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sego pleurniche :-)
h
15 juin 2012 22:27
Je demande le respect par rapport à une mère de famille dont les enfants entendent ce qui se dit... », a ajouté l’ancienne candidate à la présidentielle.
Dans un entretien jeudi à Libération, elle explique à nouveau : « face à la violence du coup, je n’ai pas voulu réagir à chaud, car je mène un combat politique difficile et je me dois de tenir bon ». « En tant que femme politique, je demande à être respectée tout comme doit être respecté le soutien politique que m’apporte le président de la République en tant qu’unique candidate de la majorité présidentielle », ajoute-t-elle dans le quotidien.

[www.lavoixdunord.fr]


Cette «trahison» est «intolérable», insiste Ségolène Royal. « C’est accepter de faire perdre une candidate de gauche avec les voix de la droite et de l’extrême droite », explicite la présidente de la région Poitou-Charentes, en relevant que, selon ce sondage, Olivier Falorni « récupère 83% des voix de Nicolas Sarkozy et 55% des voix de Marine Le Pen » à la dernière présidentielle. Pour Mme Royal, le socialiste dissident « n’est pas l’homme de la majorité présidentielle, mais bien l’instrument du "tout sauf Ségolène" ». Il bénéficie aussi, affirme-t-elle, « de certaines vieilles complicités d’appareil » parmi les « revanchards qui n’ont jamais accepté qu’une femme assume un destin politique au plus haut niveau ».

« Beaucoup d’électeurs de gauche, je l’espère, ne voudront pas participer à cette opération de déshonneur politique », déclare encore la candidate, pour qui un vote des militants socialistes entre les candidats à la candidature dans cette circonscription (La Rochelle et l’île de Ré) « aurait divisé les socialistes locaux ».
assalam o alykoum
h
15 juin 2012 22:40
la politique a la française me fait trop marrer ... surtout avec les deux nanas (sego et morano)

on est pas tres loin de la politique du " tiers monde" ... vraiment ridicule ..

Citation
a écrit:
Le duel de la 1ère circonscription de Charente-Maritime était déjà très tendu, il se joue désormais à couteaux tirés. Trois jours après «l'affaire du tweet» de soutien de Valérie Trierweiler à Olivier Falorni, Ségolène Royal accuse l'équipe de son adversaire d'avoir collé une affiche de campagne stipulant «Ici c'est Falorni» sur la porte de son domicile.



Alors que la candidate PS a porté plainte, son rival ironise sur un «Watergate de l'affichette» et dénonce une stratégie de «victimitude».

Au lendemain de la découverte de l'affiche placardée sur la porte de son appartement de La Rochelle, Ségolène Royal s'est insurgée contre des «méthodes de voyou». «Ce sont des méthodes qui ne sont pas acceptables (...). On voit que mon adversaire est prêt à tout pour gagner à n'importe quelle condition. Il va chercher des voix de droite et d'extrême droite, et maintenant il est prêt à tous les gestes, même agressifs», a fustigé vendredi matin l'ex candidate à l'Elysée. «C'est une intrusion intolérable sur un domicile privé, c'est une menace (...) Tous les habitants et riverains étaient très choqués», a-t-elle poursuivi.

Falorni dénonce la stratégie de la «victimitude»

Dans la journée, Ségolène Royal a porté plainte au commissariat de La Rochelle pour «pose d'une affiche menaçante». La veille, des policiers de la police scientifique, s'étaient déplacés chez elle pour opérer des relevés. La porte de l'appartement voisin avait aussi reçu des éclaboussures de sauce tomate. Selon la candidate, le parquet pourrait donner à cette plainte la qualification de «violences volontaires». Interrogée sur l'éventualité que ce soit «une mauvaise blague», elle a rétorqué : «C'est ce que l'enquête démontrera.»


Son rival Olivier Falorni a balayé ces accusations en ironisant. «Au réveil, j'ai appris qu'il y avait un nouveau watergate à La Rochelle, le watergate de l'affichette. Elle avait retrouvé une affichette scotchée sur sa porte. Et puis maintenant, on nous parle, je crois, de cambriolage, d'agression. Dans quelques heures, je vous l'annonce, Mme Royal va sûrement déclarer que je suis le cambrioleur, je crois que tout cela doit cesser», a-t-il dit à la presse.

Le candidat, ex-premier fédéral du PS en Charente-Maritime et maire adjoint de La Rochelle chargé des finances, appelle à relever le niveau du débat public. «J'ai envie que cesse non seulement la stratégie de l'insulte, mais je voudrais aussi que cesse désormais la stratégie de la victimisation, ou pour être plus précis dans les mots, de la victimitude», a-t-il ajouté en allusion au fameux néologisme de la «bravitude» utilisé en Chine en 2007 par l'ex candidate à l'Elysée .
assalam o alykoum
h
17 juin 2012 21:27
’est une douche froide pour Ségolène Royal. L’ancienne candidate à la présidentielle a reconnu sa défaite dans le duel fratricide qui l'opposait à Olivier Falorni dans la 1ère circonscription de la Charente-Maritime. D'après les premier résultats, Olivier Falorni aurait obtenu 58% des voix contre 42% pour Ségolène Royal.

Elle s'est exprimée un peu avant 20 heures en compagnie de Maxime Bono, le maire de La Rochelle. Après avoir remercié ses électeurs, Ségolène Royal a déclaré:

«Le candidat qui vient d'être élu l'a été avec le soutient de l'UMP (...) ce soir c'est un député de droite qui a été élu. Je garde intacte ma volonté de servir notre territoire. (...) J'ai mené une campagne difficile, mais droite et loyale avec le sens de l'honneur et de l'engagement. (...) Je suis animée passionnément par l'amour de la France et le bien-être des Français.»

Quelques minutes plus tard, c'est Olivier Falorni qui s'exprimait sur France 2. Il a ainsi déclaré:

«C'est la victoire de la démocratie, on avait voulu imposer un député, ça ne s'est pas fait de manière très claire et j'en suis heureux.»

Sur la tournure qu'avait pris la campagne ces derniers jours, quand Ségolène Royal parlait de trahison, il joue l'apaisement:

«Je crois que quand les électeurs ont parlé, quand le suffrage c'est exprimé, il faut retrouver un peu de diginité dans le débat. Je comprends sa déception et je souhaite que l'on retrouve des paroles apaisées, cela salit la politique.»

Présente sur le plateau de France 2, Martine Aubry a réaffirmé que Olivier Falorni ne pourrait pas rentrer dans le groupe socialiste de l'Assemblée nationale. Le nouveau député a répondu qu'il «défendrait la politique de François Hollande.»

Cette défaite est une grosse déception pour celle qui visait le perchoir de l’Assemblée Nationale. Ségolène Royal s’était rabattue sur La Rochelle, une circonscription acquise à la gauche, après sa défaite lors des primaires socialistes en octobre 2011. Elle n’avait pas souhaité se représenter dans son ancienne circonscription, désormais celle son ancienne porte-parole Delphine Batho. Il reste donc la région Poitou-Charente pour Ségolène Royal, puisqu'elle en est la présidente.

Le nouveau député, Olivier Falorni, est le président de la section locale du PS et un proche de François Hollande. Les voix de la droite semble avoir en effet compté dans son élection. Dominique Bussereau avait notamment appelé à voter pour lui la semaine dernière.
assalam o alykoum
X
17 juin 2012 23:17
Moi elle mefait un peu pitié. Le pire, c'est qu'elle ne se décourage pas. Elle veut se présenter aux élections pour désigner le chef du PS.
h
18 juin 2012 14:29
elle joue souvent la carte de "victime" , un politique doit savoir prendre des coups et les recevoir, on sait qu'elle est maman et femme, ca n'empeche pas de rester fort , ...

ce qu'elle l'interesse c'est le poste et non pas les francais. ...

assalam o alykoum
 
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