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Sheikh Fawzan: Dénoncez ceux qui recrutent les jeunes pour la Syrie
U
13 février 2014 00:37
Un homme que je nommerais pas dirait surement que la chaîne de transmission de cette fatwa est le cheikh qui la tient du ministre de l'intérieur, qui la tient du Roi, qui la tient de l'ambassade américaine, et ainsi jusqu'à Obama.
f
13 février 2014 11:28
Assalam alaikoum

Il paraît qu'il y a différend, notamment d'ordre politique, sur ce qu'on qualifie de "jihâd" en Syrie. Ce qui est sûr, c'est qu'il y a une grande confusion, à ce propos, et des victimes d'elle.
A
15 février 2014 12:42
Et alors ?
Ils sont passé où ceux qui disent que les Savant Salafi embrigadent les jeunes pour la guerre en Syrie ?

Ils se cachent parce que ce sont juste des imbéciles incultes calomniateurs

Ils confondent allègrement le pouvoir des Saoud avec la vision des savants Salafis

Ils confondent les djihadistes incultes avec les Salafis cultivés
f
15 février 2014 15:05
Assalam alaikoum

Je voudrais te signaler ma sœur que tu oublies que cette fatwâ de cheikh Ibn Fawzân n'est pas faite isolément du gouvernement saoudien, mais je dirais en parfaite collaboration avec lui, et la preuve c'est que Ibn fawzân est membre du Conseil des Grands Savants et du Comité Permanent des Recherches Islamiques et de la Délivrance des Fatwas d'Arabie Saoudite, et puis dans cette même fatwâ, il déclare que le dit jihâd en Syrie devrait être sous la direction et l'autorisation du gouvernement saoudien.
15 février 2014 18:24
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Je voudrais te signaler ma sœur que tu oublies que cette fatwâ de cheikh Ibn Fawzân n'est pas faite isolément du gouvernement saoudien, mais je dirais en parfaite collaboration avec lui, et la preuve c'est que Ibn fawzân est membre du Conseil des Grands Savants et du Comité Permanent des Recherches Islamiques et de la Délivrance des Fatwas d'Arabie Saoudite, et puis dans cette même fatwâ, il déclare que le dit jihâd en Syrie devrait être sous la direction et l'autorisation du gouvernement saoudien.

Aleykoum salam

C'est un des paradoxes de ces "salafis". Indépendamment de la question syrienne, on voit que le jihad n'est caractérisé seulement pour les besoins du régime saoudien.
On se souvient des fatawa incitant au jihad pour l'établissement du pouvoir saoudien en Arabie.
On se souvient d'une fatwa incitant au jihad des Irakiens contre Saddam comme par hasard une semaine aprsè la guerre lancée par les USA...
Bref, il n'y a de jihad que si le gouverneur saoudien le souhaite. En gros, leur salafs c'est les rois saoudiens...
15 février 2014 18:42
Il y a un point intéressant évoqué dans la vidéo, c'est l'autorisation de l'émir pour le jihad.
C'est intéressant dans le sens ou c'est sur ce genre de question que les fuqaha salafis se sont séparés des 4 écoles.
Avant la montée salafi anti-madhab, les fatawa se faisaient sur des fatawa précédentes de savants des écoles. Ainsi quand des avis étranges faisaient leur apparition, il était simple de les réfuter sur la base des fatawa bien établies.
Avec ces "salafis", on fait comme s'il y a une coupure dans l'histoire des musulmans. Comme si avant la montée salafie, il n'y avait rien. Alors que ces points ont été abordé en large et en travers par des milliers de savants anciens, ces salafis ont fait mine que ces réponses n'existaient pas et on demandait des fatawa contemporaines aux savants saoudiens.
Le jihad est une question de fiqh. L'avis majoritaire dans les 4 écoles est que le jihad sans wali al amr est valable, ça ne peut etre qu'au pire makrou.

Entre des milliers de savants traditionnels de tout temps et une poignée de sbires des Saouds, ya pas photos...
15 février 2014 18:55
Citation
AyseDeCharleroi a écrit:
Ils confondent allègrement le pouvoir des Saoud avec la vision des savants Salafis

J'ai ma petite idée sur ton changement à 360 degrés.

Pose toi la question suivante (ou pose la à ceux qui t'ont incité à changer):

En Egypte, il y a moins d'un an, un militaire laique (Sissi) a renversé un gouverneur musulman. Sissi est soutenu par Israel, les USA et les Saouds.
En principe, les savants salafis s'insurgent contre les coups d'Etat et ils utilisent l'appellation de khariji.

Qu'en est il de Sissi? Pourquoi les savants salafis n'ont pas condamnés ce qu'il a fait? Pourquoi lui qui a renversé le gouverneur n'a pas été qualifié de khariji?
Pire ils a accusé les partisans du gouverneur légitime de khawarij...

En toute objectivité, soit les lois islamiques changent selon les envies des Saouds, soit il y a une hypocrisie criante.
Et les hypocrites seront au plus profond de l"enfer.
15 février 2014 19:12
Assalam aleykoum

La confusion règne ici.

@Frère faqir, il me semblait que le frère as300 t'avait clarifié cette question entre les saouds et les vrais "Salafis"? Je vais essayé de retrouver cette mémorable discussion. Elle date de 2011.

J'aimerai savoir qui a incité la soeur AyseDeCharleroi à changer ?

Je reviens un peu plus tard inch Allah, j'ai une petite surprise.
15 février 2014 21:59
assalam alaikum

Citation
faqir a écrit:
et la preuve c'est que Ibn fawzân est membre du Conseil des Grands Savants et du Comité Permanent des Recherches Islamiques et de la Délivrance des Fatwas d'Arabie Saoudite

tu dit n'importe,
1-- etre parmi les comité permanent des savant n'est pas une preuve que les savant sont soumi a leur gouverneurs, c'est du n'importe quoi de la calomnie sans fondement.


Citation
faqir a écrit:
et puis dans cette même fatwâ, il déclare que le dit jihâd en Syrie devrait être sous la direction et l'autorisation du gouvernement saoudien

2-- la honte au menteur, pour etre juste avec toi je dirai que tu tes tromper.
en aucun moment cheikh al Fawzan a dit ce que tu viens mentionner, .... l'autorisation du gouvernement saoudien c'est de la falsification .

l'ignorant a un admirateur, un kharijit : l'association soufi et un khariji

Citation
Moh van Eyck a écrit:
C'est un des paradoxes de ces "salafis". Indépendamment de la question syrienne, on voit que le jihad n'est caractérisé seulement pour les besoins du régime saoudien.
On se souvient des fatawa incitant au jihad pour l'établissement du pouvoir saoudien en Arabie.
On se souvient d'une fatwa incitant au jihad des Irakiens contre Saddam comme par hasard une semaine aprsè la guerre lancée par les USA...
Bref, il n'y a de jihad que si le gouverneur saoudien le souhaite. En gros, leur salafs c'est les rois saoudiens...

le kharijit se lâche en croyant trouver un soutien et une faille dans la fatawa sur la Syrie, il se précipite sans vérifier si faqir s'est tromper ou il a menti.
c'est typique, kharijit , ils sont pret a se ralier avec n'importe qui, quelque sois la croyance, même les ultra soufi du moment qu'il s'oppose aux gouverneur islamique et les takfir et ils voie le jihad, c'est parfait pour eux.
regarder Said Qutb sa position anti-gouverneur a effacer a leur yeux l' autre face de sa croyance,
--Qu'est ce qui empêche les pros jihad d'aller chercher le martyr en Syrie , n'est ce pas un jihad conforme selon eux .
A
15 février 2014 22:19
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Je voudrais te signaler ma sœur que tu oublies que cette fatwâ de cheikh Ibn Fawzân n'est pas faite isolément du gouvernement saoudien, mais je dirais en parfaite collaboration avec lui, et la preuve c'est que Ibn fawzân est membre du Conseil des Grands Savants et du Comité Permanent des Recherches Islamiques et de la Délivrance des Fatwas d'Arabie Saoudite, et puis dans cette même fatwâ, il déclare que le dit jihâd en Syrie devrait être sous la direction et l'autorisation du gouvernement saoudien.

Toujours réfléchir 7 sec avant d' appuyer sur ENTER
15 février 2014 22:28
Citation
rosiles a écrit:
.

l'ignorant a un admirateur, un kharijit : l'association soufi et un khariji

Citation
Moh van Eyck a écrit:
C'est un des paradoxes de ces "salafis". Indépendamment de la question syrienne, on voit que le jihad n'est caractérisé seulement pour les besoins du régime saoudien.
On se souvient des fatawa incitant au jihad pour l'établissement du pouvoir saoudien en Arabie.
On se souvient d'une fatwa incitant au jihad des Irakiens contre Saddam comme par hasard une semaine aprsè la guerre lancée par les USA...
Bref, il n'y a de jihad que si le gouverneur saoudien le souhaite. En gros, leur salafs c'est les rois saoudiens...

le kharijit se lâche en croyant trouver un soutien et une faille dans la fatawa sur la Syrie, il se précipite sans vérifier si faqir s'est tromper ou il a menti.
c'est typique, kharijit , ils sont pret a se ralier avec n'importe qui, quelque sois la croyance, même les ultra soufi du moment qu'il s'oppose aux gouverneur islamique et les takfir et ils voie le jihad, c'est parfait pour eux.
regarder Said Qutb sa position anti-gouverneur a effacer a leur yeux l' autre face de sa croyance,
--Qu'est ce qui empêche les pros jihad d'aller chercher le martyr en Syrie , n'est ce pas un jihad conforme selon eux .

Complétement HS. J'ai bien dit "Indépendamment de la question syrienne"...
Qu'Allah te pardonne.

Pour les autres, j'aimerais bien avoir vos avis sur l'hypocrisie sur l'Egypte et la question de sortir sans wali al amr.
16 février 2014 03:20
Assalam aleykoum

Frère rosiles il y a aussi une autre spécificité des khawariijs, "l'ambiguïté".

La violence est l'une de leur caractéristiques

@frère faqir, je suis encore en train de chercher la discussion que tu as entretenu avec le frère as300. Je sais que ça date de 2011 ou peu être 2010. Il t'avait apporté des explications concluant concernant la différence entre les saouds et les savants salafis.
f
16 février 2014 12:11
Assalam alaikoum

Effectivement, cheikh Fawzân ne dit pas explicitement que le jihâd devrait être sous la direction du gouverneur saoudien, et là il semble que je n'avais pas bien fait attention à ceci, mais pour moi, et vu les circonstances de la fatwâ, les choses sont claires, et comme je l'avais dit dans mon autre intervention, le différend sur cette question est essentiellement d'ordre politique.
16 février 2014 13:50
Citation
Moh van Eyck a écrit:

Complétement HS. J'ai bien dit "Indépendamment de la question syrienne"...
Qu'Allah te pardonne.

Pour les autres, j'aimerais bien avoir vos avis sur l'hypocrisie sur l'Egypte et la question de sortir sans wali al amr.

assalam alaikum

que ce sois la Syrie ou pas, Les khawarij ont tjrs chercher entrainer la oumma dans le jihad aveugles, que ce sois contre les koufar ou les gouverneur musulmans.
--qu'avez vous gagner depuis que vous mener les jihad aveugle, dans les année 90, votre appel au jihad en Algerie a provoque des mort musulmans et des viols.
--- Certe les gouverneur ne sont pas parfait, mais, dela les combattre. ils sont musulmans , et que vous êtes incapable de prouver leur pseudo mécréance jusqu'a maintenant..

--- Nous n"avons pas d'avis, la politique nous la laissons aux concerner, affaire Morsi a bcp décourager les frère musulmans et leur ancien frère allier les khawarij. Les khawarij sont apparu en Égypte chez les asharite frere musulmans, fonder par Hassan Al Banna le soufi , Said Qutb l'icone a fait du dégât dans son appel diabolique contre les gouverneur jusqu' a nos jours.

quelque sois ce qui est caché derrière. le gouvernement Égyptien coup d'etat ou pas. L'islam n'autorise pas la rébellion contre celui qui est en place.

.(hamza de yabi: les asharite ont montrer la voie kharijite, fonder par Hassan al Banna, le soufi lis ton histoire)



Modifié 1 fois. Dernière modification le 17/02/14 11:49 par rosiles.
16 février 2014 14:12
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Effectivement, cheikh Fawzân ne dit pas explicitement que le jihâd devrait être sous la direction du gouverneur saoudien, et là il semble que je n'avais pas bien fait attention à ceci, mais pour moi, et vu les circonstances de la fatwâ, les choses sont claires, et comme je l'avais dit dans mon autre intervention, le différend sur cette question est essentiellement d'ordre politique.

assalam alaikum

Enfaite tu es plus dans la haine anti -salafi que dans la défense de l'islam, ils sont le seul qui barre le chemin de tes mouvement soufi et les ultras soufis: pour toi, ton avis on s’enfiche , parle nous de l'islam



Modifié 1 fois. Dernière modification le 17/02/14 11:51 par rosiles.
16 février 2014 14:22
Salam aleykoum

On comprend mieux les motivations de faqir. Barak allhou fik frère rosiles.

Allah Mousta'an
O
16 février 2014 15:07
Citation
Moh van Eyck a écrit:
Il y a un point intéressant évoqué dans la vidéo, c'est l'autorisation de l'émir pour le jihad.
C'est intéressant dans le sens ou c'est sur ce genre de question que les fuqaha salafis se sont séparés des 4 écoles.
Avant la montée salafi anti-madhab, les fatawa se faisaient sur des fatawa précédentes de savants des écoles. Ainsi quand des avis étranges faisaient leur apparition, il était simple de les réfuter sur la base des fatawa bien établies.
Avec ces "salafis", on fait comme s'il y a une coupure dans l'histoire des musulmans. Comme si avant la montée salafie, il n'y avait rien. Alors que ces points ont été abordé en large et en travers par des milliers de savants anciens, ces salafis ont fait mine que ces réponses n'existaient pas et on demandait des fatawa contemporaines aux savants saoudiens.
Le jihad est une question de fiqh. L'avis majoritaire dans les 4 écoles est que le jihad sans wali al amr est valable, ça ne peut etre qu'au pire makrou.

Entre des milliers de savants traditionnels de tout temps et une poignée de sbires des Saouds, ya pas photos...

Discussion entre Cheikh Al Albani et un partisan du jihad

La discussion commence avec le partisan du jihad...

Djihadi (partisan du Djihad) :

Nous n'avons aucun doute que vous êtes un des premiers savants dans ce siècle à appeler au retour à la compréhension des Salafs. Il n'y a aucun doute que la question du djihad est un sujet de désaccord parmi ceux qui suivent le manhadj des Salaf Salih. Sur le sujet du djihad, nous appelons les gens à combattre au djihad sous 2 conditions :

- la première est qu'il doit être accomplit avec une intention pure pour l'amour d'Allah.

- la seconde est qu'il doit être accomplit sous la bannière de l'Islam.

Cependant, nous entendons de la jeunesse musulmane fervente d'autres conditions qu'ils rapportent de vous que nous n'avons jamais entendu dans les ahadith (pluriel de hadith), de telles conditions sont la connaissance islamique (ou éducation et purification : Tasfiyah wa Tarbiya) et avoir un khilafa ou un état islamique.

Ces conditions, nous les entendons beaucoup parmi les frères qui suivent le Manhaj as-Salafi et je suis parmi ceux qui suivent le Manhadj insha Allah.

Ma question est : est-ce que ces conditions ont une référence dans la Sounnah ? Ou bien sont-elles seulement un ijtihad en tenant compte de la situation et/ou les conditions actuelles ? Et avant cela, appelez -vous vraiment à ces conditions ?

Cheikh Al-Albani :

Tout d'abord, nous avons accepté de discuter sur ce sujet avec vous pour découvrir le vrai caractère de votre Da'wa.

Djihadi :

Je vous en ai parlé.

Al-Albani :

Alors explique votre Da'wa. Tes questions sont prématurées, maintenant, je veux comprendre quel est le but de votre Da'wa.

Djihadi :

Ma Da'wa est claire : accomplir le djihad selon les conditions que j'ai cité.

L'intention, car le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a dit :

« Celui qui combat pour que la parole d'Allah soit la plus haute est fi Sabil Allah. »

Sous la bannière de l'Islam, car le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a dit :

« Celui qui combat pour le compte de 'asabiyah soutenant un groupe ou combattant un autre et meurt, sa mort sera une mort de l'époque du paganisme (Djahiliyah). »

Al-Albani :

D'accord. Avons-nous besoin d'un Amir pour faire le djihad ?

Djihadi :
Non.

Al-Albani :

Donc, nous faisons le djihad dans une grande pagaille désorganisée ?

Djihadi :

Non...mais

Al-Albani :

Aussi, votre première condition qui est l'intention pure. Cette condition concerne toutes les adorations donc, nous avons fini avec celle là. Votre seconde, sous la bannière islamique, est-ce que tu imagines un djihad sans Amir ? Comment pouvons-nous avoir une bannière islamique sans Amir pour cette bannière ?

Djihadi :

Nous pouvons faire le djihad de cette manière, comme si un musulman va chez un chef ennemi Kafir et le tue.

Al-Albani :

Mais nous parlions du djihad d'un groupe. Le djihad sous une bannière islamique est-il le djihad d'une personne ou la djihad d'un groupe ?

Aussi, un groupe de musulmans qui part pour le djihad, n'ont-ils pas besoin d'un Amir pour les mener ?

Djihadi :

Si, si bien sûr. Un groupe de musulmans qui voyage ou part pour le djihad a besoin d'un Amir. Et si un groupe de musulman de plus de 3 part pour le djihad, ils ont un besoin d'un Amir.


Al-Albani :
Alors pourquoi n'avez-vous pas mentionné ceci comme une condition ?

Djihadi :

Bien, bien, faisons-en une troisième condition.

Al-Albani :

D'accord. Pour le djihad Fard 'ayn, avons-nous besoin d'une djamaa ou peut-il être fait individuellement ?

Djihadi :

Soit l'un ou l'autre cas.

Al-Albani :

Ce n'est pas une réponse.

Djihadi :

Pourquoi cela ne l'est pas ?

Al-Albani :

Nous disons que le djihad est de deux types :

- Fard Kifayah, que seul un groupe de musulmans peut accomplir, et si un groupe l'accomplit, le reste des musulmans n'aura pas de compte à rendre dessus. Ce type de djihad individuel peut se faire tout seul.

-Fard'ayn que tous les musulmans doivent faire dans un lieu spécifique. Pour accomplir ce type de djihad, n'avons-nous pas besoin d'un Amir pour mener les musulmans ?

Djihadi :

Oui, nous avons besoin d'un Amir pour ce groupe, qu'il combatte ou qu'il ne combatte pas.

Al-Albani :

Bien, bien. Nous revenons au fait de dire Amir pour vouloir dire un Khalifa des musulmans.

Djihadi :

Non, pas un Khalifa.

Al-Albani :

Pourquoi ? Est-ce dangereux de dire Khalifa ?

Djihadi :

Oui bien sûr, car cela veut dire que nous voulons récolter le fruit avant que nous plantions les arbres.

Al-Albani :

C'est ce que je vous vois faire. Vous dites que vous voulez un Amir pour l'ensemble du groupe de musulmans pour mener le djihad et en même temps, vous ne voulez pas qu'il soit le khalifa ! Est-ce que c'est ce que vous voulez ?

Djihadi :

Bien, oui.

Al-Albani :

D'accord, alors où est cet Amir ? Et qui est cet Amir ? Et peut-on avoir plus d'un Amir ? Nous sommes maintenant sur la condition sur laquelle nous étions d'accord avant, qui est que nous avons besoin d'un Amir, et tu prétends que nous avons besoin d'un Amir pour mener ce djihad de groupe sans qu'il ne soit le Khalifa. Qu'avons nous d'abord, l'Amir ou le djihad ?

C'est comme demander si on prie avant al-Adhan ou après, lequel vient d'abord ?

[Après avoir polémiqué pendant un moment autour du sujet]

Djihadi :
D'accord, nous avons besoin d'un Amir pour le djihad Fard' ayn avant de commencer le djihad.

Cheikh Al-Albani :

Excellent. Alors, appelons-nous d'abord à avoir un Amir, ou appelons-nous au djihad d'abord.

Djihadi :

Hé bien, tous les deux en même temps.

Cheikh Al-Albani :

La hawla wa la qouwaata illa billah. Nous venons juste de convenir que nous avions besoin d'un Amir pour le djihad 'ayn avant que nous commencions le djihad. La question suivante est : appelons-nous d'abord à un Amir ou appelons-nous d'abord ou djihad ? Ce groupe, toute sorte de groupe a besoin d'un Amir. Pour appeler à ce type de djihad, nous avons besoin d'un Amir d'abord, l'Amir appellera les Moudjahidine et enverra certains ici et certains là-bas.

Al-Djihadi :

Bien, qu'en est-il si un groupe de musulmans lit dans le Coran ce qui a attrait au djihad et veut faire le djihad, donc ils se rassemblent pour le djihad et puis nomment un Amir sur eux.

Cheikh Al-Albani :

Ya Akhi, ce que tu es en train de décrire, est un cas de djihad Fard al-Kifayah. Pour le Fard al-Kifayah, c'est bon pour un petit groupe de se rassembler et d'aller faire le djihad. Pour le Fard al-'ayn, nous avons besoin de l'ensemble du groupe des musulmans. Comment pouvons-nous avoir l'ensemble du groupe de musulmans si nous n'avons pas un commandement unifié pour ce type de djihad ? Ce genre d'Amir, je n'ai vu aucun des Moudjahidine qui y appellent. Pourquoi n'appelez-vous pas à cet Amir ?

Djihadi :

D'accord. Alors laissez nous appeler à cet Amir.

Al-Albani :

Bien. Alors quelles sont les caractéristiques de cet Amir à ton avis ?

Djihadi :

[Cite quelques caractéristiques]

Cheikh Al-Albani :

Et vois-tu un Amir avec ces qualités ?

Djihadi :

Oui, beaucoup.

Cheikh Al-Albani :
Où ?

Djihadi :

Partout.

Cheikh Al-Albani :

Nous avons dit que nous avons besoin d'un Amir pour l'ensemble du groupe, c'est-à-dire pour tous les musulmans. Comment pouvons-nous avoir plus d'un Amir pour tous les musulmans ?

Djihadi :

...[polémiquant autour du sujet]

Cheikh Al-Albani :

Sais-tu ce que dit le hadith de Houdhayfa Ibn Yaman -Qu'Allah l'agrée- "fa in lam yakuun laho djamaa wa la iman" à ce sujet ? Mène-t-il à la conclusion que ce djihad nécessite un Khalifa, ou à autre chose ?

[hadith rapporté dans Al-Boukhari, Kitab al-manaqib, hadith n° 3338. Le hadith dit :

« Les gens questionnaient le Messager d'Allah -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- à propos du bien, alors que moi je le questionnais à propos du mal, par crainte qu'il ne m'atteigne. J'ai demandé : « Ô Messager d'Allah ! Nous étions dans une époque de paganisme (al djâhiliya), puis Allah nous a fait don de ce bien (l'Islam). Y aura-t-il après ce bien un [autre] mal ? » Il me répondit : « Oui. » Je lui demanda : « Est-ce qu'après cet autre mal, le bien reviendra ? » Il dit : « Oui, mais il y aura en ce bien des impuretés... » Je lui demanda : « Qu'est ce que ces impuretés ? » Il dit : « Des gens qui ne guideront pas dans la voie dans laquelle j'ai guidé. Tu y reconnaîtras des choses [conformes à la loi d'Allah] et tu en ignoreras d'autres. » Je lui demanda : « Et après ce bien, y aura-t-il un mal ? » Il dit : « Oui, il y aura des prêcheurs qui appeleront vers les portes de l'enfer. Celui qui leur répondra, ils le précipiteront en enfer. » Je lui demanda : « Ô Messager d'Allah ! Décris-les nous ! » Il dit : « Ils sont de notre souche, ils parlent notre langue ! » Je lui demanda : « Que devrais-je faire si j'assiste à cela ? Le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- dit : « Reste avec le groupe des musulmans et leur dirigeant. » Je lui demanda : « Et s'ils n'ont pas de dirigeant (Imam) ? » Il dit : « S'ils n'ont pas de dirigeant, éloigne-toi de tous ces groupes, même s'il te faut mordre à la racine d'un arbre jusqu'à ce que la mort te saisisse. »

Djihadi :

Quel est le rapport entre ce hadith et notre discussion ?

Cheikh Al-Albani :

Houdhayfah -Qu'Allah l'agrée- n'a-t-il pas interrogé le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- sur ce qu'il faut faire quand il y a des prêcheurs aux portes de l'enfer ? Le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a répondu qu'il doit rester avec l'imam de la djamaa, s'il n'y a pas d'imam, alors il doit s'écarter de toutes les djamaa. Est-ce que ces conditions s'appliquent aujourd'hui ? N'avons-nous pas des gens prétendant être musulmans alors qu'ils sont des prêcheurs au feu de l'Enfer ? Le Khilafa n'est-il pas absent ?

Djihadi :

Je préfère discuter sur d'autres hadiths comme :

« Un groupe (Ta-ifat) de ma communauté (Oumma) sera toujours assisté par la victoire, sans se soucier de ceux qui lui nuisent jusqu'à la dernière heure »

Cheikh Al-Albani :

Qu'est-ce cela à avoir avec notre discussion ? Nous ne sommes pas en désaccord au sujet d'appeler au djihad. Nous sommes d'accord sur le fait que le djihad est une obligation aujourd'hui. Ce sur quoi nous sommes en désaccord est de savoir si nous avons besoin d'avoir un Khalifa d'abord ou non. Ce que tu as cité n'ajoute rien à la discussion. Nous sommes tous les deux d'accord sur le fait que le djihad est une obligation. Est-ce que tu comprends ? Ce sur quoi nous sommes en désaccord est de savoir si on a besoin d'un Khalifa pour commencer ce djihad.

Djihadi :

D'accord.

Cheikh Al-Albani :

Note bien que le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a conseillé Houdhayfa -Qu'Allah l'agrée- de s'accrocher à l'imam des musulmans et à leur groupe principal. Tu as que toutes les conditions dans ce hadith sont vraies aujourd'hui.

Djihadi :

C'est vrai.

Cheikh Al-Albani :

Et le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a dit que si les musulmans n'ont pas d'imam ou de djamaa, il fallait laisser tous les groupes. Ainsi, que faites-vous maintenant ?

Djihadi :

Bien, nous essayons de rechercher le groupe des musulmans et de lui trouver un imam.

Cheikh Al-Albani :

C'est ce à quoi nous appelons ! Le djihad est obligatoire, mais pour le moment, ce n'est pas le temps pour cela. Nous avons besoin d'abord de l'imam et c'est ce que le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- t'a ordonné de suivre, ainsi que de t'y (à l'imam) accrocher avec son groupe.

Djihadi :

Comment savons-nous que nous ne pouvons pas faire le djihad jusqu'à ce que nous ayons ce Khalifa qui est en effet nécessaire ?

Cheikh Al-Albani :

Le hadith dit que si les musulmans n'ont pas de chef unique, alors il faut laisser tous les groupes. Et nous avons déjà dit que le djihad Fard 'ayn doit être accompli avec la djamaa menée par un chef pour tous les musulmans, un Amir. Si les musulmans n'ont pas de leader, ils doivent rester loin de tous les groupes. Comment peuvent-ils accomplir le djihad de groupe s'ils doivent rester en même temps loin de tous les groupes ? Tu contredis ce sur quoi tu es d'accord. Islamiquement, nous avons seulement une bannière, un groupe et un chef. Nous avons besoin de ce groupe unique pour commencer le djihad Fard 'ayn.

Djihadi :
...

Cheikh Al-Albani :

Maintenant, ce que je veux faire, c'est te prouver que cet Amir du djihad Fard 'ayn doit être un Khalifa, pas seulement un Amir. Le dallil est encore le hadith de Houdhayfa -Qu'Allah l'agrée-. Parfois, comme tu le sais, la preuve est claire et d'autre fois pas vraiment (qat'i al-dilalah, ou thahiri al-dilalah).

Prenons l'exemple d'un Cheikh conseillant son étudiant sur les directives du hadith. L'étudiant demande à son Cheikh que faire pour éviter le mal. Le Cheikh lui dit de s'accrocher à l'imam des Musulmans. L'étudiant répond que les musulmans n'ont pas de Khalifa. Le Cheikh lui conseille donc de rester loin de tous les groupes. Cet étudiant est obéissant à son Cheikh et ce Cheikh suit son Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-. Qu'est-ce que cet étudiant ferait ? Il irait vivre sa vie dans une vallée s'occupant de ses moutons ou quelque chose de ce genre, adorant Allah. Où est le djihad ? Si c'était une obligation pour ce musulman de combattre, alors le Cheikh lui aurait dit de se battre, et non pas de rester loin de tous les groupes. Y a-t-il un djihad ici ? Aussi longtemps qu'il n'y a pas d'imam, alors il n'y pas de djihad. Cette preuve est Qat'i al-Dilalah. Djihad doit être sous le commandement d'un imam, ou Khalifa. Mais laisse moi te parler à propos de quelque chose qui pose des problèmes à plusieurs étudiants en science religieuse. C'est qu'il y a plusieurs groupes qui combattent comme les afghans ou ceux en Syrie il y a 10 ans ou plus. Ces gens, s'ils veulent combattre, ils doivent être sous le commandement d'un Amir. Cela ne veut pas dire que les Syriens combattent en Afghanistan et les Afghans en Syrie, non. Cela veut dire que ces deux groupes de combat doivent être sous le commandement d'un imam et un Khalifa. S'il n'y a pas imam unique et une seule djamaa (pas dans le sens de deux groupes combattant, mais dans le sens d'un groupe avec un commandement unifié, mais qui peut être composé de plus d'un groupe de combattant qui combat chacun dans une partie du monde Islamique), les deux groupes opèreraient tout seul.

Pour faire ce djihad Fard 'ayn, l'obligation des musulmans est l'unité, l'unité nécessite un Khalifa. Pour établir cette chose, nous devons commencer par l'éducation et la purification (Tasfiyah wa Tarbiyah). Nous ne pouvons pas commencer le djihad tout de suite.

Tu dis qu'il y a beaucoup de groupes pour le djihad, pourtant tous ces groupes sont en désaccord et comme Allah dit dans le Coran :

وَلاَ تَنَازَعُواْ فَتَفْشَلُواْ وَتَذْهَبَ رِيحُكُمْ

-traduction relative et approchée-

« ...et ne vous disputez pas, sinon vous fléchirez et perdrez vos forces.. »

Nous sommes aujourd'hui beaucoup comme le cours d'une rivière. Ce que tu veux faire, c'est donner une légitimité à ces groupes ghutta' (littéralement, cela signifie l'écume, mais le sens ici, c'est qu'il y a de nombreux groupes, mais dans lesquels il n'y a aucun bénéfice).

Djihadi :

D'accord. Alors comment cette éducation et purification (Tasbiyah et Tarbiyah) mène au Khalifa ?

Cheikh Al-Albani :

L'histoire se répète elle-même. Tout le monde prétend que le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- est leur modèle. Notre Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-, a passé la première moitié de son message à faire Da'wa. Et il a commencé avec cela, pas avec le djihad. Le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a d'abord éduqué ses compagnons sur une éducation Islamique comme le fait de dire la parole de vérité et de ne pas en avoir peur. Il leur a également enseigné les enseignements Islamiques. Nous savons que notre Islam aujourd'hui n'est pas comme il était quand Allah a révélé :

الْيَوْمَ أَكْمَلْتُ لَكُمْ دِينَكُمْ

-traduction relative et approchée-

« Aujourd'hui, J'ai parachevé pour vous votre religion... »

Beaucoup de choses ont été en effet ajoutées à l'Islam, es-tu d'accord ?

Djihadi :

Oui, je suis entièrement d'accord. Mais il y a beaucoup de preuves dans le Coran qui montrent que le djihad est une obligation importante.

Cheikh Al-Albani :

Je ne nie pas cela. Mais, ya akhi, la question est « Par où commençons-nous ? » Ma da'wa est : pour accomplir ce djihad, nous avons besoin d'un Amir. Pour avoir cet Amir, nous devons travailler sur la Tasfiyah et la Tarbiyah. Réfléchis à cela en toi-même, en considérant le hadith de Houdhayfa, de quoi avons-nous d'abord besoin : du djihad ou de l'Amir ?

Djihadi :

Est-ce que quelqu'un auparavant a appelé à la Tasbiyah et à la Tarbiyah avant le djihad ?

Cheikh Al-Albani :

Qu'Allah te fasse miséricorde. Dis-moi quand est-ce que les musulmans n'ont pas eu un Khilafa unifié ?

Djihadi :

Qu'en est-il de la période de Ali -Qu'Allah l'agrée- et Mou'awiyah -Qu'Allah l'agrée- ?

Cheikh Al-Albani :

Tu veux dire que tu as un doute que Ali -Qu'Allah l'agrée- a raison et que Mou'awiyah -Qu'Allah l'agrée- avait tort ?

Djihadi :

Non... Mais...

Cheikh Al-Albani :

Pas de « Mais ». Combien de Khoulafa y avaient-ils ?

[après un moment de discussion]

Djihadi :
D'accord, d'accord, un.

Un auditeur :

Pour être franc mon Cheikh, cette discussion n'aboutie à rien : si quelqu'un n'a pas une intention et une pensée pure, il ne comprendra jamais.

Cheikh Al-Albani :

C'est en effet un bon conseil. Nous vivons dans une époque où un des comportements fatals s'est répandu, qui est que chacun aime sa propre opinion. Aujourd'hui, chaque personne qui lit un peu de Coran ou apprend un peu de Ahkam (règles) et Ahadith, pense qu'il est quelque chose dans la science, bien qu'il ne puisse lire les ahadith sans erreurs, et ensuite il veut discuter tout ce qu'il voit...

Djihadi :

[essaie d'interrompre]

Cheikh Al-Albani :

Le temps de la discussion est fini. Je vais prendre le conseil du frère. Mon conseil aux étudiants en religion est de ne pas commencer à prêcher les gens à quelque chose qui pourrait les mener à un grand égarement (Dalal).

Il devrait vérifier avec les gens de science avant d'arriver à des conclusions. C'est un des désastres de la jeunesse musulmane aujourd'hui : d'adopter rapidement des opinions sans regarder dans les opinions des Salafs et Khalaf concernant ces sujets. Je conseille aux musulmans de rechercher ceci, spécialement dans les sujets concernant le groupe comme le djihad. Le djihad est, sans aucun doute, la fierté de l'Islam et une des bases de l'Islam. Et les versets et les ahadith concernant cela sont connus par tous insha Allah.

Mais ce djihad a ses conditions et introductions. Parmi ses conditions de base, il y a le fait que le groupe qui l'accomplit doit être d'accord pour retourner au Coran et à la Sounnah dans ses règles (Ahkam). Ceci, en vérité, nécessite beaucoup de temps d'éducation, de purification de la part des savants et prêcheurs. Comme le Prophète-Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a éduqué ses compagnons.

Nous notons que les Moudjahidiyn appellent tous les musulmans quelqu'il soit à les rejoindre au combat, et quand ils vont combattre, ils trouvent des désaccords parmi eux dans les sujets de foi et des fondements de l'Islam. Comment ces gens peuvent-ils être prêt à aller au djihad alors qu'ils doivent encore comprendre ce qui leur est obligatoire dans la 'Aquida ?! Ceci, mon frère, nous amène à comprendre que le djihad n'est pas à discuter, mais nous devons discuter de ses introductions. La première introduction est, comme nous l'avons attesté avant, le Khalifa. Car si les Amirs existent aujourd'hui et l'obligation dont j'ai parlé (compréhension commune de l'Islam) n'existe pas entre eux, alors ils se retourneront les uns envers les autres et se combattront. Ils doivent tous être sur un Manhadj et une compréhension. Je conseille donc chaque musulman de travailler avec le hadith de Ibn al-yaman (Houdhayfa) -Qu'Allah l'agrée-, de s'écarter de tous les groupes et de rester tout seul. Et cela ne veut pas dire de vivre isoler, non, cela veut dire ne pas rejoindre l'un ou l'autre groupe. Tu peux faire toi-même, et tous les musulmans, du bien avec ta connaissance. Ceci est un rappel et le rappel profite aux croyants.


Article tiré du site salafipublications


Cheikh Mouhammad Nacer-dine Al-Albany - الشيخ محمد ناصر الدين الألبان
f
16 février 2014 15:16
Assalam alaikoum

Ah, donc tu comprends mieux mes motivations, et ce rosiles que tu remercies, qui parle d'anti-salafi, lui-même n'est-il pas un anti-soufi extrémiste.
La question pour moi ici n'est pas une question d'anti-salafi, mais, et comme j'en ai fait allusion, de politique, prenant une apparence religieuse, et surtout d'une pensée, dont on voit, indépendamment des ces considérations politiques, les conséquences catastrophiques sur la Oumma.
16 février 2014 15:21
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Ah, donc tu comprends mieux mes motivations, et ce rosiles que tu remercies, qui parle d'anti-salafi, lui-même n'est-il pas un anti-soufi extrémiste.
La question pour moi ici n'est pas une question d'anti-salafi, mais, et comme j'en ai fait allusion, de politique, prenant une apparence religieuse, et surtout d'une pensée, dont on voit, indépendamment des ces considérations politiques, les conséquences catastrophiques sur la Oumma.



Salam


Faqir la oumma n a jamais existé c est une illusion se qui se passe en Syrie ou même en Libye c est de la politique et non au nom de la religion qui soit dit en passant et une apparence et rien d autre les gens se déguisent en croyant alors qu ils se battent que pour le pouvoir un jour mon ami la vérité éclateras et là sa fera mal pour les musulmans
[color=#99FF66]Sur la scène du monde, la franchise est le seul rôle qu'on sache sans avoir besoin de l'apprendre et sans craindre de l'oublier.[/color]
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