Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Scandale porno d’Agadir!!!
t
21 juin 2005 17:27
tout le monde mnt et au courant du grand scandale porno d'agadir, c'est domage que ça se passe chez nous au maroc, je voudrais savoir ce que vous en penser.
et y a quoi comme nouvauté dans l'affaire
merciiiismiling smiley
C
21 juin 2005 17:35
c'est un scandale de plus :-)
g
21 juin 2005 18:02
on n'arrête pas de parler de ce sujet, fais une visite sur tout le forum et tu verras....

a
21 juin 2005 18:08
le journal monde qui sort cet apres et daté de demain en fait un grand article tte la plante est au courant maintenant desormais on parlera plus du petit phillipin ou thaillandais (e) mais du petit marocain(e)
a
21 juin 2005 18:08
le journal le monde je voulais dire
I
21 juin 2005 18:16
le journal immonde?
t
21 juin 2005 18:50

salam

En lisant le monde tt à l'heure j'étais choqué de voir ça.


De Marrakech à Agadir, le tourisme sexuel se développe au Maroc



De Marrakech à Agadir, le tourisme sexuel se développe au Maroc
LE MONDE | 21.06.05 | 13h29 • Mis à jour le 21.06.05 | 13h55
MARRAKECH de notre envoyé spécial


une journaliste marocaine qui voulait enquêter sur le sujet, la police a conseillé de changer de sujet. La réputation de Marrakech était en jeu. La réputation de la ville risquait d'être éclaboussée par une affaire de pédophilie embarrassante. Le silence l'a donc emporté. Hormis quelques lignes dans de rares journaux, la presse s'est tue.


Pourtant, un homme est mort, probablement assassiné au mois de mai, deux autres sont sous les verrous, et des dizaines d'adolescents victimes de sévices sexuels ont été placés dans des établissements spécialisés.

Tout a commencé par une dénonciation à la police. Un jeune homme d'une vingtaine d'années, Imad Aït Bich, est venu raconter à la mi-mars comment un Français, Hervé L. G., agent immobilier installé à Marrakech depuis plusieurs années, attirait à son domicile des enfants d'une quinzaine d'années à qui il faisait jouer des scènes érotiques devant une caméra. C'est un certain Moustapha qui jouait les rabatteurs. Pour attirer les adolescents, tous issus du même quartier populaire, il leur offrait de menus cadeaux, un peu d'argent ou quelques friandises. Une fois gagnée leur confiance, il les amenait au domicile d'Hervé.

En avril, pendant près de deux semaines, des policiers ont surveillé le domicile du Français. Ils ont recueilli les premiers témoignages, puis sont intervenus, en flagrant délit : un garçon est chez Hervé et la caméra tourne.

La police saisit à son domicile des dizaines de milliers de photos et de courts films enregistrés sur un ordinateur. On y voit la cinquantaine d'enfants recrutés à Marrakech, mais pas seulement. A la grande surprise des enquêteurs, les séquences mettent aussi en scène des adolescents d'origine asiatique et africaine. D'où viennent les images ? L'enquête n'a pas encore permis de l'établir.

La justice a été aussi rapide que clémente à l'encontre du Français, condamné à quatre ans de prison tandis que son complice écopait de deux ans. "Ce n'est pas cher payé" , convient un enquêteur. Il est vrai qu'Hervé ­ qui a fait appel de la décision ­ a reconnu les faits tout en affirmant qu'il agissait seul, qu'il n'appartenait à aucun réseau organisé et que ses photos ne circulaient pas sur Internet.

Est-ce vrai ? Un témoignage le contredit. Celui d'Imad, un jeune homme de 23 ans qui a alerté la police et fourni les coordonnées des victimes. Pour reprendre l'expression d'un policier, Imad, fines lunettes et regard intelligent, était "un homme de la nuit" . Il avait fait de la prison pour escroquerie. Il connaissait bien le Français et son associé. En même temps qu'il se tournait vers la police, Imad avait contacté Le Monde et fourni par écrit des renseignements détaillés. A l'en croire, Hervé était le chef d'un réseau de pédophilie auquel appartenaient des personnalités locales et des Européens installés à Marrakech. Il avait établi une liste de neuf noms.

Que vaut son témoignage ? On ne le saura jamais. Le dimanche 22 mai, au terme d'une course poursuite dans la médina, Imad, talonné par quatre hommes qui le surveillaient, a été retrouvé pendu dans un hangar désaffecté. Pendu ou étranglé ? Un mois après le drame, la police n'a toujours pas transmis les conclusions de l'autopsie à son père, un enseignant. "Il y a eu une chasse à l'homme et mon fils a été poussé au suicide" , clame Aziz. "Imad a sans doute payé parce qu'il nous avait mis sur l'affaire de pédophilie" , ajoute un policier de Marrakech sous le couvert de l'anonymat.


DES DIZAINES D'ENFANTS


D'Imad, son père a conservé le journal qu'il tenait en prison un an auparavant. A la date du 20 septembre 2004, Imad écrivait : "J'ai rien fait de beau (...) et je me retrouve avec un tas de problèmes sur le dos mais, inch Allah, je vais tâcher de mettre au point un programme strict pour sauver ma vie."

Pour exceptionnelle que soit l'affaire, le détournement de dizaines de mineurs par un étranger n'étonne pas vraiment les habitants de Marrakech. Le tourisme sexuel se développe rapidement dans la ville ocre.

Le tsunami de 2004 en Asie n'a fait qu'accélérer le phénomène : Marrakech a vu débarquer des habitués de la Thaïlande. "La police surveille les riads dans la vieille ville, mais elle ignore ce qui se passe dans les villas de la palmeraie louées une fortune" , lance une Française, Michèle, qui travaille dans une agence immobilière, très exigeante sur la qualité des locataires, insiste-t-elle. Les responsables municipaux sont conscients du phénomène. Le maire de la ville, Omar Jazouli, affirmait ainsi début mai : "Nous ne voulons pas que la ville devienne un rendez-vous de la débauche (...), qu'elle soit étiquetée comme une plaque tournante de la dépravation."

Le tourisme sexuel n'est pas l'apanage de Marrakech. Une autre affaire, de bien moindre ampleur puisqu'elle implique des femmes adultes, a éclaté ces dernières semaines à Agadir. Tout est parti de cédéroms de photos pornographiques vendus dans des boutiques de la cité balnéaire. Les dizaines de filles qui posaient étaient des habitantes d'Agadir. Elles ont déclaré à la police avoir été abusées par un Belge familier de la ville, qui leur promettait mariage et vie meilleure en Europe.

Diffusées sur un site Internet, les photos, prises entre 2001 et 2004, ont été récupérées par des tiers avant d'être vendues sous le manteau. Le code pénal marocain réprimant la pornographie, même à caractère privé, douze femmes ont d'ores et déjà été condamnées à des peines de prison (jusqu'à un an). D'autres sont en fuite. D'autres encore attendent d'être fixées sur leur sort.



t
21 juin 2005 22:16
voila ce que j'ai trouvé sur internet ça fait mal de lire ça surtout que ça parle des marocaines

(NB:Certaines scènes décrites dans cet article pourraient choquer les plus jeunes lecteurs.)

==> Tout commence début 2004, quand un nouveau venu fait un tabac sur un forum de pornographes internationaux, régulé à partir des états-Unis. Il se présente sous le pseudonyme "Belguel" et se fait passer pour le nouveau "serial f***er" (b***eur en série) vedette du site. Belguel, dont le pseudo est un compromis entre "Belge" et "belle gueule" arrose le site de photos pornos prises à Agadir, mettant en scène de jeunes Marocaines. Comme bonus accompagnant les photos, Belguel livre ses commentaires personnels, des informations sur les filles mises en scène, et des conseils aux autres membres de la communauté pornographe. Dès ses premières livraisons, le succès est foudroyant. Belguel a une préférence pour les femmes voilées. Il commente : "Encore une (voilée), je l'ai chopée dans la rue alors qu'elle revenait du souk. Elle n'est pas vraiment belle mais, éjaculer sur le visage d'une femme voilée m'explose littéralement. C'est plus fort que le haschich!". "Belguel, tu es un homme, un vrai, réplique un membre de la communauté. Envoie-nous d'autres photos de la fille voilée". Le "héros" de la communauté diversifie ses prises, toujours avec force commentaires : "Elle est grosse, innocente, 19 ans à peine, je l'ai draguée près d'une mosquée pour l’enc**** une heure plus tard. Elle est vierge, et elle m'écrit toujours. Je n'ai pas eu besoin de payer pour l'avoir, quelques jolies phrases ont suffi…". Belguel a mis la main à la poche pour avoir d'autres filles : "Je lui donné 140 DH, prix du taxi compris".
Les commentaires sont encore plus trash et choquants que les photos elles-mêmes, un mélange entre humour salace et érudition ethno-socio-sexuelle. échantillon : "Regardez bien la fille, son visage est maculé par deux liquides (sperme et urine). Elle n'a pas vraiment aimé, mais elle m'a dit qu'elle était prête à apprendre toute nouveauté venant de l'Occident (…) Elle est toujours vierge, mais son visage ne l'est plus (…) Elle a accepté que je la ficelle comme une saucisse (mais pas de porc, évidemment) (…) Elle m'a dit que j'avais une heure tout juste pour la b*****, parce qu'elle devait rentrer pour préparer à manger à son père (…) J'ai obtenu d'elle que je puisse l’enc**** pendant qu'elle portait toujours sa djellaba (…) Elle ne savait pas que je venais de b*****, à peine trois heures auparavant, sa sœur (…) Ses yeux étaient rouges à cause de mon sperme (qui devait être corrosif, après trois jours d'abstinence forcée) et elle paniquait à l'idée d'expliquer cette soudaine sensibilité conjonctivale à son père (…) Je suis confronté à une décision difficile : laquelle, des deux, enc**** en premier ? Regardez bien les photos et avouez qu'il y a des décisions plus faciles à prendre dans la vie (…) Elle ressemblait à un triple-mac, mais elle était bonne à b***** (…) Elle rêvait de devenir actrice, eh bien avec moi elle est en passe de devenir une actrice (porno) (…) Elle m'appelait continuellement Monsieur, dans son français très approximatif (…) Elle a appris que son c** pouvait servir à autre chose qu'à déféquer, contrairement à ce que lui assurait sa maman (…) Comme une bonne actrice, elle a accepté les conseils de son metteur en scène, son urine aussi (…) Les Marocaines qui n'ont jamais été en Europe sont convaincues que b***** sera leur passerelle vers l'Europe (…) Elle marchait dans la rue, avec voile et djellaba. Quelques minutes plus tard, elle était en train de n***** en face de moi. Le miracle est possible, même dans un pays musulman !"
Belguel raconte comment il a eu accès à tant de filles (dans la rue, au bord de la plage, en revenant du hammam ou du souk, en route vers l'école ou l'université, dans un célèbre fast-food d'Agadir, parfois, mais plus rarement via le chat sur le net). "Je me fais en moyenne une quarantaine de filles par séjour à Agadir, mon rythme optimal est d'en b***** 3 à 4 par jour". Son secret ? "Draguer dans la rue : vous en abordez une vingtaine, de préférence en français, vous êtes sûrs d'en récolter au moins trois au final". Il explique sa préférence pour les filles "normales" aux dépens des prostituées, et en fait une recommandation à la communauté : "à Agadir, j'ai couché aussi avec des p****, mais elles coûtent plus cher (500 DH ou plus), et elles refusent d'embrasser, de se laisser enc****, toujours pressées d'en finir, etc. Et puis passer mon temps à boire de la bière dans une discothèque est une perte de temps pour moi. Voilà pourquoi j'ai préféré jeter mon dévolu à priori sur les autres. Des filles qui marchent dans la rue, des filles à papa et à maman, qui rentrent au plus tard à 19h à la maison, ce sont elles qui me procurent le plus de plaisir…". Il recommande aussi aux pornographes de "demander conseil à un chauffeur de taxi pour trouver des filles, et trouver un logement en sous-location pour satisfaire (leurs) besoins". Jamais à court d'images, d'idées, d'arguments, Belguel livre des prénoms, précise le métier ou la situation familiale de quelques unes, évoque des lycéennes, des "teens" (adolescentes), etc. Ses exploits lui ont valu l'admiration de plusieurs membres de la communauté pornographe : "Belguel, tu mérites de figurer au Hall of fame du site (…) On devrait rebaptiser la section marocaine du site le Maroc vu par Belguel (…) Change de job et deviens un tour opérateur au Maroc !". Certains, désireux de se rendre au Maroc, lui demandent conseil : "Et Casablanca ? Et Fès ? Et Tanger ? Et Marrakech ? Ces villes sont-elles aussi chaudes (et faciles) qu'Agadir ?". D'autres, enfin, lui demandent régulièrement de sauvegarder l'anonymat des filles: "Belguel, tu masques ton visage, tu devrais au moins masquer les yeux des filles, ne serait-ce que par respect pour toutes celles qui t'ont fait jouir (…) Belguel, ces filles sont musulmanes, elles vivent dans un pays musulman, tu les exposes à un grave danger en les exposant ainsi". Les réponses sont toujours contrastées. Au moment où Belguel en personne, ou un autre pornographe, s'en réfère au modérateur du site, le mystérieux Jackson, pour "trancher sur l'opportunité de masquer, ou non, les yeux des musulmanes", d'autres malades y voient un motif comme un autre d'excitation : "Hé, les gars, elles sont déjà masquées puisqu'elles ont un voile sur la tête et du sperme sur le visage, que demandez-vous de plus?". Dans tous les cas, le catalogue de Belguel impressionne, au point que la communauté pense à lui décerner un prix "pour la qualité exceptionnelle de ses photos".
Voilà, donc, un léger aperçu sur les confessions, en direct sur le net, de Belguel. L'envoi des photos et commentaires de l'intéressé s'est poursuivi jusqu'à la mi-2004. Depuis, Belguel semble s'être retiré de la circulation. Peut-être pour aller vers d'autres sites, à la rencontre d'autres communautés pornographes. Mais les photos de Belguel, leur caractère particulièrement choquant ont continué d'alimenter la chronique sur le site, jusqu'à aujourd'hui même, les intervenants s'échangeant des informations, des articles, des réflexions sur le sujet. Son "souvenir" est si fort que certains, après avoir pris connaissance de ses exploits en sont venus à dire: "Avec ce qu'a réalisé Belguel, toute Marocaine marchant dans la rue est une candidate (au sexe)"...

source: telquel
w
21 juin 2005 22:17
Bonjour,

Merci de continuer sur les sujets ouverts dans le forum actualités.
"Marocainement vôtre"Le Webmaster http://www.yabiladi.com