Ce qu'il serait judicieux de comprendre, est le fait que les bureaux de l'Intérieur marocain ont été bien au courant de ce qu'il allait se passait des mois avant les évènements d'Agdim Izik.
On contrôlait très bien les identités des revenants de Tindouf: On reconnaissait les vrais revenants de ceux "envoyés". Le campement n'était pas une réaction de nos frères sahraouis pour exprimer des revendications économiques et sociales. C'est une scène bien réfléchie que les services du ministère de l'intérieur marocain a bien vu venir. On savait aussi que le summum des manifestations sera atteint la veille des préparatifs pour le troisième tour des négociations dans la Banlieue de NewYork... Mais comment fallait-il réagir?? Est-ce qu'on interdit le campement dès le premier jour et qu'on en finisse en 10min? (les forces marocaines l'aurait fait les doigts dans le nez) Ou devront-on profiter des éléments recueillis, faire les sourds et les cons, et tordre la carotte à l'Algérie et aux séparatistes pour les prendre la main dans nos poches.
La dernière solution (heureusement) a été choisie. Le "polisario" et l'Algérie ont mordu à la carotte, ils l'ont toute bouffé...Bssaha w rraha, t3ichou w tkhoudou ghir'ha