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leilamalabarr a écrit:
Salam,
Tu sais je pense qu'aujourd'hui et je parlerais pour un croyant ou une personne de principes vértiables, il est difficile de rester avec les gens sans s'éloigner de soi et de ses valeurs.
Alors la solitude est une voie tortueuse qui parait plus sereine.
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leilamalabarr a écrit:
Salam,
Tu sais je pense qu'aujourd'hui et je parlerais pour un croyant ou une personne de principes vértiables, il est difficile de rester avec les gens sans s'éloigner de soi et de ses valeurs.
Alors la solitude est une voie tortueuse qui parait plus sereine.
!!! Citation
leilamalabarr a écrit:
C'est pas vrai?? mdrrr
Alors t'en as pensé quoi ?
Elle etait toute seule ou avec son mari?
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Al-Gharib* a écrit:
Toute seul avec un sac à dos je suppose qu'elle aller en cours.
Ce que j'en pense ? Rien chacun est libre..
mais j'ai rigolé comme pas permis
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leilamalabarr a écrit:
Tu t'es dit ca strouve c'est Leila mdrr (en fait c'etait moi)
Elle a raison elle vit sa vie comme elle l'entend.
Mais t'etais contre un peu nan ?
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Al-Gharib* a écrit:
C'est possible que sa soit toi qui sait lol
Oui
Oui un peu quand même (pour les filles de ma famille) mais avec du recul on s dis que chacun a un cerveau et un libre arbitre ...
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leilamalabarr a écrit:
Lool t'as raison bon raisonnement.
Je vais m'acheter une moto lors tu m'as saucée mdrrr
Bref o fait je voulais te dire si jamais un jour je t'ai vexé ou autre sans le faire exprès sache que c'etait pour rigoler ce n'etait pas mon intention, je t'apprecie c'est pour ca que je te clash aussi (vu que t'aimais bien me clasher lol).
T'as l'air d'un gars tranquille avec sa bargitude mais c'est ce qui est marrant, j'espere qeu tu trouveras chaussure à ton pied inchallah tu as l'air de mériter une fille (folle) bien lol
Je pars ce soir inchallah donc c'etait ma parole du soir lol.
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Al-Gharib* a écrit:
Nous ne sommes pas tous égaux face à la solitude. « Solitude, mon amour… » pour certains quand d’autres sont capables de presque toutes les ruses pour éviter d’être seul : des attitudes opposées pour un même syndrome : celui de la dépendance affective.
Accepter et apprécier la solitude est plutôt perçu comme une force de caractère. Les solitaires n’ont besoin de personne. Cette attitude peut être même perçue comme une sorte de complexe de supériorité ou au moins une forme de suffisance qui prend souvent racine dans l’enfance du sujet. Il s’agit souvent d’enfants auxquels on a dit qu’ils étaient les meilleurs, les plus forts, … Donc à quoi bon aller vers les autres ? D’autant que la rencontre avec l’autre leur ferait craindre d’être démasqués et apparaître dans toute leur banalité…
L’être humain est intrinsèquement un être sociable. Il est ainsi fait qu’il ne peut pas se suffire à lui-même. La vraie raison de la solitude se niche souvent dans la peur de l’autre, une sorte de phobie sociale. Un peur qui peut être la conséquence d’une éducation : « Mon enfant, il ne faut faire confiance à personne dans la vie. Tu m’entends ? Personne ! », ou d’un traumatisme de confrontation sociale.
La première confrontation sociale est souvent l’école. Une scolarité mal vécue, que ce soit à cause d’un instituteur méprisant, trop autoritaire, ou du harcèlement de camarades de classe, peut pousser une personne à préférer le confort de la solitude à la relation aux autres.
Rester seul, c’est éviter la relation à l’autre, et éviter la relation à l’autre est la solution la plus radicale pour éviter la rupture potentielle de cette relation et la déception associée. Ce qui angoisse le plus le solitaire, c’est de perdre ce à quoi il s’attacherait, donc il évite tout simplement de s’attacher. Le solitaire est un dépendant affectif… qui se protège. Rester seul plutôt que revivre la douleur de la séparation (traumatisme de séparation amoureuse, séparation précoce ou soudaine aux parents pendant l’enfance…)
De l’autre côté du tableau, il y a ceux qui ne supporte pas l’idée d’être seul. Quand un adulte ne sait pas gérer sa solitude de manière rationnelle, c’est qu’il souffre souvent de carences affectives précoces. Le fait d’être seul réactive en lui des sensations désagréables de manque d’affection : mère absente physiquement (hyperactive professionnellement, hospitalisation…) ou absente psychiquement (mère dépressive ou anxieuse…). Cette insuffisante précoce de maternage ne leur a pas procuré assez de confiance pour croire en leur capacité à être aimé. Ils ont besoin de rappel régulièrement.
La peur de la solitude peut aussi trahir la peur d’être confronté à soi-même. Elle est, dans ce cas, associée à la peur du noir, peur du silence, peur du vide. Bref, on a peur de toutes les situations que nous mettent face à notre intériorité, face à nous-même. Etre avec quelqu’un est juste une manière d’éviter d’être face à soi-même. Pourquoi ainsi s’éviter ?
Solitude mon amour, ou solitude, je te déteste : dans les 2 cas, nous sommes face à la dépendance affective, aux conséquences comportementales pourtant opposés. L’idée est de pouvoir installer la bonne distance dans la relation à l’autre (qu’elle soit amicale, amoureuse, familiale….): ni trop symbiotique, ni trop large. De cette manière l’autonomie n’est plus vécue comme un abandon ou un rejet par l’un, et la proximité n’est plus perçue comme une emprise par l’autre.
[www.psychologue-fontenay-le-comte.fr]
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