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pra a écrit:
Un starter est utilisé pour générer une décharge suffisante pour « activer » le gaz à l’intérieur de la lampe afin que celle-ci s’allume. Mais voilà : quelqu'un saurait me dire comment tester un starter avec un multimetre numérique ou analogique ,
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Lydec59 a écrit:
Je n'ai pas les connaissances cependant j'ai soumis la question à ChatGPT qui m'a souvent aidé pour résoudre des problèmes mécaniques (alors que je suis un débutant en mécanique).
Après un copié collé de ta demande voilà ce qu'il m'a répondu:
Oui, il est possible de tester un starter de tube fluorescent avec un multimètre analogique ou numérique. Cependant, il faut savoir que les starters classiques contiennent un interrupteur thermique (bilame) et un condensateur, ce qui complique un test direct avec un multimètre. Voici les méthodes possibles :
Méthode 1 : Test de continuité (Multimètre en mode Ohmmètre)
1. Déconnecter le starter du circuit.
2. Régler le multimètre en mode résistance (Ω).
3. Placer les pointes de touche du multimètre sur les deux broches du starter.
4. Interprétation des résultats :
Multimètre analogique : L'aiguille doit brièvement bouger puis revenir à l'infini (circuit ouvert), car le bilame s'ouvre après un court instant.
Multimètre numérique : Une faible résistance (quelques ohms) peut apparaître brièvement, puis afficher une résistance infinie.
Méthode 2 : Test du condensateur (Multimètre en mode capacité si disponible)
Si votre starter est équipé d’un condensateur, vous pouvez tester sa valeur avec un multimètre ayant la fonction "capacitance".
1. Régler le multimètre en mode capacité (µF).
2. Placer les pointes de touche sur les broches du starter.
3. Comparer la valeur mesurée avec la valeur indiquée sur le condensateur du starter (généralement entre 0,004 et 0,1 µF).
Si la valeur est très faible ou infinie, le condensateur est défectueux.
Méthode 3 : Test en circuit (Remplacement croisé)
Si vous avez un starter neuf ou fonctionnel, vous pouvez simplement remplacer l’ancien starter et voir si la lampe s’allume correctement.
Conclusion
Un starter défectueux montrera soit une résistance infinie (bilame défectueux), soit une résistance permanente (bilame collé). Si le starter ne fonctionne pas, le mieux est souvent de le remplacer directement, car il coûte peu cher.
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CHN-W a écrit:
Assalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.
La méthode n°3 sus-citée est efficace et sans instrument. Il faut seulement disposer d'un groupe fonctionnel pour diagnostiquer le groupe qu'on suppose en panne.
On peut aussi permuter le néon.
D'une manière générale, en permutant, on peut savoir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne plus.
On peut faire des hypothèses pour comprendre d'où vient la panne au fur et à mesure des permutations.
Par exemple, j'avais un ordi qui ne démarrais pas. Le ventilo du processeur tournait mais le bios ne se lançait pas.
On a mis un SSD fonctionnel, puis une carte graphique fonctionnel, puis une alim fonctionnelle ; rien. On a vérifié le processeur : rien. Puis on a ajouté une barrette de RAM ; et ça a démarré. On a trouvé.
On retire la barrette « défectueuse » et on met à la place la nouvelle barrette. La panne réapparaît. On a réfléchi. Et en fait, on s'est souvenu que dans les emplacements de barrette de RAM, il y a un ordre et il faut d'abord remplir les premiers emplacements. Trou = panne. On avait rempli dans le sens inverse.
Wassalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.
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pra a écrit:
Merci beaucoup pour ces éclaircissements. C'est vrai que lorsque l'on a une bonne dizaine à tester, la permutation n'est pas très pratique bien qu'elle soit efficace.
En tout cas, je pense que la puissance marquée sur le Starter doit correspondre à celle du néon ou du moins à sa longueur.
Et puis, j'ai souvenir qu'en utilisant un multimètre à aiguilles, l'écart de cette eguille de sa position initiale ainsi que sa vitesse de mouvement peuvent aussi indiquer le bon fonctionnement du starter, ou je me trompe ?!
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