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c quoi les indices ?

elle reve

toujours aux nuages

salamo3alaykom
C’était le temps de la jeunesse, le temps où l’on ne regrette rien
Le temps des amourettes, le temps des histoires sans fin
C’étais le temps où l’on rit, le temps où l’on s’amuse
Le temps où la vie nous sourit et où l’on en abuse
J’étais jeune fille d’immigrés, maghrébine de 17 ans
Arabe dans la peau, musulmane dans le sang
Dernière fille de parents respectés et respectueux
Aux conseils aiguisés mais à l’esprit bien trop vieux
Ils me disaient : « Ma fille évite les garçons
Ils ne seront pour toi que malheurs et tentations
Ne faibli pas même si le monde entier t’encourage
Et préserve toi ma fille jusqu’au jour du mariage »
Paroles d’un autre temps, d’un autre lieu, d’une autre vie
Paroles bien plus valables pour le bled que pour Paris
Je ne les ai pas écouté, je n’en ai fait qu’à ma tête
Disait « D’accord… » face à eux et le contraire en cachette
Je savais bien, de toute façon, où se trouvaient mes limites
Ne jamais aller trop loin, ne jamais aller trop vite
C’étais le temps du bon temps, le temps des beaux jours
Et à l’age de 17 ans, j’ai enfin rencontré l’amour…

Il été fils d’immigrés, maghrébin de 18 ans
Aux yeux criant de sincérité et au sourire envoûtant
C’était le temps du bonheur, le temps de l’amour
Quel joie de dire je t’aime, de le recevoir en retour
Les semaines, les mois passaient vite comme la lumière
Et bien rapidement surgit notre premier anniversaire
Mes parents, bien entendu, ne savaient rien de ça
Je ne pouvais que leur mentir car ils ne me comprendraient pas
Ils ne pourraient saisir cette force de tous les jours
Que j’obtenais quand j’étais dans ses bras qui m’entourent
La deuxième année commençait, et mes limites vite furent atteintes
Trop poussée par la passion, une à une elles furent enfreintes
Une, c’est sûr, résistera, à jamais et contre tout
Ma virginité restera un cadeau pour mon époux
Mais depuis quelques temps, le voila qu’il insiste
Pour pouvoir dépasser la dernière des limites
J’ai résisté, refusé, lutté, combattu
Je me pensais forte, mais malheureusement j’ai mal cru
Et l’après midi de notre second anniversaire
J’ai cédé… et ai accepté de le faire…

Le soir venu, seule dans ma chambre, allongée sur mon lit
Le regret pour ami et seules mes larmes pour compagnie
Une vue floue pour seule vision, mes sanglots pour seuls sons
Le ciel s’est écroulé quand j’ai cessé de lui dire non
C’était le temps de l’innocence qui pour moi était passé
Et le temps des cauchemars qui tout de suite la dépassé
Bien trop seule, bien trop mal, il me fallait en parler
Alors j’ai pris le téléphone et j’ai décidé de l’appeler
Mais rien ne me répond, si ce n’est sa messagerie
Je rappelle et rappelle « Décroche je t’en supplie ! »
Et enfin, j’entends qu’il décroche, enfin l’attente cesse
Mais ce n’est pas la tendresse mais la rage qu’il déverse
« Arrêtes de m’rappeler parce que franchement ça m’irrite
Ta voulu jouer ta grande t’as eu que c’que tu mérites
Tes parents d’vraient avoir honte de t’avoir eu pour fille
T’as détruit ta réputation et celle de ta famille
T’as jouer avec le feu ma grande, t’plains pas de t’être brûlé
J’ai fais c’que j’ai souhaité d’toi et j’t’ai emmené là ou j’voulais
Alors arrête de rêver ! Mais dis-moi qu’est s’t’as cru ?
D’toute façon tout est fini, ne m’rappelle plus ! Salut ! »

Voila pour qui, pour quoi j’ai tout laissé
Deux ans de ma vie gâchés, ma virginité délaissée
Il ne me restait désormais plus que mes yeux pour pleurer
L’illusion de l’amour, au final, m’avait leurré
Tant de belles paroles qui rapidement nous endorment
Véritable chloroforme est une histoire qui prend forme
Car la comédie est simple, les efforts sont dérisoires
Lorsque deux yeux aveuglés ne demandent qu’à y croire
C’est le temps des rêves éveillés qui pour moi prenait fin
Le temps de la naïveté qui à jamais s’est éteint
Pardon Papa, pardon Maman, de ne pas vous avoir suivi
Votre précieux conseil, c’est ce soir là que je l’ai compris
Les principes, les limites, en vrai ne servent à rien
Car d’un petit mal à un petit mal, c’est le gros mal qui nous atteint
C’est enfin le temps de la clairvoyance, de la lucidité
Le temps des repentances pour ces actes regrettés
Mes pensées noires passées sont pansées, mais maintenant je m'inquiète
Pour celles qui sont comme j’étais, des rêves plein la tête
Qui courent vers la même erreur, la même douleur, la même errance
Ne refusez pas, comme moi, ce conseil de l'expérience…


Il est un peu long je sais mais bon merci quand même de l'avoir lu jusqu'à la fin
Assalamou 3alaykoum

salam sunnah59
barakallah oufik pour ce poème que nous sert de très beau rappel

pour essayer de répondre une fille amoureuse a le coeur qui bat a 100/h (ca ne se voit pas) quand elle voit son bien aimé, certaine deviennent rouges n'ose plus parler d'autres disent n'importes quoi y'a plusieurs indices
si tu vois qu'elle te regarde en insistant bien je pense que tu peux te dire que tu lui plais si elle ne te fuit pas etc

je ne comprends pas pourquoi on parle toujours de la perte de la virginité comme d'une fatalité. Comme dans cette narration, on croirait que l'auteur est proche du sucide.

Citation
Belle a écrit:
je ne comprends pas pourquoi on parle toujours de la perte de la virginité comme d'une fatalité. Comme dans cette narration, on croirait que l'auteur est proche du sucide.

faut pas exagérer non plus
dans le recit ce qui est le plus triste est de s'être fait avoir allah ou arlem

naïsa

Je ne sais pas si c'est sunnah59 qui est l'auteur de ce récit ou si c'est son vécu. C'est vrai que j'ai exagéré. Mais steuplé relis c'est grossi. Entre nous tu penses vraiemen que les filles qui ont perdu leur virginité vive avec ce tourment de façon omniprésent .

Et dis moi pourquoi le demande aux parents. Ce qu'elle a commis est entre elle et son Créateur. Seul à Lui elle rendra des comptes

c'est vrai que cela est et doit rester entre elle et ALLAH swt mais je pense que le pardon au parent est pluto symbolique, elle demande pardon pour ne pas les avoir écouter, elle sen mort les doigts c clair
siles texte est exagérer comme tu le pense c pour le rendre plu moralisateur ains il a peut être plu d'impact la preuve c qu'on en parle

une fille amoureuse c'est quand on be...be...be...beguaille et on se sent complétement nunuche!!lol
çà m'est arrivé une fois et j'avou j'aime pas ce sentiment j'ai l'impréssion d'être vulnairable et trop naive!!bhaaaa je préfère ne plus tomber amoureuse!!

Les yeux qui petillent

Citation
inshallah a écrit:
c quoi les indices ?

Elle attend tout le temps un coup de fil de son amoueux (vérifie son portable toutes les 2 secs)
elle est rayonnante
elle est serviable
..................

Citation
ladouce04 a écrit:

Citation
inshallah a écrit:
c quoi les indices ?

Elle attend tout le temps un coup de fil de son amoueux (vérifie son portable toutes les 2 secs)
elle est rayonnante
elle est serviable
..................

je confirme.....;

Une fille amoureuse est une fille heureuse, elle sent le bonheur

alors inshallah çà te suffit comme indice ou encore

Citation
inshallah a écrit:
c quoi les indices ?

elle te parle séchement, puis lorsque tu te casse elle se le remproche à mort

Citation
el 3aKel a écrit:

Citation
inshallah a écrit:
c quoi les indices ?

elle te parle séchement, puis lorsque tu te casse elle se le remproche à mort

je ne comprend pas ce ke tu ve dire par parle séchement

Citation
inshallah a écrit:

Citation
el 3aKel a écrit:

Citation
inshallah a écrit:
c quoi les indices ?

elle te parle séchement, puis lorsque tu te casse elle se le remproche à mort

je ne comprend pas ce ke tu ve dire par parle séchement

c'est pas grave

Citation
inshallah a écrit:

Citation
el 3aKel a écrit:

Citation
inshallah a écrit:
c quoi les indices ?

elle te parle séchement, puis lorsque tu te casse elle se le remproche à mort

je ne comprend pas ce ke tu ve dire par parle séchement

c'est genre elle te parle comme si tu ne représenté rien pour elle alors qu'en réalité sans toi elle n'est rien!! ai-je bien éxpliqué msiou el 3akel???

Je rejoins el 3akel , les filles amoureuses sont de vrais casseuses ...
Tu vas leur parler gentiement et elle te casse pourtant elles sont amoureuses !