de ce document. Mais, il reste un bon documet de base pour le travail associatif par exemple ou pour tout investisseur.
Voici le lien:


[doc.abhatoo.net.ma]
N
12 février 2008 23:16
Moyens publics et privés très insuffisants pour les soins et les traitements sanitaires à Taounate




Regardez ce document PDF émanant du Ministère de la Santé et donnant un résumé sur le domaine sanitaire à Taounate. C'est catastrophique car tous les indicateurs sont beaucoup bien inférieurs à la moyanne régionale et à la moyenne nationale. On peut remarquer par exemple que le:

-Nombre d'habitants par lit d'hospitalisation: 4311 à Taounate contre 896 au niveau national,

-Nombre d'habitants par médecin: 6961 à Taounate contre 1782 hab/médecin au niveau national,

-Nombre d'habitants par médecin-dentiste (md): 167 058 à Taounate contre 12769 hab/md au niveau national,

-Nombre d'habitant par pharmacie ou dépôt de médicament: 19092 à Taounate contre 5054hab/phamacie au niveau national

-1 clinique privée pour plus de 668 000 habitants.

-Absence de chirurgie à Taounate sauf cas très bénins.

-Quelques spécialités sont présentes dans le grand hôpital de Taounate et un centre de dialyse avec 5 ou 6 appareils.....

Il y a urgence de déveloper cette région et dans tous les domaines car cette province donne plus qu'elle en reçoit. Il faut que la société civile et les élus prennenet leurs responsabilités et développent cette région qui est à la traine malgré ses ressources et son élite qui sert le Maroc mais dans d'autres régions comme Rabat et Casa et les autres grandes villes....

Voici le lien du Ministère de la Santé qui résume la situation sanitaire à Taounate:

[www.sante.gov.ma]
N
13 février 2008 23:41
l'Institut National des Plantes Médicinales et Aromatiques (INPMA) à Taounate


Voici un article du journal Almssae du 13/02/08 décrivant l'INPMA et ses activités dans les domaines de médecine et des aromates. Il cite aussi l'école d'agriculture de Sahl Boutahar à Taounate. Parmi les réussite de l'INMPA: la culture de l'arganier à Taounate alors qu'il ne pousse que dans le Sud....

ãÚåÏ ÇáÃÚÔÇÈ ÇáØÈíÉ æÇáäÈÇÊÇÊ ÇáÚØÑíÉ.. ÃÒãÉ ãÝÊæÍÉ Èíä ÇáÅÏÇÑÉ æÇáÃÓÇÊÐÉ
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ãÚåÏ ÇáÃÚÔÇÈ ÇáØÈíÉ æÇáäÈÇÊÇÊ ÇáÚØÑíÉ íæÌÏ Ýí ãäØÞÉ ÞÑæíÉ ÊÈÚÏ Úä ãÏíäÉ ÊÇæäÇÊ ÈÜ23 ßíáæãÊÑÇ. æÇáæÕæá Åáíå ÚÈÑ æÓÇÆá ÇáäÞá ÇáÚãæãíÉ íãßä Ãä íÃÎÐ íæãÇ ßÇãáÇ æÃäÊ ÊäÊÞá Åáíå ÇäØáÇÞÇ ãä ÝÇÓ. æÈÇáÑÛã ãä ÈÚÏå æÛíÇÈ æÓÇÆá ÇáäÞá ÇáÖÑæÑíÉ æãÚåÇ ÇáÊÌåíÒÇÊ æÇáÈäíÇÊ ÇáÊÍÊíÉ ÇááÇÒãÉ¡ ÝÅä åÐÇ ÇáãÚåÏ íÚÊÈÑ äãæÐÌíÇ áíÓ ÝÞØ Úáì ÕÚíÏ ÇáãÛÑÈ¡ æáßä Úáì ÇáÕÚíÏ ÇáÅÝÑíÞí¡ æßÐáß Úáì ÇáãÓÊæì ÇáÚÑÈí æÇáÅÓáÇãí.
æíÊÈÚ ÇáãÚåÏ¡ ÅÏÇÑíÇ¡ áÞØÇÚ ÇáÊÚáíã ÇáÚÇáí¡ áßä ãÌÇáÇÊ ÇÔÊÛÇáå Êåã ßáÇ ãä æÒÇÑÉ ÇáÕÍÉ ææÒÇÑÉ ÇáÝáÇÍÉ æãäÏæÈíÉ ÇáãíÇå æÇáÛÇÈÇÊ. æÈãÞÊÖì ãÑÓæã ÅÍÏÇËå ÓäÉ 2002¡ ÝÅä ÇáãÚåÏ ãÊÎÕÕ Ýí ÅÌÑÇÁ ÇáÃÈÍÇË Íæá ÇáäÈÇÊÇÊ æÇáÃÚÔÇÈ ÇáØÈíÉ æÇáÚØÑíÉ. æÚáì ÇáÑÛã ãä Ãä ãÑÓæã ÅÍÏÇËå ÕÏÑ ãäÐ ãÇ íÞÇÑÈ ÇáÓÊ ÓäæÇÊ¡ ÝÅä ÊÍÏíÏ ãåÇãå áã íÊã ÅáÇ ÈãÑÓæã ÂÎÑ ÕÏÑ ÓäÉ 2004. æáã íÈÏà ÇáãÚåÏ Úãáå ÅáÇ ÍÏíËÇ¡ Ãí ÈÚÏ ÇÓÊßãÇá ÈäÇÆå æÊÌåíÒå æÅãÏÇÏå ÈÈÚÖ ÇáãæÇÑÏ ÇáÈÔÑíÉ.

ÍãÇíÉ ÇáäÈÇÊÇÊ

æÅáì ÌÇäÈ ÇáÃÈÍÇË¡ íÚãá ÇáãÚåÏ Úáì ÅÌÑÇÁ ÊÌÇÑÈ Úáì åÐå ÇáäÈÇÊÇÊ áÍãÇíÊåÇ æÊØæíÑåÇ. ßãÇ íÚãá Úáì ÇÓÊÎáÇÕ ÇáÒíæÊ ãä ÈÚÖåÇ. æÚÇÏÉ ãÇ ÊÓÊÛá åÐå ÇáäÈÇÊÇÊ Ýí ÚÏÉ ãÌÇáÇÊ ãËá ÇáÊÏÇæí æÇáÚØæÑ æÇáÊÌãíá æÇáÊÛÐíÉ. æÅáì ÌÇäÈ Ðáß¡ ÝÇáãÚåÏ íÞÏã ÎáÇÕÇÊ ÊÌÇÑÈå æÃÈÍÇËå Åáì ÇáãåÊãíä¡ ÓæÇÁ ßÇäæÇ ãÄÓÓÇÊ ÚãæãíÉ Ãæ ÌãÚíÇÊ ãÍáíÉ ææØäíÉ Ãæ ãÞÇæáíä ÚÇãáíä Ýí ÇáãÌÇá.
æíÞæá ãÏíÑ ÇáãÚåÏ ãÍãÏ ÇÍãÇãæÔí Åä åÐå ÇáãÄÓÓÉ íãßä Ãä Êßæä ÞÇØÑÉ ááÊäãíÉ Ýí ÇáãÌÇá Úáì ÇáÕÚíÏ ÇáãÍáí æÇáæØäí ÅÐÇ ÊæÝÑÊ ÇáÔÑæØ ÇáãæÇÊíÉ áÐáß. æíÑì Ãä «ÇáãÛÑÈ Ûäí ÈÃÚÔÇÈå æäÈÇÊÇÊå¡ æáßääÇ ÈÞíäÇ Ýí ÇáãÓÊæì ÇáÈÏÇÆí. æÇáãÚåÏ íÍÇæá Ãä íÚÇæä ßá ÇáãÊÏÎáíä áÖÈØ æÇÓÊÛáÇá æÇáãÍÇÝÙÉ Úáì ÇáäÈÇÊÇÊ æÅÚÏÇÏ ÃæÑÇÞ ÊÞäíÉ Úáì åÐå ÇáäÈÇÊÇÊ».
æíÊæÝÑ ÇáãÚåÏ Úáì ÊÌåíÒÇÊ ÊßäæáæÌíÉ ÚÇáíÉ¡ æãÚ Ðáß ÝÅä ãÓÄæáíå íÑÏÏæä Ãä ßá ÇáÊÌåíÒÇÊ áã ÊÊæÝÑ ÈÚÏ¡ æåæ äÞÕ íÚæÏ ÈÇáÏÑÌÉ ÇáÃæáì Åáì ÛáÇÁ åÐå ÇáÊÌåíÒÇÊ æÚÏã ÊæÝÑåÇ Ýí ÇáÓæÞ ÇáãÛÑÈíÉ¡ ããÇ íÓÊÏÚí ÇÓÊíÑÇÏåÇ ãä ÇáÎÇÑÌ. æÚÇÏÉ ãÇ íÊØáÈ ÇáÃãÑ ÚÏÉ ÅÌÑÇÁÇÊ ãÚÞÏÉ. ßãÇ Ãä åÐå ÇáÊÌåíÒÇÊ ÇáÍÏíËÉ ÊÊØáÈ ÅÚÇÏÉ Êßæíä ÃÓÇÊÐÉ æãåäÏÓí ÇáãÚåÏ.
æíÔíÑ ÇÍãÇãæÔí Åáì Ãä ÇÎÊíÇÑ ÊÇæäÇÊ áÇÍÊÖÇä ÇáãÄÓÓÉ áã íßä ÇÚÊÈÇØíÇ æáÇ æáíÏ ÇáÕÏÝÉ¡ ÝÇáãäØÞÉ ÊÚÊÈÑ ãä ÇáãäÇØÞ ÇáÛäíÉ ÈÇáäÈÇÊÇÊ æÇáÃÚÔÇÈ ÇáØÈíÉ æÇáÚØÑíÉ. «æÇáåÏÝ ßÐáß ãä ÎáÞ ÇáãÑßÒ ÂäÐÇß Ýí ÊÇæäÇÊ íäÏÑÌ Ýí ÅØÇÑ ÏÚã ÇáÌåæíÉ æÇááÇÊãÑßÒ. æÝí åÐÇ ÇáÅØÇÑ¡ ÃÓÓÊ ÚÏÉ ÌÇãÚÇÊ Ýí ãäÇØÞ ÈÚíÏÉ¡ ãËá ÊÇÒÉ æÇáÑÇÔíÏíÉ ææÑÒÇÒÇÊ æÛíÑåÇ». æÅÐÇ ßÇä ãä ÔÃä ÇáÇÎÊíÇÑ Ãä íÏÚã ÇáÊäãíÉ ÈÇáãäØÞÉ æíÚØíåÇ ÇáÅÔÚÇÚ ÇáãÃãæá¡ ÝÅä ÈÚÖ ÇáÚÇãáíä Ýí ÇáãÄÓÓÉ íÔÚÑæä ÈÇáÛÈä ÃãÇã ÈÚÏ ÇáãÚåÏ Úä ÇáãÑßÒ ÇáÍÖÑí æÛíÇÈ ÃÏäì ÇáÊÌåíÒÇÊ Ýí ÇáÝÖÇÁ ÇáãÍíØ Èå.
æíÐåÈ ÃÍÏ ÇáÚÇãáíä Ýí ÇáãÚåÏ Åáì Ãä ÇÎÊíÇÑ ÊÇæäÇÊ áÅÍÏÇË åÐÇ ÇáãÚåÏ íÑãí¡ ãä ÌåÉ ÃÎÑì¡ Åáì ÇáãÓÇåãÉ Ýí ÇáÍÏ ãä ÇäÊÔÇÑ ÒÑÇÚÉ ÇáÞäÈ ÇáåäÏí Ýí ÇáãäØÞÉ¡ æÐáß ÈÊÞÏíã ÒÑÇÚÇÊ ÈÏíáÉ ãåãÉ ÊÊãËá Ýí ÒÑÇÚÉ ÇáÃÚÔÇÈ æÇÓÊÎáÇÕ ÒíæÊÇÊ ÈÚÖåÇ æÊÓæíÞåÇ. æåí ÝáÇÍÉ æÊÌÇÑÉ¡ ÊÞæá åÐå ÇáãÕÇÏÑ¡ íãßä Ãä ÊÏÑ ãÏÇÎíá ãåãÉ ÅÐÇ ãÇ ÇÚÊãÏÊ ÈÑÇãÌ áÊæÚíÉ ÇáãæÇØäíä ÈÞíãÊåÇ Úáì ÇáãÓÊæì ÇáãÍáí. áßä åÐå ÇáÈÑÇãÌ ÇáÊæÚæíÉ áã ÊÚÊãÏ Åáì ÍÏ ÇáÂä ÈÔßá ãßËÝ.

ÇáæÑÏ æÇáÒÚÝÑÇä

æáÇ íåÊã ÇáãÚåÏ ÝÞØ ÈÇáäÈÇÊÇÊ ÇáÊí ÊäÊÌåÇ ÇáãäØÞÉ¡ ÝÝí ÇáãäØÞÉ ÇáÊÌÑíÈíÉ ááäÈÇÊÇÊ ÈÇáãÄÓÓÉ Êã ÛÑÓ ãÇ íÞÇÑÈ 150 äÈÊÉ¡ æãäåÇ äÈÇÊÇÊ ÎÇÑÌÉ Úä ÇáãäØÞÉ ãËá ÇáÒÚÝÑÇä ææÑÏ ÞáÚÉ ãßæäÉ¡ æÍÊì ÔÌÑ ÇáÃÑßÇä ÇáÐí íÞÇá Åäå ãä ÇáãÓÊÍíá Ãä íäÈÊ Ýí ãäÇØÞ ÃÎÑì ÛíÑ ãäØÞÉ ÇáÌäæÈ¡ äÈÊ Ýí åÐå ÇáãäØÞÉ. æíÝÊÎÑ ãÓÄæáæ ÇáãÚåÏ ÈãËá åÐå ÇáÅäÌÇÒÇÊ Ýí ãÌÇá ÇáÃÈÍÇË¡ æíÑÏÏæä Ãäåã ãäÝÊÍæä Úáì ÌãíÚ ÇáÌãÚíÇÊ æÇáãÞÇæáÇÊ æÇáãÚÇåÏ ÇáÃÎÑì ááÊÚÇæä áÊØæíÑ ÇáÃÈÍÇË Ýí ÞØÇÚ ÇáÃÚÔÇÈ ÇáØÈíÉ æÇáäÈÇÊÇÊ ÇáÚØÑíÉ.
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ßãÇ Ãä ÇáÃÓÇÊÐÉ ÇáÈÇÍËíä Ýíå íÊãÓßæä Èßæäåã ÊÇÈÚíä ááÊÚáíã ÇáÚÇáí¡ ãä äÇÍíÉ ÓÇÚÇÊ ÇáÚãá æÇáÚØá¡ Ýí Ííä ÊÄßÏ ÇáÅÏÇÑÉ Ãä ááãÚåÏ ÎÕæÕíÉ ßæäå ãÄÓÓÉ ÈÍË æáíÓ ãÄÓÓÉ ááÊÚáíã¡ æÊÖíÝ Ãä åÐå ÇáÎÕæÕíÉ áÇ ÊÓãÍ ÈÊØÈíÞ äÙÇã ÇáãÄÓÓÇÊ ÇáÌÇãÚíÉ Úáíå. æÊØæÑ ÇáÎáÇÝ Åáì ÔÈå ÞØíÚÉ Èíä ÇáÃÓÇÊÐÉ æÇáÅÏÇÑÉ¡ ÇáÔíÁ ÇáÐí íÚíÞ ÃÏÇÁ ÇáãÚåÏ. æáã ÊÊÏÎá ÈÚÏ æÒÇÑÉ ÇáÊÚáíã ÇáÚÇáí áÍÓã ÇáÎáÇÝ¡ ÈÇáÑÛã ãä ÃäåÇ ÊæÕáÊ ÈÚÏÉ ãÑÇÓáÇÊ ãä ßáÇ ÇáØÑÝíä. æíÑì ÃÍÏ ÇáãÓÄæáíä Ãä æÖÚ åÐå ÇáãÄÓÓÉ ãÚÞÏ ÈÓÈÈ æÌæÏ ÞæÇäíä ÊÖÈØ ÇáÚãá Ýí ãËá åÐå ÇáãÚÇåÏ ÇáãÎÕÕÉ ááÈÍË.
æÊØæÑ ÇáÎáÇÝ Èíä ÇáÅÏÇÑÉ æÇáÃÓÇÊÐÉ Ýí ÇáÂæäÉ ÇáÃÎíÑÉ Åáì ÍÏ ÊÃÓíÓ ãßÊÈ äÞÇÈí ÈÇáãÚåÏ ãä ÞÈá ÓÈÚÉ ÃÓÇÊÐÉ. æÝíãÇ ÊÕÑ ÇáÅÏÇÑÉ Úáì ÍÖæÑåã Åáì ãßÇÊÈ ÇáÚãá ÈÔßá íæãí æÝí ÅØÇÑ ÇáÊæÞíÊ ÇáãÚãæá Èå Ýí ÇáæÙíÝÉ ÇáÚãæãíÉ¡ íÊÔÈË åÄáÇÁ ÇáÃÓÇÊÐÉ ÈæÖÚåã ßÃÓÇÊÐÉ ÌÇãÚííä æíÑÝÖæä «ÊÔÏÏ» ÇáÅÏÇÑÉ ãÚåã Ýí åÐÇ ÇáÔÃä.



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N
13 février 2008 23:43
Suite INPMA de Taounate....

æÊØæÑ ÇáÎáÇÝ Èíä ÇáÅÏÇÑÉ æÇáÃÓÇÊÐÉ Ýí ÇáÂæäÉ ÇáÃÎíÑÉ Åáì ÍÏ ÊÃÓíÓ ãßÊÈ äÞÇÈí ÈÇáãÚåÏ ãä ÞÈá ÓÈÚÉ ÃÓÇÊÐÉ. æÝíãÇ ÊÕÑ ÇáÅÏÇÑÉ Úáì ÍÖæÑåã Åáì ãßÇÊÈ ÇáÚãá ÈÔßá íæãí æÝí ÅØÇÑ ÇáÊæÞíÊ ÇáãÚãæá Èå Ýí ÇáæÙíÝÉ ÇáÚãæãíÉ¡ íÊÔÈË åÄáÇÁ ÇáÃÓÇÊÐÉ ÈæÖÚåã ßÃÓÇÊÐÉ ÌÇãÚííä æíÑÝÖæä «ÊÔÏÏ» ÇáÅÏÇÑÉ ãÚåã Ýí åÐÇ ÇáÔÃä.
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Êßæíä ÇáÚÔÇÈÉ

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Article extrait du site du journal Almasae:[70.84.17.149]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/02/08 23:47 par N7abb-bladi.
N
13 février 2008 23:59
Taounate : 391 km de routes rurales réalisés en 2007


Extrait du site: [www.aujourdhui.ma]

Le monde rural sera bientôt désenclavé dans le cadre du deuxième Programme national pour les routes rurales (PNRR2).


Quelque 391 Km de routes ont été réalisés en 2007 et d'autres sont en cours de réalisation, pour un coût global de 548.905.649 dirhams, selon un rapport de la direction provinciale de l'équipement de Taounate, parvenu jeudi à la MAP. Selon le rapport, quatre tronçons ruraux d'une longueur totale de 50 km ont été réalisés l'an dernier, alors que le taux d'avancement de six autres routes rurales est situé entre 15% et 70%.
Les études techniques concernant le reste des routes rurales programmées dans le cadre du deuxième Programme national pour les routes rurales (PNRR2), sont soit approuvées soit en cours d'approbation, indique le rapport.
Ces routes, qui vont bénéficier à une vingtaine de communes rurales, desservent différentes zones rurales et quelques localités urbaines, le but étant de désenclaver ces régions, d'assurer un développement socio-économique du monde rural, de faciliter l'accès aux services administratifs et sociaux, de créer une dynamique commerciale et économique dans la région et de faciliter la commercialisation des produits agricoles de ces régions.
Le ministère de l'Equipement et du Transport a contribué au financement de ces projets avec 497.245.000 DH, le conseil de la région de Taza-Al Hoceïma a participé avec 21.937.000 DH, les communes rurales concernées avec 63.813.000 dh, alors que le conseil provincial de Taounate y a contribué avec deux millions de dirhams.


Le 4-2-2008 Par : MAP
N
14 février 2008 00:13
Chaque année en fin septembre: Festival de Cheval de Tissa à Taounate



Le festival du cheval de Tissa, véritable image de l'art équestre, est une dynamique de développement pour la localité. Tissa, la petite cité rectiligne aux petites échoppes marchandes, au commerce hétéroclite en monticules à même le sol, possède pourtant un patrimoine inestimable mais méconnu de la plupart des Marocains. Devenue depuis le 16e siècle le berceau du cheval, dont la qualité de l'élevage n'est plus à démontrer. Tissa fait de ce noble animal un produit de développement agricole, touristique et socio-économique. Le cheval des Hyaynas est devenu célèbre, en particulier sur le plan international, grâce à sa participation, à travers le monde, à d'importantes manifestations équestres et est devenu la fierté de toutes les familles de la région, même les plus démunies. Cette manifestation, qui a acquis aujourd'hui ses lettres de noblesse, est organisée chaque année en fin de Septembre début d'Octobre pour une durée de trois Jours.

Pour avoir plus de détails, contacter la commune:

Adresse : Commune Rural de Tissa - Taounate

TEL : 035-68-00-01/44 ou bien : 00 212 35 68 00 01/44 de l'étranger
FAX : 035-62-74-98 ou bien 00 212 35 62 74 98 de l'étranger.

Informations extraites du site: [www.aui.ma]
N
15 février 2008 20:08
La région Taza-Al-Hoceima-Taounate finance un projet de documentaire pour encourager les investissements




Taza-Al-Hoceima-Taounate
Projet de documentaire pour encourager les investissements



Publié le : 05.02.2008 | 14h50 sur le site: [www.lematin.ma]


Le Conseil de la région de Taza-Al Hoceima-Taounate a décidé de financer, durant l'année en cours, un film documentaire pour encourager les investisseurs et faire connaître les atouts économiques et les infrastructures de la région.


Selon une source de la région, un budget de 200 mille DH sera alloué à la production de ce documentaire qui devra contribuer à jeter la lumière sur les potentialités de la région en matière de tourisme, d'artisanat, d'industrie alimentaire et d'élevage.

Le film, qui sera réalisé par des experts en communication, devra aider les conseils élus et les différents services du secteur public de la région à mieux orienter leurs interventions et à élaborer des stratégies de développement intégrées pour l'ensemble des provinces de la région tout en mettant en valeur les atouts économiques sectoriels de chaque province.

Le documentaire, qui dévoilera aux acteurs privés et publics les multiples facettes de développement et d'investissement de la région, devra aussi donner une image globale sur les ressources humaines et leur apport dans le processus de développement.


Par MAP
N
15 février 2008 20:31
Aide aux èlèves dans la région Al Hoceima-Taza-Taounate

les èlèves de Taounate forme la garnde partie des bénificiaires



INDH
Coup de pouce pour la scolarisation
1 265 bénéficiaires de «Dour Taleb et Taleba» à Taza-Al Hoceima-Taounat


Publié le : 14.01.2008 | 18h25 sur le site du journal le matin: [www.lematin.ma]


Quelque 1.265 élèves, dont 290 filles, originaires des différentes provinces de la région, bénéficient des services de ‘'Dour Taleb et Taleba'' au cours de cette année scolaire, contre 1.231 élèves, dont 268 filles, pendant la précédente année, souligne un rapport de l'Académie régionale d'éducation et de formation à la région de Taza-Al Hoceïma-Taounate

Au niveau de la région, la majorité des élèves bénéficiant des services de ‘'Dour Taleb et Taleba'' est originaire de la province de Taounate (648 bénéficiaires dont 170 filles, alors que leur nombre atteignait 605 bénéficiaires dont 149 filles durant l'année précédente), suivis des élèves originaires de la province d'Al Hoceïma (520 bénéficiaires dont 101 filles, le même nombre a été enregistré l'année précédente) et des élèves originaires de la province de Taza (97 bénéficiaires dont 19 filles, tandis que leur nombre atteignait 106 bénéficiaires dont 18 filles pour l'année précédente), précise le rapport.

Par ailleurs, le rapport de l'Académie souligne que 156 élèves, dont 107 filles, scolarisés dans la région de Taza-Al Hoceïma-Taounate, ont obtenu une bourse au cours de cette année scolaire (60 élèves originaires de la province de Taza et 96 autres originaires de la province de Taounate), alors que le nombre des boursiers a atteint 134 élèves, dont 95 filles, pendant la précédente année scolaire.

Par MAP
N
15 février 2008 20:40
Les projets réalisés par l'Agence de Développement des Prefectures et Provinces du Nord (ADPN) dans le Nord du Maroc depuis 1996




Développement du Nord
L'Agence a engagé 8 MMDH
400 projets concernés


Publié le : 31.01.2008 | 18h16 sur le site e-matin: [www.lematin.ma]


Par : Abdallah Darkaoui


L'Agence de développement et de promotion des provinces et préfectures du Nord (APDN), a engagé, depuis sa création en 1996, un montant global de 8 milliards de dirhams au profit de 400 projets dans le cadre d'un programme de développement socio-économique intégré.

Présentant un bilan d'activités lors de la session ordinaire du conseil de la région de Tanger-Tétouan, le directeur de l'agence, Fouad Brini, a précisé que les ressources gérées par son établissement s'élèvent à 3,1 milliards DH. Ce montant comprend des subventions de l'Etat d'un montant de 1,4 milliard DH, des apports des partenaires nationaux de l'ordre de 728 millions DH, et des financements de la coopération internationale à hauteur de 973 millions DH, a-t-il précisé.

Parmi les principales actions de l'agence, une quarantaine de projets initiés dans le cadre du programme d'urgence au profit d'Al Hoceima après le séisme de 2004 pour un investissement global de plus de 3 milliards DH. Le tiers de ce montant a été géré directement par l'agence.

Dans la région Tanger-Tétouan, l'agence a engagé des investissements de l'ordre de 4,645 milliards DH pour la réalisation de 150 projets conçus dans l'esprit du développement humain. La zone d'intervention (Taza-Al Hoceima-Taounate) a bénéficié du financement de 122 projets.


Par LE MATIN

P.S:
le site de l'APDN qui pourra intéresser les association souhaitant avoir des aides pour réaliser des prjets en coopération avec l'APDN: [www.apdn.ma]
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