Ach Châfi'i -qu’Allah lui fasse Miséricorde- a dit : « Si les hommes méditaient sur cette sourate, elle leur serait suffisante. Dieu jure par le temps où se déroulent les actions de bien et celles de mal, Il jure par cela que l'homme court à sa perte, puis Il mentionne ceux qui sont exceptés. »
Ubaydallah ibn Hafs a dit : a l'époque, quand deux d'entre les compagnons se rencontraient, ils ne se séparaient qu'après que l'un d'entre eux eut récité cette sourate, et que l'autre eut ensuite lancé le salut.
Ach-Châfi'i, que Dieu lui donne Sa miséricorde, a dit des paroles dont le sens est le suivant : "Les gens, ou la plupart d'entre eux, sont trop distraits pour méditer sur le sens de ce chapitre".