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Le Prophète – صلى الله عليه وسلم – plaisantait avec ses Compagnons et leur souriait même sur le champ de bataille pour détendre l’atmosphère et leur faire oublier les coups et les blessures qu’ils recevaient de l’ennemi.
Al-Bukhârî rapporte, sur l’autorité de `Abd Allah b. `Umar, que lorsque le Prophète – صلى الله عليه وسلم – avait constaté qu’il ne marquait pas le moindre progrès en assiégeant la ville de Taef, il lança cet appel : « Demain, nous partirons d’ici si Allah le veut. » Certains récalcitrants protestèrent : « Nous ne la quitterons pas avant de la conquérir. » Le Prophète – صلى الله عليه وسلم – dit : « Allons-y ! Combattons-les ! » Ils engagèrent une attaque violente mais ils essuyèrent un revers si bien que beaucoup d’entre eux furent blessés. « Demain, nous partirons d’ici si Allah le veut » demanda à nouveau l’Envoyé d’Allah. Cette fois-ci tout le monde se tut. Ce silence approbateur suscita le rire du Prophète – صلى الله عليه وسلم -[1]
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Asad-partage a écrit:Citation
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Le Prophète – صلى الله عليه وسلم – plaisantait avec ses Compagnons et leur souriait même sur le champ de bataille pour détendre l’atmosphère et leur faire oublier les coups et les blessures qu’ils recevaient de l’ennemi.
Al-Bukhârî rapporte, sur l’autorité de `Abd Allah b. `Umar, que lorsque le Prophète – صلى الله عليه وسلم – avait constaté qu’il ne marquait pas le moindre progrès en assiégeant la ville de Taef, il lança cet appel : « Demain, nous partirons d’ici si Allah le veut. » Certains récalcitrants protestèrent : « Nous ne la quitterons pas avant de la conquérir. » Le Prophète – صلى الله عليه وسلم – dit : « Allons-y ! Combattons-les ! » Ils engagèrent une attaque violente mais ils essuyèrent un revers si bien que beaucoup d’entre eux furent blessés. « Demain, nous partirons d’ici si Allah le veut » demanda à nouveau l’Envoyé d’Allah. Cette fois-ci tout le monde se tut. Ce silence approbateur suscita le rire du Prophète – صلى الله عليه وسلم -[1]
Trés beau rappel
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