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Amaʁʊq a écrit:
Je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il y a un problème avec l'ubérisation de toutes les relations en question.
Ce que je reproche surtout est que nous n'avons jamais été autant connectés mais pourtant les gens ne se sont jamais autant sentis seuls.
C'est plutôt sur une approche plus naturelle qui permet aux gens de tisser des liens. Exemple, tiens, ce week-end, j'ai du temps libre, j'aimerais faire une activité avec de nouvelles personnes qui ont le même intérêt que moi. Je regarde, tiens, il y a une randonnée, je m'inscris.
Lors de la randonnée, je rencontre des gens sympathiques et au fil des discussions, tu peux peut être aider quelqu'un à trouver un stage. Cette personne peut peut être t'aider sur un de tes problèmes. Au final, ce sont des êtres humains qui passent du temps ensemble à un temps donné. Peut être que même certains arriveront à rencontrer leur moitié mais ça sera naturel.
Les âmes qui se ressemblent vont s'attirer comme des aimants (amitié, amour, business, ...)
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Amaʁʊq a écrit:
Salem ou aleykom,
Après une analyse approfondie sur le problème de la communauté musulmane à lutter contre le célibat, j'ai réfléchi à une ébauche d'une solution qui pourrait aboutir à des choses concrètes.
L'idée n'est pas de créer des sites de rencontre ni une agence matrimoniale mais plutôt de travailler sur le social, la base.
En comprenant le mécanisme de l'être humain, créer un lieu propice à des rencontres avec des gens avec des intérêts convergents. Par exemple, organiser des sorties cinémas, musées, randonnées, une table ronde pour des débats, parcs d'attraction, ... Entre musulmans et laisser les liens se créer de façon naturelle.
En résumé, créer un boost pour permettre aux gens d'élargir leurs réseaux, c'est ça le fond du problème. C'est en tissant des liens avec de nouvelles personnes que le reste suit.
Il faut arrêter de se focaliser sur les conséquences d'être dans un réseau restreint et agir. Cela permettra par exemple à des personnes de se faire des amitiés, peut être trouver un logement, un stage, ou qu'importe.
Il faudra juste cadrer ça un minimum pour éviter les dérives.
Que pensez-vous de cette approche ?
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Amaʁʊq a écrit:
Oui mais il ne faudra pas oublier de prévenir la police et que les hôpitaux psychiatriques permettent à certains de leurs médecins de venir analyser les spécimens qu'on pourrait rencontrer. Globalement, c'est beaucoup trop risqué. Il y a beaucoup trop d'âme en peine ici pour tenter.
D'où l'intérêt d'une sélection sur des critères encore à définir même dans la vraie vie.
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