oui je vous pose cette question, afin de savoir si le coran parle d'alexandre le grans , plus grans que les pharaons, qui a atteint a son epoque la limite des terres connu est en particulier en asie
alexandre etait soumis à dieu et d'après ce que l'on dit c'est lui qui a emprisonné le peuple de jouj et majouj, il les a enfermé dans une forteresse, ce peuple sera donc emprisonné et n'en ressortira que lors de la fin des temps...
ALEXANDRE LE GRAND N'EST PAS DHUL QURNAYAN!! LISEZ CECI: Dans le Coran (sourate al-Kahf, 18ème sourate du Coran), figure le récit de Dhul Qarnayn, un homme qui possédait force richesses et moyens techniques de son époque, et qui a su les utiliser pour le bien-être des hommes qui en étaient dépourvus, et non pour abuser de leur faiblesse et les exploiter. L'identité de Dhu-l-Qarnayn (littéralement : “l'homme aux deux cornes”) n'est pas explicitée dans le Coran, qui, s'il est toujours d'une extrême exactitude historique dans ses récits, est plus attaché aux leçons qui se dégagent de ces récits qu'à leurs détails chronologiques ou géographiques. Des savants musulmans se sont cependant efforcés de découvrir de qui il s'agit.
Selon une opinion très répandue, il s'agirait d'Alexandre de Macédoine, dit le Grand. Il est vrai que, à l'instar du Dhu-l-Qarnayn du Coran, Alexandre avait conquis un territoire immense. Le problème c'est que Alexandre ne répond pas du tout aux qualités de monothéiste et de juste que le récit coranique attribue au personnage de Dhu-l-Qarnayn. En effet, Alexandre était polythéiste (Ibn Taymiyya a lui aussi écrit cela, cf. al-Furqân, p. 11, de même que Fakhr ud-dîn ar-Râzî, cf. Fat'h ul-bârî 6/462) et on dit qu'il lui arrivait d'être assez cruel.
Cette opinion, bien que répandue, est donc à délaisser.
Dhu-l-Qarnayn : non pas Alexandre de Macédoine, mais Cyrus II le Perse :
Une autre opinion existe à laquelle va ma préférence. C'est celle du savant musulman indien As-Syohârwî (cf. son ouvrage Qassas ul Qur'ân, tome 3 pp. 121-171), dont les recherches sérieuses et documentées (50 pages consacrées à ce seul point) montrent que Dhu-l-Qarnayn est Cyrus II, dit le Grand, qui régna sur les Mèdes et les Perses de 556 à 530 approximativement avant le début de l'ère chrétienne. Les éléments qui suivent sont tous basés sur la recherche de As-Syohârwî.
Cyrus II adorait Dieu l'Unique (Ahura-Mazdâ, selon le culte monothéiste que Zoroastre avait prêché en Iran). Le titre de "Dhu-l-Qarnayn" – l'homme aux deux cornes – est dû au fait qu'il avait réuni dans ses mains, en – 550, le commandement des Perses et celui des Mèdes. En – 547, Cyrus II conquit la Lydie à l'extrême ouest de la Perse ("il avait atteint le Couchant" – Coran 18/ 86). En – 546, il dut revenir pacifier de nombreuses tribus en Bactriane, à l'extrême est de la Perse ("il avait atteint le Levant" – Coran 18/ 90). En – 539, il conquit Babylone.
Tout ceci est bien connu des historiens. A cela il faut ajouter, en se basant sur le témoignage du récit coranique (18/ 92-93), qu'il est certain que Cyrus II se soit également rendu plus au nord, jusqu'en Ciscaucasie, où il bâtit le Mur. C'est ce que le Coran affirme, et nous y croyons. Cela n'est historiquement pas impossible, car, selon Pierre Briant, "il serait totalement illusoire et vain de prétendre reconstituer les campagnes de Cyrus" ; de plus, "les dix dernières années du règne de Cyrus sont incroyablement mal connues" (Histoire de l'Empire perse, Fayard, p. 50 et p. 60 respectivement).
Les leçons du récit de Dhu-l-Qarnayn :
Si le Coran est comme toujours d'une extrême exactitude dans les données historiques qu'il mentionne, il n'en explicite pas tous les détails. Pour le Coran, c'est le message qui reste l'essentiel. Et celui qu'il nous délivre à travers ce récit est tout à fait adapté aux époques moderne et contemporaine. Les moyens et les outils techniques, nous montre ce récit, sont souhaitables sans être des buts en soi. Ils doivent être utilisés pour le bien-être de l'humanité et non pour asservir les hommes qui en sont démunis. C'est ce qui ressort du comportement exemplaire de Dhu-l-Qarnayn, qui utilisa les moyens et la puissance qu'il détenait pour le bien-être d'un peuple dépourvu et "ne comprenant presque pas ses propos", et qui alla jusqu'à décliner leur proposition de le rémunérer pour ce service (Coran 18/93-95) !
Pour qu'il arrive à utiliser lui aussi ses puissants outils à ces nobles et élevés objectifs, l'homme d'aujourd'hui doit développer en lui la conscience permanente que c'est Dieu qui lui a octroyé ces moyens (18/95) et non pas sa propre puissance, et que tout ce qu'il fabrique et réalise n'est qu'un effet de "la Miséricorde de Dieu" (18/98). Il doit se rappeler que, aussi robuste soit-elle, son œuvre n'est que temporaire, vouée à la destruction "lorsque viendra la Promesse de mon Seigneur" (18/98).
Slm Aucune trace ecrite de l'époque n'est parvenu à nous. Et on peut dire tout et n'importe quoi le concernant. Cf : pseudo Callistène
Un fait certain : on a retrouvé recement des vestiges dans la ville de Siwa en egypte occidenale. Ces vestiges sont des stlèles qui mentionnent le nom d'alexandre.
Est-ce l'empereur ou bien un homonyme courant à l'époque? Démélé le vrai du faux est quasi impossible.
Mais mon intuition se plait à penser qu'Alexandre le grand insatisfait du polytheisme Grecque, est parti à Siwa. Il y découvrit le culte monothésite du dieu Amon (imen en egyptien qui signifie le caché, l'inconnaissable). Ce dieu suprême représenté (à tort) par un bélier l'a inspiré , faisant ainsi qu'il se pare d'un casque orné de cornes de béliers (comme on peut le voir en numismatie, pièces de l'époque). D'où l'appellation Dhou el Quarnaïn : les deux cornes.
Mon intuition se plait à penser qu'Alexandre le grand est bien celui que mentionne le Coran. Allah lui a fait un honneur en le rendant si célèbre et en lui laissant de nombreuses cité à son nom. L'heure de sa mort est pour moi aussi un signe : 33 ans. les muslim me comprendront.
Ces pérégrinations vers l'orient sont peut-etre celles de Dhou el Quarnaïn.
On ne sait d'ailleurs toujours pas qu'est-ce qui motivait cette course vers l'est alors que ses diadoques voulaient rentrer en Macédoine. La mégalomanie, le désir de répandre une nouvelle religion ? Cette religion même pour la quelle il a demandé que l'on se prosterne.
peux être qu'il était malheureux et qu'il chercher le "truc" pour être heureux, à la recherche d'un manque dans sa vie, peux être qu'au fur et à mesure où il parcourait le monde il fini par trouver la vérité, celle d allah, et une fois qu il as embrassé l islam on l empoisonna (ses compagnons), depuis des siecles les satanistes se préparent, ils doivent nous mentir dans leur livre d'histoire!!! Bref, je dis cela mais c'est juste une pensé, ma propre pensé, après seul DIEU connais la vérité!
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