A ceux et celles qui sont déjà parti(e)s de chez « Pôpa – Môman »...
Comment avez-vous vécu ce départ du nid familial ?
Comme une déchirure, à l’idée de vivre seul(e) ? Avez-vous eu des angoisses, rien qu’à savoir qu’il n’y aurait personne en rentrant à la maison ? Personne avec qui parler, rire, partager, etc.
Ou au contraire avez-vous ressenti une « délivrance » ? Plus besoin de rendre des comptes à Pôpa et Môman. Et la possibilité de faire ce que l’on veut quand on veut !
si on avait la possibilite de retourner en arriere ds le couloir de notre temps, tt de suite j y retourne a cette vie de famille ensembles....j'ai que l echo dans les reves
Chanceux les jeunes svp profitez en je vs garantie du fond du coeur q un moment donne vs allez arriver a ce stad qui est le mien !
Q allah benisse mon pere et longue vie a ma mere ainsi tt les etres qui y tiennent
Je suis parti du nid familiale pdt quelques tsp et cela ma bcp chamboulé c'est vrai, ce qui ma manqué ce sont les prise de becs avec mes frères et soeurs, la maman (mais elle c'est qu eje l'adoooooreeeeeeee), les repas de famille tous les soirs réunis à une même table, nos rires poru afir eoubleir la dure journée que nous avions eut....
La vie est comme un arc-en-ciel: il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.
Ben j'ai quitté le nid confortable et douillet de la maison pour l'étranger à 20ans. En fait j'appréhendais tellement au départ que ça s'est super bien passé. Aujourd'hui, je vis toujours loin d'eux mais avec le leitmotiv de ne jamais les décevoir en quoi que ce soit...
salam g quitté le nid familial à 17 ans pour venir ne france , et le plus dur c etait les repas que je prenais tout seul et aussi le berrad de thé apres le dejeuner , ou tout le monde discute avant d aller au travail ou en cours .
j'ai quitté le nid familial depuis 8 mois pour mes études en france. avnt j'avais tjrs cette envie de vivre seule chez moi, indépendante et libre. aujourd'hui, l'ambiance familiale me manque. vivre seule était une bonne leçon d'éducation, je sens que j'ai grandi vu qu'on est plus protégé par nos parents. mais si j'ai l'occasion de retourner chez moi après mes études, je retournerai directement vers le nid familial. on ne s'aperçoit de la valeur de ce qu'on a entre les mains que qd on ne l'a plus.
moi j'ai kitté mes parents à 19 ans, c'été en septembre 2001, un jeudi pour être précise, j'ai pris l'avion pour venir à paris, g pleuré tout le trajet, je l'ai trés mal pris puiske ce n'été pas mon choix de venir faire mes études en france, c'été le choix de mes parents, mais au bout de trois ans, on s'y habitue! je sais ke maint kan je rentreré au maroc, même si je me marie pas d'içi là, je pourrais plus me permettre de retourner ché papa, de par l'habitude ke g prise d'avoir mon petit ché moi et de décider de tout sous mon toit..... mais je mentiré si je disé ke ça me manke pas d'être choyée par mes parents, les ptits plats de maman............
j'ai quitté le nid parental à 19ans pour le québec un choix personnel , on en avait bien discuté avec mes parents mais je suis passée d'une chambre dans une grande maison avec frères et soeurs , parents chats , oiseaux à une chambre vide unique dans une résidence universitaire dur dur les 1ers temps j avais peur le soir pourtant c t tranquille je sortais presque pas et aprés avec le temps je me suis habituée à cette vie
par contre je suis retournée vivre avec mes parents avant de partir une seconde fois cette fois ci à paris et ca faisait drole parce que je m'étais habituée a cette indépendance et meme si j adore etre avec ma famille c t assez space des fois mais je considère le nid familial comme un cocon qd j y retourne je me sens en sécurité et je sens l' amour familial qui plane dans cette chaleureuse maison.
j'ai quitté le nid parental à 17 ans pour venir en france pour mes études, c'était pas du tout un choix personnel c'était le choix de mon père. J'ai crus que j'allais atterrir dans une grande ville et à ma grande surprise, c'était une petite ville où presque tout le monde se connaissait. la première semaine était dure, il pleuvait, il fesait froid, la chaleur de marrakech me manquait, je pleurais toutes les nuits, je n'avais qu'une seule envie c'était de rentrer. Mais au fur et à mesure, on se construit une nouvelle vie et on s'habitut. C'est clair que j'ai envie de rentrer, de revenir chez mes parents mais je ne sais pas si je pourrais reprendre la vie d'avant france car je me suis habituée à une certaine indépendance.
Je vais peut-être passer pour la fille insensible, mais moi je vis seule (pendant l'année unviersitaire) depuis 3 ans, et quel pied!!! Ca n'a jamais été difficile pour moi, les cris de mes parents ne m'ont jamais manqué, et les steaks tartares de ma mère non plus :p
Bien sûr ils me manquent parfois en tant qu'individus, mais vivre avec eux ça ne m'a jamais manqué. D'ailleurs samedi j'y retourne, et je me dis que le cirque va encore reprendre, la seule chose qui me console c'est la taille de ma chambre, qui fait 3 fois celle que j'ai ici... On se console comme on peut
Mais dès que j'en ai les moyens, je me casse définitivement, je suis sûre que je m'entendrai beaucoup mieux avec mes parents si on ne se voit que pour les déjeuners dominicaux
________________" Etre libre, ce n'est pas pouvoir faire ce que l'on veut, mais c'est vouloir ce que l'on peut. " Jean-Paul Sartre, Situations I
Merci Chems Mais depuis l'âge de 6 ans je dis que je vais me tirer pour de bon, et tout le monde me répond que je ne suis qu'une petite ingrate :p Tout le monde dit que l'amour que l'on doit à ses parents doit être inconditionnel, eh bien moi je les aime mais mon amour est en partie proportionnel à leur comportement. Leur compte en banque et l'argent qu'ils peuvent dépenser pour moi ça n'entre pas du tout en compte, et les gens qui disent ça ne sont que de sombres matérialistes. Je ne leur ai pas demandé de me mettre au monde, et je leur ai encore moins demandé de m'élever de la sorte, je ne vais pas me prosterner tous les jours en les remerciant de m'avoir détraqué le cerveau avec leurs records du monde de décibels.
Bref. Désolée mais ça fait tellement de bien de le dire.
Les exams se sont terriblement mal passés, donc lundi prochain je commence les révisions pour le rattrapage en Août
Bisous à toi ma petite Chems |-)
________________" Etre libre, ce n'est pas pouvoir faire ce que l'on veut, mais c'est vouloir ce que l'on peut. " Jean-Paul Sartre, Situations I