Les arabes, unfortunately, racontent toujours la même chose. Le mieux est de repasser les archives, c'est exactement le même discours, la même pensée, la même démagogie, les mêmes decisions, enfin rien ne change chez ces gros nuls de dirigeants arabes.
Ne vous inquiétez pas, ils bavardent, ils bavardent et après ils boivent un coup pour l’honneur des peuples écrasés.
Sommet arabe d'Alger: la presse privée algérienne exprime sa déception ALGÉRIE - 24 mars 2005 - AFP
La presse privée algérienne a exprimé jeudi sa déception après le sommet arabe d'Alger qui s'est achevé mercredi, estimant que le "débat de fond" a été écarté, tout en se félicitant du rapprochement algéro-marocain.
"Le débat de fond sur les questions qui posent problème dans le monde arabe est, une fois de plus, mis sous le boisseau au nom de l'impératif qui consiste à ménager les susceptibilités des uns et des autres", estime le quotidien à grand tirage Liberté.
"Les sommets arabes relèvent encore plus de l'ordre de la parade, ne constituent point un mécanisme, un espace dans lequel se décide le destin du monde arabe", ajoute ce journal.
Comme point positif de ce sommet, Liberté cite la rencontre entre le roi Mohammed VI du Maroc et le président algérien Abdelaziz Bouteflika. "On peut espérer que la rencontre entre le président Bouteflika et le roi Mohammed VI permettra la fin de la brouille entre Alger et Rabat", écrit-il.
Abondant dans le même sens, Le Quotidien d'Oran estime que "le rapprochement esquissé entre Bouteflika et Mohammed VI (...) préfigure le réchauffement des relations algéro-marocaines".
Relevant qu'avec le sommet d'Alger, "l'Algérie signe son retour sur la scène internationale avec un rôle déterminant en faveur du processus de paix au Proche-Orient et des réformes politiques dans le monde arabe", La Tribune juge, cependant, que ce sommet a laissé les Arabes sur leur faim .
"Les opinions arabes ont fini par faire le deuil d'un ensemble régional à même de peser de son poids sur nombre de questions qui secouent le monde, et plus particulièrement dans le monde arabe", affirme-t-il.
Le quotidien Ech-Chourouk souligne également que "le sommet d'Alger ne diffère pas de ceux qui l'ont précédé, car il n'a pas reflété les aspirations du citoyen arabe et ne s'est pas penché sur ses préoccupations essentielles".
Plus nuancé, L'Expression estime que "cette rencontre offre à l'Algérie la possibilité de revenir sur la scène arabe par la grande porte après avoir si longtemps connu une marginalisation, voire un isolement glacial pendant plus d'une décennie".
En revanche, le quotidien gouvernemental El Moudjahid affirme que "sur tous les plans, le sommet d'Alger a été un succès, une dimension qui reste soulignée par l'ensemble des participants dont certains parlent d'un tournant historique".