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Le rôle de la France dans le massacre de 800 000 Rwandais
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6 avril 2014 16:38
guerre civile de la République centrafricaine (RCA), ce général a envoyé un message au ministère de la défense : « Souvenez-vous du Rwanda ! », a-t-il lancé. « On croyait bien faire, et on s'est retrouvés exposés à la vindicte du monde », avertit ce militaire qui commandait sur le terrain rwandais, en 1994, aujourd'hui reconverti dans le privé.
L'opération « Sangaris » en RCA a réveillé de douloureux souvenirs. Des officiers français se revoient au milieu des monceaux de cadavres, en 1994. En juin de cette année-là, Paris finissait par décider de l'opération « Turquoise », l'envoi de 2 500 soldats, pour deux mois, au coeur de la tuerie en cours au Rwanda.

Regarder notre carte interactive Pourquoi la France intervient en Centrafrique et notre sélection d'archives réservée aux abonnés Le génocide rwandais

Or la France, après le génocide qui a tué 800 000 Tutsi et Hutu modérés entre avril et juillet 1994, a dû répondre de son soutien durable au régime hutu. Et ses militaires, d'accusations graves de complicité.

« Le pire pour un militaire est d'être placé au milieu d'une population qui se massacre et d'être accusé d'en porter la responsabilité », dit un officier de l'armée de terre, jeune capitaine de « Turquoise ». « En RCA, on a accepté de facto d'être impuissants. On est partis en situation d'infériorité numérique. Il est sûr que le Rwanda obsède les officiers de la force “Sangaris” à Bangui », poursuit-il.

« LE RWANDA, ON N'EN PARLE PAS »

Vingt ans après, que reste-t-il du drame dans l'armée française ? D'abord, un silence. « J'ai demandé si une cérémonie pouvait se tenir. On m'a dit : “C'est casse-gueule ton truc” », note Laurent Attar-Bayrou, président de la Fédération nationale des anciens des missions extérieures. « De notre point de vue, nous avons rempli la mission qui nous était donnée avec honneur. Il y a eu deux lectures des événements. Le temps permet d'effacer les blessures individuelles et les contentieux collectifs », veut croire le chef d'état-major de l'armée de terre, Bertrand Ract-Madoux. Le nouveau patron des armées, Pierre de Villiers défend l'opération en RCA : « C'est bien pour éviter un Rwanda qu'on y est allés ! » Mais dans l'institution, juge-t-il, « les références sont le Golfe, le Kosovo, la Bosnie, la Côte d'Ivoire. Le Rwanda, c'est quelque chose dont on ne parle pas ».

Lire également : Rwanda : première condamnation pour génocide en France

L'armée, depuis, s'est totalement renouvelée. Le général Jean-Claude Lafourcade, ex-commandant de la force au Rwanda, estime que « les jeunes officiers d'aujourd'hui ont oublié ». Avec son association France Turquoise, il apparaît comme la pointe isolée d'un combat collectif pour l'honneur, que l'issue des procédures judiciaires en cours contre des militaires et des responsables politiques français n'épuisera pas. « Nous ne voulons pas que dans les livres d'histoire, l'armée française soit taxée de participation à un génocide. »

Le Rwanda ? « C'est le spectre », dit le général Elrick Irastorza, ex-chef d'état-major de l'armée de terre. De ce fantôme, il n'est pas aisé de déceler les traces. Certains portent bien une cicatrice, toujours à vif, mais la cachent. C'est le cas de cet officier des commandos, pour qui l'image est nette : une petite fille de 6 ou 7 ans court vers lui, le crâne ouvert par un coup de machette, les méninges apparentes, condamnée. Aujourd'hui, assis droit dans un bureau ministériel, il ne lâche pas un mot de plus que nécessaire, refusant les larmes qui montent : « Ce qu'on a vécu au Rwanda nous poursuit au quotidien. » Ces soldats sont accusés d'avoir laissé mourir 800 Tutsi assiégés à Bisesero, tardant à secourir, trois jours après une reconnaissance. Les commandos n'ont toujours pas compris ces accusations.

Sa colère est intacte. « Je ne connais pas d'action ou d'inaction, pas de décision ou de non-décision dont l'armée française ait à rougir. Quand je vois à quel point nous avons été prêts à donner nos vies pour des gens dont personne n'avait rien à faire, et comment nous avons été peu soutenus. Les politiques s'en foutent. » Perception irréconciliable, et corrosive. « Ce qui fait mal, c'est qu'on a laissé croire qu'il y avait anguille sous roche. Cela marque désormais toutes nos actions dans le monde. »



>> Notre infographie : Génocide rwandais, dix-huit ans de flou et de contradictions


Pour les acteurs de cet été 1994, « ce ne sera jamais fini », ajoute Jacques Hogard, ex-commandant du groupement de la Légion. « A l'automne, cette année-là, j'ai découvert dans une librairie de Marseille le livre de François-Xavier Verschave, Complicité de génocide ? , se souvient-il. Ce fut un énorme choc. Je rentrais, j'étais content de ce qu'on avait fait avec des moyens dérisoires, et je découvre, sur trois pages, que je deviens un salopard. » Il a tenté de s'expliquer en 2005, dans Les Larmes de l'honneur (Hugo et Cie).

Certains coopérants militaires de la période 1991-1993, lorsque Paris prêtait parfois main forte sur le terrain au régime de Kigali contre la rébellion tutsi, sont restés attachés à leurs amis hutu de l'armée rwandaise, ceux-là mêmes que la France a soutenus jusqu'à avril 1994. L'un d'eux, rencontré dans une administration à Paris, s'est effondré à l'évocation de cette déchirure : « Tout le monde avait eu le sentiment de bien faire. »

Les officiers qui ont ensuite accompagné à Arusha (Tanzanie) les négociations entre l'Etat rwandais et les rebelles tutsi en vue d'un partage du pouvoir, en 1993, eux, renvoient la balle au politique : « Nous avons obtenu un accord et passé le relais à l'ONU. Normalement on a “mention bien” avec ça, même si c'est passer le volant à un aveugle », résume l'un des anciens conseillers de l'état-major.

« LES MILITAIRES ONT FORMÉ CEUX QUI ONT DIRIGÉ LE GÉNOCIDE »

Les voix critiques de l'engagement français restent rares, tourmentées, dans l'institution. Tel cet ancien colonel : « Les militaires ont aidé et formé ceux qui, ensuite, ont dirigé le génocide, même si personne ne pouvait l'imaginer alors. A-t-on eu conscience de ce qui se préparait ? On n'a pas posé cette question. Du coup, on n'a rien à opposer aux accusations du président Kagamé contre la France. On peut juste nier en faisant valoir notre bonne foi. »

Surnommés parfois les « égoutiers », les soldats de « Turquoise » venus pour « mettre fin aux massacres » ont enfoui leur expérience. Leur incapacité à comprendre ce qu'il se passait. Ou leurs journées passées sous la douche à tenter d'ôter l'odeur de la mort – « On ne savait plus si elle était à l'extérieur ou à l'intérieur de soi », a confié l'un d'eux à un médecin. « Juste après, on a mis un mouchoir sur tout cela », dit le général Jean-Claude Thomann, ancien chef du 8e RPIMa. « Les gars de “Turquoise” sont rentrés dans leurs unités et sont passés immédiatement à autre chose », rappelle Laurent Attar-Bayrou.

François Mitterrand avait alors lancé l'armée au Cambodge, en Somalie, en Côte d'Ivoire, en ex-Yougoslavie. Tous les regards étaient tournés vers les Balkans. Certains ont tenté de panser leurs plaies rwandaises à Sarajevo. « Après l'assaut du pont de Vrbanja , où nous avons eu 2 tués et 38 blessés lourds, j'ai demandé au psychiatre de voir les hommes », se souvient le général François Lecointre, alors capitaine du 3e RIMa. « C'est du Rwanda qu'ils lui ont parlé. »

Lui en a tiré une leçon. « J'ai appris sur ma propre violence. La mort appelle la mort », confie le général Lecointre, qui a conduit des opérations dans la « zone humanitaire sûre » à la frontière zaïroise. Après avoir découvert un charnier de 40 nourrissons dans une maternité, ses soldats ont été tentés d'achever un homme, présenté comme l'auteur par la population. « Ceux qui assistent au massacre sont tentés de se faire justiciers. On se dit dans ces moments que, si on respecte les règles, on ne peut rien empêcher. Il faut lutter contre cette idée. »

« BOUCHERIE OU HUMILIATION »

Les écoles d'officiers en ont bien retenu des cas pratiques, de nouvelles doctrines. Mais, dans l'institution, « il n'y avait pas de question », témoigne un officier d'active qui a commandé en Côte d'Ivoire après le génocide rwandais. « La conclusion a été qu'il ne fallait plus laisser réécrire l'histoire à notre place. » Les militaires se sont persuadés qu'ils avaient perdu la bataille des médias avec « Turquoise » quand ils auraient pu la gagner. « On a été naïfs de montrer nos soldats charrier des corps avec des pelleteuses », ajoute ce gradé.

Depuis, une « manoeuvre médias » accompagne toutes les opérations. « Faute de ligne politique claire, dénonce Jacques Hogard, on continue de faire des coups militaires en Afrique, ce qui place les gens dans des situations invraisemblables. »

La planification génocidaire des extrémistes hutu n'est pas le nettoyage ethnique opportuniste des chrétiens de RCA, mais le parallèle est tracé entre les missions d'interposition, trop floues quant à l'usage de la force.

« Les militaires ont le choix entre la boucherie ou l'humiliation », affirme le général Irastorza. Ils portent une responsabilité dans l'exécution de la mission. « Mais, au milieu d'une foule qui s'étripe, vous tirez sur qui ? », demande-t-il. « Pour nos jeunes soldats, souvent, la situation est incompréhensible. Ils ne peuvent imaginer de tels niveaux de haine. Cela les dépasse. »

Après le Rwanda, l'ère de la « judiciarisation » des opérations militaires s'est ouverte, qui mène des officiers devant les tribunaux civils. Une information judiciaire est ouverte au pôle génocide à Paris contre des militaires français, pour Bisesero et des viols présumés. « L'enseignement, ce fut : notez tout, parce qu'un jour ou l'autre on pourra vous reprocher de ne pas avoir sauvé tel ou tel », explique le général Thomann.

Certains confirment s'être constitué, depuis, des dossiers de preuves. « Si les jeunes n'ont pas le mot Rwanda en tête, ajoute Jacques Hogard, ils sont imprégnés de tout ce qui a suivi : des situations médiatisées où vous n'avez aucune couverture, si ce n'est celle que vous vous donnez. »

Les armées se sont dotées d'un arsenal juridique. Les fantômes sont tenus à distance. « Les vraies blessures de l'armée française, c'est l'affaire Dreyfus, juin 1940, l'Indochine, l'Algérie ! Voilà ce qui a apporté du discrédit. Pas le Rwanda », assène un ancien haut responsable, qui occupe un poste éminent de la République.
X
6 avril 2014 16:39
Une Shoah africaine.
M
6 avril 2014 17:46
désigner la france comme coupable permet de ne pas parler des vrais coupables et de mettre en place une politique de réconciliation nationale.
reconstruire le rwanda est la priorité du gouvernement depuis le drame.
esperons qu'ils y arrivent. mais plus tard il faudra bien faire un vrai travail de recherche.
quand le garde champétre de tel village donnait le coup de siflet du départ de la chasse à l'homme le matin puis la clôturait le soir, jour aprés jour, ce n’était pas sur ordre de l'élysée.
et le monde n'a pas réagit.
X
6 avril 2014 21:51
Oui, oui. Il faudra nous expliquer pourquoi les genocidaires acclamaient les soldats français à leur arrivée. Les petits drapeaux et tout ça.
X
6 avril 2014 21:58
Sans parler de la préparation des conditions du génocide par les français et les belges, en favorisant les Tutsis contre les Hutus. Parce que les Tutsis avaient de petits nez, avaient l'allure élancée, une culture raffinée. Ce qui les rapprochait des blancs, donc forcément supérieurs aux sauvages Hutus, des noirs comme les autres.













Sans parler de la de construction des croyances mythiques populaires et de l'imposition du christianisme.

D'ailleurs, les prêtres ont activement participé au génocide et ont bien usé de la machette (ce qui explique d'ailleurs la vague de convions à l'islam après me génocide puisque des musulmans ont joué un rôle actif dans la protection des rwandais).
M
7 avril 2014 01:42
tu racontes vraiment n'importe quoi.
les églises ont été des refuges. des pretes ont été tués pour avoir tenter de s'opposer au massacre.
les militaires français qui ont finalement été dépéchés ont sauvé des gens.
mais cela venait tard et ils etaient trop peu nombreux.
de toutes façons, pour les islamistes comme toi, si la france intervient pour empêcher un massacre ou de troubles, c'est une ingérence coloniale insupportable. et si la fance intervient pas ou trop tard, c'est parce qu'elle soutient le massacre.
tu auras bien aimé que tes amis narco djihadistes continuent à sévir au mali, pas vrai?
7 avril 2014 08:43
Bien sûr président rwandais qui a été tué par un missile de fabrication française qui n'était pas encore commercialisé à l'époque selon un rapport de l'ONU qui végète dans les archives...

L'hypocrisie française à t elle une limite ??

Nadafa minal imane wal imane minal islam... il est temps de subsidier les panneaux solaires
X
7 avril 2014 09:45
Va te cacher. On parle de complicité active d'une part dans le soutien militaire et politique aux exterminateurs, d'autre part, dans l'abandon des populations massacrées.

Les autorités françaises parlaient de "génocides" au pluriel pour mieux occulter leur soutient aux principaux coupables (même si des massacres ont été commis de part et d'autre). Tu devrais te documenter sur le sujet avant de venir te ridiculiser. A moins que ta source d'information, ce soit les Lugan et autre Pean.

Il faut lire les témoignages des belges et non des chauvins français, menteurs et habitués des mensonges.
X
7 avril 2014 10:06
Pour la propagation de l'islam, lire cet article du WP, très intéressant.

www.washingtonpost.com/wp-dyn/articles/A53018-2002Sep22.html

Many converts say they chose Islam because of the role that some Catholic and Protestant leaders played in the genocide. Human rights groups have documented several incidents in which Christian clerics allowed Tutsis to seek refuge in churches, then surrendered them to Hutu death squads, as well as instances of Hutu priests and ministers encouraging their congregations to kill Tutsis. Today some churches serve as memorials to the many people slaughtered among their pews.

Four clergymen are facing genocide charges at the U.N.-created International Criminal Tribunal for Rwanda, and last year in Belgium, the former colonial power, two Rwandan nuns were convicted of murder for their roles in the massacre of 7,000 Tutsis who sought protection at a Benedictine convent.

In contrast, many Muslim leaders and families are being honored for protecting and hiding those who were fleeing.
X
7 avril 2014 10:15
"J'ai voulu chercher refuge dans une église mais c'était le pire endroit. Une famille musulmane m'a recueilli et m'a sauvé la vie.

14% de la population du pays est musulmane, deux fois plus qu'avant le génocide.
X
7 avril 2014 10:33
Le même jour, à Arusha, un prêtre catholique, l’abbé Emmanuel Rukundo était condamné dans l'indifférence générale à 25 ans de prison par le Tribunal pénal international pour le Rwanda pour « génocide, assassinat et extermination comme crime contre l’humanité et viol » (peine réduite en appel à 23 ans). Il s’agit du deuxième prêtre à subir cette condamnation par le tribunal international[1]. Avant lui, le 13 décembre 2006 (confirmé en appel le 12 mars 2008) le prêtre Athanase Seromba avait été condamné pour «extermination et génocide».
Pendant que le TPIR recherchait activement Athanase Seromba, l’Église le cachait à Florence, en Italie grâce à ses réseaux[2]. Il vivait sous la fausse identité de Don Anastasio Sumbabura, prêtre Zairois. Retrouvé par les enquêteurs du TPIR, il sera finalement extradé par l’Italie le 6 février 2002 après huit mois de bras de fer mémorable entre Carla del Ponte et Silvio Berlusconi qui, en bon chrétien, rechignait à extrader un prêtre catholique
7 avril 2014 10:45
Il faut rappeler que la Belgique à présenter des excuses officielle quand la france ne reconnaît que la Shoah même pas la traite négrier.

Ce pays n'appartient plus au peuple français
Nadafa minal imane wal imane minal islam... il est temps de subsidier les panneaux solaires
X
7 avril 2014 10:46
"If it weren't for the Muslims, my whole family would be dead," said Aisha Uwimbabazi, 27, a convert and mother of two children. "I was very, very thankful for Muslim people during the genocide. I thought about it and I really felt it was right to change."
U
7 avril 2014 12:38
Aussi longtemps que Kagamé n'aura pas été trainé devant le Tribunal Pénal International, on n'aura que de la désinformation.

Les coupables principaux, ceux qui ont déclenché les massacres sont les supplétifs des États-Unis et les États-Unis eux-mêmes.
C'est l'assassinat du président de la République du Rwanda (et aussi celui du Burundi) et l'invasion du Rwanda par les supplétifs des États-Unis, qui ont déclenché le massacre: C'est cet assassinat qui a transformé en assassins les défenseurs du pays. C'est l'invasion par les supplétifs des États-Unis, qui a amplifié les assassinats.

C'est Clinton qui a opposé son véto lorsque la France a demandé un mandat pour protéger les élites rwandaises, parmi lesquelles les Tutsis.


Il me semble qu'il y a déjà eu une bonne vingtaine de sujet sur le forum Yabiladi, dont le sujet était exactement le même.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
T
7 avril 2014 20:35
800.000 Morts en a peine 3 semaines!

Ce qui ferait 39 Morts toutes les Minutes! et ceci pendant 3 semaines,sans arret!

Un Bain de sang.

Faut pas les énérvers les Tutsi..

La,pour une fois, je crois vraiment que le mot Génocide,n'est pas éxagéré.....



Bref,peu importe qui a commencé,Tutsi ou Huttu....Peu importe qui les a utilisé,Français,Rwandais,Congolais,peu importe a qui a profité le crime,car on ne le saura jamais.....En revanche,ce qui est sur,c'est que les véritables coupables,peu importe leurs couleurs ou leurs nationalitées,doivent a ce moment meme mener une vie bien confortable vautré dans le luxe et le pouvoir sans aucun remord ni jugement.....Et c'est ça qui est le plus dégeulasse..
Nech zie Al hoceima.........Tamassint*
M
7 avril 2014 20:42
Citation
wach jabek lia a écrit:
Il faut rappeler que la Belgique à présenter des excuses officielle quand la france ne reconnaît que la Shoah même pas la traite négrier.

Ce pays n'appartient plus au peuple français


mais des excuses pour quoi?
si tu etais allé à l’école en france, tu aurais étudié la traite transatlantique.
X
7 avril 2014 23:14
La responsabilité de la France est dénoncée par des témoins directs du génocide puisque belges et français ont fait évacuer les blancs et laissé les Hutus massacrer les Tutsis, sous le regard de l'armée française.

Patrick de St Exupery est un témoin direct des massacres, ses livres sont clairs et précise. Il n'est pas le seul. La France et la Belgique, avec la complicité de l'Église chrétienne ont armé idéologique ment puis militairement les exterminateurs.

Quant au belges, ils sont coutumiers des faits. Ce pays à extermine plus de congolais qu'Hitler de juifs.
M
8 avril 2014 02:40
Citation
Rastapopûlos II a écrit:
La responsabilité de la France est dénoncée par des témoins directs du génocide puisque belges et français ont fait évacuer les blancs et laissé les Hutus massacrer les Tutsis, sous le regard de l'armée française.


tu devrais arréter les sites conspirationnistes.
aucun ordre n'est venu de paris pour tuer qui que ce soit.
quel intérêt d'aillleurs?
faut réfléchir un peu.
ce qu'on peut reprocher au monde (et à la france donc), c'est de n'etre pas intervenu plus tot.
voila ce que les rwandais de France disent.
les soldats français ont essayé, en catastrophe, de sauver quelques personnes, intervenir au coup par coup ici ou là. mais ils etaient bien trop peu nombreux. jamais ils n'auraient pu empêcher les massacres qui se sont généralisés sur tout le pays. on parle du massacre de prés d'un million de personnes sur tout un pays en quelques semaines.
nombreux sont les prêtres et pasteurs morts en essayant de protéger de tutsis.
tu es vraiment mal informé.
qu'est ce qu'il ne faut pas faire pour diaboliser la france et les chrétiens, pas vrai?
8 avril 2014 05:08
Deltoides....

Dieu merci je n'ai pas fait l'école en france sinon sans doute qu'aujourd'hui je serai un pauvre paumé qui ne comprend rien à ce qui lui arrive...

La Belgique à demandé pardon donc arrête ton baratin trollman on sais tous qui te paye, il suffit de voir dans quel sens tu vas

Ensuite vas tu réfuter Les faits petit manipulateur ????

Le missile qui a explosé l'avion du président éléments déclencher est de fabrication française et était interdit à la commercialisation

Alors quel fourberie vas tu utiliser pour essayer de me discréditer ??? Celles de tes fiches de troll ???
Nadafa minal imane wal imane minal islam... il est temps de subsidier les panneaux solaires
X
8 avril 2014 10:03
Regardez le niveau de médiocrité de ce pauvre type et ses tentatives de manipulation.
On lui dit que la France est impliquée, il nous répond qu'aucun ordre de tuer n'est venu de Paris.
Alors que personne au monde n'a jamais prétendu que la France avait ordonné le massacre. Technique d'argumentation de 6eme, argument de paille créé de toutes pièces pour le réfuter ensuite.

On parle d'implication, on sait bien qu'aucun français n'a découpé de Hutus.

Et l'autre nazillon ignare qui prétend que s' il y a eu le génocide, c'est à cause des milices Hutus et qu'elles sont responsables de la mort des bébés Tutsis découpés par les Hutus.

Ce forum est devenu un repère de nazillon, fort heureusement incultes.
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