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syrie: "Le CNS doit s'ouvrir à tous les opposants"
c
11 juin 2012 12:31
"Le CNS doit s'ouvrir à tous les opposants"

LE MONDE | 11.06.2012 à 10h12 • Mis à jour le 11.06.2012 à 10h12

De gauche à droite : Ahmed Ramadan, Bassma Kodmani, Abdoulbaset Seida et Imad Aldin Rashid à la réunion du Conseil national syrien à Istanbul, le 29 septembre 2011.

Le Conseil national syrien (CNS) devait se retrouver samedi 9 et dimanche 10 juin 2012 à Istanbul pour une réunion cruciale destinée à désigner un successeur au président sortant, Burhan Ghalioun, qui avait présenté sa démission en mai à la suite de vives critiques sur son immobilisme. Il devrait être remplacé par Abdel Basset Sieda, un intellectuel indépendant, seul membre kurde du bureau exécutif du CNS.

Alors que massacres et attentats se multiplient, menaçant de plonger la Syrie dans une guerre civile totale et incontrôlable, le CNS, critiqué pour son éloignement du terrain et ses divisions intestines, est à un moment crucial de sa jeune histoire. Son incapacité à incarner une relève risque d'accélérer le processus de désintégration de la Syrie et de sa société. Bassma Kodmani, porte-parole du CNS, s'en explique.

Le Conseil national syrien traverse-t-il une crise grave ?

Nous sommes dans une phase assez difficile. La formule pensée à la naissance du Conseil était relativement équilibrée en termes de représentativité entre l'intérieur et l'extérieur, entre les formations politiques traditionnelles et les mouvements sur le terrain, entre les partis et les personnalités indépendantes. Mais on a construit quelque chose qui ressemblait plus à une structure statique qu'à un moteur qui pouvait s'adapter, s'élargir et intégrer au fur et à mesure que la situation le requiert.

On a trop pensé en termes politiques et pas assez opérationnels. On a passé trop de temps à faire de savants équilibres entre les uns et les autres et pas assez à dire qui fait le travail et comment on le fait. La révolution n'a pas besoin de jeux politiques partisans, elle a besoin d'assistance humanitaire, d'aide médicale, d'argent, de bons relais médiatiques, de soutien diplomatique. C'est ce que nous demande la population.

La légitimité du CNS ne viendra pas de sa représentativité, qui reste virtuelle, mais de sa performance. C'est en étant efficace qu'on sera légitime. Il y a beaucoup d'immobilisme. On avance mais bien en deçà de ce qui est nécessaire. Nous sommes même à la traîne.

L'échec du Conseil ne risque-t-il pas de porter un coup fatal à la révolution, faute d'alternative à Bachar Al-Assad?

Le Conseil est face à une épreuve, un test de crédibilité. La crise que nous avons vécue avec la démission de Burhan Ghalioun est un signe que le CNS doit s'ouvrir et se réformer. Il nous faut créer un cadre plus souple où tous les courants soient représentés et se regroupent autour de missions humanitaires, diplomatiques voire militaires.
Nous allons d'abord nous mettre d'accord sur une personnalité consensuelle pour remplacer Burhan Ghalioun. Mais le vrai défi de ce nouveau président sera de veiller à la restructuration et à la réforme du Conseil, de manière à ce qu'il soit plus efficace et capable d'intégrer des nouveaux venus.

Lesquels ?

Tous. Le Conseil n'appartient à personne. S'il devenait l'apanage de certains, ce serait un échec. C'est un cadre national dans lequel chacun doit pouvoir trouver sa place. Cela va de certains mouvements de coordination sur le terrain à la Coordination nationale en passant par des individus. Tout cela est très récent et fluide.

On reproche souvent au CNS d'être le jouet des islamistes...

Les minorités sont représentées, elles participent à la révolution. Il y a des chrétiens, des druzes, des alaouites, des Kurdes. Mais les Frères musulmans étant les plus organisés au sein du CNS, ils arrivent mieux à influencer sa ligne politique. C'est comme ce qui se passe en Egypte et en Tunisie. Il va falloir que les forces laïques se regroupent pour peser. Or, il y a une réticence à former des blocs politiques tant que la révolution est en cours. Mais peut-être qu'elle va durer.

Où en est-on de la participation des Kurdes au CNS ?

Le Conseil national kurde [CNK] n'a pas rejoint le CNS pour le moment. Il avait des demandes assez radicales comme l'autodétermination ou la décentralisation politique, qui est une forme de fédéralisme. C'était inacceptable pour le CNS qui n'est pas une instance élue et ne peut donc s'engager sur de tels droits portant atteinte à l'intégrité territoriale de la Syrie. Il y a eu des négociations très longues avec le CNK. Elles n'ont pas abouti, mais le terrain d'entente est là. Le CNK est revenu sur l'autodétermination et il parle désormais de décentralisation administrative.

Ce qu'il reproche au CNS, c'est de ne pas être assez laïque. L'intégration du CNK au CNS est très importante à cause de la question kurde, mais aussi parce que les Kurdes sont très présents dans les grandes villes.

Le massacre d'Houla, le 25mai [108morts], marque-t-il un tournant vers la guerre civile ?

C'est l'épisode le plus choquant d'une stratégie que le régime met en œuvre depuis plusieurs mois. Houla marque un tournant par la férocité de ce qui s'y est passé et parce que c'est un village sunnite isolé au milieu de plusieurs villages alaouites: il y a comme une tentative d'épuration afin de créer un territoire homogène.

Ce massacre et ceux qui ont suivi pourraient aussi indiquer une perte de contrôle par le régime de ses forces sur le terrain. On n'est pas encore en guerre civile, mais tout est fait pour que ça bascule. Le régime arme systématiquement et entraîne les minorités qui lui sont proches. Je note qu'il n'y a pas encore eu d'acte de revanche. Combien de temps peut-on l'empêcher?

Après quinze mois de tueries, désespérez-vous de la communauté internationale ?

La communauté internationale a toujours été en deçà de ce qui était requis. Son absence de détermination dans le discours a toujours été comprise par le régime comme la possibilité de continuer à tuer impunément. Et les mesures coercitives, c'est-à-dire les sanctions, sont efficaces mais lentes et insuffisantes. Le fait que même l'aide humanitaire ne parvienne pas à ceux qui en ont besoin est un message dévastateur pour la population, qui en conclut qu'elle ne peut compter que sur elle et sur Dieu. C'est la porte ouverte à la militarisation et à la confessionnalisation.

Où en sont les relations entre le CNS et l'Armée syrienne libre ?

L'apparition des armes est un choix spontané de la population face à la férocité de la répression. En revanche, le Conseil a la responsabilité d'organiser, d'encadrer et de structurer ce mouvement sur le terrain. Autrement dit, savoir qui sont ces groupes, qui les commande, comment on peut coordonner leur action. Sinon, il y a un grand risque de chaos.

Propos recueillis par Christophe Ayad
s
11 juin 2012 12:59
Shalom coldman,

Je t'ai déjà demandé des noms d'opposants crédibles au régime de Bachar al-Assad, j'attends toujours !
Bon, je vais t'éclairer un peu sur cette Bassma Kodmani et tous les pseudo-opposants qui l'entourent.
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La Controverse À Propos De Basma Kodmani


Paris – René NabaBasma Kodmani fait l’objet d’une controverse dont la vivacité témoigne de l’animosité que suscite la porte-parole de l’opposition syrienne de l’extérieur et de l’ampleur du déchirement de la classe politique et intellectuelle arabe à l’égard du drame syrien et des enjeux que sous-tend la conquête de Damas tant au plan de la stratégie régionale qu’au niveau de l’imaginaire collectif arabe.

La mise en ligne, en février 2012, d’une ancienne émission télévisée française réalisée à l’occasion du salon du livre français en 2008, dont Israël était l’invité d’honneur, a fait éclater au grand jour la polémique, latente depuis l’installation du Conseil national transitoire syrien avec l’aide massive de la France.
L’émission «Bibliothèque Médicis» de la chaîne parlementaire «Public Sénat», animée par le très journaliste sarkozyste Jean Pierre El Kabbache, a été réalisée avec la participation d’écrivains israéliens et d’un ancien président du CRIF, Théo Klein, en la compagnie exclusive de l’universitaire franco-syrienne.
Sa réactivation, selon toute vraisemblance, paraissait destinée à discréditer la porte-parole de l’opposition en suggérant sa connivence avec Israël et le lobby pro israélien de France.

Une caution moderniste à une alliance rétrograde

Universitaire à l’expertise reconnue, Basma Kodmani a bénéficié d’un soutien de poids dans cette bataille de l’opinion avec le témoignage de l’universitaire américano palestinien Rachid Khalid, de l’éditeur franco syrien Farouk Mardam Bey, petit fils d’un chef du combat nationaliste syrien du temps du mandat français, l’ancien premier ministre Jamil Mardam Bey, et de Leila Chahid, ancien délégué de Palestine en France. Le trio a dénoncé la «perversité» du procédé dont l’objectif répondait au souci de «discréditer une vraie militante de la cause palestinienne».
Auteure d’une thèse sur les réfugiés palestiniens, Basma Kodmani a collaboré avec des personnalités palestiniennes de premier plan, tel Faysal Husseini, à des projets humanitaires et politiques. A son actif figurent notamment le projet de parrainage d’enfants des camps de réfugiés palestiniens avec de riches familles arabes de Palestine et d’ailleurs, de même que plusieurs pétitions de personnalités occidentales en faveur des Palestiniens.

Mais la propulsion au poste de porte-parole de l’opposition syrienne de cette chercheuse à l’IFRI (Institut Français de Relations Internationales), le fortin atlantiste de la pensée stratégique de la diplomatie française, de surcroît ancienne directrice de la branche régionale de la Ford Foundation au Caire, et auditrice assidue au Forum de Bilderberg, la plateforme décisionnelle des cosmocrates de la trilatérale (Etats-Unis, Europe, Japon) a été perçue par des franges de l’opinion arabe comme une volonté de conférer un halo de modernité à une opposition largement dominée par les «Frères Musulmans».

Un effet d’image destiné à gommer dans l’opinion le congrès de juillet 2011, tenu à Paris par les Frères Musulmans, sous l’égide de Bernard Henry Levy, le plus en vue des intellectuels français pro-israéliens, désastreux pour la crédibilité de l’opposition syrienne. Une opération de ravalement cosmétique à une alliance rétrograde, boudée d’ailleurs à ce titre par d’authentiques résistants de l’intérieur.

Le rôle d’un intellectuel progressiste

L’empressement de l’universitaire franco syrien Bourhane Ghalioune à obtenir l’adoubement du prédicateur islamique Youssef Al-Qaradawi a confirmé cette hypothèse, en même temps qu’elle discréditait le nouveau chef nominal de l’opposition syrienne, en ce que sa renonciation à sa posture laïque antérieure a signé la marque d’un renoncement. Sa précipitation à donner des gages au camp israélo-américain en annonçant la rupture du ravitaillement stratégique du Hezbollah libanais en cas de victoire, la marque d’un reniement, plongeant dans la consternation ses parrains par son amateurisme contre-productif et découragé bon nombre de ralliement à sa cause.

A son indépendance, la Syrie confiait la direction de son gouvernement à une personnalité chrétienne, Farès al-Khoury, indice de sa maturité politique et du dépassement des clivages ethnico-religieux. Soixante ans plus tard, un intellectuel qui a forgé sa réputation sur la critique des pratiques religieuses de son pays, fait acte d’allégeance à l’Islam atlantiste et pétrolier, en gage de sa promotion politique, un signe indiscutable de régression civique.
Le devoir d’un intellectuel progressiste est de faire conjuguer Islam et progressisme et non de provoquer l’abdication intellectuelle des progressistes devant un islamisme basique, invariablement placé sous les fourches caudines israélo-américaines. Originaire de la ville de Homs, d’une famille pétrie de dialectique marxiste, l’auteur du «malaise arabe» aurait dû se souvenir que ce malaise-là résulte principalement de la démission des élites et de leur embrigadement dans le rôle de caution aux équipées impériales.

Fille d’un diplomate syrien ayant émargé sur le budget de l’état syrien tout au long de sa carrière, au parcours académique, sans ancrage sur le terrain, sans tradition de lutte, nullement répertoriée dans les rangs de l’opposition historique au régime baasiste, le parachutage de Basma Kodmani au poste stratégique de porte-parole de l’opposition a été perçu comme un passe-droit exorbitant, nullement justifié par son palmarès oppositionnel, soulignant en filigrane la volonté de la France de placer sous sa tutelle l’opposition syrienne de l’extérieur.

Plaident en ce sens l’opposition du tandem à une intervention publique à Paris, avec la complicité du Quai d’Orsay, d’un des plus prestigieux opposants syriens, à la légitimité supérieure à celle du duo, Michel Kilo, emprisonné à deux reprises par Damas, de même que le véto opposé à un résistant authentique de l’intérieur, Georges Sabra, ancien prisonnier politique et dirigeant du Parti démocratique de Syrie, à briguer la tête de l’opposition syrienne. Au prétexte de sa religion chrétienne ? De sa qualité d’homme de gauche? Des deux à la fois?…Un signe d’ouverture?
En contrechamp, le pitoyable défilé d’opposants de la dernière heure, bouffons à l’expression aléatoire, à la pensée problématique, se vautrant sur les plateaux de télévision pour le quart d’heure de célébrité médiatique, a offert un spectacle affligeant d’opportunisme indigne de la qualité du combat des opposants de l’intérieur et du niveau intellectuel de la société civile syrienne.

Ces trois faits ont posé le problème de la pertinence politique du tandem franco syrien et de leur mentor français et nourri le procès de leurs ambitions en même temps que de leur connivence avec l’ancienne puissance mandataire.
Pour un duo qui se veut représentatif de la future Syrie libre, moderne, démocratique et indépendante, son placement sous tutelle de l’ancien pouvoir colonial, un des grands soutiens aux dictateurs arabes déchus (Egypte, Tunisie), artisan du démembrement de leur pays d’origine, la Syrie, au bénéfice de la Turquie, par détachement du district d’Alexandrette, et, maitre d’œuvre du blocus de Gaza sous la mandature Sarkozy, pouvait difficilement se percevoir comme une marque de génie politique, nonobstant les effets corrosifs de cette servilité sur la crédibilité du leadership de l’opposition.

Sans charisme, sans relief, sans véritable marge de manœuvre, le noyau français au sein de l’opposition syrienne est apparu, neuf mois après son lancement, comme tributaire de ses commanditaires, à la merci de leur agenda diplomatique, oubliant ou feignant d’oublier que la stratégie occidentale de la dernière décennie a visé à sanctuariser Israël et à ostraciser l’Iran en vue de consacrer une mise sous tutelle durable du monde arabe à l’hégémonie israélo-américaine.
Piètre stratège, un comble pour une spécialiste des relations internationales, elle mésestimera la force d’obstruction de la Chine, de la Russie et de l’Inde, de même que l’Afrique du sud, la moitié de l’humanité, infligeant le premier revers majeur à la diplomatie occidentale depuis l’effondrement du bloc soviétique dans la décennie 1990.

Nicolas Sarkozy, le pivot européen de l’axe israélo-américain, Alain Juppé, le ministre gaulliste néo atlantiste concédant arbitrairement et unilatéralement à Israël, en pleine bataille de Syrie, le droit de se dégager de ses obligations internationales concernant les territoires palestiniens de 1967, assurant de surcroit se ranger du côté d’Israël en cas de guerre régionale, la Turquie, l’autre manche de la tenaille qui étrangle, avec Israël, leur pays d’origine, l’Emir du Qatar, l‘artisan de la désarticulation de la Libye et Youssef al Qardawi, l’ancienne bête noire de l’Occident reconverti dans l’honorabilité par le fait des royalties princiers …on aurait rêvé meilleure caution morale à une entreprise d’une telle ampleur, la transformation démocratique de la Syrie, et, au-delà du Monde arabe.
Circonstance aggravante, le précédent géorgien de Salomé Zoubachvili, binationale franco-géorgienne, nommée ministre des Affaires étrangères de Géorgie après avoir été ambassadeur de France, a pointé la nature hybride du duo et joué en sa défaveur en ce qu’elle a posé le problème du bien-fondé d’une décision visant à confier la direction de l’opposition syrienne à des membres de la fonction publique française, c’est-à-dire à des salariés de l’ancien pouvoir colonial.


[libnanews.com]
c
11 juin 2012 13:07
plutot bachar que les fréres musulmans............
remplace bachar pour la plupart des tyrans et tu auras le discours que l'on entend depuis deux décennies.
vous etes dans le passé. bachar ne pourra se maintenir indéfiniment.
les freres musulmans tireront les marrons du feu? la belle affaire.
o
11 juin 2012 14:41
"Je t'ai déjà demandé des noms d'opposants crédibles au régime de Bachar al-Assad, j'attends toujours !
Bon, je vais t'éclairer un peu sur cette Bassma Kodmani et tous les pseudo-opposants qui l'entourent"

merci pour le fou rire Salmones
quand est ce que Bachar et son pére ont laissé le droit à une opposition exister en Syrie pour que toi tu la demandes aujourd'hui.
Il a fait le vide autour de lui et la nature a horreur du vide
U
11 juin 2012 16:38
Dans cette affaire, tout le monde semble s'ingénier à compliquer ce qui est simple:
Le régime propose des élections ?

Très bien: Aidons-le à organiser les élections, au besoin en fournissant l'intégralité d'un matériel de vote infalsifiable.

L'OSCE (à laquelle participe la Russie) a notamment pour tâche d'observer le bon fonctionnement des scrutins, voire de les organiser intégralement.

L'avantage d'élections organisées par l'OSCE est qu'elles désigneraient, clairement et sans contestation possible. qui sont les représentants légitimes de qui.
Elles permettraient aussi aux Syriens d'échanger les informations à même de débusquer et mettre hors d'état de nuire les provocateurs étrangers.

En principe, l'OSCE n'a rien à faire hors d'Europe. Si tous les membres du traité le demandent et que ça permet de sauver tout un peuple proche, j'imagine qu'il puisse se décider une exception.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
s
11 juin 2012 17:48
Citation
omar625 a écrit:
merci pour le fou rire Salmones
quand est ce que Bachar et son pére ont laissé le droit à une opposition exister en Syrie pour que toi tu la demandes aujourd'hui.
Il a fait le vide autour de lui et la nature a horreur du vide

Pourtant, il y' en a quand-même et, bien plus légitime que ceux qui ont été "choisis" !
As-tu lu l'article ?

"Plaident en ce sens l’opposition du tandem à une intervention publique à Paris, avec la complicité du Quai d’Orsay, d’un des plus prestigieux opposants syriens, à la légitimité supérieure à celle du duo, Michel Kilo, emprisonné à deux reprises par Damas, de même que le véto opposé à un résistant authentique de l’intérieur, Georges Sabra, ancien prisonnier politique et dirigeant du Parti démocratique de Syrie, à briguer la tête de l’opposition syrienne. Au prétexte de sa religion chrétienne ? De sa qualité d’homme de gauche? Des deux à la fois?…Un signe d’ouverture?"
 
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