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Syrie : France ,les sioniste ne lachent pas l'affaire
N
12 juin 2013 12:07
Salam,

Fabius s’inquiète pour les Syriens , la paix l'amour et les pétales roses, et en bas de l'article que j'ai souligné il indique les états unis vont être impliqué car ça risque de dégénérer, une sorte de menace pour le gouvernement américain ? ..

PS : juste pour rappeler que leMonde était impliqué dans une affaire avec le Mossad Israélien il y a une vingtaine d'année.

Syrie : Fabius appelle à arrêter la progression des forces d'Assad

Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a demandé mercredi 12 juin à la communauté internationale d'arrêter la progression vers Alep des troupes du régime syrien, soutenues par l'Iran et le Hezbollah libanais, qui préparent un assaut majeur contre cette ville du Nord.

"Il faut qu'on puisse arrêter cette progression avant Alep. C'est la prochaine cible à la fois du Hezbollah et des Iraniens, a déclaré le ministre, interrogé sur la chaîne de télévision France 2. Il faut un rééquilibrage [entre les troupes du régime et la résistance] parce qu'au cours des dernières semaines les troupes de Bachar Al-Assad, et surtout le Hezbollah et les Iraniens, avec les armes russes, ont regagné un terrain considérable."

"Bachar [...] a utilisé de façon scandaleuse les armes chimiques, a-t-il insisté. Il faut qu'on l'arrête parce que, s'il n'y a pas de rééquilibrage sur le terrain, il n'y aura pas de conférence de la paix à Genève car l'opposition n'acceptera pas d'y venir. Or il faut une solution politique." Américains et Russes s'efforcent d'organiser une conférence de paix sur la Syrie en juillet à Genève.

LES NÉGOCIATIONS SUR LE NUCLÉAIRE IRANIEN

Les troupes syriennes, aidées par des combattants du Hezbollah chiite, ont repris début juin aux rebelles la ville stratégique de Qoussair, sur la route d'Alep. "Derrière la question syrienne, il y a la question iranienne, a poursuivi M. Fabius. Si on n'est pas capables d'empêcher l'Iran de prendre la main sur la Syrie, quelle crédibilité aura-t-on en exigeant qu'elle n'ait pas l'arme atomique ? Donc, tout est lié." Les Occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire sous couvert de son programme atomique civil.

Tout en plaidant pour "que les résistants [syriens] puissent se défendre, qu'ils disposent d'armes", Laurent Fabius a ajouté : "Il nous faut respecter la réglementation européenne qui dit que c'est à partir du 1er août que des armes puissantes peuvent être données. Pour le moment, nous n'avons pas encore décidé." "Les Américains sont en train d'examiner leurs propres positions, a-t-il ajouté, précisant s'être entretenu mardi par téléphone avec son homologue américains John Kerry. Il y a dans l'administration américaine des positions différentes. Les Américains auraient voulu se tenir à l'écart, mais le conflit n'est plus local, c'est un conflit régional et même international."

source : ici
M
12 juin 2013 13:27
Citation
Nail2009 a écrit:
Salam,

Fabius s’inquiète pour les Syriens , la paix l'amour et les pétales roses, et en bas de l'article que j'ai souligné il indique les états unis vont être impliqué car ça risque de dégénérer, une sorte de menace pour le gouvernement américain ? ..

PS : juste pour rappeler que leMonde était impliqué dans une affaire avec le Mossad Israélien il y a une vingtaine d'année.

Syrie : Fabius appelle à arrêter la progression des forces d'Assad

Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a demandé mercredi 12 juin à la communauté internationale d'arrêter la progression vers Alep des troupes du régime syrien, soutenues par l'Iran et le Hezbollah libanais, qui préparent un assaut majeur contre cette ville du Nord.

"Il faut qu'on puisse arrêter cette progression avant Alep. C'est la prochaine cible à la fois du Hezbollah et des Iraniens, a déclaré le ministre, interrogé sur la chaîne de télévision France 2. Il faut un rééquilibrage [entre les troupes du régime et la résistance] parce qu'au cours des dernières semaines les troupes de Bachar Al-Assad, et surtout le Hezbollah et les Iraniens, avec les armes russes, ont regagné un terrain considérable."

"Bachar [...] a utilisé de façon scandaleuse les armes chimiques, a-t-il insisté. Il faut qu'on l'arrête parce que, s'il n'y a pas de rééquilibrage sur le terrain, il n'y aura pas de conférence de la paix à Genève car l'opposition n'acceptera pas d'y venir. Or il faut une solution politique." Américains et Russes s'efforcent d'organiser une conférence de paix sur la Syrie en juillet à Genève.

LES NÉGOCIATIONS SUR LE NUCLÉAIRE IRANIEN

Les troupes syriennes, aidées par des combattants du Hezbollah chiite, ont repris début juin aux rebelles la ville stratégique de Qoussair, sur la route d'Alep. "Derrière la question syrienne, il y a la question iranienne, a poursuivi M. Fabius. Si on n'est pas capables d'empêcher l'Iran de prendre la main sur la Syrie, quelle crédibilité aura-t-on en exigeant qu'elle n'ait pas l'arme atomique ? Donc, tout est lié." Les Occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire sous couvert de son programme atomique civil.

Tout en plaidant pour "que les résistants [syriens] puissent se défendre, qu'ils disposent d'armes", Laurent Fabius a ajouté : "Il nous faut respecter la réglementation européenne qui dit que c'est à partir du 1er août que des armes puissantes peuvent être données. Pour le moment, nous n'avons pas encore décidé." "Les Américains sont en train d'examiner leurs propres positions, a-t-il ajouté, précisant s'être entretenu mardi par téléphone avec son homologue américains John Kerry. Il y a dans l'administration américaine des positions différentes. Les Américains auraient voulu se tenir à l'écart, mais le conflit n'est plus local, c'est un conflit régional et même international."

source : ici

Je complète bien volontiers ce papier du journal le monde par celui de atlantico.fr qui traite également le sujet:

Pourquoi la gestion du conflit syrien marque la fin de l'interventionnisme occidental au Moyen-Orient

Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, juraient que l’utilisation d’armes chimiques par le régime de Bachar el-Assad représenterait une « ligne rouge » qui, si elle était franchi, déclencherait une intervention armée. Alors que le recours à de telles armes semble avéré, aucune action militaire occidentale ne semble réellement se profiler, marquant ainsi la fin de l’interventionnisme occidental dans la région.

Lire la suite [www.atlantico.fr]
 
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