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ReddIblis a écrit:
Bonsoir,
toi t'as pas suivi la formation de maître Goldman
[www.yabiladi.com]
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Francette a écrit:
Bonsoir à tous les Yabis. Ce soir c'est avec effarement que je viens m'épancher et raconter afin de trouver sois des conseils, sois du réconfort. Je me sent perdue. Je suis mariée depuis 7 années avec un homme marocain. Evidément bien que j'ai lutté afin de faire perdurer mon couple. Usé d'une patience incroyable. Car entre le jeune homme rencontré sur internet de l'époque et celui arrivé en France ce n'était plus le même homme passionnément amoureux. J'en suis passé par tout les stades. Mais hamdoulah j'ai évité le divorce tenu le coup au grand étonnement de beaucoup. J'ai perdu tout mon entourage, amies, et famille. Car tout cela ne convenait pas aux yeux de mon époux. Il a fait le vide complet autour de moi afin que je sois à son entière disposition. Chaque manquement de ses chartes imposées par lui était des éléments déclencheurs de ces terribles colères et agressivités. De violences verbales psychologiques en tout genres. De déstabilisation mentales en moi sur fond de culpabilisation intense ou je ne savais plus différencier les torts. Le problème d'aujourd'hui est qu'actuellement il se trouve hospitalisé. Car il est un fumeur autant de tabac que de cannabis invétéré. Ce qui lui a provoqué un pneumothorax. Emmené d'urgence par les pompiers a l'hopital je ne pouvais rester sur place durant l'examen. Pourtant le soir angoissé j'ai téléphoné au mèdecin de service afin d'obtenir la permission de venir le voir même de courte durée. Puis j'ai eu mon mari au téléphone qui demandait ma visite. Il était tard. J'ai parcouru le chemin à pied le soir. 22 h. Arrivée en réanimation ou il était placé j'ai été choquée et apeurée de le voir avec un masque à oxygène. Une pompe a respiration, des drains de chaque cotés de la poitrine, électrocardiogramme. Je ne savais pas comment contenir ma peur. Lui m'a acceuillis agressivement ! me criant dessus littéralement à travers son masque comme quoi j'étais une incapable de savoir consoler, et soutenir un malade. Je ne répondais pas à ses reproches virulents mais plutôt lui répondait d'une voix très basse et calme. Lui demandant de me laisser juste apprivoiser ma vue de ses instruments qui me font peurs. De me comprendre sur le choc de la vision. Ceci n'a eu que l'effet de l'énerver encore plus ! me faisant culpabiliser sur ma sois disant distance et froideur ! que j'étais une méchante, une sans coeur ! là je suis sortie de la chambre. Car d'autres malades se trouvait à côté et j'étais très génée. Mon mari ayant eu la permission d'avoir son téléphone m'a r'appeller en chemin de retour afin de m'enfoncer encore ! m'abreuver de reproches sur ma façon d'être et de faire. Malgré son masque à oxygène il trouvait encore le moyen de me crier dessus. Ce soir après tout ceci au fond de moi je me sens humiliée. J'ai essayé de faire passer ceci sur le fait de la maladie. Me disant qu'il devait souffrir peut être. Ou qu'il se sent diminué. Mais je ne peux aussi m'empêcher de réaliser que malgré la douleur, et la situation même sur son lit d'hopital il me crie encore dessus et m'inondes de reproches de façon très agressive. Et continuant ceci ensuite au téléphone. Alors que quand il réclamait ma visite auparavant il était aimable au téléphone et dès qu'il m'a vu s'est littéralement déchainé. De la manipulation ? Juste avoir la satisfaction en lui de me voir venir à son appel ? Un test afin de m'avoir sous sa coupe durant son hospitalisation ? Surtout j'ai tenté de lui dire qu'il ne devait pas s'énerver ni me crier dessus comme ceci il a retourné la situation jusqu'à dire que je venais exprès pour l'humilier. Oui je suis là triste avec un mélange de colère qu'Allah m'en pardonne mais jai mes émotions. Je vous remercie de m'avoir lu jusque là et vous remercie autant de vos réponses
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Marcus GOLDMAN a écrit:
Bonsoir à tous les Yabis.
Violences conjugales et emprise du conjoint
Ce soir c'est avec effarement que je viens m'épancher et raconter mon problème afin de trouver sois des conseils, sois du réconfort.
Je me sens perdue. Je suis mariée depuis 7 ans avec un homme marocain.
J'ai lutté afin de faire perdurer mon couple et usé d'une patience incroyable car entre le jeune homme rencontré sur internet de l'époque et celui arrivé en France ce n'était plus le même homme passionnément amoureux.
J'en suis passé par tout les stades. Mais hamdoulah j'ai évité le divorce tenu le coup au grand étonnement de beaucoup.
J'ai perdu tout mon entourage, amies, et famille car tout cela ne convenait pas aux yeux de mon époux. Il a fait le vide complet autour de moi afin que je sois à son entière disposition.
Chaque manquement de ses chartes imposées par lui était des éléments déclencheurs de ces terribles colères et agressions et de violences verbales psychologiques en tout genre, de déstabilisation mentales en moi sur fond de culpabilisation intense ou je ne savais plus différencier les torts.
Hospitalisation du conjoint violent
Le problème d'aujourd'hui est qu'actuellement il se trouve hospitalisé. Car il est un fumeur autant de tabac que de cannabis invétéré. Ce qui lui a provoqué un pneumothorax.
Emmené d'urgence par les pompiers a l'hopital je ne pouvais rester sur place durant l'examen. Pourtant le soir angoissé j'ai téléphoné au mèdecin de service afin d'obtenir la permission de venir le voir même de courte durée.
Puis j'ai eu mon mari au téléphone qui demandait ma visite. Il était tard. J'ai parcouru le chemin à pied le soir. 22 h.
Arrivée en réanimation ou il était placé j'ai été choquée et apeurée de le voir avec un masque à oxygène. Une pompe a respiration, des drains de chaque cotés de la poitrine, électrocardiogramme. Je ne savais pas comment contenir ma peur.
Lui m'a acceuillis agressivement ! me criant dessus littéralement à travers son masque comme quoi j'étais une incapable de savoir consoler, et soutenir un malade. Je ne répondais pas à ses reproches virulents mais plutôt lui répondait d'une voix très basse et calme.
Lui demandant de me laisser juste apprivoiser ma vue de ses instruments qui me font peurs. De me comprendre sur le choc de la vision. Ceci n'a eu que l'effet de l'énerver encore plus ! me faisant culpabiliser sur ma sois disant distance et froideur ! que j'étais une méchante, une sans coeur ! là je suis sortie de la chambre. Car d'autres malades se trouvait à côté et j'étais très génée.
Mon mari ayant eu la permission d'avoir son téléphone m'a r'appeller en chemin de retour afin de m'enfoncer encore ! m'abreuver de reproches sur ma façon d'être et de faire. Malgré son masque à oxygène il trouvait encore le moyen de me crier dessus. Ce soir après tout ceci au fond de moi je me sens humiliée.
J'ai essayé de faire passer ceci sur le fait de la maladie. Me disant qu'il devait souffrir peut être. Ou qu'il se sent diminué. Mais je ne peux aussi m'empêcher de réaliser que malgré la douleur, et la situation même sur son lit d'hopital il me crie encore dessus et m'inondes de reproches de façon très agressive. Et continuant ceci ensuite au téléphone. Alors que quand il réclamait ma visite auparavant il était aimable au téléphone et dès qu'il m'a vu s'est littéralement déchainé.
Questionnement
De la manipulation ? Juste avoir la satisfaction en lui de me voir venir à son appel ? Un test afin de m'avoir sous sa coupe durant son hospitalisation ?
Surtout j'ai tenté de lui dire qu'il ne devait pas s'énerver ni me crier dessus comme ceci il a retourné la situation jusqu'à dire que je venais exprès pour l'humilier.
Oui je suis là triste avec un mélange de colère qu'Allah m'en pardonne mais jai mes émotions.
Je vous remercie de m'avoir lu jusque là et vous remercie autant de vos réponses
Résumé : Femme victime de violence conjugale physique et psychologique. L'hospitalisation de son époux n'a pas changé son comportement.
Une correction sponsorisée par la Goldman Sachs Bank !
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Francette a écrit:
Bonsoir à tous les Yabis. Ce soir c'est avec effarement que je viens m'épancher et raconter afin de trouver sois des conseils, sois du réconfort. Je me sent perdue. Je suis mariée depuis 7 années avec un homme marocain. Evidément bien que j'ai lutté afin de faire perdurer mon couple. Usé d'une patience incroyable. Car entre le jeune homme rencontré sur internet de l'époque et celui arrivé en France ce n'était plus le même homme passionnément amoureux. J'en suis passé par tout les stades. Mais hamdoulah j'ai évité le divorce tenu le coup au grand étonnement de beaucoup. J'ai perdu tout mon entourage, amies, et famille. Car tout cela ne convenait pas aux yeux de mon époux. Il a fait le vide complet autour de moi afin que je sois à son entière disposition. Chaque manquement de ses chartes imposées par lui était des éléments déclencheurs de ces terribles colères et agressivités. De violences verbales psychologiques en tout genres. De déstabilisation mentales en moi sur fond de culpabilisation intense ou je ne savais plus différencier les torts. Le problème d'aujourd'hui est qu'actuellement il se trouve hospitalisé. Car il est un fumeur autant de tabac que de cannabis invétéré. Ce qui lui a provoqué un pneumothorax. Emmené d'urgence par les pompiers a l'hopital je ne pouvais rester sur place durant l'examen. Pourtant le soir angoissé j'ai téléphoné au mèdecin de service afin d'obtenir la permission de venir le voir même de courte durée. Puis j'ai eu mon mari au téléphone qui demandait ma visite. Il était tard. J'ai parcouru le chemin à pied le soir. 22 h. Arrivée en réanimation ou il était placé j'ai été choquée et apeurée de le voir avec un masque à oxygène. Une pompe a respiration, des drains de chaque cotés de la poitrine, électrocardiogramme. Je ne savais pas comment contenir ma peur. Lui m'a acceuillis agressivement ! me criant dessus littéralement à travers son masque comme quoi j'étais une incapable de savoir consoler, et soutenir un malade. Je ne répondais pas à ses reproches virulents mais plutôt lui répondait d'une voix très basse et calme. Lui demandant de me laisser juste apprivoiser ma vue de ses instruments qui me font peurs. De me comprendre sur le choc de la vision. Ceci n'a eu que l'effet de l'énerver encore plus ! me faisant culpabiliser sur ma sois disant distance et froideur ! que j'étais une méchante, une sans coeur ! là je suis sortie de la chambre. Car d'autres malades se trouvait à côté et j'étais très génée. Mon mari ayant eu la permission d'avoir son téléphone m'a r'appeller en chemin de retour afin de m'enfoncer encore ! m'abreuver de reproches sur ma façon d'être et de faire. Malgré son masque à oxygène il trouvait encore le moyen de me crier dessus. Ce soir après tout ceci au fond de moi je me sens humiliée. J'ai essayé de faire passer ceci sur le fait de la maladie. Me disant qu'il devait souffrir peut être. Ou qu'il se sent diminué. Mais je ne peux aussi m'empêcher de réaliser que malgré la douleur, et la situation même sur son lit d'hopital il me crie encore dessus et m'inondes de reproches de façon très agressive. Et continuant ceci ensuite au téléphone. Alors que quand il réclamait ma visite auparavant il était aimable au téléphone et dès qu'il m'a vu s'est littéralement déchainé. De la manipulation ? Juste avoir la satisfaction en lui de me voir venir à son appel ? Un test afin de m'avoir sous sa coupe durant son hospitalisation ? Surtout j'ai tenté de lui dire qu'il ne devait pas s'énerver ni me crier dessus comme ceci il a retourné la situation jusqu'à dire que je venais exprès pour l'humilier. Oui je suis là triste avec un mélange de colère qu'Allah m'en pardonne mais jai mes émotions. Je vous remercie de m'avoir lu jusque là et vous remercie autant de vos réponses
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Francette a écrit:
Merci pour vos réponses. Je m'interroge bien malgré moi encore sur son comportement.
Biensur je mets ceci sur le fait qu'il se sent mal d'être hospitaliser ce qui lui déclenche ces accès d'agressivité refoulée peut être dû à la douleur et le stress.
Pourtant après réflexion je ne peux m'empêcher de réaliser qu'avec le personnel hospitalier qui s'occupait de lui il était très détendu, répondant calmement à toutes questions.
Ayant même le sourire ! et faisant preuve d'amabilité et respect. Ce n'est qu'à ma vue que son regard s'est durci.
Qu'il a haussé le ton dès que le mèdecin est parti. Un tout autre personnage ! totalement transformé.
Pourtant je peux assurer que de mon côté j'étais plutôt discrète, intimidée, et sous le choc. Aucun comportement hargneux ou autre. Bien au contraire.
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ReddIblis a écrit:
ptetr pck les autres sont des étrangers lol il va pas leur crier dsu...ni leur montrer ses craintes c logik, après votre pb est surement plus profond que sa maladir, c'est juste un élément supplémentaire...
sinon jsais pas si t'es nouvelle mais jte conseille de cliquer sur le bouton citer en bas des msg qd tu répond à qqn, car là on sait pas à qui tu parles et si tu rpds à qqn il sait pas ktu lui a répondu car pas de notif
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Francette a écrit:
Merci pour vos réponses. Je m'interroge bien malgré moi encore sur son comportement.
Biensur je mets ceci sur le fait qu'il se sent mal d'être hospitaliser ce qui lui déclenche ces accès d'agressivité refoulée peut être dû à la douleur et le stress.
Pourtant après réflexion je ne peux m'empêcher de réaliser qu'avec le personnel hospitalier qui s'occupait de lui il était très détendu, répondant calmement à toutes questions.
Ayant même le sourire ! et faisant preuve d'amabilité et respect. Ce n'est qu'à ma vue que son regard s'est durci.
Qu'il a haussé le ton dès que le mèdecin est parti. Un tout autre personnage ! totalement transformé.
Pourtant je peux assurer que de mon côté j'étais plutôt discrète, intimidée, et sous le choc. Aucun comportement hargneux ou autre. Bien au contraire.
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perledecume781 a écrit:
Franchement je t'applaudie.
Cela aurait été moi, je ne m'y serai pas rendue et j'en aurai profité pour changer les serrures et demander le divorce.
Après tant d'ingratitude, d'humiliation, d'absence de respec et de miséricorde, je refuserais en plus de devenir son infirmière. Il ne le mérite pas. Et lui aurais dit, lorsque tu avais la santé tu m'as traitée comme de la merde, maintenant que tu ne l'as plus, trouves toi quelqu'un qui acceptera de te supporter.
Je compatie pour ta situation. Car tu sembles être une femme merveilleuse, méritant u' epoux aimant et tendre.
Et via ma profession, j'ai souvent été témoin de malade du genre de ton mari, tu vas vivre un calvaire à son chevet.