Finalement nos illustres parlementaires ne veulent rien lâcher. Ils se sont mis d’accord pour préserver leurs avantages illégaux. Ils tiennent absolument à ce que le parlement, c’est à dire le trésor public, participe pour moitié pour renflouer leur confortable retraite. Tous pourris, de la gauche jusqu’aux ultra conservateurs islistes. Avec ce deal, le PJD a signé sa disparition prochaine du paysage politique marocain.