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Des débats s'amorcent pour tenter d'entrevoir les conditions nécessaires à une reprise. Ce que l'on peut constater c'est qu'ils s'inscrivent dans une vison dépassée oscillant entre une vision libérale et une autre socio-libérale dans une même dynamique structurelle qui a institué une dépendance quasi vassale de l'étranger subordonnant croissance interne, à une croissance tirée par l'extérieur (tourisme, transferts, endettement, etc ...)

Al yaoum 24

Par analogie il reviendrait d'appliquer les lois de la mécanique des fluides à de l'eau liquide, alors qu'elle est entrée dans la phase gazeuse de vapeur. La modélisation de la circulation monétaire comme des valeurs boursières et des cours s'inspirant de cette même modélisation de la mécanique des milieux continus que mettent en œuvre traders et banques.

Il est grand temps de remettre les pendules à l'heure pour se départir des modélisations passées, caduques et de tenir compte de la dynamique réelle compte tenu de l'intérêt suprême et à long terme de notre pays.
La globalisation, la mondialisation a détruit une partie de notre tissu productif, nombre d'entreprises naissantes dans divers secteurs se sont effondrées du fait de la concurrence à grande échelle. S'il est plus facile d'importer des équipements clé en main, il ne faut pas se plaindre d'un chômage endémique. Consommer ou produire ?



Modifié 2 fois. Dernière modification le 19/04/20 14:02 par Scanner.

la solution la trouve quelqun qui a le culot culotté

Citation
Scanner a écrit:
Des débats s'amorcent pour tenter d'entrevoir les conditions nécessaires à une reprise. Ce que l'on peut constater c'est qu'ils s'inscrivent dans une vison dépassée oscillant entre une vision libérale et une autre socio-libérale dans une même dynamique structurelle qui a institué une dépendance quasi vassale de l'étranger subordonnant croissance interne, à une croissance tirée par l'extérieur (tourisme, transferts, endettement, etc ...)

Al yaoum 24

Par analogie il reviendrait d'appliquer les lois de la mécanique des fluides à de l'eau liquide, alors qu'elle est entrée dans la phase gazeuse de vapeur. La modélisation de la circulation monétaire comme des valeurs boursières et des cours s'inspirant de cette même modélisation de la mécanique des milieux continus.

Il est grand temps de remettre les pendules à l'heure pour se départir des modélisations passées, caduques et de tenir compte de la dynamique réelle compte tenu de l'intérêt suprême et à long terme de notre pays.
La globalisation, la mondialisation a détruit une partie de notre tissu productif, nombre d'entreprises naissantes dans divers secteurs se sont effondrées du fait de la concurrence à grande échelle. S'il est plus facile d'importer des équipements clé en main, il ne faut pas se plaindre d'un chômage endémique. Consommer ou produire ?

Je suis d'accord..
Mais tu crois que les moutons sont prêt..?

Ils sont addicte à la consommation à outrance..

Quand on voie ce qui se passe.. L'unique chose dons nous avons besion c'est manger le reste n'as pas vraiment lieux..

Mais la mondialisation bien orchestré nous a conduit à ces résultats catastrophique..

Une fois passé tout le monde va retourné à ces habitudes.. La mémoire courte..

Donc c'est pas gagné.. Car cela ne rapport rien a ces complotiste bien installé en tes haut..

Macron se mets à consulter des scientifiques maintenant.. D'une part eux même ne savent rien... Alors on es très très mal..

La solution se trouve dans le recul par rapport à un modèle qui n'est qu'une "représentation" parmi d'autres, il faut sortir des chemins balisés, d'une forme de pensée rigidifiée par l'habitude et la loi du moindre effort de réflexion.
Le rôle de l’état, dans cette période de crise sera déterminant dans sa plus ou moins grande réactivité, dans sa stimulation de la création d'emploi et de la consommation interne .
La prise en charge par les entreprises des salariés ne se décrétè pas , elle est tributaire de l'existence d'un marché, d'une demande, pour répondre sur un point avancé.

Citation
Zine07zine07 a écrit:
la solution la trouve quelqun qui a le culot culotté

C'est bien ce qu'avait réalisé Feu Sa Majesté Hassan II, Allah y Rehmo en lançant la politique des barrages à l'époque.

Contrairement à d'autres pays qui avaient opté pour une politique d'industrialisation clé en main, qui a plus ou moins échouée : les machines vieillissent et la technologie évolue.

C'est peine perdue tant que l'on n’intègre pas ce tissu industriel capable de produire les équipements, les outils et les pme susceptibles de faire évoluer le parc machine, de suivre la demande.

Un tissu conjonctif industriel - intersectoriel - qu'il est nécessaire de développer, à l'instar des réalisations chinoises et asiatiques.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/04/20 14:34 par Scanner.

dans l'aisance le systeme ne montre pas trop sa defaillance (meme si quelquns peuvent le voir mais pas ts) ; et je ss dacc sur le fait que il faut du recule ; mais peut importe l'etat est la que pour nous faire travaillé , et meme dans les crise bcp vont la soutenir (nationalistes, l'optimisme aveugle comme je l'appelle...)
et en fins des compte l'etat s'en sorte tjr car les populase craignent le chaos

Le problème c'est celui des conséquences de cette crise sanitaire sur le développement et le niveau de vie. Il est vrai que des lois de comportements des systèmes, ignorées ou cachées, sont révélées par la mise en œuvre de contraintes entrainant des déformations et le covid19 est une grande contrainte, qui a perturbé tous les systèmes propres à tous les pays, indépendamment des considérations politiques, économiques ou sociales. L'état subi les conséquences des politiques gouvernementales, il n'est pas responsable de la crise, voir en France le problème de sous équipement des hôpitaux etc ..., des décisions gouvernementales de réduction budgétaires en cause.

Les départs volontaires au Maroc, ont privé les jeunes générations de formateurs sur le conseil d’institutions étrangères, pour réduire les budgets, libérer des postes et aller vers une économie plus privatisée, libérale. Un non sens avec le recul, puisqu'il menait à la réduction du potentiel des compétences actives tant nécessaires au développement.

Des Institutions étrangères, des experts qui se sont fourvoyés.

Avec cette crise, les faiblesses dues à la grande dépendance de l'étranger ont été mis à jour, il s'agit d'y remédier et d'avancer.

Covid19, a opéré comme un révélateur, à nous d'en tirer les enseignement par exemple en terme d'exportation ou de délégation de valeur ajoutée au profit de l'étranger.

Citation
Zine07zine07 a écrit:
dans l'aisance le systeme ne montre pas trop sa defaillance (meme si quelquns peuvent le voir mais pas ts) ; et je ss dacc sur le fait que il faut du recule ; mais peut importe l'etat est la que pour nous faire travaillé , et meme dans les crise bcp vont la soutenir (nationalistes, l'optimisme aveugle comme je l'appelle...)
et en fins des compte l'etat s'en sorte tjr car les populase craignent le chaos

Vers un dirigisme étatique économique ? …

Covid19 et le chacun pour soi a remis en question l’organisation économique mondiale, le libre échange comme les liens de dépendance et d’interdépendance.

Protectionnisme et fermeture des frontières, rapatriement des industries délocalisées, de nombreux secteurs seront lourdement affectés sur le moyen terme.

Vers quelle nouvelle organisation des rapports économiques s’oriente-t-on ?

La libéralisation des échanges a contribué à une plus grande dépendance, à une plus grande fragilité et faiblesse.

Commerce extérieur : une remise en question ?

Un retour sur les règles encadrant les échanges extérieurs s’avérera nécessaire en le redéploiement du système des licences d’importation et d’exportation comme celui du contrôle de l’Office des changes, des cours des devises et de leur rapatriement effectif en produit de vente à l’étranger.

Un ensemble d’arrêtés qui protégeait jadis, l’écosystème économique, entretenait le terreau pour la naissance, la consolidation et le développement de l’entreprenariat privé national, permettant la conduite à terme de projets portés par nos compétences propres.

Un ensemble aussi de mesures favorisant les exportations : révision des exonérations de taxe à l’export et de la mise à la consommation dont la TVA, régime d'admission temporaire etc ... ?

Importer principalement les produits de première nécessité, soumettre les produits accessoires à licence ?

Couvrir les besoins nationaux par nos propres réseaux d’entreprises, besoins recensés en volume dans les statistiques douanières, définis par leurs numéros de nomenclature respectifs semblerait désormais être l’un des objectifs à atteindre progressivement ?

Une révision de la réglementation encadrant le commerce extérieur pourrait-elle encourager et contribuer au retour sur le sol national des compétences, par un choix sélectif de champs réservés ?

La reprise nécessite la réunion d’une masse critique de facteurs de manière synchrone.

Jadis, les moyens financiers manquaient à l’appel, puis ce fut le tour des compétences qui faisaient défaut, puis suivit celui du manque de demande forte, de marchés, envahis par les productions étrangères, enfin c’est cet écosystème technique et technologique, ce tissu conjonctif nécessaire à la conception et à la réalisation des outils qui vient à manquer.

La fabrication des respirateurs, des masques prouve à la fois un pouvoir d’adaptation et une réactivité face à la crise, mais aussi souligne le pouvoir de transformation et de mutation qualitative d’un groupement d’experts disposant des moyens et d’un environnement adéquats.

L’état pourvoyeur de marchés, de travail, d’orientations, d’incitations et de stimulations par des mesures fiscales comme de mise à disposition de terrains industriels, de locaux, etc, pour les secteurs bancaires et privé pourra-t-il générer la forte dynamique de reprise espérée ?



Modifié 2 fois. Dernière modification le 20/04/20 14:25 par Scanner.