Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
<> Sommaire Pratique des Formalités Administratives <>
Z
1 février 2017 17:45
.

<> La liste noire des compagnies aériennes <>
<> interdites dans l'Union européenne <>


www.yabiladi.com
.
Z
1 février 2017 17:45
.

<> Rappel des règles régissant <>
<> l'attribution, l'acquisition et la perte de la nationalité française <>


On parle d'attribution de la nationalité française lorsque cette nationalité est conférée
de plein droit à une personne dès sa naissance. L'acquisition de la nationalité française intervient lorsqu'une personne, initialement de nationalité étrangère, devient française
à un moment de son existence.
.
1. Attribution de la nationalité française

1.1 Attribution par filiation

Droit du sang : est français, l'enfant dont l'un au moins des parents est français (article 18 du code civil). Le parent doit être français à l'époque de la naissance et l'attribution ne joue que si le lien de filiation est établi avant la majorité de l'enfant (article 20-1 du code civil).

Adoption : l'adoption plénière par un Français confère de plein droit la nationalité française à l'adopté dès sa naissance (article 20 du code civil). L'adoption simple
n'a aucun effet immédiat sur la nationalité mais permet, sans délai, de faire acquérir
à l'adopté la nationalité française par déclaration.

1.2 Attribution par naissance en France

Double droit du sol : est français l'enfant né en France lorsque l'un de ses parents y est lui-même né (article 19-3 du code civil). Ce principe fournit à la majorité des Français
un moyen commode de prouver leur nationalité : il leur suffit de produire un extrait
ou une copie de leur acte de naissance lequel indique en principe le lieu de naissance des parents. Ils sont français même si leur parent né en France est de nationalité étrangère.

Anciens territoires français : la loi du 9 janvier 1973 avait maintenu provisoirement
le double droit du sol pour ces territoires. L'enfant né en France est français lorsqu'un de ses parents, même étranger, est né sur un territoire qui était français à l'époque
de sa propre naissance. La loi du 22 juillet 1993 a supprimé ce droit pour les enfants nés après le 31 décembre 1993 mais elle n'a pas fait perdre leur nationalité aux enfants nés auparavant.

Exemple : un Sénégalais, né au Sénégal avant l'indépendance de cet Etat (20 juin 1960), est marié à une Sénégalaise. Leurs deux enfants sont nés en France :
un fils est né le 15 janvier 1993, une fille le 30 juin 1994. Ces deux enfants n'ont pas
le même statut : le fils, soumis à la loi de 1973, est Français par double droit du sol
la fille, soumise à la loi de 1993, est de nationalité sénégalaise comme ses parents.

Ces règles expliquent certaines fraudes commises par des étrangers nés après l'indépendance qui produisent de fausses pièces d'état civil pour faire croire qu'ils
sont nés avant et faire bénéficier leurs enfants nés en France de la nationalité française.

.
Z
1 février 2017 17:46
.

Exception pour l'Algérie : Par exception, la loi de 1993 a maintenu le double droit
du sol pour les enfants nés en France après le 31 décembre 1993 d'un parent né
en Algérie avant le 3 juillet 1962, date de l'indépendance de ce pays, dès lors que
ce parent justifie d'une résidence régulière en France depuis au moins cinq ans.
Cette condition de résidence a été supprimée, avec effet rétroactif, par la loi n° 98-170 du 16 mars 1998.

2. Acquisition de la nationalité française

2.1 Acquisition par la naissance et la résidence en France

Personnes devenues majeures depuis le 1er septembre 1998 : la loi du 16 mars 1998 est applicable aux étrangers ayant atteint leurs dix-huit ans depuis le 1er septembre 1998. L'enfant né en France de parents étrangers devient français au jour de son dix-huitième anniversaire à condition d'avoir à cette date sa résidence en France
et d'avoir eu en France sa résidence habituelle pendant une période continue
ou discontinue d'au moins cinq ans depuis l'âge de onze ans.

Cette acquisition intervient de plein droit. Aucune déclaration ni aucun enregistrement n'est nécessaire. Pour obtenir un certificat de nationalité française, l'intéressé devra toutefois prouver que les conditions de résidence étaient remplies au moment
de ses dix-huit ans, par exemple en produisant des certificats de scolarité.

L'intéressé peut, dans les six mois qui précèdent son dix-huitième anniversaire
et dans les douze mois qui le suivent, refuser de devenir Français, en déclarant devant le juge d'instance de son domicile ou, s'il demeure à l'étranger, le consul français compétent qu'il décline la qualité de Français.

L'étranger mineur peut acquérir la nationalité française dès l'âge de treize ans
par déclaration faite devant le juge d'instance. La déclaration doit être faite par lui-même, même sans le consentement de ses parents, à partir de l'âge de seize ans
ou, avec son accord, par ses représentants légaux entre treize et seize ans.
La condition de résidence habituelle est alors appréciée à partir de l'âge de huit ans (article 21-11 du code civil).

Personnes devenues majeures avant le 1er septembre 1998 : pour les personnes devenues majeures avant le 1er janvier 1994, la nationalité française était acquise
de plein droit, sous réserve d'une condition de résidence et d'absence de condamnation pénale, d'arrêté d'expulsion ou d'assignation à résidence ; pour celles devenues majeures entre le 1er janvier 1994 et le 1er septembre 1998, l'acquisition
de la nationalité française supposait une manifestation de volonté.

La loi de 1998 a toutefois permis l'acquisition de plein droit de la nationalité française, sous certaines conditions, pour les personnes devenues majeures entre le 1er septembre 1995 et le 1er septembre 1998 et n'ayant pas manifesté cette volonté
ou n'ayant pas pu obtenir son enregistrement.

.
Z
1 février 2017 17:46
.

2.2 Acquisition par mariage avec un Français

Régime applicable jusqu'en 1973 : avant la loi de 1973, applicable aux mariages célébrés avant le 12 janvier 1973, la femme étrangère devenait en principe de plein droit française par son mariage avec un Français, sauf si elle était frappée d'un arrêté d'expulsion ou d'une assignation à résidence, si elle n'avait pas de titre de séjour régulier ou si elle déclarait avant le mariage décliner la nationalité française. Le mariage d'un homme étranger avec une Française n'avait aucun effet sur sa nationalité.

Nécessité actuelle d'une déclaration : depuis la loi de 1973, l'acquisition de la nationalité française en raison du mariage n'est plus automatique. Le conjoint étranger
d'un ressortissant français, qu'il s'agisse d'un homme ou d'une femme, doit souscrire une déclaration spéciale devant le juge d'instance. Le conjoint français doit être français d'origine ou avoir acquis la nationalité française avant le mariage.

D'importantes précautions sont prises pour éviter les fraudes liées à des mariages
de complaisance. Un délai d'épreuve, destiné à démontrer le sérieux de l'union,
est d'abord exigé. La durée de ce délai a varié : réduite à un an par la loi du 16 mars 1998, elle a été portée à deux ans par la loi du 26 novembre 2003 puis à quatre ans
par la loi du 24 juillet 2006 ; ces mêmes lois l'ont portée à trois puis à cinq ans lorsque l'étranger n'a pas résidé de manière ininterrompue en France pendant un puis trois ans ou si le conjoint français n'a pas été inscrit à l'étranger au registre des Français établis hors de France lorsqu'il réside à l'étranger. En outre, la communauté de vie ne doit
pas avoir cessé entre les époux au moment de la déclaration. Enfin, depuis la loi
de 2003, le conjoint étranger doit désormais justifier d'une connaissance suffisante
de la langue française.

Le gouvernement peut, dans un délai porté de un à deux ans par la loi de 2006, s'opposer à la déclaration pour indignité ou défaut d'assimilation de l'époux étranger (article 21-4 du code civil). En outre le procureur de la République peut demander l'annulation de la déclaration au tribunal de grande instance (article 26-4 du code civil).

.
Z
1 février 2017 17:47
.

2.3 Autres causes d'acquisition par déclaration

Adoption simple : l'enfant adopté en la forme simple peut devenir français par simple déclaration, faite avant sa majorité. Si l'adoption a été prononcée par une autorité étrangère, le président du tribunal de grande instance doit préalablement vérifier
la régularité internationale de cette décision et lui accorder l'exequatur.

Enfants recueillis en France : la loi permet l'accès à la nationalité française d'enfants recueillis et élevés en France depuis un temps suffisant pour permettre leur intégration au sein de la communauté française : les enfants recueillis et élevés par un Français depuis au moins cinq ans, les enfants confiés au service de l'aide sociale à l'enfance depuis au moins trois ans ainsi que les enfants recueillis en France et élevés dans
des conditions leur ayant permis de recevoir, pendant cinq années au moins, une formation française (article 21-12 du code civil).

Possession d'état : la possession d'état de Français est constituée par un ensemble
de faits qui traduisent l'apparence du lien de nationalité entre une personne et l'Etat français (délivrance de passeports ou de cartes d'identité, immatriculation consulaire ; appel sous les drapeaux et services militaires ; inscription sur les listes électorales, nomination en tant que fonctionnaire...). Cette possession d'état doit avoir existé
dans les dix ans qui précèdent la déclaration.

Elle permet de régler la situation de personnes qui, de bonne foi, se sont toujours considérées françaises, ont été traitées comme telles par l'Etat et dont on découvre qu'elles ont été victimes d'une erreur d'appréciation. Etant juridiquement étrangères, elles peuvent ainsi acquérir la nationalité française et mettre leur statut en conformité avec leur situation. Leurs droits ne sont pas remis en cause (article 21-13 du code civil). Certaines condamnations pénales font obstacle à la déclaration, de même qu'un arrêté d'expulsion ou une mesure d'interdiction du territoire.

Réintégration : les personnes qui ont perdu la nationalité française, en raison de leur mariage avec un étranger ou de l'acquisition par mesure individuelle d'une nationalité étrangère peuvent être réintégrées par déclaration dans la nationalité française
même si elles sont domiciliées à l'étranger, à condition d'avoir conservé ou acquis
des liens avec la France (article 24-2 du code civil) et de ne pas avoir subi certaines condamnations pénales, un arrêté d'expulsion ou une interdiction du territoire.

.
Z
1 février 2017 17:47
.

2.4 Acquisition par décret

Naturalisation : la naturalisation par décret est le dernier mode d'acquisition envisageable lorsqu'un ressortissant étranger n'a pas, avec la France,
des liens particuliers qui lui permettraient une acquisition simplifiée par déclaration.

La déclaration de nationalité doit être enregistrée, dès lors que les conditions légales sont remplies, et le gouvernement ne peut y faire obstacle, en dehors de l'hypothèse
de l'indignité ou du défaut d'assimilation du conjoint étranger d'un époux français.

En matière de naturalisation, il dispose au contraire d'un très large pouvoir d'appréciation exercé de manière discrétionnaire. Depuis 1993, la décision de refus
doit toutefois être motivée. Elle peut être contestée devant le Conseil d'Etat.

La demande est déposée à la préfecture du département où le postulant a établi
sa résidence effective ou, s'il demeure à l'étranger, au consulat compétent. Une enquête portant sur sa conduite et son loyalisme est effectuée ; il peut être soumis à des examens médicaux. La décision appartient au ministre chargé des naturalisations
qui, depuis la loi de 1998, doit statuer dans un délai de dix-huit mois pouvant être prolongé une fois de trois mois par décision motivée (article 21-25-1 du code civil).

Le demandeur doit avoir atteint l'âge de dix-huit ans ; résider en France au plus tard
au moment de la signature du décret, justifier d'une résidence habituelle en France dans les cinq années qui ont précédé le dépôt de la demande, ce délai étant réduit
ou même supprimé sous certaines conditions ; justifier de son assimilation
à la communauté française, notamment par une connaissance suffisante de la langue française ; depuis la loi du 26 novembre 2003, justifier, selon sa condition,
d'une connaissance suffisante des droits et devoirs conférés par la nationalité française ; être de bonnes vie et moeurs et ne pas avoir subi certaines condamnations.

Réintégration : lorsque le demandeur ne remplit pas les conditions requises pour obtenir sa réintégration par déclaration, il peut la demander au gouvernement suivant
les formes et conditions prévues pour la naturalisation. Cependant, la demande
n'est alors soumise à aucune condition d'âge ni de résidence en France.

Militaires étrangers blessés au service de la France : la loi n° 99-1141 du 29 décembre 1999 a prévu un régime particulier pour les étrangers engagés dans les armées françaises qui ont été blessés en mission au cours ou à l'occasion d'un engagement opérationnel. La nationalité française leur est conférée par décret, sur leur demande
et sur proposition du ministre de la défense.

.
Z
1 février 2017 17:48
.

2.5 Effet collectif

L'enfant mineur dont l'un des deux parents acquiert la nationalité française, devient français de plein droit en même temps que lui (article 22-1 du code civil) sous
les conditions suivantes :

- ne pas être marié ;

- avoir la même résidence habituelle que ce parent ou résider alternativement
avec ce parent dans le cas de séparation ou divorce ;

- et, depuis la loi du 22 juillet 1993, avoir son nom inscrit dans le document qui confère la nationalité française (décret de naturalisation ou de réintégration ou déclaration
de nationalité).

La perte de la nationalité française par le parent n'entraîne aucun effet collectif.
.
3. La perte de la nationalité française

Elle est le plus souvent volontaire et s'effectue par déclaration ou par décret. Elle peut néanmoins, dans des cas très particuliers, être involontaire (désuétude, déchéance)
ou résulter de la mise en œuvre de la convention de Strasbourg du 6 mai 1963
(double nationalité).

3.1 Perte par déclaration

Des cas de répudiation de la nationalité française sont prévus par le code civil,
sous certaines conditions, en faveur, notamment, des enfants nés à l'étranger
d'un seul parent français ou nés en France d'un seul parent né en France.
Par ailleurs, toute personne majeure, résidant habituellement à l'étranger
qui acquiert volontairement une nationalité étrangère peut, sous certaines conditions, perdre la nationalité française par déclaration expresse.

En cas de mariage avec un étranger, le conjoint français peut également répudier
la nationalité française, à condition d'avoir acquis la nationalité de son conjoint
et que la résidence habituelle du ménage ait été fixée à l'étranger.

Les Français de moins de trente cinq ans ne peuvent souscrire une déclaration
de perte de la nationalité française que s'ils sont en règle avec les obligations
du service national.

3.2 Perte par décret

Les personnes qui ne remplissent pas les conditions relatives à la perte de la nationalité française par déclaration peuvent être autorisées par décret, souvent dit de « libération des liens d'allégeance », à perdre la qualité de Français, à condition d'avoir
une nationalité étrangère.

.
Z
1 février 2017 17:49
.

3.3 Perte par jugement

La perte de la nationalité française peut être constatée par jugement lorsque l'intéressé, français d'origine par filiation, n'en a point la possession d'état et n'a jamais
eu sa résidence habituelle en France, si les ascendants, dont il tenait la nationalité française, n'ont eux-mêmes ni possession d'état de Français, ni résidence en France depuis un demi-siècle (article 23-6 du code civil).

Lorsqu'un individu réside ou a résidé habituellement à l'étranger, où les ascendants dont il tient par filiation la nationalité sont demeurés fixés pendant plus d'un demi-siècle, cet individu n'est pas admis à faire la preuve qu'il a, par filiation, la nationalité française si lui-même et celui de ses père et mère qui a été susceptible de la lui transmettre
n'ont pas eu la possession d'état de Français (article 30-3 du code civil).
Dans ce cas, le tribunal doit constater la perte de la nationalité française.

3.4 Perte par le jeu de la convention du Conseil de l'Europe du 6 mai 1963

Cette convention lie la France, l'Autriche, la Belgique, le Danemark, l'Italie
le Luxembourg, la Norvège et les Pays-Bas -l'Allemagne et la Suède l'ont dénoncée
en 2002. Elle a pour objet de réduire les cas de pluri-nationalité, en prévoyant
un mécanisme de perte automatique de la nationalité d'origine en cas d'acquisition volontaire de la nationalité d'un autre État adhérent.

La convention ne s'applique qu'aux majeurs. Cependant, si ses deux parents prennent une autre nationalité, un enfant mineur l'acquiert également et perd la nationalité française.

Elle n'est pas non plus applicable à la femme française qui souscrit une déclaration
en vue d'acquérir la nationalité de son mari au moment et par l'effet du mariage.

Dans un grand nombre de dossiers soumis au service, les demandeurs ne peuvent
se prévaloir du double droit du sol ni de l'acquisition de la nationalité française
à leur majorité. Bien souvent également, ils n'ont pas ou plus la possession d'état
de Français et ne fournissent, à l'appui de leur demande, que des actes de l'état civil étrangers.

Ce constat explique en partie la proportion considérable des refus de délivrance
de certificats de nationalité française (78 %) et justifie la spécialisation intervenue
en 2005.

Évolution du nombre des délivrances et des refus de délivrance
de certificats de nationalité française

Le ministère de la justice ne dispose pas de statistiques sur le nombre des recours gracieux et contentieux suscités par ces décisions de rejet. Mr le directeur de greffe, chef du service de la nationalité des Français nés et établis hors de France, a toutefois indiqué à vos rapporteurs qu'il avait tendance à augmenter mais que les décisions
du service étaient confirmées à 95-98 % après un recours gracieux et à plus de 90 %
après un recours contentieux.

-- Source--
<> Vers un état civil moderne
et respectueux de la dignité des citoyens <>


www.yabiladi.com


.
Z
9 avril 2017 12:21
.
<> CE QUI CHANGE EN AVRIL 2017 <>

www.yabiladi.com

.
Z
9 avril 2017 12:30
.
<> ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 2017 <>
<> TOUTES LES INFORMATIONS PRATIQUES <>


www.yabiladi.com

.
Z
2 juillet 2017 15:18
.
<> Ce qui change au 1er juillet 2017 <>
www.yabiladi.com

.
Z
13 août 2017 00:05
. <> Aide au retour : majoration de l'allocation
forfaitaire pour certains étrangers <>


www.yabiladi.com

.
Z
13 août 2017 00:07
.
<> Aide à la recherche du premier emploi (Arpe)
comment faire la demande ? <>


www.yabiladi.com

.
Z
27 août 2017 10:34
.
<> Courriels frauduleux au sujet de la carte Vitale V3 <>

www.yabiladi.com

.
Z
6 septembre 2017 12:08
.
<> Nationalité française :
enfant né en France de parents étrangers<>


www.yabiladi.com
Z
24 septembre 2017 11:21
.
<> Convention d'assurance chômage <>
<> ce qui change pour les employeurs au 1er octobre 2017 <>


www.yabiladi.com
.
Z
24 septembre 2017 11:22
.
<> Rentrée universitaire 2017-2018 : c'est parti ! <>

www.yabiladi.com
.
Z
1 octobre 2017 23:32
.

<> Préparez votre retraite avec un nouveau <>
<> service en ligne pour faciliter vos démarches <>


www.yabiladi.com

.
Z
11 octobre 2017 11:32
.
<> Ce qui change au 1er octobre 2017 <>

www.yabiladi.com

.
Z
18 octobre 2017 16:01
.
<> Que signifie le numéro de sécurité sociale ? <>

www.yabiladi.com

.
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook